En promenant dans les prés.

Récit érotique écrit par mazaudier le 10-07-2024
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Catégorie Infidélité

Bonjour, je me présente, Lucie, vingt deux ans, très belle femme d’après les potes de Sylvain, mon mari depuis aujourd’hui. Je vais vous raconter ma nuit de noces, entièrement loupée. Pourtant, j’avais réservé à mon mari, tout ce que jusqu’à ce jour, je lui avais refusé. Ma bouche et ma virginité anale. Sauf que le soir du mariage passé avec ses potes à boire des coups, l’ont rendu inapte à me baiser.

Le lendemain, nous prenons le petit déjeuner sur la terrasse, et lui dis ma déception. Je suis vêtue d’une courte jupe, et d’un t-shirt.

- Dit chéri, tu t’es pas foulé pour nôtre nuit de noces. Je m’attendais à mieux.

- Je sais mon amour, j’étais un peu éméché. Mais promis, ce soir je me rattraperais.

Pour se faire pardonner, il me demande de venir s’asseoir sur se genoux. Il glisse une main sous ma jupe. Il s’aperçoit que je n’ai pas de culotte.

- Oh là...mais ta petite chatte est toute mouillée...vivement ce soir.

En effet, mon mari doit accompagner son père, pour ramener se grand-parents. Après une ultime caresse non aboutie, on se donne un tendre baiser et je vais prendre une douche. J’en ressors, le corps enveloppé dans une serviette.

C’est à ce moment que je m’aperçois que ma valise d’habits de rechange est resté dans le coffre de la voiture. La tuile. Je me retrouve sans culotte, ni soutien-gorge.

- Oh mon dieu, il emporté mes vêtements qui étaient dans la valise de la mariée.

Je m’affole pas, et pense que, Céline, ma cousine peut me dépanner.

Je quitte ma chambre, et descend au salon. J’y retrouve Martine, ma belle-mère. Elle ma dit que hélas Céline est partie.

- On est que toutes les deux ma chérie...veux-tu que nous allions promener dans les prés ? Il fait un temps magnifique aujourd’hui.

- Mais...belle-maman, je n’ai pas de culotte, pas de soutien-gorge...ça craint.

- Pas du tout ma chérie, il n’y a personne en ce moment. Et puis, c’est très agréable d’avoir sa petite chatte à l’air...ça m’arrive souvent de me promener nue dessous. Tiens, vois, je quitte la mienne.

Il est vrai que par cette chaleur, les gens font la sieste, puis sentir une légère brise soufflé sur ma fente m’excite. Je remarque que comme moi, ma belle-mère jupe court. Je me pose la question. Est-ce que comme moi, sa chatte est épilée.

Après une heure de marche, nous faisons une pause, nous asseyons dans l’herbe. Cette position fait remonter sur nos cuisse, nôtre courte jupe. D’un regard furtif, je vois. Belle-maman a bien la chatte épilée, malgré ses cinquante ans. Quelle ne fut pas ma surprise quand, soulevant ses fesses, elle tira sa jupe vers le haut, exposant par ce geste son bas ventre.

- Ah...que c’est bon de bronzer ainsi...vas-y, met toi à l’aise ma chérie.

Seules au monde, nôtre chatte fièrement offerte aux rayons du soleil, nous finissons par nous assoupir. Pendant ce demi-sommeil, il me semble sentir comme une douce caresse sur ma fente. Je mets ça sur le compte d’une légère brise.

Je regarde belle-maman assoupie près de moi, une jambe replié. Dans cette posture, elle est superbe, et une folle envie de la caresser traverse mon esprit.

Soudain, nous sommes définitivement tirées de nôtre sommeil, par des chants venus de la vallée. Puis nous voyons apparaître quatre jeunes garçons, une paille au coin des lèvres, une bière à la main. Martine me souffle qu’il y avait la fête au village. Malgré les efforts pour tirer sur nos jupes afin de cacher nôtre intimité, nos regards leur crient que nous n’avons pas de culotte.

L’un d’eux s’approche de moi, me prend par la taille et essaie de m’embrasser.

- Hé, s’écrie Martine, tu l’as touche pas, OK...ça fait deux jours qu’elle est mariée. Alors, bas les pattes.

- Oh là, du calme, dit un rouquin.

Un copain intervient, bouscule Martine qui roule au sol. Sa jupe remonte sur ses hanches. Elle essaie de la rabattre, mais le jeune est plus prompt.

- Hé...regardez les gars, elle a pas de culotte.

Aussitôt, le jeune, de type maghrébin, la maintient jambes écartées. Un troisième larron intervient, pose sa main sur sa chatte, la caresse, remonte jusqu’au clitoris, puis un doigt la pénètre.

- Sors ton doigt de là, crie belle-maman

- Pourquoi..t’aimes pas, sourit-il, pourtant tu mouille..

- Arrêtez, supplie Martine, c’est toi qui la fait mouillée.

Soudain, Martine se détend, accepte les doigts qui s’activent en elle. Les premiers gémissements fusent. Un autre garçon lui ôte ses vêtements. Belle- maman se retrouve entièrement nue, qu’est-ce qu’elle est belle. Un gars tombe à genoux, la bite à la main. Il la dirige vers la bouche de Martine, la fait glisser sur ses lèvres. Celle-ci voit passer le gland devant ses yeux. Soudain, elle ouvre la bouche et l’engloutit. Je reste figé devant la scène de cette énorme queue coulisser entre les lèvres de belle- maman, qui à l’air d’y prendre un certain plaisir.

