Ma femme Nadia et moi avions loué un Riad à Marrakech pour y passer 2 semaines de vacances.
Le Riad était magnifique, il comportait un grand patio avec un toit transparent et qui pouvait s'ouvrir. La salle à manger, la cuisine s'ouvrait sur ce patio dont les quatre coins étaient occupés par des banquettes et de petites tables. Au rez-de-chaussée, il y avait l'appartement qu'occupaient Houria et Larbi, nos serviteurs. Au premier étage se trouvaient deux suites, l'une pour ma femme et moi et l'autre pour sa famille ainsi que le hammam.
Ma femme s'occupa tant bien que mal les 2 premiers jours. Elle partagea son temps entre les visites de Marrakech avec ses parents, les séances de bronzage sur la terrasse en compagnie de sa mère et de sa tante. Elle se masturbait tous les soirs dans sa chambre comme elle le faisait chez elle, chez nous.
Le 3ème jour, je proposai à tout le monde de faire une excursion en 4X4 dans le désert. Tout le monde accepta avec joie, sauf ma femme Nadia peu enchantée de passer 1 ou 2 jours en plein cagnard avec se parents.
Nadia insista pour rester au Riad et ses parents cédèrent à sa demande. La présence du serviteur Larbi les rassurait. Tout le monde partit en début d'après-midi.
Ma femme s'offrit une séance de bronzage intégral sur la terrasse pendant que Larbi vaquait à ses occupations. Ils dînèrent ensuite tout les deux avant de rejoindre, lui son appartement, et elle sa chambre ou elle se livra, comme chaque jour à sa séance de plaisir solitaire.
Le lendemain matin, Nadia descendit de sa chambre en chemise de nuit. En fait de chemise de nuit, elle avait utilisé une chemise en coton de son père qui s'était révélée trop petite pour lui après le premier lavage. La chemise avait un pan à l'arrière qui descendait à peu près à mi-cuisses et l'avant lui couvrait à peine le pubis. Elle portait juste une petite culotte en dessous. Arrivée en bas de l'escalier, elle trouva Larbi qui faisait un peu de rangement dans le patio.
Quand il entendit le claquement de ses mules à semelles de bois sur le carrelage, Larbi se retourna et, après un instant de surprise devant la tenue de mon épouse, son regard s'assombrit.
- Bonjour, Larbi. Comment ça va ce matin ?
- Bonjour Nadia. As-tu bien dormi ?
- Oui, merci. Mon petit dej' est prêt ?
- Oui, mais…
- Mais ?
- Madame, tu ne devrais pas te promener comme ça. Si ton mari ou ta famille te voyaient, ils seraient très fâchés. Et puis, et puis… Et puis, nous sommes seuls et je… Je ne suis qu'un homme.
C'est à cet instant précis que ma femme commença sa longue carrière de petite salope. Elle accueillit d'un sourire carnassier les remontrances de Larbi. Sans plus y prêter d'attention, elle s'étira comme un chat, tendant ses deux bras vers le plafond, ce qui eut pour effet de dévoiler sa petite culotte aux yeux exorbités de Larbi. Puis elle avança vers lui, en roulant des hanches. Arrivée devant lui, elle le poussa doucement en arrière jusqu'à ce qu'il soit forcé de s'asseoir sur la banquette derrière lui. Elle se trouvait en position dominante et Larbi ne pouvait détacher son regard de cette petite culotte rouge comme l'enfer.
- D'abord, Larbi, mon mari est ton patron. Et quand il n'est pas là, ni ma mère, c'est à moi que tu dois obéir. D'accord ?
- Mais…
- Il n'y a pas de « mais ». Ensuite tu dis que tu n'es qu'un homme, et bien j'espère bien car je compte en profiter.
En se baissant, elle posa sa main sur la bosse que faisait le pantalon de Larbi et ajouta :
- Je crois qu'il y là quelque chose qui pourra me satisfaire.
- Madame Nadia, ce n'est pas bien. Si ton mari savait ça… protesta Larbi.
