Mon beau-frère, un sacré baiseur

Récit érotique écrit par mazaudier le 01-02-2024
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Catégorie Infidélité

Au cours de nôtre voyage de noces, nous décidons, Paul et moi, de rentre visite à son frère Vincent, en Espagne. Ils nous disent que c’est plaisir de nous recevoir.

Devant l’entrée nous attendaient fièrement Vincent et Lucia. Le couple nous accueillit avec le plus grand sourire. Lucia est espagnole par son père, et française par sa mère. Elle avait un petit accent qui lui apportait un certain charme. Comme à mon habitude, je perdais toujours un peu mes moyens lorsque je voyais Vincent. Il portait une chemise hawaïenne entièrement déboutonnée, ce qui laissait apparaître son beau torse musclé et des abdos bien dessinés.

Il portait également une paire de lunettes de soleil, un short et des tongs. Vraiment, son style était à couper le souffle. Sa copine, Lucia, était également bien foutue. Si je n’étais pas une femme, j’aurais bien voulu me la faire. Comme hot-wife, elle portait mini-short, et soutien-gorge sans rien au-dessus. Elle mettait bien en avant sa belle poitrine, que Paul faisait mine de ne pas remarquer.

Nous avions beaucoup à nous raconter, depuis le temps que l’on ne s’était vus.


Vincent n’avait pas assisté à notre mariage, pour un problème professionnel. Du coup, notre dernière rencontre date d’il y a plus d’un an de cela.

Malheureusement, au cours de l’après-midi, Paul reçut un appel pro urgent qui l’obligea à rentrer en France sans attendre et ne revenir que trois jours plus tard. J’étais, donc seule avec Vincent et Lucia pour tout le week-end.

Vincent savait depuis longtemps que je craquais pour lui. En fait, il l’avait remarqué le jour même où nos yeux se sont croisés pour la première fois. Il avait le flair pour ce genre de chose. Je déballais mes affaires dans ma chambre, lorsque j’entendis quelqu’un frapper à la porte. « Entrez », dis-je.

Ce fut Vincent qui m’apporta une boisson glacée. Celle-ci était la bienvenue avec la chaleur qui tapait sur ce paradis espagnol. J’avais pris le temps de me mettre à mon aise avec mon petit short et un débardeur que je rapportais de Grèce. Toutefois, j’ignorais qu’il semblerait transparent sous la lumière du jour.

Vincent me regarda avec son sourire séducteur. Il fixa mes seins que ce bout de tissu qui les recouvrait ne cachait absolument pas. Je rougis, puis par honte, j’ai saisi le premier habit qui me tomba sous la main pour cacher ma poitrine.

- Pourquoi avoir honte ? », me demanda-t-il. ils figurent parmi les plus beaux et les plus sexy que j’aie rencontrés de toute ma vie. En plus, ils vont à merveille avec ton superbe corps. Si tu n’étais pas mariée à mon frère et si Lucia n’était pas en bas, Dieu seul sait ce qui se passerait dans cette chambre.

Je ne sais ce qui m’a pris, mais j’ai jeté le tissu que je tenais vers lui, et continué à ranger nos affaires, les seins quasiment à l’air, tout en bavardant avec lui. Durant toute la durée de notre discussion, il n’a cessé de fixer ma poitrine, tout en me lançant des compliments.

J’aimais beaucoup discuter avec Vincent. Son air joueur et bavard changeait beaucoup des discussions presque toujours sérieuses que j’avais avec Paul.

Parfois, je me demande même s’ils étaient vraiment frères.

Le lendemain matin, après une bonne nuit de sommeil, je suis descendue à la salle à manger. Un silence total régnait dans la maison. Puis, j’entendis la porte de la salle de bain s’ouvrir. Il s’agissait de Vincent qui venait de prendre son bain. Sur lui, une simple serviette. Je pouvais amplement admirer son corps d’athlète. Il avait un tatouage dans le dos qui lui donnait un air encore plus viril.

Mon dieu, comme j’avais envie de lui !

En me voyant, il faisait comme si tout était normal. Il esquissa un petit sourire aguicheur en guise de salutation. Puis il se rapprocha de moi, dirigea sa tête vers la mienne. Il agit alors que j’étais paralysée par l’excitation et l’attente de ce qu’il allait me faire. Une fois que sa bouche était suffisamment proche de mon oreille, il me murmura doucement.

- La douche est libre, madame.

En s’en allant, il me cravacha les fesses avec la serviette qu’il portait, puis parti se pavaner le cul nu dans la maison. Sur ces mots et ces actes, j’étais hypnotisée et je ne pus que m’exécuter et aller me doucher.

Pendant que j’étais sous la douche, Vincent frappa à la porte pour me dire que, puisque je l’avais vu tout nu, il devait en faire de même pour qu’on soit quittes. Le coquin était joueur à ce point.

