J'ai couchée avec le meilleur pote de mon fils...

Récit érotique écrit par mazaudier le 20-03-2023
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Catégorie Infidélité

Je m'appelle Carine, j'ai quarante et un ans. J'ai deux enfants, Valérie, seize ans et Kevin, dix-huit ans. Depuis que j'ai divorcé, je me sens souvent un peu seule, surtout le soir, dans cette grande villa que j'ai la chance d'habiter, sur la Côte d'Azur.

J'avoue que je suis presque jalouse de mon fils, quand il reçoit ses amis. Je les vois depuis qu'ils sont tout petits et je ne m'étais même pas rendue compte qu'ils étaient maintenant devenus de beaux jeunes hommes... Le déclic s'est produit un soir de l'été dernier, quand ils avaient décidé de profiter de la piscine à la fin d'une soirée que mon fils avait organisée dans le sous-sol de la maison. Ma fille était couchée et quand j'ai entendu un premier "plouf", je n'ai pas pu m'empêcher de guetter, derrière mon volet entrouvert pour voir si tout allait bien...

Il était tard et ils me croyaient couchée. Le jeu avait évidemment consisté à faire un bain de minuit dans les règles... Ils étaient très agités, sans doute après avoir bu un peu d'alcool malgré mon interdiction. Vu que ma voisine, assez grincheuse, peut voir et surtout entendre ce qu'il se passe depuis chez elle, je m'apprêtais à ouvrir pour à leur dire de faire moins de bruit et de se rhabiller. Mais je me suis dit qu'ils n'avait plus douze ans et qu'ils pouvaient être gênés qu'une femme de mon âge les voie tout nus, sans parler de mon fils qui serait rouge de honte en me voyant alors qu'il devait imaginer que ma grosse dose de somnifère habituelle avait fait l'effet escompté. Il faut dire que je ne l'avais pas prise car j'étais inquiète et je voulais rester éveillée en cas de problème.

Ce qui m'a aussi retenue, c'est que j'ai eu le temps de voir la voisine ouvrant ses volets en robe de chambre, évidemment pour engueuler les jeunes, puis rester bouche bée, sans doute interloquée de les voir dans la tenue d'Adam, avant d'éteindre précipitamment ! Elle voulait donc guetter ! Sacrée coquine, malgré ses airs revêches ! Je ne pourrai plus jamais la voir de la même façon. Guetter ainsi des garçons d'à peine dix huit-ans...

C'est alors que Jordan est passé devant la lumière... Jordan c'est le meilleur ami de mon fils, un jeune blondinet de taille moyenne, tout fin et très réservé. J'ai toujours eu une certaine tendresse pour ce garçon, que toute femme aurait envie de protéger et même de cajoler. Mais là... Ce fut un choc ! Mon Jordan, que je voyais encore comme un petit garçon, sans doute à cause de sa timidité, était transfiguré pour moi. Ayant perdu toute réserve à cause de l'alcool, il s'était mis en face de la lumière pour agiter son pénis par des mouvements du bassin afin de faire rire les autres garçons. Mon dieu, quelle queue ! J'en étais restée au petit zizi qu'il avait quand, vers dix-onze ans, je les avais mis dans la baignoire avec mon fils, lors d’une chute dans la boue. Comment était-ce possible que ce petit garçon soit devenu un tel jeune homme, membré comme ça ! Je n'en revenais pas et je voyais que les autres garçons étaient mi-amusés, mi-jaloux. Quant à moi, je ne me serais jamais douté que l'adolescent qui dormait si souvent chez moi avait une bite deux fois plus grosse que celle de mon mari... Il faut dire que ses parents habitent un peu loin depuis qu'ils ont déménagé et qu'il dort dans la chambre d'ami les week-end où il vient voir mon fils.

Je regardais donc de tous mes yeux, entre les volets, avec une curiosité que j'avais de plus en plus de mal à réprimer, sans parler de ma main, quand j'entendis ce fameux Jordan lancer. "bon , je reviens, j’ai un petit besoin". Je ne sais ce qui m'est passer par la tête mais je n'ai pu m'empêcher d'enfiler à la hâte ma nuisette la plus transparente pour me diriger vers les toilettes... J'étais comme un robot, incapable de contrôler quoi que ce soit. Je tremblais presque quand, tout à coup, je tombai sur Jordan marchant d'un pas hâtif, le sexe remuant dans tous les sens.