- Pourquoi veux-tu que mon mari soit au courant. De toute façon, je lui dirai que tu m'as forcée alors…
La menace était claire et Larbi se sentit pris au piège de cette gazelle. Il ne savait pas comment se sortir de cette situation. Il n'avait pas l'habitude des femmes mariées et élégantes qui l'avaient toujours impressionné. Il tenta une dernière protestation :
- Mais, madame Nadia, que se passera t'il quand tout le monde sera revenu ?
- Rien, absolument rien. A ce moment là, tu devras te contenter de ta femme Houria.
L'évocation de son épouse, fit faire la comparaison à Larbi entre sa femme et Nadia. Houria avait beaucoup grossi ces dernières années. Elle mangeait trop de pâtisseries traditionnelles, grasses et sucrées dont elle raffolait. Cette jeune fille qui s'offrait à lui en totale impudeur était sans conteste beaucoup plus séduisante et il avait envie de la baiser. Il envoya sa main sur la cuisse lisse et ferme, et la caressa doucement avant de remonter vers la petite culotte rouge. Il bandait énormément et son pantalon grossissait à vue d'œil. Mon épouse se laissa peloter un peu avant de retirer la main qui lui caressait les hanches et de s'éloigner.
- Doucement, Larbi, je n'ai pas envie maintenant. Sers moi mon petit déjeuner.
Larbi s'exécuta frustré, se retenant de jeter Nadia sur une banquette, de lui arracher sa chemise et sa culotte et de la baiser comme elle se méritait.
Son petit déjeuner avalé, mon épouse remonta dans sa chambre et y passa le reste de la matinée. Elle déjeuna vers midi. En début d'après-midi, elle sortit en demandant à Larbi de préparer le hammam pour dix-huit heures et sortit pour se rendre à la piscine.
Nadia rentra vers dix-huit heures. Larbi l'attendait au premier étage et lui dit que le hammam était prêt. Elle entra dans la salle de massage et se déshabilla sous les yeux de Larbi. Elle pénétra dans la salle chaude et appela Larbi. Elle lui demanda de la laver. Elle se laissa enduire de savon noir, frictionner au gant de crin et rincer avec l'eau tiède. Toutes ces ablutions avaient rendu Larbi fou de désir, toucher ce corps juvénile, le frictionner au savon à mains nues, l'excitait terriblement. Il bandait comme un âne et ne pouvait dissimuler la bosse que présentait son pantalon, il n'y pensait même pas d'ailleurs. Nadia savourait cet instant, elle se rendait compte du pouvoir qu'elle avait sur cet homme et en tirait elle aussi une forte excitation.
Une fois lavée, frictionnée, ma femme alla s'étendre sur la table de massage et demanda à Larbi de la masser. Il pétrissait la chair ferme de la jeune fille avec ses mains enduites d'huile parfumée, avec ses pouces il massait l'intérieur des cuisses que Nadia avait largement ouvertes, remontant jusqu'au pli de l'aine, frôlant le pubis soigneusement épilé. Il avait devant les yeux, ce bel abricot qui gonflait de désir, sa queue tendue, gonflée lui faisait mal. Au bout de quelques minutes, ivre de désir, il posa ses lèvres sur le joli fruit mûr qui ne demandait qu'à être cueilli. Nadia gémit de bonheur de sentir, pour la première fois de sa vie, une bouche avide fouiller sa fente, elle gloussa quand la langue de Larbi s'introduisit dans son antre mouillé, elle poussa un petit cri quand cette même langue titilla son clitoris qui n'avait jusqu'alors connu d'autre contact que celui de ses propres doigts et rarement ceux de son mari (moi). La caresse était douce et elle gémissait de bonheur en ondulant doucement sous les coups de langue de Larbi. Elle eut un orgasme et laissa parler son corps qui se déhanchait pour rechercher encore plus fort cette langue qui la ravissait.
Après avoir repris ses esprits, ma femme constata que Larbi se tenait toujours debout au pied de la table. Il n'avait pas osé aller plus loin même si sa queue ne rêvait que de perforer cette jouvencelle.
