Première tromperie

Je m’appelle Lilou, belle femme de vingt cinq ans. Je suis la secrétaire de mon mari, mais, tous les matins, avant de le rejoindre, je m’arrête au bureau de son frère, pour lui faire sa fellation matinale. Avec l’accord de mon mari, évidemment.

Il m’arrive d’arriver à mon poste, avec du sperme sur les lèvres, la chatte humide, excitée que je suis par la grosse queue de mon beau frère que je viens de sucer.

J’ai rencontré Marc, mon mari, lors d’un entretien d’embauche, qu’il m’avais fait passer lui même. De suite, ce fut le coup de foudre, au point de laisser le copain que j’avais à l’époque.

Je me souviens de mon mariage, une journée magnifique. Je me souviens aussi de l‘insolente beauté de Fred, le frère de mon mari. Un séducteur hors pair, au point que mon mari vit ma fascination pour lui, et me proposa de l’inviter pour nôtre nuit de noces...en riant, bien sûr. Le pire, c’est que j’aurai accepté.

Après un mois de mariage, mon mari me demande de venir prendre des notes dans son bureau. Dès que j’arrive, je lui donne un sulfureux baiser.

- Tiens ma chérie, un cadeau pour toi,dit-il en me tendant un paquet.

- A bon, et pour quelle occasion ?

- Ouvre...je voudrais que tu l’essaies.

J’ouvre, et découvre une nuisette transparente en soie fine. Je me dirige vers la porte pour aller fermer à clé, quand il me dit que ce n’était pas la peine, qu’il avait donné ordre de ne pas le déranger. J’ôtais mes vêtements, et enfilais le nuisette. J’étais entièrement nue dessous, et le frottement de la soie me donnait des frissons. Je m’approchais de Marc, l’embrasse pour le remercier. Il fait pivoter son fauteuil, sort son sexe, et me demande de le chevaucher.

Je suis réticente, la peur que quelqu’un arrive. Mais je ne peux résister à la vision de cette queue en érection, que je décalotte avec ma bouche. Puis j’écarte mes jambes pour éviter ses genoux, et m’empale sur son membre. Je pousse un léger feulement, quand je sens des mains soulever ma nuisette, et caresser mes seins.

J’ai un vif sursaut, mais mon mari me tient fermement par les hanches.

- Chut...laisses-toi aller ma chérie...c’est ton anniversaire aujourd’hui.

- Je sais mon amour...mais ces mains…

- C’est mon frère. Lui aussi tenait à te faire un cadeau.

Je sens des bras fermes me retirer de la queue de Marc, et me faire pivoter. Fred est totalement nu, le sexe en érection...et quel sexe. Je lance un regard à mon mari pour lui montrer ma satisfaction, car son frère est nettement mieux monté que lui. Fred me rend l’admiration que j’ai pour sa queue, en vantant ma beauté, et parcourant mon sublime corps des yeux. Il tire une chaise, s’y assoit dessus. Il me prend par les hanches, et m’oblige à m’empaler sue sa queue, comme je l’étais auparavant sur mon mari, sauf que les atouts ne sont pas le même.

Mon mari est surpris de la vitesse à laquelle j’atteins l’orgasme. Il est encore plus, quand son frère en déclenche deux autres, coup sur coup, ce que lui n’est pas parvenu à faire pendant nôtre nuit de noces.

Les bureaux sont vides, et mon mari a encore du travail. Il demande de rentrer sans lui à la maison. Demi-heure plus tard, je faisais couler un bain.

Ce jour là, alors que mon mari était toujours au bureau, je décidais de sortir prendre un verre avec Fred, avec qui j’avais rendez-vous dans un bar. Depuis quelques semaines, je fantasmais sur lui, on allait enfin se trouver seul.

Après en avoir discuter avec mon mari, avec qui je partage tout, il m’avait dit que je pouvais me lancer quand je le voudrais.

Mais avant, j’avais rendez-vous avec un client. Marc avait insisté pour que je le séduise, car c’était un client important, qu’il ne fallait pas décevoir, quitte à m’offrir à lui..

