J'ai trompé mon mai avec mon collègue dans les toilettes de notre boite ….

Je m’appelle Jennifer,et j’ai trente quatre ans. Mon mari, Mikael, qui en a trente huit, envisage de se séparer de moi, pour une raison que je ne peux qu’admettre répréhensible.

Voici le récit de cette tragédie.

C’était lors d’une fête de bureau ou avec des collègues, célébrions avec éclat nôtre triomphes en atteignant, voire surpassant, nos objectifs annuel. L’atmosphère était empreinte d’une joie sans pareille, libérée de tout souci. J’avais prévenu Mikael, mon mari, que je rentrerai tard, peut-être même en état d’ébriété, au quel cas, ma collègue Stacy me raccompagnerait.

Dans cette atmosphère festive, je me suis laissé aller à une légèreté de comportement, flirtant avec les séduisants représentants de l’entreprise. Sans la moindre gêne, j’étais ivre de désir, oubliant la dernière fois ou j’avais ressenti une telle convoitise, ou un tel frisson avec mon mari.

Environ deux heures avant de quitter la fête, une rencontre inattendue se produisit dans les toilettes, avec Frank, un associé âgé de vingt huit ans.

Ce qui s’est passé avec Frank dans l’intimité de ces toilettes, fut un acte de sauvage passion, une échappée brève mais intense de la réalité. Nous étions perdu dans nôtre folie, jusqu’à ce que nous entendions des bruits provenant de la cabine voisine, nous rappelant soudain à l’ordre. Nous nous sommes vite ressaisis, nous promettant de renouveler cette liaison interdite.

De retour à la maison, tandis que la nuit enveloppait la ville, je ne pouvait m’ôter Frank de l’esprit, jusqu’à me prodiguer des caresses en solitaire, cédant à mes désirs en secret, à côté de mon mari endormi. La culpabilité m’étreignait, mais les frissons de l’interdit, accentués par les messages échangés avec Frank, rendait tout cela excitant. Nous avons convenus de nous revoir le week-end suivant.

Cette fois-ci, dans l’anonymat d’une suite d’hôtel loué pour deux, loin des regards indiscrets. Mon cœur battait d’excitation plus que de nervosité à l’idée de raviver cette attention si longtemps perdue. Pendant ce temps, au cours de cette même semaine, un évènement imprévu se préparait.

Je n’avais guère pensé aux conséquences de mes actes, ni à la réaction de Mikael, s’il venait à découvrir mon infidélité. Cette négligence me paraissait absurde, après coup.

Après des heures passées avec Frank, entre dîner, conversation et flirt, la soirée s’est enflammée. Avant de m’en rendre compte, nous étions emportés par la passion. Cette nuit là fut différente, marquée par une intensité rare.

Le matin suivant, je me suis réveillé, blottie dans les bras protecteur de Frank, mais

saisie d’une panique subite, car je n’avais pas prévenu Mikael de mon absence. J’ai découverts des message et appels manqués de sa part. Précipitamment, je me suis habillée et rentrée chez moi, arrivant à sept heures du matin.

Heureusement, Mikael dormait encore. Après une douche rapide, j’enfilais mon pyjama, et tentais de me glisser discrètement sous les draps à ses côtés. Malheureusement, après seulement quatre heures de sommeil, il me réveilla, furieux, exigeant de savoir ou j’avais passé la nuit. J’ai inventé une histoire selon laquelle j’étais resté à travailler tard, puis avais passé la nuit chez Stacy, épuisée après avoir pris quelque verres.

Je lui ai assuré que j’étais rentré dès mon réveil, pour ne pas l’inquiéter d’avantage.

Mikael était naturellement contrarié, mais semblait accepter cette explication, bien que je sentais un soupçon de doute en lui. Ce doute se confirma, lorsque quelques jours plus tard, je fus prise en flagrant délit.

J’avais planifié une dernière rencontre avec Frank, avant qu’il ne quitte le région, mais elle devait se dérouler en public. J’ai donc menti à Mikael, lui disant que j’allais dîner avec Stacy et un associé pour finaliser un dossier important. J’avais tout prévu, allant jusqu’à nommer le restaurant ou nous prétendions aller.

