Mon mari voulait me voir utiliser par deux jeunes.

Récit érotique écrit par mazaudier le 13-08-2024
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Catégorie Infidélité

Ce secret ferait dresser les cheveux sur la tête de n'importe qui. Mon mari a toujours été un homme sur de lui et je ne m'attendais pas à ce qu'un jour il me dise ce qu'il m'a dit.

Ce fut une surprise et je ne m'imaginais pas que je serais capable d'aller jusqu'au bout. C'était une tranquille après-midi d'automne et le soleil lançait ses derniers rayons doré à

travers la fenêtre du salon.

Moi, Sandrine, j'étais assise sur le canapé, un verre de Jet dans les main, regardant les feuilles orangées tombé du vieux chêne de notre jardin mon époux. Marc était assis dans le fauteuil à côté, lisant un livre qui semblait absorber toute son attention. Notre relation a toujours été marquée par de longues conversations et des rires interminables. Dès le début, nous trouvions du confort et de la complicité dans nos échanges d'idées, que ce soit sur la vie quotidienne, des projets ou des réflexions sur le sexe.

Marc était mon meilleur amant et j'adorais cette connexion que nous avions. Cependant, ces dernières semaines, j'ai remarqué que quelque chose avait changé. Marc était plus silencieux, plus réservé. Les soirées autrefois remplies de dialogues animés était maintenant ponctué de silence gênant et de réponse monosyllabique.

Il passait plus de temps plongé dans ses pensées, et je pouvais sentir une barrière invisible grandir entre nous. Plusieurs fois, j'ai pensé à lui demander directement ce qui se

passait, mais quelque chose en moi hésitait. Je ne voulais pas le presser ou envahir son espace. Alors, j'ai décidé d'observer et d'attendre.

C'était peut-être juste une phase, pensais-je, nous avons tous nos moments d'introspection et peut-être que Marc traversait simplement l'une de ses périodes.

- Tu veux plus de thé, ai-je demandé, essayant de briser le silence.

Marc leva les yeux de son livre et me fit un petit sourire sincère.

- Non, merci ma chérie je suis bien comme ça.

Malgré le sourire, je ne pu m'empêcher de remarquer l'ombre d'inquiétude qui passa dans son regard. Cela ne fit qu'accroître ma curiosité et mon inquiétude. Mais je gardais mes pensées pour moi, je ne voulais pas forcer une discussion pour laquelle il n'était clairement pas prêt. Ainsi, nous avons continué notre routine, chacun plongé dans son propre monde, mais toujours physiquement proche. J'espérais qu'avec le temps il s'ouvrirait et partagerait ce qui pesait sur son esprit. En attendant, je continuerai d'être là, prête à l'écouter quand il serait prêt à parler.

Les jours passaient lentement et la tension entre nous semblait grandir avec le temps. Je sentait que quelque chose allait être dit, une confession peut-être, quelque chose que Marc gardait pour lui et qu'il allait enfin décider de partager. Un soir, pendant que nous dînions, il posa sa fourchette, prit une profonde inspiration et me regarda droit

dans les yeux. Il y avait un mélange de détermination et de nervosité dans son regard, et je savais que c'était le moment. Il allait enfin dire ce qui pesait sur son esprit.

Sandrine, puis je te poser une question.

Sa voix était basse et hésitante.

- Bien sûr Marc qu'y a-t-il ?

J'ai essayé de garder un ton de voix calme malgré mon cœur qui s'emballait. Il hésita un instant comme s'il choisissait soigneusement ses mots.

- As-tu un désir interdit, quelque chose que tu n'as jamais eu le courage de réaliser ?

La question me pris par surprise, moi qui ai toujours été de nature curieuse, je me trouvais soudain sans voix. Beaucoup de choses me passèrent par l'esprit, mais la honte et

la peur d'être jugé m'empêchèrent de parler ouvertement.

- Et bien je suppose que nous en avons tous non répondis je essayant de dissimuler mon malaise par un sourire, mais pourquoi cette question ?

Maintenant, Marc resta silencieux un moment, comme s'il rassemblait du courage pour

continuer.

- J'ai beaucoup réfléchi à cela dernièrement, à nous, à nos désirs et fantasme, et je me demandais si peut-être,peut-être que tu avais quelque chose que tu voudrais expérimenter, mais que tu n'as jamais osé me dire.

