Mon mari Randy, et moi même Clara, sommes partis en vacances à Ibiza, lieu oh combien magique. Ses plages, son eau turquoise, ses hôtels somptueux. Le paradis.
Après avoir dîner, nous sortons nous détendre et danser. Ce soir là, en ouverture, il y avait un spectacle un peu érotique, ou les femmes, aussi belles les unes que les autres, et aussi nues, se trémoussaient contre les corps huilés de charmant jeunes hommes.
Je sentais la respiration haletante de ma voisine, certainement excitée par le spectacle.
Je dois avouer que le spectacle était assez chaud, surtout quand ces jeunes filles, à genoux, simulaient une fellation, que les garçons appuyaient de violents coup de reins vers leur bouche. La représentation se termina vers vingt trois heures.
C’est en rejoignant la discothèque, que nous avons fait connaissance du couple qui était près de nous lors du spectacle érotique. Les présentation se firent autour d’une bouteille de champagne. Lucie, une sculpturale métisse, était d’une beauté à couper le souffle. Nos maris étaient fiers de passer la soirée à trinquer avec leurs belles épouses, et prenaient plaisir à regarder nous déhancher sur le parquet ciré.
De nôtre côté, nous aimions danser, et étions constamment sur la piste de danse, car il n’y avait pas pénurie de partenaires ce soir là. Beaucoup d’hommes sont revenus nous inviter sur un slow, et nous étions tout simplement heureuses de nous lâcher. Lucie
avait pas mal consommé, et ça commençait à se faire sentir.
De mon côté, c’était guère mieux, et décidais de danser, pour évacuer une partie de l’alcool. La piste était toujours aussi encombrée, ce qui permis à quelques coquins de faire sentir leur présence. Et Lucie n’était certainement pas d’humeur à rejeter toute affection cette nuit. Elle trouvais en fait passionnant, d’agir de façon risquée, pour pimenter la soirée. Après chaque danse, nous retournions à nôtre table, trinquer avec nos maris, qui ne s’opposaient pas à ce qu’on danse avec d’autres hommes, étant eux même, de piètre danseur.
Entre deux verres, nos époux nous demandèrent si ça nous gênait qu’ils aillent faire une partie de poker. Bien sûr que non, sachant qu’ils en avaient pour la nuit.
Lucie et moi avions quartier libre. Ce n’est pas pour autant, faire n’importe quoi, rester vigilante à l’assaut de certains gars, assoiffés de sexe. Nous sommes mariées, et pour ma part, très fidèle.
Au cours d’une pause, Lucie et moi allons au bar nous désaltérer, lorsque arrive un groupe d’hommes, vingt cinq, trente ans, tous aussi séduisant les uns que les autres, dont un particulièrement, au regard foudroyant, se dégageait du cercle de potes, qui ne me laissait pas indifférente, mais pas au point de me laisser séduire.
Ils s’installent juste à côté de nous, discutent entre eux, parlent de femmes faciles, pour assouvir leur envie, le temps d’une nuit. A leur sourire généreux, je me doutais qu’ils étaient en chasse de femmes mariées, dont on peu facilement se débarrassé après les avoir baisées, en les abandonnant à leur mari cocu. Charmeurs, séducteurs, ils restent à l’affût de la moindre faiblesse d’une épouse, pour peu que celle-ci se sente attirée physiquement. Ce n’est pour l’instant mon cas, étant mariée, et heureuse en couple.
Il ne manque pourtant pas de belles filles libres qui attendent le cavalier de leur rêve. Mais la valeur de la proie est différente selon si la conquête est mariée, ou célibataire. Et pour peu que la femme mariée soit insatisfaite, la relation est plus intense qu’avec une novice.
Lucie danse à merveille dans les bras expérimentés d’un enjôleur, souple, appliqué à faire sentir sa présence et affirmer sa virilité en expansion. A cet instant, elle doit faire des envieuses. Lucie revient tout essoufflée mais contente de la saine fatigue. Elle ne tarit pas d’éloges sur son danseur, à tel point, que je la vis le suivre vers la sortie.
Pendant ce temps, celui sur qui j’avais flashé, s’approche de moi, me dit s’appeler Boris. Je pensais alors à mon mari qui fantasmait depuis des mois, à me voir baiser avec un autre homme. J’avais toujours repoussé cette idée de partage.
Mais là, j’étais franchement séduite par cet inconnu. Je ne refusais pas son invitation, quand il me demande de lui accorder une danse. Un slow en l’occurrence, la seule danse ou un mâle coquin peut serrer sa future conquête dans ses bras, et concrétiser une aventure d’un soir. D’entré, il fut cash, posant directement ses mains sur mes hanches, ne me laissant d’autre choix, que de poser les miennes sur ses épaules. Il me posait des tas de questions sur ma situation, mes passions, mes activités.
– Étés-vous mariée, célibataire, ou simplement en couple, me demande-t-il.
