Je m'appelle Claire, j'ai trente huit ans, et suis mariée à Laurent depuis quinze ans. Notre vie de couple est plutôt stable, rythmé par le travail, les soirées à la maison devant la télévision et des conversations qui tournent autour du quotidien. Mais parfois la monotonie devient une cage dorée dont on souhaite s'échapper.
Un week-end d'été, alors que Laurent était en déplacement professionnel, je me retrouvais seule chez moi. les journées sont longues sans lui. Cette après-midi, après m’être occupé du jardin, je monte prendre une douche. En sortant, je décide de m’allonger cinq minutes sur le lit. Si mon mari était là au moins, on pourrait faire l’amour. Fermant les yeux, je commençais à avoir des pensées coquines, une soudaine envie de jouer avec mon corps. J’étais entièrement nue sur mon lit. Je tendis un bras vers la table de chevet, en sortis mon copain de substitution. Un magnifique sex-toy rose Je le suçais tendrement, imaginant sucer mon mari, je le fis parcourir mon corps, mes seins, mon ventre plat, puis l’enfonça dans ma chatte. Je fis de lents va et vient, puis, le mettant sur vibreur, excite mon clitoris que j’avais pris soin de décalotter. Alors que j’allais attendre l’orgasme, mon téléphone sonna.
C’était mon neveu Alex….Tiens.
Alex était âgé de dix neuf ans. Il me proposais de venir me chercher pour aller faire un tour au bord du lac avec son pote Julien. Je connaissais Julien de nom, mais jamais vraiment en personne. J'étais hésitante à l'idée de passer la soirée avec deux jeunes hommes, mais une partie de moi-même voulait accepter, juste pour ressentir l'excitation de la spontanéité. J’enfilais une robe légère sur mon corps nu et encore chaud, sans rien dessous
Je savais Alex beau gosse, et Julien n’en était pas moins séduisant. Le véhicule, un espèce de « Van », était soigneusement aménagé. Tout capitonné, avec au sol, un épais tapis de poils blanc. Je me doutais à quoi il devait servir. Nous avons pris la route, installé tous les trois sur la banquette avant. La musique raisonnait dans la voiture, et la chaleur de l'été s'infiltrait par les fenêtres ouvertes.
Je me sentais soudain plus légère, presque revenue à leur âge. Adrien et Julien riait et plaisantait, sortait des blagues, certainement pour me faire oublier leurs mains caressant mes cuisses. Leur complicité était contagieuse. Lorsque nous sommes arrivés au lac, le soleil commençait à se coucher, peignant le ciel de teintes roses et dorées.
Julien a suggéré de s'asseoir dans le fourgon aménager, qu'ils devaient utiliser pour leurs escapades coquines. Je suis monté avec eux et dès que la porte s'est refermée, l'atmosphère a changé, devenant plus intime, presque complice. Le rire de Julien, profond et rassurant résonnait, alors qu'il racontait des anecdotes de leur sortie. Alex le suivait, ajoutant des détails et éclatant de rire. Moi je les écoutais en souriant, absorbé par leur énergie et leur jeunesse. C'était un moment suspendu, une soirée qui semblait s'étirer dans l'éternité. Les regards se croisaient, des sourires se dessinaient sur nos lèvres et je sentait naître une tension douce et électrique.
Jusqu'où cette soirée allait-elle nous mener. L'intérieur du « Van » était faiblement éclairé par une petite lampe portable, diffusant une lueur chaleureuse et tamisée. Les ombres dansaient sur les parois créant une atmosphère presque surréaliste. Ils devaient apercevoir par transparence, que je portais rien sous ma robe. Julien attrapa une guitare qui traînait dans un coin et commença à jouer. Une musique simple mais envoûtante. Ses doigts glissaient sur les cordes avec aisance, et pouvais les imaginer surfant sur ma chatte.