- Salaud, souffle-t-elle...vous allez me faire jouir…oh oui...je jouis...hou...hou...

Je sens un main remonter sur ma cuisse, un doigt lisser ma fente.

- Ben dis dont...elle aussi n’a pas de culotte, et elle est bien mouillée…

- Laissez-là, supplie Martine...ça fait deux jours qu’elle est mariée

- Ben son mec a bien de la chance...et nous aussi.

D’un geste habille, il m’effeuille, me fait mettre à quatre pattes. Je n’entends plus ma belle-mère...ou plutôt si.

- Au putain...qu’est ce qu’il en train de me mettre...enfoiré, vas-y, défonce moi…

C’est vrai que tout en taillant une pipe à un, elle se fait prendre par l’autre.

De mon côté, je m’apprête à subir le même sort. Je sens un énorme gland taquiner mon clitoris. En voyant jouir Martine, j’ai presque envie de l’encourager à m’enfiler.

C’est ce qu’il fit dans la seconde qui suit.

- Oh ma chéri, gémit belle-maman, ça fait si longtemps que j’ai pas pris un bon coup de queue, et quelle queue, si mon mari voyait ça.

- Celle que j’ai aussi est plus grosse que celle de vôtre fils. Je la sens bien dans ma chatte...moi aussi je viens...oui...je jouis…

Tandis qu’un garçon s’allongeait sur le dos près de Martine, un autre en faisait de même près de moi. Ils étaient nus, la queue dressée vers le ciel. Je regardais ma belle-mère, prise par les hanches, s’empaler sur l’imposant calibre. Je vis aussi un autre lascar s’accroupir derrière elle, humidifier son gland contre le petit trou. Je vis celui-ci se dilater sous la pression, puis s’ouvrir pour absorber la bite.

- Oh putain, que c’est bon d’avoir deux gros calibre dans le ventre.

C’était à mon tour de m’encrer sur un énorme pieu, me faire sodomiser par un autre.

Cet après-midi là, j’ai fait ma première fellation, goûté au sperme, j’ai eu droit à ma première sodomie, et, cerise sur le gâteau, ma première double pénétration.

A voir la facilité avec laquelle ma belle-mère s’est faite pénétrer, je pense qu’elle a du vécu dans ce domaine. Alors que j’étais en train de reprendre mon souffle, Martine chevauchait un jeune garçon, tandis qu’elle taillait une pipe au jeune maghrébin. Je vis le surplus de sperme couler sur ses lèvres, le reste avait été avalé.

Pendant deux heures, ces quatre jeunes inconnus se sont amusés avec nous. Ils ont remis de l’ordre dans leurs tenues, puis sont redescendus dans la vallée en sifflant.

Martine a roulé vers moi, et ma prit dans se bras. Je sentais son corps chaud contre le mien, et me pris une grosse envie de la caresser. Mais c’est ma belle-mère, et je ne suis pas gouine, même si un instant, j’ai hésité à le devenir.

Arrivés à la villa, nos maris étaient rentrés. Sylvain se précipita sur moi, m’embrassa à pleine bouche. Cette bouche qui, quelques minutes plutôt, avait taillé des pipes, et avalé du sperme. Martine, elle, prit soin d’embrasser son mari du bout des lèvres. Dieu merci, aucun d’eux n’eut l’idée de glisser leur main sous nos jupes.

Avec belle-maman, nous nous sommes douchées ensemble, en avons profitais pour nous caresser, nous embrasser, et nous sommes promis de réfléchir si on devait aller plus loin dans nôtre relation...belle-maman, belle-fille.

Une chose est sûre, c’est que nous avons un lourd secret à garder.

Le soir, après un bon repas, Sylvain et moi montons dans nôtre chambre. Nous avions un devoir à accomplir. Ce ne fut pas torride, comme je l’aurai souhaité pour ma nuit de noces, mais par ma faute cette fois. J’étais ailleurs. Du coup, vers deux heures du matin, je me retrouvais seule dans le grand lit, quand soudain, je sentis des mains se glisser sous le drap...Non, Sylvain qui revenait à la charge.

Je dois avouer que les caresses étaient douce, le souffle chaud sur ma chatte m’excitait énormément, au point de me laissais aller au plaisir, puis à l’orgasme quand ses lèvres aspiraient mon petit bouton. J’essayais dans le noir, d’attraper sa queue, je voulais la sucer, mais de part sa position entre mes cuisses, c’était impossible.

Après un deuxième orgasme, les caresses disparurent comme elles étaient venues.

Pendant tout le trajet, j’évoquais ces caresses coquines avec mon mari. C’est la qu’il m’avoua être resté sur la terrasse avec son père jusqu’à quatre heures du matin. Je compris de suite et envoyais une message à Martine.

« Merci belle-maman pour vos caresses qui m’ont données beaucoup de plaisir. Ma petite chatte en est encore toute mouillée. »

« Le plaisir était pour moi...moi aussi ma chatte est toute mouillée. Je crois que je vais me faire une petite gâterie en pensant à ton petit bouton, mais...chut...»




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10-07-2024 0 781

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