Trahison en famille.

Récit érotique écrit par mazaudier le 25-05-2024
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Catégorie Infidélité

Je suis sur la moquette, empalée sur l’énorme bite d’un inconnu. Je le chevauche avec ardeur, envoyant de violents coups de hanches. Je gémis de plus en plus .

- Alors Coralie...tu te régales hein ?

- Oh oui...quel salaud…

Mais je ne suis pas au bout de mes surprises. Un autre joueur présente sa bite devant ma bouche, pour se faire sucer. Il tient ma tête fort contre ses couilles, afin que je puisse tout avaler. Vint le final. Celui qui m’enfile, me tire sur son torse, ce qui permet à un troisième larron de pouvoir me sodomiser. Cette pénétration m’arrache un cri de douleur, c’est une première pour moi.

Et mon mari qui a quitté la villa, après s’être pris la tête avec son frère.

En effet, Sylvain, mon mari, reproche beaucoup de choses à son frère Renaud. A tel point, qu’il n’est pas venu au mariage.

Après un mariage somptueux, une nuit de noces torride, et une lune de miel inoubliable, quinze jours se sont écoulés. Tout juste rentré de ce fabuleux voyage, voila que mon mari doit s’absenter dix jours pour représenter sa société au salon de Berlin.

Aussi, pour que je sois moins seule, et surtout en sécurité, il demande à ses parents Charles et Marie, le soixantaine, s’ils peuvent m’héberger.

Chez eux, je pourrais me reposer du voyage, promener dans les bois, et profiter de la piscine. Bien sûr, mes beaux-parents acceptent...pensez, accueillir leur belle fille.

D’autant que je suis loin d’être vilaine. Un corps sublime, des seins parfait, bien fermes, un galbe de hanches fait au moule, et des jambes interminables.

Il n’est pas rare que le frère de mon mari, vingt deux ans, ne vienne passer le week-end, avec des potes, la vaste demeure pouvant héberger tout le monde.

Ce qui m’inquiète le plus, c’est que ces week-end là, il organise des fêtes, des soirées poker, et j’ai peur que, prise par l’alcool, je ne sois vulnérable, au point de succomber aux charmes d’un coquin. Ces soirs là, je demande à beau-papa, de rester avec moi.

Mais je ne peux échapper aux invitations à danser. Renaud, bien évidemment, mais aussi ses potes...et beau-papa.

Il est bien évident que, célibataire, je me serai engager d’avantage. Mais là, je suis tenue par les liens du mariage. Finit les escapades entre copines.

Combien de fois mon mari m’a-t-il sortie de situations périlleuses, dont la dernière ou il m’a surpris en train de tailler une pipe à un jeune maghrébin, dans les toilettes d’un restaurant. J’avais encore du sperme sur les lèvres quand je suis revenu à table...et cela s’est passé quinze jours avant le mariage. Ce que Sylvain n’a jamais su, c’est que ce jeune beur et ses potes, m’avaient baisée toute la nuit, le soir ou j’avais enterrer sa vie de jeune fille…Mais depuis que je suis mariée, j’ai acheté une ligne de conduite.

Voilà qu’un soir, Renaud invite ses potes. Vers vingt trois heures, Renaud et ses copains, décident de piquer une tête dans la piscine. Avec beau-papa, nous les regardons jouer. Des envies par trop saine envahissent mon esprit.

Soudain, une lueur envahit la terrasse. C’est Jessica, la copine à Renaud qui vient d’entrer dans la chambre. En fait, elle vient m’inviter à participer à leur jeux.

Dans un premier temps, je refuse, jugeant que ce n’était pas place, puis encouragé par beau-papa qui me dit qu’il ne fallait voir le mal partout, j’acceptais.

Jessica m’emmena dans sa chambre pour choisir un maillot. Une fois nu, je vis un sourire coquin éclairer son visage. Les maillots qu’elle me propose sont un peu juste, et ont pour effet de mettre mes courbes e valeur.

C’est Renaud qui me prit la main pour m’aider à descendre à l’échelle. Je glisse sur la dernière marche, et atterrit dans ses bras. Volontairement ou pas, une main empaume un des mes seins, s’y attarde. Nos regard se croisent, nos visage se rapprochent, puis, me ravisant l’écarte d’une main. A part quelques petits écarts, ses potes furent correct. Puis ils se retirèrent. Du coup, on se retrouva Renaud, Jessica et moi.

J’étais accoudée sur les margelles, quand je sentis des mains envelopper mes hanches. Cette prise devint vite caresses, douces certes, mais coquine. Une main se permit de sortir un sein du trop juste maillot. Je me dégageais quand je sentis Renaud s’approcher de moi.