La musique remplissait l'espace, se mêlant au bruissement des feuilles et au clapotis de l'eau du lac. Alex, toujours le plus jovial des deux, se pencha vers moi et demanda avec un sourire espiègle de chanter. Je ne pu m'empêcher de rougir, de rire nerveusement.
- Ça fait des années que je n'ai pas chanté, surprise par la légèreté de ma voix.
Julien leva un sourcil, visiblement intrigué.
- Il n'est jamais trop tard pour commencer dit-il en grattant une note douce sur la guitare. Porté par l'instant, je me mis à genoux, pris une inspiration et laisser ma voix suivre la mélodie. D'abord hésitante, puis plus assurée, nos voix se mêlèrent, nos rires résonnant à chaque fausse note ou parole oubliée. Les regards échangés prenaient une dimension différente, quelque chose que je n'avais pas ressenti depuis longtemps. Alex attrapa trois bouteille de bière, nous les fit passer, et trinquions.
- A cette soirée et à ce qui pourrait suivre, dit-il en me lançant un regard complice.
Julien leva sa bière, et j’en fis de même, le cœur battant légèrement plus vite. A cet instant précis, je sentais l'électricité de la situation s'intensifiait, un frisson parcourant ma peau. L'air était chargé de cette tension subtile qui précède un changement. Julien posa sa guitare et se tourna vers moi, un sourire énigmatique aux lèvres. Le silence entre nous était lourd de sous-entendu, un moment où tout semblait possible, où les barrières du quotidien semblaient s'effriter. Julien s'était rapprocher sans que je m'en rende compte, sa présence chaleureuse presque palpable à côté de moi. Alex, assis de l'autre côté, nous observait avec un sourire qui oscillait entre amusement et curiosité. La nuit semblait avoir enveloppé l’habitacle, isolant notre petit monde du reste de la réalité, créant un cocon intime où tout paraissait permis.
- C'est étrange comme on peut se sentir vivant parfois, dit Julien, sa voix brisant le silence.
Ces yeux rencontrèrent les miens et pendant un instant, je me perdis dans cette intensité. Je savais que ce moment franchissait une ligne, mais il était trop tard pour reculer. Les barrières que j'avais maintenu si longtemps, semblaient se dissoudre à la lumière de la lune et sous le regard attentif de ces deux jeunes garçons. Alex se leva et se pencha pour ajuster la lumière, créant un effet plus doux, et encore plus intime.
- Vous savez, ce n'est pas tous les jours que l'on peut vivre quelque chose de différent, d'unique, dit-il.
Et ces mots résonnèrent comme une invitation implicite. Julien sourit, hocha la tête, son regard se faisant plus tendre, comme s'il cherchait mon approbation, une confirmation silencieuse que tout ceci était réel et partagé. Je sentis ma respiration devenir plus lente, chaque mouvement chaque parole s'imprégnant de sens. Julien s'approcha un peu plus, posant doucement sa main sur la mienne, un geste simple, mais lourd de promesse. Alex, toujours souriant, rompit le silence avec une phrase qui sembla suspendre le temps.
- Parfois, il suffit de suivre son instinct.
La musique de fond, l'éclat lointain du lac, le parfum de la nuit, tout se mélangeait pour créer une atmosphère envoûtante, un moment où le passé et l'avenir se diluait, ne laissant place qu'au présent, à ce qui allait se passer. Le « Van » était maintenant plongé dans une sorte de silence électrique. Julien, toujours près de moi glissa sa main jusqu'à mon visage, effleurant ma joue d'un geste doux et hésitant. Mon cœur battait si fort que je pouvais presque l'entendre dans mes oreilles. J'étais consciente de la présence de Julien, de son regard attentif, et complice, mais il n’y avait aucune gêne, seulement cette sensation de partage, d'être dans un moment unique et inespéré.
Sans un mots, Julien se pencha lentement, et nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser tendre, empli de cette tension accumulée au fil de la soirée. C'était un baiser qui parlait de curiosité, de découverte et d'une envie partagée d'explorer ce qui s'était subtilement tissé entre nous. Alex, souriant, se rapprocha doucement, posant sa main sur mon épaule, sa chaleur ajoutant à l'intensité du moment.