Mais lors de nôtre rendez-vous, alors que Stacy et nous, nous embrassions et flirtions, Mikael, ayant appelé Stacy pour vérifier, fit irruption. Prise de panique, je sortis précipitamment avec Stacy, mais Mikael nous attendais dehors. Il nous interrogea sur nôtre destination, et nous répondîmes que nous rentrions. Mikael avait des doutes.

Stacy, essayant de me couvrir, ne put cacher son ignorance quand à mes allées et venues, ni ce vendredi soir, ni lors de la soirée du bureau. Elle avoua m’avoir vue faire une fellation à Frank dans l’encadrement de la porte. Mais elle alla plus loin.

Rongée par la culpabilité, elle révéla à Mikael qu’elle m’avait vu quitter la salle de bains avec Frank lors de la fête, m’essuyant les lèvres, semblant plus que complice. Elle dit nous avoir suivie dans la chambre, profitant de ce que la porte était ouverte, pour assister au spectacle. Elle conta dans le moindre détails, nôtre relation avec Frank. De la dureté de sa queue pénétrer ma chatte, de ma sodomie, de son sperme giclant dans ma bouche, tout ce que je voulais offrir à mon mari, mais qu’il n’a jamais osé demander.

Mikael s’empara alors de la conversation avec une intensité glaciale, demandant à Stacy de rentrer chez elle.

Seul avec moi, il me bombardait de questions, cherchant à savoir combien de fois cela s’était produit, y compris ce soir là, dans les toilettes du restaurant.

Ces questions étaient implacables. J’ai d’abord juré que ma première incartade avait eu lieu lors de la fête de bureau, sous l’emprise de l’alcool. Mais devant son scepticisme, j’ai du admettre que ce n’était pas la seule fois, confessant ma liaison avec Frank le samedi précédent. Mikael, la frustration palpable, claqua le volant, me reprochant ma stupidité et m’accusant de ruiner le meilleur de sa vie.

Le trajet de retour se déroula dans un lourd silence, ponctué seulement par ses exclamations de colère. Une fois à la maison, il se barricada dans l’ancienne chambre de nôtre fils, passant la nuit au téléphone avec son ami Fred. Quand il revint dans nôtre chambre, il m’annonça son intention de divorcer. Il déclara vouloir garder la maison, affirmant que je ne méritais pas de vivre dans le foyer que nous avions construit au cours de se dix neuf années, et que j’avais détruit. Il insista pour que nôtre fils, en pleine période d’examens, reste dans l’ignorance de la situation que j’avais créée, jusqu’à ce qu’il juge le moment opportun.

Perdue et désemparée, je ne savais que faire, Mikael ne m’adressait plus la parole. Lors de nôtre dernière conversation, il m’avait sommé de quitter la maison d’ici une semaine. Dans mon désarroi, j’appelais Frank, lui expliquant la situation, espérant trouver en lui un soutien. En attendant, Frank me proposa de loué une chambre à proximité, le temps de trouver un endroit pour y vivre. Ironiquement, je ne pouvais me tourner vers la même personne à l’origine de ma chute, celle qui avait contribué à l’effondrement de tout ce que Mikael et moi avions construit ensemble.

Je cherche désespérément des lieux de location abordable, en attendant de pouvoir obtenir un prêt pour une nouvelle maison. Mes tentatives de contacter Mikael se sont heurtées à un mur de silence. Il semble avoir coupé tout contact avec moi, bloquant même mon numéro. Perdues dans mes pensées, je me dis qu’il est hors de question d’entamer une relation avec Frank, pour qui je n’ai aucun sentiment, mais plutôt tenter de réparer les ponts avec Mikael. J’ai appelé Stacy, lui demandant pourquoi elle avait révélé nôtre liaison. Elle m’a répondu, rongée par la culpabilité, qu’elle ne pouvait continuer à mentir, surtout sans être consciente.

J’ai essayé de retourner chez nous, mais la maison était vide, les stores étrangement baisés. La confusion règne dans mon esprit. Je continue à communiquer avec Frank, qui m’a soutenu en cette période difficile, sans concession.

Actuellement, je vis dans un parc à roulotte haut de gamme, un lieu que je n’aurai jamais découvert, sans l’aide initiale de Frank. Cette nouvelle vie est un choc, elle n’est pas aussi terrible que le l’imaginais, mais loin d’être idéale.