Je dormis mal cette nuit là, fantasmant sur des scènes érotiques, et même si je n’étais pas lesbienne, je prenais du plaisir à sentir les mains de Jessica parcourir mon corps, ôter mon maillot pour me retrouver entièrement nue, offerte aux mains perverses du couple. Deux heures du matin, j’entendis la clapotis de l’eau. J’avais envie de les rejoindre, allait plus loin cette fois, mais je pensais à mon mari et retournais au lit.

Le lendemain, nous nous retrouvions au petit déjeuner. Je fus surprise de voir Jessica vêtu d’une nuisette transparente. Renaud arriva le dernier. Il portait un boxer. Je détournais les yeux en voyant la barre en travers du simple vêtement.

Le petit déjeuner pris, je regagne ma chambre, ferme à clé, et nue, me jette sur le lit. Mon excitation est à son comble, je me tord sur le lit, parcours mon corps, caresse mes seins, ma chatte, doigte mon clitoris, atteins l’orgasme. Mais c’est mon mari que je veux, sa queue en moi, je ferais tout avec lui, même ce que je lui ai toujours refusé.

On frappe à la porte, casse l’instant suprême de la jouissance. J’enfile un peignoir, vais ouvrir. C’est beau-papa. Il me dévisage, lit mon malaise. Il s’assied près de moi sur le lit, me demande si ça va. J’appuie ma tête contre son épaule...mon peignoir s’ouvre, offrant mon corps nu à la vue du père de mon mari. Il pose sa main sur une cuisse, puis tout se s’accélère, une heure de pire folie ou je m’offre sans retenue, atteignant trois orgasmes d’une puissante intensité. Il quitte la chambre. « Mon dieu...qu’avons-nous fait ? »

Le lendemain, je croise son regard. Gênés, nous nous adressons un simple bonjour.

Le soir, Renaud organise une soirée avec ses potes. Piscine, danses, alcool.

Ne voulant éveiller aucun soupçon de ma sulfureuse nuit avec beau-papa, je décide de jouer le jeu, et participer à la fête.

Je suis vêtue d’une robe de cuir rouge, fermée sur le devant par un longue fermeture éclair. Je n’ai pas daigné mettre de sous-vêtement.

Voilà que Renaud organise une soirée poker, mais pour pimenter la partie, instaure de nouvelles règles. Le gain des parties est une femme tirer au sort parmi celles qui sont présentes, et qui bien sûr accepte cette nouvelle formule.

Sans avoir bien compris les règles, et l’alcool aidant, j’accepte le deal, les autres femmes aussi. On passe de suite au tirage au sort. L’heureuse élue est… « Coralie ».

Renaud brasse les cartes, et distribue.

Je vais vivre la nuit la plus torride de ma vie de jeune mariée. Les joueurs sont vicieux, font durer le plaisir. Un coup le gagnant fait descendre la fermeture éclair de dix centimètres, un autre peut la faire remonter. Mais cette tactique est de courte durée, et finis entièrement nue sur les genoux d’un joueur, en train de me faire caresser.

La soirée se poursuit, passant d’un joueur à l’autre, atteignant l’orgasme à plusieurs reprises.

Puis sorti de se tour de table, le premier grand gagnant. Il me prit par la main, m’emmena à la chambre, me fit allonger sur le lit, se servit de moi, comme d’un jouet qu’il avait gagné. Je pris énormément de plaisir dans cette relation. L’homme savait tout.

A peine sortit de la chambre, qu’un le deuxième gagnant y entait. C’était Renaud, mon beau-frère. Ce fut sulfureux. Je sentais bien là, l’esprit de vengeance, et ne fis rien pour calmer ses ardeurs. Au contraire, je les ravivais quand je sentais une baisse de régime. Renaud a su me prendre, au point de lui offrir toutes les faveurs que j’ai toujours refuser à son frère, mon mari. Ma première sodomie, ma première pipe, mon premier goût de sperme...c’est lui. Nôtre relation dura tard dans la nuit.

Au petit matin, je me réveille, blottie dans les bras de Renaud. Tout est calme dans la villa. Je soulève le drap, et découvre, en érection, ce membre qui m’a fait vibré toute la nuit. Je le décalotte doucement, le prends e bouche.

- Tu prends ton biberon, ma chérie...ta une petite faim ?

- Tu ne dors pas ?

J’en profite pour l’enjamber, et m’empaler sur sa queue.

- Ma chatte aussi à faim…

Après un ultime orgasme, je me rends à la salle de bains. En jetant des cotons dans la poubelle, je remarque dans le fond, des petits papiers. Ce sont les papiers du tirage.

Sur tous, il y a marqué « Coralie » .





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25-05-2024 0 624

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