Nadia fit allonger Larbi sur la table. Elle le déshabilla. Larbi avait le corps recouvert d'une importante pilosité et elle joua à faire courir ses doigts dans la toison de sa poitrine. Puis elle fit glisser son pantalon de toile légère. Elle tata la bosse de son slip avant d'y glisser sa menotte. Larbi gémit de plaisir de sentir son zob emprisonné dans la main de sa jeune patronne. Nadia le branla légèrement, elle sentait ce membre gonfler encore dans sa main. Elle fit glisser le slip et elle prit la queue entre deux doigts délicatement. Le gland à nu était gonflé, rose foncé, violacé. Elle regarda ce qu'elle tenait entre ses doigts comme on examine un fruit inconnu, avant de le déguster. Elle posa ses lèvres sur le gland, le goûta de la pointe de sa langue, le lécha tout entier avant de le mettre dans sa bouche. Elle commença à pomper consciencieusement son amant, comme elle l'avait vu faire dans les vidéos pornos dont elle agrémentait ses séances de plaisir solitaire. Elle l'avala profondément, elle s'était entraînée à cela avec son vibromasseur. Larbi n'en pouvait plus. Jamais sa femme Houria ne l'avait sucé et seules les putains qu'il avait autrefois fréquentées suçaient de cette façon. Il tenta de prévenir Nadia que sa résistance atteignait ses limites, il essaya d'éloigner la bouche de la jeune femme de son chibre qui aller exploser, mais mon épouse résista et continua sa fellation. Larbi se vida dans la bouche qui le torturait, en de longs jets de sperme, puissants qui atteignirent le fond de la gorge de Nadia. Passés les trois ou quatre premières salves, il ne restait plus qu'un écoulement plus faible, qu'elle reçut sur sa langue.
Nadia aima la puissance de ces jets, évocateurs de la puissance du plaisir masculin. Elle aima aussi la saveur salée, grasse de la semence et avala tout. Elle continua de pomper et de branler Larbi jusqu'à ce que la source se tarisse et que la verge qu'elle tenait à pleine main perde peu à peu de sa consistance.
Larbi était exténué de cet orgasme violent, libérateur qu'il contenait depuis le matin. Il était aussi effaré de la perversité de cette jeune femme. A cet instant, il ne pensait qu'à une chose, reprendre de la vigueur et la baiser comme une chienne.
Mais mon épouse ne lui en laissa pas le temps. Elle quitta le hammam, toujours nue et sans un regard pour Larbi et sans se retourner, elle lui dit de préparer le dîner pour vingt heures.
Vers vingt heures, Nadia entra dans le patio. Elle s'était couverte d'un petit haut très moulant avec un large décolleté et d'une jupe en jean qui lui arrivait à mi-cuisse et portait des chaussures à talons. Maquillée et parfumée, elle était l'incarnation du vice avec ses seins nus qui pointaient sous la fine étoffe de coton de son haut. Elle n'avait pas mis de culotte et elle sentait la fraîcheur de l'air sur sa chatte déjà humide.
Larbi lui servit une pastilla au poulet avec quelques figues. Elle dévora tout cela assise sur un des canapés du patio en guettant Lari du coin de l'œil. Le serviteur jetait fréquemment des coups d'œil en direction de sa jeune maîtresse. Celle-ci n'avait pas prit soin de tirer sur sa courte jupe qui avait remonté jusqu'en haut de ses cuisses quand elle s'était assise. Et chacun de ses mouvements dévoilait un peu plus sa chatte exempte de toute pilosité. Son repas terminé, Nadia demanda à Larbi de lui apporter un thé à la menthe dans sa chambre. Et elle remonta l'escalier en direction de sa chambre.
Larbi prépara fébrilement le thé dans la cuisine. Il manqua de faire tomber la théière tant il était nerveux. Il bandait rien que de penser qu'il allait se retrouver seul avec ma femme dans sa chambre. Si cette gazelle lui avait dit de monter, ce n'était pas pour rien… Il avait joui dans sa bouche et il ne désirait qu'une chose en faisant infuser les feuilles de menthe – la baiser et jouir dans ce corps juvénile qui le rendait fou de désir.