Ma curiosité était éveillée, mais je me sentais tout de même un peu osé. J'ai décidé qu'il serait préférable d'écouter ce qu'il avait à dire avant de révéler quoi que ce soit.

- Et toi, as-tu quelque chose que tu veux me dire ?l

- Oui, j'en ai et c'est quelque chose d'un peu différent, je voulais savoir ce que tu penses d'être avec plusieurs hommes en même temps si cela poserait un problème pour toi.

Je restais bouche baie, c’était complètement inattendu. Diverses émotions contradictoires me traversèrent en même temps. Une partie de moi était intriguée, tandis qu'une autre était en état de choc. Je savais que nous avions nos fantasmes, mais cela était quelque chose que nous n'avions jamais discuté.

- Tu es sérieux, demandais- je, essayant encore de traiter l'idée.

- Oui je le suis, ce n'est pas que je veuille forcer quoi que ce soit, mais c'est quelque chose qui me trotte dans la tête et je voulais savoir ce que tu en penses, si c'est quelque chose que tu pourrais envisager, ou si c'est complètement hors de question.

Je pris une profonde inspiration essayant d'organiser mes pensées, je voulais être honnête mais aussi prudente avec mes mots.

Marc, je n'ai jamais pensé à cela de cette façon, mais je pense que nous devons davantage de ce que cela signifie exactement pour nous, et de ce que nous en attendons, ce n'est pas une décision que nous pouvons prendre à la légère.

Il sourit, soulagé par ma réponse réfléchie.

- Bien sûr je comprends et c'est exactement ce que je veux discuter, comprendre, explorer ensemble sans précipitation, ni pression.

Et ainsi une nouvelle porte s'ouvrit dans notre relation, une porte pleine de possibilités, mais aussi de défis. Nous étions prêts à explorer ce nouveau territoire ensemble, avec

honnêteté et respect, découvrant de nouveaux aspects l'un de l'autre. En chemin la conversation qui s'en suivit fut l'une des plus intenses et profondes que nous ayons jamais eu. Assis dans le salon, nous avons discuté de nos limites, jusqu’où pouvons-nous aller le désir et l’attente. Nous voulions que tout soit fait avec clarté et consentement pour que que ni l'un ni l'autre ne se sent mal à l'aise ou en insécurité.

Après de nombreuses paroles et réflexions, nous sommes parvenus à un accord.

Marc a suggéré que nous invitions deux élèves de la salle de sport où j'avais l'habitude de m'entraîner. Je savais exactement de qui il parlait. Jean et Luc, deux jeunes garçons qui ne passaient pas inaperçus. Ils étaient attirant, athlétique et toujours gentil avec moi.

Nous avons fixé le rendez-vous pour vingt heures vendredi.

Marc ne serait pas à la maison, mais il garderait un œil sur tout avec une caméra stratégiquement positionnée pour enregistrer la scène. L'idée d'être filmé tout en réalisant une fantaisie aussi audacieuse, me causait un mélange d'excitation et de nervosité. Ce soir-là, alors que nous nous préparions à dormir, Marc m'a pris dans ses bras et a murmuré.

- Je veux que tu profites de chaque moment Sandrine, nous allons faire cela ensemble, même si je ne suis pas physiquement présent.

Je sentis mon cœur s'accélérer à ces paroles.

- Moi aussi je le veux Marc, je suis nerveuse mais impatiente de voir comment cela va nous affecter.

Les jours précédents le vendredi furent remplis d'anticipation et d'un peu d'anxiété. J'ai pensé plusieurs fois à ce que cela serait, à ce que je ressentirai, et à l'impact que cela aurait sur notre relation. Marc semblait calme, mais je savais qu'il pensait également beaucoup à ce qui allait se passer. Enfin, le vendredi est arrivé. J'ai passé toute la journée à me préparer mentalement et physiquement, j'ai choisi une tenue qui me faisait me sentir confiante et sensuelle, et tandis que je me regardais dans le miroir, j'essayais de calmer mes nerfs.

Quand la nuit est tombée, la sonnette a retenti. Mon cœur a battu la chamade. Je suis allée à la porte et j’ai ouvert, trouvant Jean et Luc de l'autre côté, avec des sourires et des regards qui transmettaient un mélange de curiosité et de désir.

