Une soirée poker qui dégénère.
Je m’appelle Virginie, et vais vous raconter un épisode bizarre de ma vie de jeune marié. En effet, Sylvain et moi rentrons de voyage de noces. A cette occasion, mes parents avaient organisé un barbecue, ou une vingtaine de personnes y étaient conviées. Des couples amis, mes beaux-parents, mais aussi des potes de mon mari.
Potes de mon mari, que je connaissais tous pour les avoirs côtoyés au lycée. Mes premières pipes, c’est eux qui les ont eues, ma première sodomie, c’est l’un d’eux aussi, je ne parle pas de ma chatte que chacun à baiser plusieurs fois. L’apothéose eut lieu le dernier soir, ou j’ai dû subir, deux ou trois doubles pénétrations. Bref...
Pendant que Francesca, ma belle-mère, et Sylvie, ma mère, s’occupaient des brochettes, Gino, mon beau-père et Luc mon père, s’occupaient de feu et de l’apéro. Et nous…
Nous étions tout simplement dans la piscine à jouer comme des gamins.
J’étais très sollicitée par le potes de mon mari, tout comme les autres filles.
Était-ce parce que j’étais jeune mariée, que j’étais la plus belle ? Toujours est-il que mon mari restait impassible aux mains qui tentaient de m’attraper, ces mêmes mains qui, cachées par les remous, devenaient plus vicieuses sous l’eau.
Quand Sylvain sortit de l’eau, je le suivais, même si Hervé, son meilleur pote, obstruais l’accès à l’échelle. Je dus lui donné un baiser sur les lèvres comme droit de passage. Je vis un sourire éclairer le visage de mon époux.
Sylvain avait une conception peu commune du couple. Il trouvais anormal qu’une belle femme comme moi, n’appartienne qu’à un seul homme, qu’un autre ne puisse profiter de mon sublime corps. Là, il faisait allusion à son fantasme de me voir baiser par un de ses potes devant lui, déjà bien avant le mariage....Hervé en l’occurrence. Ce qu’il ignore, c’est que je m’étais déjà taper un de ses potes. C’était chez lui, lors de ma présentation à sa famille. Les parents s’étaient couchés de bonne heure, tandis que nous vidions les bouteilles. L’alcool eut vite raison de nous, et allions nous coucher. A l’époque, je couchais déjà avec Sylvain, sans être mariés.
Vers quatre heures du matin, j’eus une petit soif, et à la lueur de la lampe du frigo, je vis son pote allongé sur le canapé, entièrement nu. Rêvait-il ? Toujours est-il que sa queue, colossale arborait une belle érection. Je ne pus résister, me penchais et la prenais en bouche. Il sorti de son sommeil, accompagnant de ses mains, ma douce fellation. Il passa ses mains sous ma nuisette, me prit par les hanches, me força à m’empaler sur sa bite. Même si ce fut de courte durée, je pris un énorme plaisir à me faire baiser par ce phallus de chair, qui me déclencha un puissant orgasme. Quant à lui, il préféra vider ses couilles dans ma bouche.
Un quart d’heure après, je me glissais sous les draps de Sylvain, mon futur mari.
Bien évidemment, Sylvain n’est pas au courant de cette relation.
Après un repas bien arrosé, chacun s’organisa, boules, promenade dans le parc, sieste, chaque pote essayant de lever celle qui par faveur finirait dans son lit.
L’apéro du soir eut raison des derniers invités encore valide. On se mit tous à la tache pour débarrasser, tandis que Sylvain installer une salle de poker.
Il est vingt heures, et ils ne reste plus qu’Hervé, Marc, et mon mari, Laure, Jade et moi-même.
Je m’attends au pire concernant les règles sordides de mon mari. Et celle là, l’est.
Il faut désigner le gain de la soirée, parmi les filles présentes ce soir. Celle-ci devra s’offrir au gagnant de la partie. C’est Laure qui s’occupe du tirage…Virginie...
C’est moi la malheureuse élue, sauf si c’est mon mari qui gagne, auquel cas j’aurai tout gagné après un voyage de noces tumultueux. La partie est lancée.
Après quelques tours, je m’aperçois que ce n’est pas le soir de Sylvain, tandis que les deux autres se maintiennent à flot. C’est Marc qui lève la première donne.
J’attends, suspendus à ses lèvres, sa décision. Je le connais à peine, je vais découvrir ses intentons. Il me demande de m’approcher, de se tenir debout à côté de lui. Je cherche le regard de mon mari. Il doit se dire qu’après quinze jours de mariages, un autre homme que lui va caresser sa femme, peut-être la baiser.
