Mon mari a invité un pote

Récit érotique écrit par mazaudier le 19-01-2025
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Catégorie Infidélité

Je m’appelle Laura, et suis mariée avec Didier, depuis deux ans maintenant. Un amour jusque là sans faille...pourtant.L’histoire se passe dans un chalet mythique, qui respire l’amour. C’est là que j’ai perdu ma virginité avec mon copain, devenu mon mari aujourd’hui. Ma première sodomie, ma première pipe, c’est ici. C’est devenu un peur nôtre refuge.Didier est un très beau gosse de vingt huit ans, deux ans plus âgé que moi. Dans son travail, il côtoie beaucoup de femmes, et ma hantise, c’est qu’il me trompe avec une plus belle que moi, pourtant très belles. Pourtant...Voici l’histoire que j’ai vécu, il y a quelques semaine dans nôtre chalet de montagne.

Par la fenêtre de nôtre chalet de montagne, je regarde les flocons commençaient à faire un épais manteau neigeux. Il fait un froid glacial. Je suis bien au chaud à l’intérieur, calée près de la cheminée, ou crépite un feu de bois. Je me sers un verre de whisky, et m’assieds sur un petit banc, regardant la neige tombée.

« J’espère qu’il sera prudent ».

Je pense à mon mari qui doit rentrer, mais vue le temps, je ne sais pas à quelle heure il va arriver, et commence à m’inquiéter.

Soudain, je vois des feux au loin, et rare sont les voitures à passer dans le coin, quand il y a autant de neige. Je regarde attentivement, c’est bien la voiture de mon mari…

Ouf, enfin rassurée…

Heureuse, je sors sur le perron pour l’accueillir. Un jogging, et un gros pull en laine, suffisent tout juste à me faire supporter le vent glacial.

Quand je vois enfin mon mari descendre de la voiture, je suis très surprise de voir un autre homme l’accompagner. Il arrive près de moi, et en voyant ma stupéfaction sur mon visage, il m’explique qu’il doit héberger un collègue pour la nuit, car sa voiture est tombée en panne.

Ils rentrent se mettre au chaud, ferme la porte, et je lance un grand sourire à mon mari.

- Aucuns soucis mon chéri. Bienvenue…

- Gérald, madame, Gérald, merci de vôtre hospitalité madame…

En bonne maîtresse de maison, et après une longue journée de travail, et quelques frayeurs sur la route, Je propose à cet inconnu de prendre une douche, et lui indique la salle de bains. Gérald accepte volontiers, et je devine que tout en se déshabillant, il doit se dire qu’il prendrait bien la douche avec la femme de son collègue, qu’il doit trouver à son goût.

Pendant ce temps, heureux de retrouver sa femme, Mon mari me coince dans la cuisine, m’embrasse en parcourant mon corps avec ses mains. Très vite, réalisant que je n’ai pas de sous vêtements, il passe ses mains sous mon pull, dans mon dos, glissent dans mon jogging, sur mes fesses, remontent le long de mes cuisses, font un arrêt sur ma chatte brûlante. Les mains de mon mari sont froides. Ses caresses me font frissonner de plaisir. Il va et vient en me caressant doucement. Il aime jouer avec moi, m’entendre gémir. L’excitation fait pointer mes bourgeons, et ma respiration s’accélère, je pousse même de petits gémissements de plaisir. Mes mains ne sont pas inactives, une est déjà passer dans le caleçon de mon mari, je n’ai pas mis beaucoup de temps à défaire sa braguette pour le caresser. Je me blottis alors contre lui pour lui dire doucement à l’oreille.

« J’ai envie de te sucer » .

Et en arrivant contre lui, je vois par-dessus son épaule, Gérald, son collègue de travail. Il se tient derrière nous...en caleçon. Très gênée, je fais comprendre à son mari que nous ne sommes pas seuls. Mais depuis combien de temps est-il là ?

Un peu gêné, Gérald me demande si je n’aurais pas une serviette à lui prêter.

En conduisant son collègue dans la salle de bains, mon mari s’excuse de s’être laissé aller, mais Gérald lui répond qu’il n’y a pas de soucis, qu’il comprend parfaitement.