- Bonsoir Sandrine, dit Jean tandis que Luc me saluait avec une accolade. Nous sommes prêts pour cette soirée spéciale.

Je les ai invité à entrer et nous nous sommes dirigés vers le salon où une atmosphère soigneusement préparée nous attendait des bougies parfumées et une musique douce créa une ambiance chaleureuse et intime.

- Marc n'est pas là, mais il a tout préparé ai-je dit en montrant la caméra discrètement positionnée. Nous allons faire cela avec respect et consentement comme convenu.

- D’accord, acquiescèrent-ils.

Nous avons commencé la soirée avec un verre de vin pour nous détendre. Nous avons un peu discuté ri et peu à peu la tension initiale s'est dissipée, laissant place à à une

excitation croissante. Quand le moment est venu, nous étions tous prêts. La présence de Jean et Luc combiné à l'attente et au soutien de marque ont transformé cette nuit en une expérience inoubliable. La caméra capturait chaque instant chaque touché et chaque soupir, tandis que j'explorais un nouveau côté de moi-même que je n'avais jamais connu. Ce n'était que le début d'un voyage qui nous mènerait à explorer nos désirs les plus profonds toujours avec honnêteté respect et amour. Le salon était imprégné d'une aura d'attente et de désir. La musique douce et les bougies parfumées intensifiaient l'atmosphère intime créant un environnement où chaque mouvement semblait plus intense et significatif.

Luc fut le premier à s'approcher de moi. Il m'enveloppa dans une étreinte ferme, ses mains glissant lentement le long de mon corps, tandis que ses lèvres rencontraient les miennes dans un baiser profond et ardent. Je sentis mon mon corps réagir immédiatement à son touché, l'excitation grandissant à chaque seconde.

Pendant ce temps, Jean se plaça derrière moi, ses mains parcourant mon corps avec une douceur qui me fit frissonner. Il explorait chaque courbe, chaque contour provoquant des sensations qui me rendaient encore plus réceptive. La combinaison des touchés et des baisers des deux jeunes garçons créait une symphonie de plaisir, et je me sentais complètement livré au moment.

Après un certain temps, Jean se déplaça devant moi. Nos regards se rencontrant brièvement avant qu'il ne m'embrasse avec la même intensité que Luc. Je sentis commença à déboutonner mes vêtements, glissant le tissu le long de mes épaules et de mes bras, exposant ma peau aux touchés habiles des deux jeunes hommes. Mes effets enfin ôtés, le désir dans l'air s'intensifia. Jean s'assit sur le canapé et je me penchais sur lui nos lèvres se rencontrèrent à nouveau, tandis que Luc profitait de l'occasion pour embrasser mon corps exposé. Les lèvres de Luc glissaient le long de mon cou, de mes épaules, descendant le long de ma poitrine, de mon ventre, jusqu’à mon intimité, chaque baiser provoquant une vague de plaisir qui me faisait gémir doucement Luc était incroyablement habile, et chaque mouvement de sa langue m'emmenait à un nouveau sommet d'excitation. Je sentais mon corps s'embraser, l'urgence grandissant à chaque touchée. Alors que j'étais sur sur le point de perdre le contrôle.

Luc se plaça derrière moi ses mains tenant fermement ma taille, tandis qu'il commençait à bouger avec une intensité qui me faisait haleter. En même temps, Jean se leva du canapé, me guidant pour que je l'emmène à la jouissance avec ma bouche. La sensation de boire son nectar, d'être au centre de tant d'attention et de désir était enivrante, et je me livrai complètement au moment. Les gémissements de plaisir de Jean se mêlaient au mien, créant une harmonie de son qui remplissait la pierre. Tandis que Luc continuait à bouger en moi, ses mains fermement posées sur mes hanches, Jean se déplaçait à un rythme qui me rapprochait de plus en plus du plaisir. La combinaison des deux, l'intensité du moment rendait cette expérience indescriptible.

