Trois amis en croisière.

Récit érotique écrit par mazaudier le 10-04-2025
Récit érotique lu 4 fois
Catégorie Couple


Sylvain et Barbara, accompagnés de Romain, un ami d’enfance, étaient en croisière en Grèce pour une semaine. Tous trois avaient la trentaine. Barbara était d’une indécente beauté, le bout de ses seins, en permanence dépourvu de soutien-gorge, tendait le tissu de son tee-shirt. Les deux amis étaient en admiration quand elle se baignait, parfois entièrement nue, impudique. Le bateau, un voilier moderne de neuf mètres loué à Athènes, constituait un espace intime, un carré et deux grandes cabines.

Après quelques jours de navigation ils s’étaient arrêtés à Hydra. Ils vivaient toute l’année en Afrique dans une grande ville portuaire et faisaient de la voile ensemble. Des régates, quelques croisières en remontant les fleuves du pays, avaient forgé leur entente.

Romain était venu seul et commençait à regretter sa femme, surtout dans cette atmosphère d’été, de vacances, avec toutes ces belles filles, ces touristes de toute l’Europe et d’ailleurs, qui sillonnaient les îles. Les deux amis prenaient un pot sur une terrasse du merveilleux petit port semi-circulaire.

L’activité était intense sur l’eau, les hydroglisseurs entraient et sortaient à toute allure, pilotés avec une maestria incroyable dans le port bondé. Ils rentraient dans le port et s’arrêtaient net le long du quai, évitant la collision anticipée par les deux amis, marins amateurs. Pendant ce temps des plaisanciers qui avaient croisé leurs ancres au fond s’évertuaient à les dégager. Une escadre de petits voiliers loués par des Anglais inexpérimentés entrait à son tour, et c’est leur skipper en chef qui devait embarquer successivement sur chaque unité, pour faire lui-même la manœuvre d’accostage… Un chaos total semblait régner dans ce havre de soleil méditerranéen.

Barbara était restée à bord préparant le repas. Au bistrot les deux hommes parlaient de femmes. Romain se plaignait de sa solitude et de son manque de sexe. Il avait essayé les boîtes de l’île, mais sans succès. Sylvain était un peu embêté car il avait sa femme tous les soirs et dans la nuit propice, quand l’autre dormait, ils se livraient à leurs jeux habituels. Elle était plutôt prude et ne se déchaînait que rarement, quand elle était très excitée. Dans ces moments il avait le sentiment qu’elle plongeait dans le sexe, sans retenue, et qu’il pouvait lui faire faire n’importe quoi.

Il y songeait pendant que son ami continuait à lui parler de son désir insatisfait. Il eut tout à coup un flash érotique, un raté dans ses battements de cœur. Et s’il prêtait sa femme à son copain? Évidemment, elle ne voudrait jamais s’il lui proposait froidement, mais, dans un de ses moments de déchaînement sexuel, elle se laisserait sûrement aller. Il n’écoutait plus Romain et commençait à échafauder un plan.

Ce soir il ferait l’amour à sa femme dans le carré, quand ils seraient seuls, prétextant un désir impérieux. Il demanderait à son ami de sortir pour rentrer tard, et revenir à une heure prévue. C’est à ce moment qu’il proposerait à son épouse une fellation. Elle se placerait entre ses jambes en présentant sa croupe vers l’entrée de la cabine. Et pendant qu’elle le sucerait, allant et venant de ses lèvres et de sa langue sur sa queue, l’enfonçant jusqu’au fond de sa gorge, Romain arriverait sans bruit devant la chatte offerte, pour la prendre à la taille, sortir son bite et la pénétrer. Il était sûr qu’elle ne réagirait pas et prendrait le plaisir qui se présentait.

Romain le secoua et le fit sortir de sa rêverie érotique, un peu fâché de voir qu’il n’était pas écouté. Il revint alors sur terre et lui proposa carrément Barbara et tout ce qu’il avait imaginé en quelques secondes. Romain, un peu interloqué, sentit l’excitation se propager à lui et se voyait déjà devant ces fesses offertes et cette chatte mouillée, où il pourrait se prélasser et décharger l’excès de la sève qui le tourmentait.

