Dimanche, un groupe de copains organise une journée festive sur une plage privé. Essentiellement des étudiants, mais aussi de nombreux jeunes célibataires, doivent y participer. Carole, trente ans, mariée depuis trois mois, aimerait bien y aller. Faut-il encore que Dorian, son mari, souvent absent pour raisons professionnelles, soit d’accord.
-Mais vas-y, ma chérie, insiste Dorian. Mon frère Arnaud y va, tu ne seras pas seule. Il est responsable du camp. Et puis, tu as tes diplômes d’infirmière, on sait jamais.
-Allez, poursuit Arnaud, ça va être cool. Il y aura les copains, tu en connais pas mal.
-D’accord, accepte Carole, mais je veux que tu restes avec moi Arnaud.
Le beau-frère s’engage à s’occuper de Carole.
Il la prend vers dix heures du matin. Carole donne un baiser à son mari, et les voila partis. En arrivant à la plage, Carole n’en croit pas ses yeux.
Une centaine de personnes foule le sable, joue au ballon, chahute dans l’eau.
Des tentes en plastics opaques pour se protéger du soleil, des planches posées sur des tréteaux, en guise de buvette, tout est prévu. Une organisation incroyable.
Carole fait de nouvelles rencontres. Notamment des jeunes étudiants, des jeunes célibataires. Tous flashes sur l’insolente beauté de Carole.
Réticente à l’alcool, petit à petit, Carole s’émancipe, et se laisse facilement draguer par de jeunes loups affamés de sexe. Plus la journée avance, plus elle devient vulnérable. Beaucoup de jeunes l’ont remarqués et l’invite à danser sur une piste de danse improvisée. Certains la tienne par la taille, tentent de l’embrasser, d’autres essaient de glisser leur main par l’élastique du maillot.
Arnaud est obligé d’intervenir, lui conseille d’aller sous une tente, se reposer.
- Je vais d’abord prendre un nain, dit-elle, ça me réveillera. Elle est aussitôt rejointe par de jeunes étudiants, qui jouent avec elle. Ils l’éclaboussent, je jettent à l’eau, tentent de voler une caresse, mais elle est mariée, et fidèle. Ce qui n’empêche pas de participer au jeux. Un,plus vicieux, parvient à lui mettre un doigt dans la chatte. Elle le retire au moins deux minutes après, alors qu’un deuxième doigt avait rejoint la premier. A voir le sourire du garçon, on se demande si elle n’a pas joui.
Après cet intermède marin, elle décide de rejoindre la tente, afin de s’y reposer. A contre jour, on ne voit pas grand-chose dans la tente, mais une fois les yeux habitués, on distingue mieux les reliefs. Et elle en distingue un en particulier. Celui d’un bite qui déforme le maillot d’un jeune étudiant, installé là, cous cette tente.
Elle exquise un mouvement de recul, puis curieuse, se retourne sur ce membre. Elle comprend qu’elle a à faire à un phénomène, qu’elle imagine celui de son mari dressé à côté de celui là. La différence doit être énorme. Elle se met à genoux, avance une main tremblante vers l’objet qui attise sa curiosité. Elle prend le bite en main par dessus le tissu. Là, elle en mesure toute la longueur, l’épaisseur, mais aussi, toute la dureté. Surpris, le jeune garçon veut se retirer, mais elle l’en empêche.
- Chut, souffle-t-elle, en tirant sur la fermeture éclair de le tente, détends-toi.
Elle baisse le maillot, et se trouve en extase devant ce qu’elle découvre.
Une queue d’une taille colossale. Elle pense à son mari, et se dit que sa promesse de fidélité allait tomber un instant, si toute fois on a droit à un joker. Je jeune lycéen se laisse faire quand Carole se baisse, et prend sa bite en bouche. Elle entame une lente fellation, faisant durcir d’avantage le calibre, qui par écho faisait mouiller sa chatte. Elle se releva, et ni une, ni deux, écarta son maillot, et s’empala sur ce monstre de chair. Le jeune garçon du mettre sa main devant sa bouche, pour atténuer son cri. Le jeune étudiant restait impassible, laissant Carole faire tout le travail. Il fut rapide, tout comme l’orgasme qu’elle atteint dans de long spasmes. Elle en atteindra trois autres tout en restant encrée sur la bite du jeune homme. Elle sentait que lui aussi allait venir, elle ne prenait pas la pilule. Elle se retira, reprit la queue en bouche, juste au moment ou il éjaculait. Des jets puissant de sperme déferlèrent dans sa bouche. En se retirant, le gland se nettoya sur les lèvres, laissant sur la langue, les traces de son plaisir.. Elle se leva, zippa la tente et rejoint la mer, afin de se nettoyer. C’est là qu’elle rencontre Arnaud, son beau-frère, qui remarque des traces fraîches de sperme sur sa langue.