J'étais incapable de détacher mon regard de cette tache claire, dans la pénombre. De façon non moins évidente, il fut pétrifié de me voir là, devant lui, nu comme un ver, et moi les seins gonflés et tendus vers lui. Nous étions tous les deux devant la porte des toilettes, ne sachant que faire. Se céder la place ? s'excuser chacun de la tenue peu appropriée ? rire ? faire comme si tout était normal ? L'attente devenait pénible pour tous les deux. Je ne parvenais plus à réprimer un tremblement de tout mon corps. Intimidation ? excitation ? Lui aussi tremblait et enfin il mit sa main devant son membre, précaution inutile car la main ne pouvait tout cacher.

Il voulut parler mais en fut incapable. Un bruit incompréhensible sortit de sa gorge serrée. Je posai ma main sur son épaule pour l'inviter à entrer dans les toilettes le premier. J'attendis. En sortant, il était encore plus gêné et me dit bonne nuit. Je le pris alors contre moi pour lui faire une bise sur les deux joues et lui dis simplement "à demain", vu qu'il devait dormir à la maison. Je sentis alors son sexe gonfler en un instant et pointer contre mon ventre. Il partit en courant…

Je bondis dans ma chambre pour regagner mon poste d'observation.

Les autres garçons moquèrent son érection et insinuèrent qu'il était aller se branler, mais Jordan plongea vite pour détourner l'attention. D'ailleurs, mon fils, toujours respectueux de mes demandes, invita bien vite ses amis à rentrer chez eux, vu qu'il était déjà une heure du matin, la limite que je lui avais fixée pour cette fête un peu exceptionnelle. Peu de temps après j'entendis Kevin et Jordan chuchoter dans le couloir : "Ouais on a bien rigolé »

« Heureusement que ma mère prend des somnifères »

« Par contre t'as vu la voisine a guetté, j'ai vu la lumière...elle a rien dit cette salope... « Allez bonne nuit gros »

« Ouais à demain, conclut mon fils, moi je dors jusqu'à midi »

Ouf, Jordan n'avait donc pas révélé à mon fils qu'il m'avait croisée. Je me dis que je devais aller le remercier. De quoi, je ne sais pas, mais je voulais aller lui dire bonne nuit. A mon fils, c'était impossible, il se serait douté que je ne dormais pas pendant leur bain de minuit. Me voilà entrouvrant la porte de la chambre d'ami sans frapper...

Jordan était en train de ranger ses vêtements, toujours tout nu, dans une presque obscurité. Je refermai derrière moi. Il m'entendit enfin et de nouveau cacha son sexe. Cette fois je plaisantai.

« Tu sais, ça fait longtemps que je l'ai vu... Je voulais dire que je n'avais pas pu l'ignorer tout à l'heure dans le couloir…

Mais le garçon répondit naïvement.

« Ah oui, je me souviens, vous l'avez vu quand on était tombés dans la boue et que vous nous aviez mis dans le bain".

S'ensuivit un dialogue de plus en plus ambigu :

- Oui mais tu étais petit à l'époque...ta quéquette aussi.

- Oui, ce n'était pas choquant..

- Maintenant tu as changé, tu es devenu un homme...elle est grosse

- Je suis encore jeune vous savez ! Mais vous avez raison, je suis un adulte !

- Je veux dire que tu es bâti monté un homme, plus viril que mon ancien mari...

- Ah bon ? mais pourtant je n'ai même pas un poil sur la poitrine !

- Tu sais, pour une femme, ce ne sont pas les poils qui comptent...

Disant cela, je ne pouvais m'empêcher de regarder sa main sur sa queue et comme s'il avait voulu se soumettre en montrant ce dont on parlait, il l'écarta et regarda avec un petit sourire que je n'avais jamais vu. Il dut se rendre compte de mon étonnement car immédiatement il s'excusa.

« Excusez-moi, ça ne se fait pas de se montrer tout nu devant une femme, surtout la mère de son meilleur ami. Vous me promettez que vous ne rien dire à Kevin ?"

S'il avait su à quel point j'avais la même crainte que lui !Je le regardai dans les yeux en souriant pour lui dire.

« Promis, il ne saura jamais rien sur ce soir".

Il inclina la tête d'un air satisfait et reconnaissant, ce qui amena son regard au niveau de ma poitrine... Je fis semblant de m'en offusquer.

- Que regardes-tu ? ça ne se fait pas !

- Rien, je vous assure ! Je ne me permettrais pas !

- Tu mens ! Ton nez s'allonge !