Mes sens était en ébullition et chaque seconde semblait s'étirer dans une extase interminable. Je savais que nous ne faisions que commencé à explorer cette nouvelle dynamique, mais à ce moment-là, tout ce qui comptait était l'intensité du présent le plaisir partager et la connexion profonde que nous étions en train de créer. Les gémissements augmentaient, l'intensité croissait et je me perdais dans le tourbillon de sensation que Jean et Luc me procuraient. A cet instant je regrettais qu’il y est la caméra, car je voulais me livrer totalement, braver les interdit, vivre une fantaisie qui devenait réalité qui nous unissait de façon que nous n'avions jamais imaginé. L'intensité du moment était accablante et mon corps répondait à chaque mouvement avec une urgence croissante. Jean percevant mon état d'excitation me prit dans ses bras avec une facilité surprenante. Il me souleva et je sentis la fermeté de son corps contre le mien, alors qu'il me pénétrait par devant.

La profondeur et la force de ces mouvements, m'arrachait des gémissements forts remplissant la pièce de son de pur plaisir. Luc tout aussi avide continuait ses assauts par derrière créant une sensation double qui me menait à la limite, j'étais entièrement comblé. Tous deux se mouvaient en parfaite synchronie guidé, par la volonté de Marc qui observait tout à travers la caméra. Il y avait un mélange de force et d'urgence dans chaque poussée, et je criais, perdu dans le tourbillon de sensation.

Chaque touche, chaque mouvement était une explosion de plaisir. Jean et Luc me firent descendre de leurs bras et nous commençâmes à alterner. Quand l'un terminait, l'autre commençait, ne me laissant aucun moment de répit. L'intensité était implacable, mon corps se livrait complètement,chaque partie intime vibrant avec l'énergie du moment.

Le rythme continuait à augmenter, et Luc le premier à atteindre l'orgasme, s'assit sur le canapé encore essoufflé. Il me tira vers lui et nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser ardent et passionné. Ses mains caressant mon corps, alors que je sentais la force

de son plaisir raisonner encore à travers lui. Pendant ce temps, Jean encore consumé par le désir me tira de nouveau à lui, me pénétrant avec une urgence renouvelée. Ces mouvements étaient rapides et profonds et je pouvais sentir la détermination dans chaque poussée. Mon corps réagissait instinctivement, mes gémissements devenant plus fort et plus désespérés. Luc, se remettant, continuait à m'embrasser, ses mains explorant mon corps, tandis que Jean maintenais son rythme incessant. La pièce était remplie de son de respiration lourde, de gémissements et du battement rythmé des corps se mouvant à l'unisson.

Finalement, je sentis le corps de Jean se tendre, ses mouvements devenant encore plus urgents, jusqu'à ce qu'avec un dernier gémissement profond il atteigne l’apogée.

La sensation de satisfaction de complétude était palpable, et je me laissais tomber dans les bras de Luc, sentant une vague de plaisir et d'épuisement m'envahir.

La pièce, auparavant remplie d'une énergie frénétique était maintenant enveloppée d'un silence satisfait, nos corps étaient entrelacés et la chaleur de l'expérience pulsait encore autour de nous. Je regardais Jean et Luc puis la caméra sachant que Marc avait partagé ce moment avec nous même à distance. C'était un nouveau chapitre dans notre parcours ensemble, un chapitre d'exploration de désir et d'une connexion qui transcendait les barrière traditionnelle. Nous étions prêts à découvrir jusqu'où nos désirs nous mèneraient, toujours avec honnêteté respect et la profonde connexion qui nous unissait.

Quand Marc rentra à la maison le lendemain matin, je lis de la déception, de la jalousie. Puis vint le moment des reproches. Il me reprochait d’avoir franchi les interdits, les balises que nous avions mises en place. C’est vrai qu’il avait raison. Je ne devais pas accorder à ces jeunes les faveurs que je ne lui accordait pas pas. Telle la sodomie, et les fellations dont je m’étais gavée à plusieurs reprises. Il mit également en évidence le plaisir que j’ai pris dans des doubles pénétrations. Mais il y avait aussi de la satisfaction dans son regard.

Jean et Luc avait été un tournant dans notre histoire un point de basculement qui nous avait mené à un niveau plus profond de compréhension et de plaisir alors que nous nous tenions dans les bras l'un de l'autre la certitude d'avoir construit quelque chose d'unique et de spécial nous réchauffait et nous savions qu'ensemble nous continuerions à explorer les limites de notre amour et de notre désir toujours avec respect honnêteté et une passion qui ne cesserait jamais de brûler intensément.




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