– Eh…quelle question. Et si j’étais mariée, ça poserait un problème ?
– Pas du tout, bien au contraire, j’aime pousser une femme mariée dans ses derniers retranchements, savoir jusqu’où elle peut résister avant de devenir infidèle.
Je fus sauver par la fin du slow, mais je dois avouer que son jeu de séduction, m’a énormément troublée.
Le DJ mis une série de danse latine, Boris m’entraîne sur la piste, me tenant toujours par la taille. Il commença à onduler, les bras écartés, faisant claquer ses doigts. J’étais dos à lui à me déhancher, la croupe cambrée à la hauteur de son sexe. Je sentais naître une bosse sur son pantalon. Puis il me prit par la taille, et poursuivons, serrés, nôtre danse endiablé. J’étais en transes, me retournais, me pendais à son cou, lui frôlais les lèvres. Lucie devait se demandait si je n’étais pas saoule…ben non, je ne l’étais pas.
Boris pensait tenir sa conquête mariée, devait croire qu’il m’avait conquise, séduite…
Et il pouvait le penser, car je me sentais de plus en plus attirée physiquement par lui, et que j’allais faire peut-être, une énorme bêtise.
Après une dernière danse, il me proposa de sortir. Je le suivis.
Il alluma une cigarette, m’en proposa une, que j’acceptais, alors que ça faisait six mois que j’avais arrêté. La pleine lune brillait dans le ciel. Allait-elle être le témoin de mon premier adultère? Toujours maintenue par la taille, il se plaça face à moi, déposa un tendre baiser sur mes lèvres humides. Je les entrouvre pour lui offrir ma langue.
Arrive la question qui tue, qui peut avoir de loure conséquence.
– Veux-tu qu’on rentre, ou veux-t qu’on aille dans ma voiture.
Je ne réponds pas, pense à mon mari qui n’a rien à se reprocher, que je vais peut-être tromper si j’accepte la proposition de Boris. Devant mon hésitation, et s’attendant à une réponse négative, Boris se tourne, et se dirige vers l’entrée de la discothèque. Dans un dernier élan, je lui saisis la manche.
– Ou es-tu garé ?
– Dans un endroit discret, viens…
La voiture est un énorme van, garée dans un coin isolé et obscur du parking, Tout était prévu pour y entraîner une femme mariée, et la baiser, en toute discrétion.
L’arrière du véhicule était immense, agencé en espace coquin. Le sol était recouvert d’un épais tapis blanc. On pouvait s’y allonger sans aucune difficulté. Ce qu’on fit.
Je remarquais au passage, l’incroyable grandeur du rétroviseur, et me dit qu’il devait servir à autres chose qu’a renvoyer l’image de la route.Tout en nous enlaçant, Boris commençait à m’effeuillait, jusqu’à me mettre entièrement nue. Je réalisais soudain, que j’allais tromper mon mari, et me sentait coupable. Il ne méritait pas ça.
Boris comprit mon désarroi, me dit qu’il était encore temps de tout arrêter. Je lui dis que non, que c’est ce que je voulais, voulais qu’il me baise.
On basculait sur l’épais tapis, je sentais sa queue fouetter contre mon ventre. Il ôta ses vêtements, et nous retrouvons entièrement nus, nos corps offerts à tous les plaisir de nos mains, avide de découvertes. Boris m’attire à lui, me prend les lèvres.
Je succombe à sa langue qui emprisonne la mienne. Prise dans la tourmente de ce sulfureux baiser, je m’enroule autour de lui, tandis qu’il me fait pivoter. Je fus surprise quand sa langue se mit à lécher ma chatte, ses lèvres aspirer mon clitoris.
Je tirais sur l’élastique de son boxer, pour lui signifier de le quitter. Apparu alors l’objet de tous mes désirs, que je découvrais énorme dans l’obscurité de la voiture. Je fixe ce pieu, ne peut m’empêcher d’éprouver une incontestable attirance vers lui. Mes sens, bouleversés, eurent vite raisons de mes états d’âme. Dans un faible gémissement, je décidais de m’abandonner. J’éprouvais même un certain plaisir à m’offrir ainsi. Tout à ses désirs, Boris me força à écarter mes jambes, à m’écarteler, impudique.
Jamais, en quinze ans de mariage, mon mari ne m’avait exposer ainsi.
Il contemplait mon entrecuisse, ou apparaissait une fente parfaitement épilée. Les deux lèvres intimes délimitées l’entrée de ma chatte, lieu des plus suaves plaisirs. Se laissant enfin tomber à genoux à même le plancher, il enfouit son visage entre mes cuisses, impudiquement offertes à ses désirs. Soudain, assoiffé de luxure, Boris plaqua sa bouche contre ma fente, qu’il entreprit de lécher. Avec délectation, il enfonça sa langue dans la cavité, léchant avec une gourmandise avide, les parois gorgées de suc.