Il monta les marches de l'escalier avec précaution, il n'était pas question de renverser le plateau avec le thé et les pâtisseries.
Il frappa à la porte et entra sans attendre que Nadia lui réponde. Il la trouva allongée sur son lit, à plat ventre en train de lire une revue. Il pouvait voir parfaitement son petit cul sous sa jupe remontée et son abricot entre ses cuisses légèrement écartées. Larbi posa le plateau sur une table basse et servit un verre de thé qu'il tendit à Nadia. Celle-ci se retourna et s'assit en tailleur pour boire doucement le liquide brûlant. Larbi s'était assis à coté d'elle et avait osé poser sa main sur sa cuisse. Elle ne protesta pas et continua de boire son thé comme si de rien n'était. Larbi s'enhardissait à faire glisser sa main de plus en plus haut en direction de la chatte offerte. Quand elle eut fini son thé, elle se retourna pour poser le verre vide sur la table de nuit et elle posa ensuite ses mains sur les épaules du domestique. Nadia posa ses lèvres sur les siennes et l'embrassa en glissant ses mains sous sa chemise à même la peau. Larbi rendit son baiser mais n'osait pas bouger. Ma femme lui susurra à l'oreille :
- Tu as envie de me baiser, vieux salaud ?
- Oui, madame Nadia, je veux te baiser. Tu es très belle.
Nadia le força à s'allonger sur son lit, défit les boutons de la chemise qui s'ouvrit sur la poitrine velue du serviteur. Elle joua avec cette toison en y glissant ses doigts, caressa les mamelons de sa poitrine, et laissa s'égarer ses mains sur le ventre, et encore plus bas.
Pendant ce temps, Larbi avait fait glisser le petit haut par-dessus la tête de Nadia et après lui avoir peloté les seins, il la branlait maintenant de deux doigts dans sa chatte. Elle appréciait cette caresse brutale, les gros doigts du mâle la remplissaient, s'agitaient dans son con trempé de mouille. Elle jouit rapidement, en embrassant son amant.
Larbi quitta son pantalon et se jeta sur ma femme sans même lui laisser le temps de reprendre son souffle. Il la pénétra d'un seul coup de reins et se mit à la limer violemment. Nadia était aux anges, son orgasme précédent n'était pas encore totalement retombé que déjà, elle sentait dans son ventre l'annonce d'une deuxième explosion. La grosse queue qui la perforait n'avait rien à voir avec son vibromasseur ni celle de son mari. Aussi grosse mais plus souple, plus tendre et surtout elle n'en avait pas la froideur mécanique. Elle se sentait maintenant totalement dépucelée. Elle jouit une deuxième fois en serrant la taille de Larbi avec ses jambes repliées et remontées sur ses reins. Elle l'éperonnait de ses talons pour le faire rentrer en elle encore plus profondément.
Elle eut un troisième orgasme au moment ou Larbi explosa en elle. L'accélération de ses coups de reins, le gonflement spasmodique de sa queue et les jets de sperme qu'elle reçut au fond de son con, toutes ces délicieuses sensations, nouvelles pour elle, lui provoquèrent une troisième explosion de plaisir.
Les deux amants s'endormirent ensuite épuisés l'un et l'autre.
Durant les jours qui suivirent, mon épouse subit les assauts de Larbi plusieurs fois par jour. Elle le provoquait en se promenant nue devant lui, en prenant des poses indécentes qui le mettait en feu. Elle savourait l'emprise qu'elle avait sur lui. A chaque fois, elle criait de plaisir de se sentit pénétrée, écartelée, remplie par son zob. Ils copulaient partout, là ou le désir les reprenait. Au milieu du patio sur le carrelage frais, sur la terrasse sous le soleil brûlant, dans l'atmosphère moite du hammam et bien sûr dans le lit conjugal.
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