Je venais d’avoir trente ans, ma peau douce, mes seins bien ferme, ma chatte toujours parfaitement épilé, mon visage avenant encadré de cheveux sombres… J’étais sublime, et s’il y avait bien une chose que son ennemi saurait m’envier, c’était sa femme. L’idée m’a aussi un peu excité de sentir d’autres mains parcourir mon corps, de me voir prise par lui.
J’ouvris grand les yeux, il savait que j’avais de l’attirance pour lui. Il ne m’avait jamais trop parlé de leur différent, mais je savais qu’il nourrissait depuis longtemps une animosité envers ce mec. Qui l’avait suivi tout son parcours, qui lui mettait des rouste au lycée, jusqu’à le mettre tout nu, pour montrer sa ridicule anatomies à ses potes. Tout ça, pour m’humilier.
S’il savait que ma première pipe, ma première sodomie, c’est à lui que je la devais.
Aujourd’hui, il avait monté une boite pour concurrencer celle de Sylvain, peu prospère. Bref, toutes les raisons pour le haïr
En même temps, je me demandais si ça ne l’exciterait pas un peu si je me le tapais devant lui, pour que je rendre fou, et qu’il sache que j’étais sa femme, et je lui appartenais.
Je suis devenue lancinante et je me suis mis à y penser la nuit.
Le lendemain, Sylvain m’a demandé comment je comptais m’y prendre. Je lui dis que c’était simple. Je passerais le voir à son entreprise pour se payer ses services en prétextant que je croulais sous le travail.
Je connaissais la réputation de Guy, homme à femme s’il en est, et je sais que je ne le laisse pas indifférent, et que s’il peut me baiser, il ne se gênera pas. Sans savoir que mon mari et moi, avions, par jeu, tout programmé pour le piéger.
Je m’imaginais, assise sur les genoux de Guy, jupe relevée au dessus de la taille, en train de me faire branler la chatte, et doigter mon clitoris, par ses mains expertes.
Ça a marché et lui ai fait du charme, jusqu’à le ramener un soir chez nous en faisant croire que mon mari n’était pas à la maison. Il a eu un mouvement de recul quand il l’a vu, mais Sylvain l’ mis à l’aise en lui montrant qu’il était au courant.
Il s’est détendu quand nous avons pris l’apéro et je crois qu’il a fini par comprendre le petit jeu. Il était indéniablement attiré par moi, alors je sentais qu’il pourrait se laisser tenter par une relation. Il ne pouvait détourner les yeux de mon corps, et il me jetait des regards en coin, probablement pour voir si j’allais bondir sur lui à la moindre occasion, mais comme il devait constater que j’étais à l’aise, il n’a pas bougé quand, provocante, je me suis penchée sur lui, pour lui servir à boire.
Il m’attira à lui, me força à m’asseoir sur ses genoux pour m’enlacer et m’embrasser. Il était subjugué, Comme quand une femme vous met le grappin dessus, il ne put me résister.
Je me dandinait sur lui, frottait mon sublime corps, contre son entrejambe, et il s’est mis à me peloter, glissa une main sous la jupe, ou mon mari savait qu’il n’y avait pas de culotte, et que ma chatte était parfaitement épilée. Je me mis doucement à me cambrer, signe que ses doigts pénétraient, tandis qu’un autre s’occuper de mon petit bouton. Il voulait me baiser, mais je ne lui appartiendrait jamais. Je surveillais les réactions de mon mari, pendant qu’il enfouissait sa tête contre ma poitrine, l’air de lui dire.
« T’inquiète pas mon chérie, c’est un jeu, je vais t’aider à conjurer ton fantasme, il va voir quel homme chanceux tu es de m’avoir. »
Nous sommes allés dans la chambre.
On s’est déshabillés, installés sur le lit, et j’ai pris sa queue en bouche, et j’ai commencé à le pour sucer. Guy perdait complètement pied et il se laissait pomper en renversant la tête en arrière. J’étais tellement appliquée dans cette fellation, que je me suis demandé si je ne prenais un certain plaisir. En tout cas, lui en prit, quand il éjacula dans ma bouche. Je fus surprise de me voir tout avaler, et de lui nettoyer le zob.
Je s’essuya d’un revers de main,’embrassa mon mari,et fila à la douche.
Le lendemain, Sylvain reçut une grande enveloppe, avec un projet de travail.
Depuis, il passe souvent à la maison, même quand mon mari n’est pas là. Il n’est pas rare en rentrant, qu’il me trouve au lit avec Guy, en train de me faire prendre en levrette.
Tout les week-end, Sylvain occupait la chambre d’amis, tandis que son pire ennemi s’amusait avec moi dans le lit conjugal.
Il tenait absolument à ce que la porte soit ouverte, pour m’entendre crier quand son rival de travail me faisait jouir.
Sa seule crainte, c’était que je tombe enceinte, c’est pourquoi il préférait que Guy m’encule. Vous imaginez, Sylvain assis sur une chaise dans la chambre à donner le biberon au bébé, tandis que je me fais enfiler par Guy sur le lit.
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