Il ajoute qu’il a aimé ce qu’il a vu et qu’il aurait sûrement fait la même chose à sa place. Quelle frustration pour mon mari et moi, être coupé dans un tel moment.

Gérald retourne à la douche, et qui sait, peut être est-il en train de se caresser, en pensant à ce qu’il a vu. Tout en se caressant il doit se dire que son collègue a bien de la chance d’avoir une superbe femme si ouverte, et doit regretter que je l’ai vu.

Pendant le repas, la discussion revient inévitablement sur l’épisode du début de soirée. Didier et moi-même sommes gênés, car nous ne savons pas comment Gérald va réagir. Étonnamment, il ne parait pas choqué, au contraire, et une conversation sans tabous s’installe. Le repas est chaleureux et la discussion de plus en plus chaude au fur et à mesure que la bouteille de vin se vide. Tellement chaude que quand je viens près de son mari pour lui servir à boire, il commence à me caresser. Il passe ses mains le long de mes jambes. Excitée par la conversation, je me mets à frémir. Gérald ayant très vite compris sourit à mon mari et ose lui dire.

- Ne te gêne pas pour moi.

Didier, un peu alcoolisé prend ça pour un défi, il se lève, se met derrière moi et commence à me caresser. Sa main droite glisse sous mon pull, caresse un sein, pendant que sa main gauche s’agite dans mon jogging. Je me laisse faire, je suis tellement excitée et frustrée depuis le début de soirée. J’ai tellement envie de sexe. Envie de jouir.

Je gémis et ne pense plus un instant à Gérald qui est là, médusé. Ne croyant pas vraiment à ce qu’il voit et en même temps, tellement excité. Son sexe doit être dur et gonflé, à l’étroit dans son pantalon. Didier se calme un peu et ôte mon jogging. Je ne porte pas de culotte.

Mon clitoris est déjà bien gonflé. Mon mari me demande alors d’aller servir Gérald car lui aussi doit avoir soif. Je fais donc le tour de la table et Gérald dot se demander comment il va faire pour ne pas me sauter dessus.

Certes, mon mari le provoque, mais ne lui donne pas la permission de me toucher.

Il devra se contenter de regarder. Et c’est déjà ça.

J’arrive près de lui et lui sers son verre de vin, et pose la bouteille. Je vois mon mari cligner des yeux. Serait-ce un signal, une autorisation ? Je sens la main de Gérald monter sur mes fesses, puis glisser entre mes cuisses. Un doigt lisse ma fente, jusqu’au clitoris, puis deux doigts pénètrent ma chatte, tandis que le pouce taquine mon petit trou.

-Ouah...elle mouille ta femme...je lui ais mis deux doigts dans la chatte, regarde comme elle bouge son cul...et ça, c’est quoi ?

- C’est mon clitoris salaud...oh oui, vas-y...gratte le…

Je me sens chaude, et de moi-même, quitte mon pull de laine. Je m’assieds sur Gérald, face à lui. Je sens sa bite gonflée, faire une bosse et je sais qu’il a envie d’aller plus loin.

J’attrape ses mains et les mets sur ses seins. Il regarde Didier pour voir sa réaction… et quand il voit mon mari lui tendre un préservatif en lui souriant, il commence alors à se détendre. Rien que de sentir ses mains sur ma poitrine, sa bite durcit encore plus, et son gland grossit. Il est fou, il me veut.

Il se lève et m’emmène sur le canapé devant la cheminée. Alors que je suis allongée sur le canapé il plonge entre mas cuisses, et me lèche la chatte. C’est tellement bon, il va, il vient, il glisse sa langue, aspire mon petit bouton. Je suis tellement excitée que je me cambre et sens ma chatte mouiller de plus en plus.