Tout en lapant le sublime nectar qui suintait de ma chatte, il s’ingénia à frotter son nez sur mon clitoris, qui avait jaillit de son nid douillet. Sous ces caresses incroyablement
excitantes, et que je n’avait pas connu depuis fort longtemps, je me cambrais, agrippée aux tapis. Prise d’une frénésie sexuelle, j’agitais fortement mon bassin, lançant passionnément ma chatte en fusion, à l’encontre de cette langue agile, qui me fouillait intimement. Incapable de contenir plus longtemps mon plaisir, je laissais échapper un long et puissant orgasme.
Stimulé par mes plaintes que je laissais échapper, Boris remonta lentement, depuis la commissure de ma fente, jusqu’au haut des lèvres intimes, ou se nichait le luxueux petit bouton. Plusieurs fois, lors de son érotique léchage, sa langue vint fouetter mon clitoris érigé fièrement hors de son capuchon, m’arrachant un petit cri de plaisir. Boris s’appliqua à me procurer un maximum de jouissance. Profitant de l’écartèlement qu’il imposait à son impudique proie, il saisit mes fesses à deux mains, pour les écarter l’une de l’autre. Les séparant largement, il s’ouvrit le chemin de ma chatte, y engouffra son énorme queue. Je le fis mettre sur le dos, je le chevauchais, m’empalais sur sa queue raide et dure. Puis je me positionnait pour me faire prendre en levrette, ma position préféré, mais que je voulais tester avec une autre queue que celle de mon mari. Je guidais moi même la bite vers mes lèvres intimes. Délicatement, il avançait à coup feutrés dans ma chatte, jusqu’à s’y installer. Les étreintes vont crescendo.
La sensation de mes seins dressés qui s’agitent sous les coups de bites incessant de Boris, m’excite. Je sens ses mains habiles, parcourir mon corps en chaleur, épouser les plis de ma peau. Il se relève, présente sa bite au bord de mes lèvres. J’ai compris le message. J’ouvre la bouche, engloutit la queue, qui déjà éjecte sa semence au fond de ma gorge. Je le garde en bouche. Je voudrais que cette éjaculation ne s’arrête jamais, que j’en boive tout le contenu, jusqu’à ce que la source soit tarie.
Puis le bel inconnu me positionne à nouveau en levrette. Je sens son gland courir sur ma fente, ouvrir ma chatte, je m’aperçois vite que ce n’est pas son objectif, quand le gland taquine mon petit trou. Je le sens se dilater sous la pression.
Malgré une légère douleur, je laisse faire, n’oses lui dire que je ne me suis jamais faite sodomiser, que mon mari n’était pas demandeur de ce genre d’activité sexuelle.
Boris le compris, voulu se retirer, si je ne l’avais encouragé à poursuivre. L’imposant calibre me pénétra lentement, m’apportant un plaisir jusqu’ici inconnu. Les yeux rivés sur le tapis, je me laisse aller à cette virile pénétration, dont les torrides assauts m’arrachent les premiers gémissement de plaisirs.
Je relève la tête. Face à moi, l’immense rétro me renvoie l’image d’une femme mariée, heureuse de connaître autre chose avec un autre homme que son mari. Je sens Boris jubiler quand j’atteins un puissant orgasme. Et il est annonciateur d’une longue série.
Boris est un amant formidable, exceptionnel, débordant de créativité, loin des relations à la va vite de mon mari. Boris est un créateur. Je n’ai jamais été baisé comme ça, je n’ai jamais joui comme ça. J’en suis à mon deuxième orgasme, que déjà le troisième se profile. La queue de Boris fait son chemin, s’installe dans me chatte, tel un oiseau étranger faisant son nid dans le nid d’un autre.
Ce Boris là est un phénomène. Il fut un amant exceptionnel, au delà de toutes mes espérances. Je venais, en à peine trois heures, sortir de la routine infligée par mon mari au point de vouloir poursuivre, et retarder l’échéance, jusqu’au petit matin.
Hélas… Je suis mariée… J’ai des devoirs.
Nous avons regagné la discothèque, qui commençait à se vider. Juste quelques bribes de slows, que je dansais, serrée dans les bras de Boris. Tout ses potes étaient partis. Boris regrettait de finir la nuit, tout seul dans son van.
Je croisais son regard interrogateur, voire malheureux. Mais je ne pouvais faire ça à mon mari, finir la nuit dans les bras d’un autre, et il le compris très bien, et pu lire lui aussi, ma déception.
Je sentis soudain une main frôler mes hanches.
– On va y aller ma chérie, dit mon mari, saluant mon cavalier.
S’il savait ce qu’il m’a fait mon cavalier, comme il a baiser et sodomiser sa femme, sans parler de savoureuse fellation, qui propulsait sa semence au fond de ma gorge.
– Oui… Vas-y… Je te rejoins à la voiture chéri…
Au risque de me faire surprendre par mon mari, je donnais un sulfureux baiser à mon amant d’une nuit, le remerciant pour cette nuit torride…
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