Est-ce l'effet magique du verbe s'allonger ? Son pénis me donna raison. En quelques instants il devint raide et immense. Le pauvre Jordan faisait ce qu'il pouvait pour le cacher, vainement, ne parvenant qu'à le raidir davantage encore.

- Ne t'inquiète pas, je plaisantais. C'est la nature. Tu es simplement une jeune homme en bonne santé. C'est normal d'avoir des érections à tout moment.

- Surtout devant une femme aussi sexy...

C'était la première fois qu'un garçon de son âge me disait que j'étais sexy. Peut-être naïvement, je n'avais jamais imaginé qu'un si jeune homme puisse avoir envie de moi...

« N'essaie pas de me flatter, lui dis-je.

Là il se mit en colère.

« C'est vrai, pourquoi je mentirais ? Ah si je pouvais vous prouver à quel point vous êtes attirante...»

Je fis alors allusion à son sexe, dont la raideur me le prouvait autant qu'il était possible de me le prouver ! Il répondit alors.

« Non, mais je voulais dire... Euh... Vous le prouver vraiment quoi... mais je vous vois mal avoir envie d'un gamin comme moi »

Je ne sais ce qui se passa dans mon esprit et je lui répondis.

« Jordan, je t'autorise à me donner toutes les preuves que tu veux et je t'interdis de supposer qu'une femme ne pourrait pas avoir envie de toi. Toute femme de mon âge, ne pourrait s'empêcher de te sauter dessus si elle ne supposait pas que tu n'en as sans doute pas envie et si elle n'avait pas une peur panique que ça se sache un jour."

- Vous voulez dire que...

- Oui, Jordan, prends-moi s'il-te-plaît.

Je n'aurais jamais cru cela possible. Le gamin timide que je croyais si bien connaître eut un regard d'une lubricité effrayante. Je crus voir les yeux d'un tigre affamé et j'eus subitement peur. Il me bascula sur sont lit, retroussa ma nuisette avec violence, tira sur mon slip comme un fou au point d'en déchirer la fragile dentelle et d'un coup enfonça son énorme queue. Je me faisait baiser par le meilleur pote de mon fils, et qui aurait pu être le mien.

Je devais serrer les dents de toutes mes forces pour m'empêcher de crier. De douleur ? De plaisir ? Ce garçon excité comme un fou me donnait des coups de butoir qui auraient défoncé n'importe quelle porte. Dans ma jouissance, je me souvins que cette chambre d'amis avait été aménagée par mon mari pour qu'il puisse jouer de la batterie sans déranger personne, avec une insonorisation poussée. Tout à coup, mes cris se libérèrent et mon désir avec. Moi aussi je devins comme une bête fauve, écartai Jordan de moi pour laisser ma bouche attraper son calibre, que je mordillai tout en le suçant. Plusieurs jets de sperme éclaboussèrent alors ma bouche et mes lèvres, quand il se retira précipitamment…

Il me fit alors me lever, me fit faire un demi-tour, pour que je trouve droite, dos à lui.

Ses mains caressaient mes fesses, puis glissèrent à l’intérieur, tout en remontant entre mes cuisses. Je sentais ses doigts glisser sur ma fente, pincer mon clitoris, puis pénétrer ma chatte. Il se leva, je sentais son souffle sur mes reins. Il posa un main sur mon cou, me força à me pencher sur le lit.

Ses doigts poursuivaient ses va et vient das ma chatte. Puis je sentis sa queue battre mes fesses. Elle avait bien vite retrouvé une érection que je n'aurais pas cru possible quelques minutes après son éjaculation.

Cette fois, il la dirigea vers le plus petit orifice. Il avança lentement, le laissant s’ouvrir au gré de ses poussées. Je me tortillais légèrement sur ce calibre de chair, lui faisant comprendre qu’il pouvait y aller. Je le sentais pénétrer en moi, je sentais ses couilles contre mes fesses. Il était tout simplement en train de me sodomiser.

Puis il se retira, et de nouveau me pénétra pour me faire gémir le plus fort possible.

Il m’enculer, vous vous rendez compte. J’étais une maman, et me faisais sodomiser par un gamin de dix huit ans, et j’y prenais du plaisir, énormément de plaisir.

Plus je criais, pleurais, plus je réagissais, plus il s'excitait et redoublait de vigueur ou de férocité. C'était comme si un instinct sauvage de prédateur se libérait. Il voulait me ravager par son membre hors norme.

Il m'avoua que j'étais sa première femme. Je lui avouai que jamais je n'avais éprouvé une telle jouissance, en espérant que ce ne fut pas la dernière fois...

















































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