- Qu’est-ce que tu as fais...ne me dis pas que...tu as fait ça à mon frère.
- Désolé, dit-elle...je ne sais pas ce qu’il ma pris...s’il te plaît, ne dis rien…
- On en discutera en rentrant…
Sur le trajet, Carole explique à son beau frère, ce qu’il s’est réellement passé. Arnaud a le visage crispé. Il demande à sa belle sœur si elle a pris du plaisir.
La réponse fuse.
-Si tu savais l’étalon que c’est, comme il est monté, une vraie bête. Je ne sais pas
combien de fois il m’a fait jouir..trois, quatre fois peut être...un vrai performeur.
-Et tu comptes le dire à mon frère, demande Eric.
-Surtout pas, dit Carole, je ne veux pas le blesser. Je peux compter sur ta discrétion ? S’il te plaît, je ne veux pas perdre mon mari.
-Fallait y pensé avant, dit Arnaud d’un ton sec…c’est mon frère.
Carole comprend qu’elle est dans une impasse. Elle décide de jouer le tout pour le tout. Elle tend une main, et caresse la cuisse de son beau frère. Celui-ci la repousse énergiquement, mais ne résiste pas à la deuxième tentative, beaucoup plus coquine. En effet, Carole sort la queue du short d’Arnaud. Lentement, elle se penche, et la prend en bouche. Par sécurité, Arnaud se gare sur le bas côté. Calmement, il pose sa main sur la nuque de sa belle sœur.
- Hum, elle est belle ta queue, tu aurais pu en laisser un peu à ton frère…
- Oh putain, souffle Arnaud, qu’est-ce que tu ne ferais pas pour te faire pardonner.
- Une petite gâterie. Tu aimes ça, hein ? En tout cas, moi j’adore…elle est bonne ta queue…vas-y, régales toi, vide tes couilles dans la bouche de ta belle sœur.
-Ah…salope…je crache, oh putain, vas-y…avale…dis moi…tu le fais ça mon frère ?
- Jamais, c’est la deuxième fois cet après-midi.
- Salope...et il rentre quand mon frère ?
- Pas avant demain soir, répond Carole, pourquoi tu me demandes ça ?
-Tu pourrais passer la nuit chez moi, qu’est-ce que tu en pense.
-Dis, petit salaud, tu veux baiser la femme de ton frère, c’est ça ? OK, mais je ne te garantie pas d’être au top. Après ce que je me suis fait mettre cet après midi. A part te tailler des pipes comme tout à l’heure. Par contre, toi, tu pourras faire ce que tu voudras de moi, je t’obéirais aux doigts et à l’œil…et à ta queue aussi. Je te dois bien ça.
Le lendemain, Eric et Carole prennent le petit déjeuner sur la terrasse. Ils sont entièrement nus. Ils évoquent leur nuit torride. Carole vante les prouesses de son beau frère au lit.
-Tu n’étais pas mal toi aussi, dit Arnaud, toi qui te disais fatiguée. Quelle nuit.
– Ce jeune élève était un bon professeur, et moi j’apprends vite. Il avait raison quand il disait qu’il y avait une cochonne qui sommeillait en moi.. J’espère que ton frère profitera de ses leçons.
-Et moi, dit Arnaud. Si j’ai bien compris, tu te sers de moi pour mentir, et te sauver.
Carole fait le tour de la table, embrasse son beau frère dans le cou. Elle glisse une main entre ses cuisses, lui saisit la queue qu’elle branle lentement.
-Mais non mon chéri…tu sais, Dorian s’absente souvent, et j’aime pas dormir seule.
- Coquine que tu es...comment te résister.
- Tiens, justement, j’ai une petite envie là, tu veux qu’on remette ça?
- Tu vas être en forme après cette nuit.
- Tu sais quoi…je vais te détruire. Je vais tellement te vider les couilles, que tu vas me supplier d’arrêter.
Les deux tourtereaux regagnent le lit. Ils en sortent quatre heures après, lessivés, épuisés.Arnaud ramène Carole avec regrets. Ils promettent de se revoir au plus vite.
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