Ce soir là, je rentrais plus tôt d’un séminaire, et me rendais au bar ou mon épouse avait l’habitude d’aller prendre un verre avec des collègues de travail. Je voulais lui faire une surprise. J’étais installé à une table, quand je l'ai vue arriver dans sa robe d’été légère, qui mettait en valeur son sublime corps. J’ai vu sur ses lèvres un sourire enfiévré, un nuage de joie, qui la rendait plus belle encore. Elle avait l’air très heureuse.
Elle passa si vite, qu’elle ne me vit pas, ou fit comme si...je l’ai vue tendre les bras vers un autre, alors que les miens en tombèrent bas.
Je la vis se pendre à son cou, lui prendre les lèvres. Qu’elle ne me dise pas que ce n’était pas elle, c’était bien son sourire, mais il n’était pas pour moi, il était pour un autre. Le connaissait-elle depuis longtemps ? Et ou s’étaient-ils connus ?
Faudra qu’elle m’explique. Qu’elle ne me dise pas que que je l’avais confondue avec une autre. Qu’elle n’invente pas d’histoire, j’étais parfaitement lucide.
Eux aussi, par contre. Ils étaient proches quand je les ai surpris se diriger vers le bar, sans qu’ils ne me voient. Ils avaient de la fièvre. J’ai vu avec quelle maîtrise il la caressait, comment leurs mains se cherchaient, leurs doigts se mêlaient.
Je l’ai vue qui riait de plus belle, quand ses deux mains, l’ont prise par la taille, et lui flattais ses appas. Je l’ai vue s’offrir sans retenue, se sacrifier à ses doux baisers, ses douces caresses. Celles qu’elle m’avait toujours refusé. Je ne pouvais croire que c’était leur premier rendez-vous.
Je vis le barman leur tendre une clé, puis se dirigent vers l’ascenseur.
C’est à ce moment que je reconnu l’homme qui l’accompagnait. Ce n’était d’autre que Pascal, un employé que j’avais licencié, et qui aujourd’hui était devenu mon principal concurrent en montant sa propre société. Ce salaud baisait ma femme. Il me fallait tirer ça au clair, qu’elle avoue sa faute. Qu’elle ne dise pas que c’en était un autre, que ce n’étais pas lui, que je m’étais trompé. Puis je les vis prendre l’ascenseur.
Je restais à table. Après plus d’une heure, ils n’étaient toujours pas descendus.
Je m’imaginais ce qu’il pouvait lui faire. Connaissant comme elle se donne, je me doute qu’il a du prendre du plaisir à la baiser, la sodomiser, à se faire sucer. Je pense qu’elle aussi a dû prendre énormément de plaisir. Je sais comme elle crie quand elle jouit, quand elle atteint l’orgasme.
Je décidais de rentrer à la villa avant qu’ils ne redescendent.
J’arrive chez moi vers vingt heures. Je prends une bonne douche, et vais m’allonger sur le canapé, et finis par m’assoupir. Je suis tiré de mon sommeil, il est six heures du matin. C’est Audrey qui rentre, mais à l’entendre rire, elle n’est pas seule. J’écarte les coussins, et je la vois à genoux au milieu du salon, en train de tailler une pipe à Pascal, mon fameux concurrent. Celui-ci la maintient par les cheveux. Je vois les joues de ma femme se creuser, il faut être con, pour ne pas comprendre qu’elle est en train de déglutir, et avaler la semence de ce salaud.
Elle ne savait pas que j’étais rentré, et c’est en toute confiance qu’elle lui avait accordait le faveur d’une fellation, ce que à ce jour ,je n’ai pu obtenir.
Audrey se relève, et entraîne Pascal dans la chambre, dans le lit conjugal. Il n’en sortiront qu’à midi. Quant à moi, j’ai passé mon temps à l’écouter jouir, à hurler de plaisir à chaque orgasme, et ils ont été nombreux.
Pendant qu’ils prennent une douche coquine, je quitte la villa, étant sensé ne pas être là. Je ne rentrais que le soir, comme prévu, et fus accueilli par ma ravissante épouse. Elle sortait de la douche, et n’était vêtue que d’un court peignoir.
Elle sauta à mon cou, m’offrit sa bouche, celle qui avait taillé une pipe à mon principal rival, et qui avait tout avalé J’en profitais pour glisser mes mains sous le peignoir, la caressais. Son corps était chaud, bien cambré. Je lui proposé de s’habiller, que je l’invitais au restaurant. Elle fut enchanté, et me serra plus fort.
Elle partit à la salle de bain pour se maquiller, puis alla à la chambre pour s’habiller.
