Humiliation au camp de vacances

Un été quand j’avais une vingtaine d’années, j’ai décidé d’être animateur dans un camp de vacances.

On m’a confié le groupe des dix huit ans, ce qui avait pour but de permettre une bonne intégration et de ne pas avoir de barrière liée à l’écart d’âge.

À l’époque, j’étais encore puceau et plutôt timide.

J’avais passé mon Bafa dans le but de m’ouvrir aux autres.

Le camp de vacances avais lieux dans le sud de la France au bord de la mer.

Les premiers jours, nous avons fait connaissance et commencé à organiser quelques activités.

J’avais en charge un groupe de huit garçons et deux filles, une bonne complicité s’était installée entre nous.

Le soir, je devais surveiller les bungalows pour éviter les escapades nocturnes.

J’avais une certaine tolérance, mais s’il fallait que tout le monde soit rentré pour deux heure du matin au plus tard.

L’une des filles, Aurelie, me draguait ouvertement dans le but de faire son intéressante auprès des autres, elle me proposait des rencontres tardives que je refusais bien évidement. 

J’aurai eu peur que nos rencontres dérivent et me porte préjudice. 

N’ayant jamais eu de relation sérieuse ni de relations sexuelles, j’étais plutôt gêné par cette situation.

Un mardi en fin d’après-midi, les garçons, voulant asseoir leur virilité, ont voulu organiser un concours de lutte, j’acceptais car cela m’excitait de voir les garçons se battres. 

Les combats se déroulerait en six manches, et le vainqueur aurait pour mission de m’affronter.

Cela ne me déplaisait pas, car en gagnant ce concours, je pourrais imposer mon autorité.

Tout se déroula bien,les filles encourageais les garçons lors de différentes manches et le vainqueur fut Nicolas.

Nicolas un mètre quatre-vingt,  brun aux yeux marron avec un corps athlétique et des attributs que l’ons ne pouvait ignorer car il portait des shorts de sport plutôt moulants.

Ce fut à mon tour de combattre contre Nicolas, étant donné l’écart d’âge, j’avais de grandes chances de gagner !

Le combat débuta normalement, j’avais rapidement immobilisé Nicolas au sol, ce qui me garantissait la victoire.

D’un coup, je vis quatre des garçons se lever et m’attraper les bras et les jambes, j’ai compris rapidement que la lutte n’était pas leur intention première. 

Les autres garçons ont commencé à m’enlever mes chaussures, mes chaussettes et les jeter à l’autre bout de la pièce sous les cris des filles qui en voulaient plus.

Mon t-shirt a suivi, les filles ont commencé à me chatouiller de partout, ce qui eut comme effet de me provoquer une légère, mais perceptible érection. 

« Regarde il bande, il a l’air à l’étroit dans son short ! » balança une des filles. 

Ni une ni deux, un des garçons déboutonna mon short et le tira vers le bas sans que je ne puisse rien faire. 

Je me retrouvai maintenant en boxer devant 8 garçons et deux filles dont j’avais la responsabilité et me sentais humilié d’être  ainsi exposé devant eux immobilisé et à leur merci. 

Voulant stopper cette situation humiliante, je leur ai dit « c’est bon vous m’avez bien eu ! On va retourner à nos activités habituelles ! »

Clemence la seconde fille du groupe dit:

« On va pas s’arrêter en si bon chemin, moi j’en veux plus ! »

Tous les autres se mirent à l’applaudir !

C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que la suite du séjour serait compliquée. 

Clemence attrapa l’élastique de mon boxer et le tira vers le bas, laissant apparaître mon sexe en érection. 

Nico dit:  « oh la petite bite, il n’est vraiment pas gâté par la nature,c’est pour ça qu’il repoussait les avances d’Aurélie. »

Il avait peur qu’elle se rende compte qu’il a un petit zizi. 

Les garçons me touchais la verge du bout des doigts, jouant avec mon prépuce et soupesant mes testicules en disant qu’elle avais l’air bien pleine. 

Nicolas me décalotta faisant apparaître mon gland tout rose et me caressa la couronne pour me faire bander. 

Clémence dit: « mais tu crois qu’il peut éjaculer avec une si petite bite ? »

Aurelie dit: «il y a qu’un moyen de le savoir !

On va le branler. »

Nico dit « j’avais la même bite quand j’avais 6 ans. »

Aurélie commença ses va-et-vient sur ma bite en prenant soin de bien décalotter mon gland pour le montrer à tout le monde. 

Un des garçons immortalisait le moment avec des photos et vidéos. 

La pression et l’humiliation étaient trop intenses et je lâchais en moins d’une minute trois  grands jets de sperme accompagnés d’un grand râle. 

« Il est précoce en plus »s’exclama un des garçons. 

Je me retrouvais nu couvert de mon propre sperme avec ma bite toute recroquevillée. 

Je voyais clairement que cela avais exité les garçons qui avaient une bosse bien dessiné au niveau de leurs parties intimes. 

Clémence dit: « regardez elle est encore plus petite que tout à l’heure. »

Les garçons me lâchèrent en m’abandonnant dans cet état tout en ricanant et se moquent de mon petit penis et de mon état d’humiliation ...

La suite du séjour s’annonçait très compliquée pour moi…