J’enfilais un jolie robe sans rien dessous, avec une paire de bas et des talons hauts. Je partis me faire un café et plus stressée que jamais j’attendais que l’on sonne à la porte. Je n’attendis pas longtemps et la sonnette me sortit de mes pensées.

Je ne pouvais plus reculer, Karl, le client, était derrière la porte, alors je partis lui ouvrir. Il me sourit en me voyant aussi bien habillée et m’offrit un bouquet de fleurs. Je le fis entrer et je m approchais pour lui faire lui serrer la main, quand il saisit de mon visage à pleine main et je sentis sa langue entrer dans ma bouche. Si je n’osais pas me lancer, il avait pris les devants, et face à ce baiser fougueux, je me sentis fondre dans ses bras. Il lâcha mon visage et ses mains allèrent vérifier mes seins qui avait durcis en une seconde .

Je le laissais faire car je me sentais bien et une chaleur se diffusait dans mon ventre, m’annonçant des moments de plaisir certains. Il me plaqua contre le mur et tripotait mes seins, faisant rouler les bouts entre ses doigts.

Après un petit moment de pause, je lui proposais un verre et avons discuté. Il me dit en me regardant dans les yeux.

« Alors comme ça tu n’as jamais tromper ton mari ? Je vais donc être le premier»

Je lui répondis timidement que oui, cachant mon aventure de cet après-midi, et que je ne savais pas si j’oserais.

Il se produisit alors un évènement auquel je n’aurais pas penser. Mon mari me dit qu’il était disponible pour parler en Cam du bureau, mais que c’était tout de suite.

Karl, fort de sa position me dit de lui répondre, mais à condition de le faire assise sur ses genoux. Je rougis et sentis ma chatte devenir humide.

Je finis donc de m’installer face à l’ordi, assise sur les genoux de Karl, jambes légèrement écartées, comme il me l’avait demandé, et commençais à discuter avec mon mari qui ne voyait pas Karl. Celui-ci entrepris alors de caresser ma chatte avec ses doigts, la pénétrant, et cela devant mon mari. Je finis par laisser échapper un petit cri de plaisir, tout en me tordant sur les doigts qui fouillaient mon intimité.

Mon mari me demanda ce que j’avais et que j’étais bizarre. Je finis par lui montrer que son client, Karl, était présent. Karl dit à mon mari qu’à force de caresser ma chatte, elle était toute mouillée, et qu’il avait été obligé de la branler, tout en doigtant mon bouton.

Mon mari me dit alors une chose irréelle pour moi à cet instant là,

« Tu ne t’occupes pas de lui, tu pourrais quand même lui rendre la politesse. »

Comme un robot je me levais alors, me penchais sur la braguette de Karl, que je me mis à caresser, et là un son de l’ordi me rappela. Mon mari qui me dit clairement.

« Sors là et prends la dans ta bouche au lieu de faire semblant de pas aimer ça »

Je défis le pantalon et au moment ou je tirais sur le boxer l’énorme queue de Karl jaillit devant moi bien dure et raide. Karl avec un petit sourire, me dit qu’il fallait obéir à son mari et il approcha son calibre ma bouche. En deux secondes je l’avais englouti et le suçais. Karl dit à mon mari que j’avais une bouche de tailleuse de pipe, et qu’il allait me baiser comme je le méritait . A force de parler ainsi, je sentis qu’il allait jouir, et voulus m’enlever et Karl lança à mon mari.

« Elle avale ? »

« Avec moi non, mais vous pouvez toujours essayer. »

Karl s’enfonça bien au fond de ma gorge et je sentis sa semence chaude envahir ma bouche. Je dus avaler en plusieurs fois tellement il se vidait les couilles.

Mon mari lui dit qu’il espérait qu’il me trouverait à la hauteur, ce à quoi Karl répondit en me regardant en disant une chose simple.

« Montres moi le chemin de ta chambre »

« Je fais quoi chéri ? Tu restes en ligne, tu veux voir ta petite femme se faire baiser ? »

« Profites-en ma chérie, pour une fois que tu vas avoir une grosse queue dans ta chatte ? Ça te changera de mon petit fifre.»

« Tu le regretteras pas mon amour, tu vas voir comme ta chérie va se faire sodomiser pour la première fois, et ce ne sera pas par toi...t’es pas jaloux mon amour ?»