Je me permis de fouiller dans son sac, et dans sa pochette de carte de crédit, je trouvais la carte de visite de Pascal. Je ne dis rien, et remis tout en place.
Vers vingt heures, nous étions à l’hôtel ou je l’avais vu avec Pascal.
Elle fut surprise par le choix du restaurant, car il y avait de grande chance que son amant s’y trouve. Et ce fut le cas. Il était installé au bar, avec une paire de potes. Il ne bougea pas une oreille, fit comme s’il ne s’était rien passé avec ma femme.
Après un copieux repas, je surpris tout le monde en l’invitant à nôtre table pour boire le champagne. Il accepta, mais je remarquais un certain trouble chez Audrey. Vers vingt trois heures, je portais le coup de grâce, en les invitant à la villa.
Pendant le trajet, ma femme me demandais à quoi je jouais. Je lui dis que pendant le séminaire, j’avais eu une vision d’elle, en train de se faire baiser par mon principal concurrent devant moi. C’était devenu un fantasme, et j’aimerais qu’il se réalise.
Elle me traita de fou, puis m’avoua qu’essayer une autre queue que la mienne, ne devait pas être désagréable. « Est-ce que tu crois que ton concurrent va vouloir ?»
Je lui répondis qu’il fallait qu’elle se serve de ses atouts.
Dix minutes plus tard, on sonna à la porte. C’était Pascal avec son pote. Tandis qu’Audrey se préparait à la salle de bain, je les invités à s’asseoir sur le canapé. Ma femme apparu, simplement vêtue d’une nuisette. Je vis le regard admiratif du pote de Pascal parcourir le sublime corps de ma femme. Pascal, lui le connaissait. Audrey se dirigea vers mon fauteuil, et s’assit sur mes genoux. Ils ont eus vite fait de remarquer qu’elle était entièrement nue sous la nuisette transparente.
J’en profitais pour la relever, découvrant sa chatte parfaitement épilée. Lentement, je lui caressais sa fente, son clitoris, puis invitais les autres à participer. Audrey se leva, et alla se placer entre les deux hommes. Pendant le court trajet, elle ôta sa nuisette.
Après quelques caresses foudroyantes, elle leur pris la main, et les entraîna dans la chambre, celle ou il y avait le lit conjugal. Elle allait outre ce que j’avais vu dans mon fantasme. A peine cinq minutes plus tard, j’entendis les premiers gémissements. J’entendis Pascal dire à son pote « Vas-y toi, moi je l’ai baisée toute la journée ».
Pendant plus d’une heure, je l’ai entendu gémir, hurler de plaisir quand ils la faisait jouir, quand elle atteignait l’orgasme. Elle faisait de douloureuses comparaisons concernant mes atouts aux leurs. Le pote parti, Pascal a continuer à baiser Audrey, à la sodomiser, à se faire sucer, jusque sous la douche. Non seulement mon concurrent me prenait des parts de marchés, mais en plus, il baisait ma femme.
Petit à petit, mon fantasme devint le sien. je me soumettais à ses caprices. Je ne voulais pas la perdre, au point d’organiser moi-même ses soirées. Elles se passaient essentiellement à la maison. Ces soirs là, je l’écoutais jouir, faisait le voyeur quand ils me l’autorisaient.
Au fil de leur relations érotique, je prenais un réel plaisir à l’entendre jouir, l’entendre crier quand elle atteignait l’orgasme. Certaines nuits, ils étaient deux à la baiser. J’attendais sagement assis sur le canapé. Quand je m’assoupissais, j’étais aussitôt réveiller par le hurlement d’un orgasme. Elle en avait plusieurs dans la nuit.
J’étais rassurais quand l’un sortait, je pensais que c’était la fin. Mais l’autre restait encore une heure à la besogner, à la faire crier de plaisir, jusqu’à jouir sous la douche.
Ils n’hésitaient pas à se promener entièrement nue devant moi. Au petit déjeuner, il n’arrêtait pas de la caresser. Un jour, il l’a même faite jouir avec ses doigts, devant moi.
Puis, ils regagnaient la chambre, n’en sortaient que vers midi, pour se rassasier du repas que j’avais préparer.
Selon son humeur, elle m’accordait un peu de temps, en semaine. Ces soirs là, je lui faisait l’amour avec ma modeste expérience, et mes modestes atouts. Mais ça n’atteignait jamais les sommets que son sulfureux corps réclamait. Il lui arrivait d’organiser des fêtes à la villa. Ces soirs là, c’était l’orgie.
Elle passait indifféremment de garçons en garçons, mais aussi de filles en filles, se faisait baiser ou sodomiser dans la piscine, ou doigter par de jeunes gouines sur un transat. Aujourd’hui, je supporte encore ses écarts de conduites.
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