Cela fait un mois que j’ai déménage, et Mikael ne m’a pas contactée. Toutefois, mon avocat m’a informé que Mikael avait entamé une procédure de divorce. Les papiers sont arrivés à son bureau. Cela semble marquer la fin tragique de nos dix neuf années de mariage, de sacrifice et de travail acharné. J’ai perdu ma famille, et je redoute la réaction de nôtre fils. Je suis terrifiée à l’idée qu’il puisse me détester, en fonction de ce que Mikael lui dira. Mon seul espoir réside dans la perspective de revoir mon fils, et j’espère que Mikael fera preuve de décence en le préservant de cette situation douloureuse.

L’idée que mon fils puisse me regarder avec mépris me brise le cœur. Je ne pourrai pas le supporter. Depuis seize ans que nous sommes mariés, j’ai commis l’erreur d’avoir eu deux aventures différentes durant les huit premières années.

Aujourd’hui, je reconnais mes tords, consciente que mon mari n’a rien fait pour mériter cela. Après ma dernière erreur, il y a cinq ans, nous avions envisagé de nous séparer, mais nous nous sommes rendus compte que nous ne pouvions pas vivre l’un sans l’autre.

Ce soir là, lors d’une soirée, un invité m’avait rejoint sur le terrasse. Nous avons parler, et me voyant frissonner, il posa sa veste sur mon épaule. Il me demanda ou était mon mari, je lui répondis qu’il devait être dans le coin. Il glissa doucement sa main sous ma robe, remonta entre mes cuisses. Je l’ai écarté légèrement pour faciliter l’accès. C’est lorsque son doigt atteignit la commissure de ma chatte, que j’aperçus mon mari. Il avait tout vu. Fou de rage, il quitta la soirée. A ce moment là, j’aurai dû quitter le suivre, au lieu de ça, je suis restée, ma laissant séduire par ce bel inconnu. Ça a commencé par une fellation sur la terrasse, suivi d’une nuit torride à l’hôtel. Bien évidemment, mon mari ne s’est pas ce qu’il réellement passé cette nuit là. J’étais rentré vers cinq heures du matin, disant avoir dormi chez Stacy.

Puis nôtre fils est arrivé, et il a souhaité que je reste à la maison. J’ai accepté, pensant reprendre le travail après un an, mais cela ne s’est jamais concrétisé. Maintenant, je suis à la maison avec mes deux enfants. Je l’ai adore, mais j’aspire à reprendre le cours de ma carrière. Toutefois, je me sens incapable de le demander, en raison de mes erreurs passées.

Je suis une personne différente maintenant, ayant beaucoup appris de mes erreurs.

J’ai besoin de conseils objectifs, car personne dans mon entourage n’est au courant de mes actions passées, me laissant sans personne à qui parler. Comment puis-je entamer cette conversation difficile ? Je n’ai jamais pensé que mon lieu de travail serait un terrain propice à l’infidélité. Les personnes avec qui j’ai eu des relations étaient connues bien avant que je commence ma carrière.

Financièrement, rester à la maison n’était pas logique, car les frais e garde ne représenteraient qu’un quart de mon salaire. J’envisage de commencer une thérapie une fois que je reprendrais le travail, car nôtre assurance ne couvre pas ce genre de soins.

Cependant, après avoir lu les réflexions sur ce fil, je pense chercher une option moins coûteuse et retarder mon retour au travail. Je comprends maintenant pourquoi j’ai été infidèle au début de nôtre mariage. J’avais des attentes irréalistes que mon mari ne pouvait satisfaire, et ses imperfections au lit n’ont fait qu’ajouter à mes frustrations. J’ai commis une grave erreur. Il y a des choses que j’aurai aimé que mon mari fasse, mais cela n’excuse en rien mes actes.

J’ai naïvement écouté deux personnes qui me disaient ce que je voulais entendre. Je ne blâme pas mon mari, mon infidélité est entièrement de ma faute. Je sais que ce n’était pas juste une erreur, mais un acte répréhensible considérable. Je porterai cette culpabilité jusqu’à la fin de mes jours.