Le temps semblait se diluer, chaque seconde étirée comme une éternité. L'espace entre nous s'effaça et tout devint une danse délicate de regard, de geste, de sourire qui scellait cet instant hors du temps. Nous étions emportés par la spontanéité et la complicité, laissant nos émotions guider chacun de nos mouvements. Les étoiles brillaient dehors, indifférent témoins de notre secret, tandis que le murmure des vagues accompagnait cette nuit inoubliable.
Julien se plaça derrière moi, saisit les bords de ma robe, et la fit passer par dessus ma tête. Tout deux furent surpris de voir que j’étais nue dessous. Une fois la stupéfaction passée, Julien caressa mes seins, en fit rouler les bouts entre ses doigts, tandis qu’Alex prenait mes lèvres. Puis Julien descendit le long de mon dos, palpant mes fesses. Sa main se glissa entre mes cuisses. Je poussais un léger gémissement quand deux doigts pénétrèrent ma chatte. Je fermais les yeux, tandis qu’Alex embrassait mes seins, et que son majeur excitait mon clitoris.
Soudain, Alex bascula sur le tapis de poils blanc, m’entraînant dans sa chute. Il se retrouva allongé sur le dos, la queue en érection dressé comme un cierge. Je ne pus m’empêcher de m’y empaler dessus, tandis que ma croupe offerte servait de support aux caresses de Julien. Ce dernier se positionna de façon à me couvrir. Je sentais sa bite chercher le bon angle, puis enfin parvint à me sodomiser. Je sentais leur calibre vibrer en moi, en cadence régulière. Je gémissais de plus en plus fort. J’eus plusieurs orgasme en une seule prise. Mais Julien en voulait plus. Je compris son désir. Je me suis penchée, pris leur queue en bouche pour une douce fellation.
Le reste de la nuit fut marqué par une atmosphère douce et complice. Après ce moment intense, nous nous sommes assis tous les trois, échangeant des regards complices et des sourires détendus. Le silence s’était transformé en une sensation de paix, comme si nous avions partagé quelque chose de rare et précieux.
Julien reprit la guitare et joua une mélodie apaisante qui semblait envelopper nos émotions dans une sérénité bienvenue. Alex, appuyé contre la carrosserie du « Van », nous regardait avec un sourire tranquille, un regard bienveillant qui montrait combien il se sentait à l'aise dans cet instant partagé.
Tout semblait parfait, comme si nous étions dans une bulle de calme et de sincérité. Les premiers rayons de l'Aube commencèrent à filtrer à travers les vitres, éclairant l'intérieur d'une lumière douce et dorée. Nous savions tous que le moment magique touchait à sa fin, mais personne ne semblait pressé de partir. L'aube apportait une sorte de clarté, à la fois sur nos sentiments et sur ce que nous venions de vivre.
Finalement nous sortîmes du pour admirer le lever de soleil au-dessus du lac. Les couleurs éclatantes de l'aurore se reflétaient sur l'eau, créant un paysage magnifique qui semblait être la parfaite conclusion de cette nuit inoubliable. Nous nous tenions là en silence regardant l'horizon avec un mélange d'émotions, heureux d'avoir partagé cette expérience unique. Enfin, je pouvais enfiler ma robe légère qu’ils m’avaient interdit de mettre, voulant profiter au maximum de la vue qu’offrait mon sublime corps. Nous prîmes chacun nôtre chemin, gardant en moi ce souvenir précieux, comme un secret gravé dans le cœur. Ce moment resterait entre nous, un instant de vie que nous n'oublierions jamais, mais que nous laisserions là, au bord de ce lac, comme un souvenir sacré de notre complicité.
Mes merveilleux amants, infatigable, m’avaient rendu vivante, désirée, m’offrant ce que mon mari ne m’avait offert depuis longtemps.
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