- Ce n’est pas fermé. De toute façon, tu ne verras rien », lui dis-je tout en rigolant et en me vautrant dans un coin de la douche pour cacher du mieux que je pouvais mes attributs.

Il entra dans la pièce, toujours avec sa serviette comme seul habit. Puis il s’approcha de moi, retira le tissu et s’invita sous la douche. Ensuite, il se pencha pour me dire que Paul était loin et que Lucia était partie pour toute la matinée.

Par conséquent, nous étions libres et la maison nous appartenait.

Sur ces mots, je me suis complètement lâchée, comme si se libérait une bête enchaînée en moi. Nous nous sommes alors embrassés, nous caressant mutuellement la langue de l’un avec celle de l’autre, pendant que l’eau ruisselait sur notre corps.

Pendant ce temps, sa main se baladait sur mon corps, jusqu’à mon entre-jambe. Il me caressa tendrement, ce que j’appréciais particulièrement. Puis il enfonça un doigt, puis deux dans la chatte. Tout en poussant des soupirs de plaisir, je tentais d’écarter au mieux mes cuisses afin que ses doigts puissent me pénétrer le plus profondément possible.

Je me suis ensuite accroupie, j’ai saisi son sexe qui était aussi dur que du bois. Visuellement, il avait un engin qui dépassait de loin la moyenne. Ma chatte salivait déjà à l’idée de se faire défoncer par cette grosse queue.

Je l’ai mis dans ma bouche afin de la lécher et de la sucer. Je voulais lui montrer que je savais très bien me débrouiller de ce côté, et ses légers gémissements semblaient affirmer que ma fellation portait ses fruits.

Puis, il m’invita à me lever, à me retourner, puis à m’appuyer contre la paroi en verre de la douche et à écarter suffisamment mes cuisses. Cela afin que son gros calibre puisse pénétrer qui ne pouvait plus attendre.

Je pouvais sentir chaque mouvement qu’il faisait, me procurant un intense plaisir mélangé à une légère douleur. Mais j’aimais trop cette sensation. De sa position, il pouvait me caresser la chatte, le clitoris tout en me pénétrant sauvagement. Je ne pouvais plus retenir mes cris, tellement je prenais du plaisir. Par moment, son autre main se balada sur mes seins, jouant avec mes bourgeons en les pinçant légèrement afin d’accentuer davantage mon bonheur.

Puis, il se retira, me retourna, et me souleva complètement. Mes jambes sont passées autour de sa taille, laissant ma chatte complètement à la merci de sa queue. D’un mouvement de main, il l’y enfonça, me tenant par les fesses. Ses puissantes mains me soulevèrent, puis me firent redescendre lentement sur sa bite. J’étais au bord de l’évanouissement à chaque mouvement.

Nous ne pouvions plus continuer à baiser sous la douche, la pièce devenait trop étroite pour nos fantasmes. Il me souleva, tel un gentleman jusque dans le salon, puis me jeta sur le canapé. Là, nous reprîmes de plus belle nos ébats sexuels.

Je me suis mise à quatre pattes sur le canapé, bien courbée, et je l’ai invité à me prendre en levrette, à me défoncer le petit trou, même si la taille de son engin me faisait un peu peur.

Il s’exécuta en y glissant, tout d’abord un doigt, puis un second tout en caressant ma chatte avec son autre, mais quand ce fut au tour de son membre de me pénétrer par-derrière, je lâchais un léger cri, puis ce fut l’extase totale.

Après quelques minutes, et deux ou trois positions plus tard, il me remit sur le dos et déversa sa semence, tout en poussant des gémissements de mâle en pleine reproduction.

Après cette partie de baise, nous avions pris un bain une nouvelle fois, toujours en nous taquinant sous la douche. Nous nous sommes promis que cette histoire devait rester entre nous.

Le lendemain matin, Paul revint de son voyage éclair en France. Nous étions restés deux jours de plus chez Vincent et Lucia avant de continuer notre voyage à travers l’Europe.

Bizarrement, je pensais qu’après une partie de sexe avec Vincent, ma folle envie de lui allait se dissiper. Toutefois, ce ne fut pas le cas. Je le désirais encore plus qu’auparavant. Il avait créé une dépendance en moi que lui seul pouvait combler.

Lui et moi avions décidé de garder secrètement contact.

Ainsi, lorsque nous avions besoin de sexe en dehors de nos couples respectifs, il allait faire un rapide voyage de l’Espagne à la France pour venir nous rendre une visite de « courtoisie ».

Parfois, Paul ne savait même pas qu’il était de passage, puisqu’il passait le matin après que son frère fut parti travailler, et était déjà retourné en Espagne avant que ce dernier ne fût de retour. Jusqu’à quand ce petit jeu d’adultère va durer ?

Je l’ignore...





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