Je regarde Didier toujours assis à table, et qui a l’air d’apprécier le spectacle. Mais quand son regard croise le mien, il se lève et vient à côté de moi pour pouvoir se faire sucer. J’en peux plus…Je deviens folle. J’en avais toujours rêvé. Mon mari baisse son pantalon et son caleçon et s’agenouille pour que je puisse lui sucer la queue et jouer avec son gland. Excité, Gérald me relève les jambes et commence à glisser sa langue le long de mon petit trou. Il le lèche et quand mon orifice est suffisamment humide, il lui glisse un, puis deux doigts. Je frémis de plaisir, me cambre en arrière. Didier se retire de ma bouche et change de place avec son collègue.

Il me dit de me mettre a quatre pattes. Il a tellement envie de me mettre sa queue pour m’élargir mon trou. Il glisse sa bite, elle est trempée. Voir sa femme prendre autant de plaisir et un autre homme la caresser augmente encore plus son excitation. Je suis si chaude, que je n’hésites pas à ouvrir grand la bouche pour lui sucer la queue.

Je trouve la queue de mon mari, plus petite que celle de Gérald, peut-être parce que celle-ci est nouvelle pour moi.

Si seulement il avait pu imaginer. Il pensait passer une soirée de merde dans les neige, et il se retrouvait chez son collègue à glisser sa queue dans la bouche de sa femme. J’étais si chaude, si gourmande, quel intense plaisir je prenais à le sucer. Il reviendrait peut être plus souvent faire des soirées ici. Après s’être fait plaisir dans ma bouche, Gérald s’allonge sur le tapis et demande de venir sur lui. Je m’exécute et commence donc à le chevaucher. Ses coups sont rapides, et je prend du plaisir à chaque coups de queue, qui au plus profond de ma chatte. Je joue avec lui pendant que Didier, tout en se caressant, se délecte du spectacle de la bite de son collègue me pénétrer.

Gérald m’attrape par les hanches et commence à faire des mouvements de bassins. Il va de plus en plus vite, je sens que je vais jouir. Je me cambre en arrière et pose mes mains sur ses tibias. Gérald en profite pour me caresser les seins, ils sont si durs.

Soudain mes gémissements deviennent plus forts et je jouis sous ses puissant coups de queues. Mon mari ne tient plus. Il arrête de se caresser et vient derrière moi.

Gérald ralentit alors ses mouvements et laisse a Didier le temps se glisser sa queue dans mon petit trou. Je suis penchée juste au dessus de Gérald, je me remet de ma jouissance, elle n’est pas encore redescendu. Gérald excité de me voir si loin en profite pour me lécher les seins. Il mordille mes bouts avec délicatesse, ce qui ne calme pas mes gémissements de plus en plus fort. Gérald est tellement excité.

Mon mari continue ses va et vient…. Je ne gémis plus, je crie de plaisir. Gérald et Didier accélèrent leurs mouvements de va et vient. Je prend un plaisir fou.

Moi qui en est toujours rêvé, me voila enfin prise par deux hommes.

Didier aussi est complètement excité de me voir qui jouit sous les coups de bites de deux hommes. Il aime que je sois une cochonne, ça l’excite terriblement.

A tel point qu’il doit sentir l’éjaculation très proche. Il décide donc de se retirer et de m’éjaculer sur les fesses. Mon mari est essoufflé, il n‘en peut plus, il s’allonge sur le canapé pour tenter de reprendre son souffle et réaliser ce qui c’est passé.

Gérald me propose de changer de position, il se relèvent et sur les conseils de mon mari, il me plaque contre un mur et me sodomise. Je me cambre pour que Gérald puisse me caresser les seins. Je lui demande d’aller plus vite, je veut sentir sa queue au plus profond de moi. Gérald voulant me faire jouir encore une fois, s’exécute. Il accélère alors sa pénétration et me sodomise sans scrupules. J’aime ça, je hurle de plaisir, il me fait jouir, comme mon mari ne l’a jamais fait.. Et quand j’atteins l’orgasme, je sens sa queue vibrer en moi, l’éjaculation monter, lui aussi veut jouir. Alors il se laisse aller et jouit de plaisir. Il gicle si fort. Il se retire, présente sa bite au bord des ms lèvres, sans hésiter, le la prends en bouche, suce les dernières gouttes de sperme.

Mon mari s’étant refait une santé, nos ébats se sont poursuivis jusqu’au petit matin.











































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19-01-2025 0 275

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