Il voit les mains de Marc glisser sous ma courte jupe, puis redescendre avec mon string., Puis remonter. Je sens un doigt effleurer ma fente, provoquant une drôle de sensation de sentir ce doigt, qui n’est pas celui de mon mari. Petit à petit, un second doigt s’immisce dans mon intimité, se mettent en action. Je mouille franchement, sent le désir monter en moi. Ces doigts font un travail remarquable. Mon mari est surpris de voir que, quand son pote s’arrête de me branler, c’est moi qui prends le relais en envoyant des coups de reins sur les doigt qui me fouillent. Je fais la maximum pour ne pas crier quand j’atteins l’orgasme, mai n’y arrive pas. Pour saper le moral de mon mari, les deux potes éclatent de rires de me voir jouir.
Mon mari demande d’arrêter la partie, ou d’en changer les règles. Tout le monde réagit, même moi plus timidement. « Le jeu c’est le jeu ».
Après une pause champagne, la partie reprend pour la dernière passe. J’espère que le jeu va tourner en faveur de mon mari, ou au pire, Hervé, car si Marc l’emporte une deuxième fois, il aura droit à un bonus de son choix. Et c’est lui qui remporte le pot.
Je croise le regard livide de Sylvain, j’ai l’impression qu’il connaît le choix de Marc. Nous sommes tous suspendus à ses lèvres. Mon mari lui lance un regard, style.
« Non Marc, ne fais pas ça ».
- Alors, ce bonus, ça vient ? demande Laure.
La sentence tombe. Marc exige qu’Hervé participe avec lui, de me prendre au lit tout les deux. Un lourd silence s’installe, tout le monde se regarde. Mon mari, KO debout tape sur la table, se met à crier.
« Hors de question que ma femme participe à ce jeu sordide »
« Mais c’est toi qui a pondu ce règlement, fait remarquer Jade ».
C’est moi l’enjeu, c’est à moi d’intervenir. Je regarde mon mari, saisit Marc et Hervé par la main, et les entraîne à la chambre. Le bonus comprenait aussi, que tout les participants devaient assister aux ébats. J’allais donc me faire baiser devant mon mari, et devant nos copines. J’imaginais sa tête quand il allait voir d’autre queue naviguer entre ma bouche, me chatte et mon petit trou. Il n’avait jamais connu ça.
Une fois dans la chambre, nous ôtons nos habits, nous retrouvons entièrement nus. Les invités ont un sifflement admiratif en découvrant mon sublime corps.
Je leur rends la pareille en voyant leurs atouts. Même mon mari, gêné, le remarque.
« S’il vous plaît, supplie mon mari...mettez lui un masque au moins ».
« Hors de question, réponds-je, j’aime bien voir les queue qui m’enfilent »
Si au début, les rapports sont dans la retenus, certainement du à la présence de nos amis, ils vont vite se libérer. Les amants sont exceptionnel, et me donne sans compter. Leurs énormes calibre me pénètrent de partout, ma chatte, ma bouche, mon petit trou jusque là interdit à mon mari. Les doubles pénétrations sont mortelles, je jouis en permanence., je n’ai aucun répit. Quand un fait une pause, il est aussitôt relayé par une fille qui me gouine avec ferveur jusqu’à l’orgasme.
Je n’est aucun remord pour mon mari qui voit d’autres queues plus grosse que la sienne pénétrer les trous qui lui appartienne. Je le vois serrer les poings quand, empalée sur une bite, je taille une pipe à l’autre, que j’avale sa semence. Tant de choses auxquelles il n’a pas droit. Le pire pour lui, c’est de m’entendre hurler de plaisir sous le joug de mes amants. Après tout, c’est lui qui l’a voulu.
Au sixième orgasme, Mon mari se retire, abasourdi d’avoir assisté aux torrides ébats de son épouse.
Au petit matin, il ne reste que Marc et moi au lit. J’ai toujours sa queue en bouche,
et ses doigts dans ma chatte. Quel amant. Nous refaisons l’amour à deux reprises, avant que le soleil ne vienne inonder la chambre, nous poussant dans le bras de Morphée. Après un léger sommeil, je fait un passage à la salle de bain, pour me passer un gant. Je remarque des petits bouts de papiers sur le haut de la poubelle. Ce sont les papiers du tirage. Sur tous, il y a le même prénom…Virginie.
Le tirage était donc truqué, et bien évidemment, mon mari n’était pas au courant.
Un sourire éclaira mon visage, et rejoignis les autres autour d’un bon petit déjeuner. Je ne fais aucune allusion à leur magouille.
Pour nous réveiller définitivement, nous piquons une tête dans la piscine. Au bout de dix minutes, mon mari voit mon maillot atterrir sur la pelouse. Il a compris, et décide de se retirer. Quant à Marc, Hervé et moi, nous nous retirons dans la chambre pour une journée de baise.
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