Peu après, à bord, pendant le repas, ils se regardaient en douce comme deux conspirateurs, vivant à l’avance tout le scénario. La soirée se déroula comme prévu. Quand ils furent seuls, il commença à entreprendre sa femme. Il s’appliqua à contrôler son plaisir et à l’exciter au maximum. Il la lécha longuement appliquant sa langue tout le long de sa chatte et s’arrêtant délicatement sur le clitoris. Barbara jouit à deux reprises, puis il la prit en levrette. Il ne pensait qu’à ce qui allait suivre et l’excitation semblait lui donner une érection éternelle, un contrôle total sur son éjaculation. Barbara était un peu étonnée, car d’habitude il prenait son plaisir assez vite, la laissant en général insatisfaite. Cependant, ce genre de séance où elle aussi trouvait son compte arrivait de temps à autre, et elle n’y accorda pas plus d’importance. Elle se laissa aller dans un tourbillon de plaisir, un orgasme qui semblait continu…

Peu avant l’heure dite, il se retira d’elle et encore gluant de leurs deux liquides, se leva et l’attira vers lui. Debout, le sexe à demi bandé, il la fit asseoir sur la couchette et dirigea de la main le visage de la femme contre son ventre. Consentante, elle arrondit la bouche et il y pénétra de toute la longueur de sa queue. Des deux mains il lui maintint la tête et la fit aller et venir sur lui, contrôlant lui-même la vitesse, forçant ainsi au rythme qu’il désirait. Elle se laissait aller, tel un objet de plaisir, à cette fonction. Lui utilisait sa bouche comme une chatte qui s’offrirait, qu’il contrôlerait, tenant les hanches.

Longtemps il se reput du spectacle de la bouche pris par son pieu, voyant les testicules buter sur le menton de sa femme et sa queue s’enfoncer comme un piston infatigable. Il se livra à son fantasme favori et lui fit dire “ je t’aime ” plusieurs fois pendant qu’elle suçait. Les mots sortaient déformés par le bâillon de chair qui l’obstruait“ je... t’aime…je...j t’aime…”

Enfin il sortit d’elle et s’allongea, la fit mettre dans la position prévue et s’arrangea pour que sa croupe se dresse vers l’entrée du carré, toujours ouverte à cause de la chaleur. Elle le reprit en bouche, surexcitée et pensant vaguement à leur confusion si Romain arrivait. Et en effet il était là, dehors dans le cockpit et l’obscurité, profitant du spectacle. Il regardait Barbara penchée et enserrant le sexe de Sylvain, montant et descendant sur la hampe. Il observait les fesses ondulantes qui s’offraient deux mètres de lui. Il voyait l’humidité et les traces de l’amour le long de la fente et des cuisses, vaguement éclairées par la lumière de la lune. Il dégagea son queue déjà en érection et commença à se masturber, jouissant de son rôle de voyeur. En bas, Sylvain l’avait remarqué et il lui fit signe de descendre. Il s’approcha sans bruit saisit Barbara aux hanches en cherchant de sa bite l’entrée de la chatte.

Quand elle se vit ainsi plaquée et qu’elle sentit le gland humide contre ses fesses, elle eut un sursaut, se dégageant de son mari et se retournant pour voir l’inconnu qui essayait de la baiser. Elle alla de l’un à l’autre et comprit immédiatement le plan à leur air entendu et légèrement coupable. Elle n’eut pas le temps de réagir que déjà Romain la pénétrait, profitant du sexe accueillant et bien mouillé. Elle fut surprise par l’énormité de la queue, trois centimètres plus longue, et plus épaisse que celle de Sylvain.


Elle ressentit le plaisir de cette pénétration et se laissa faire, reprenant dans sa bouche la queue érigée de son mari Alors les deux amis se déchaînèrent, et elle-même plongea dans la jouissance. Très vite elle eut un orgasme, le premier de sa vie par pénétration.

Elle sentit la queue de son mari se gonfler dans sa bouche et haleter sur le plaisir montant. Il jouit longuement au fond de sa gorge et elle avalait le sperme à chaque giclée, tandis qu’elle sentait de l’autre côté de son corps, au fond de sa chatte, Romain perdre le contrôle. Il se crispait sur ses hanches et avec des “hans” de bûcheron, il s’arc-boutait et déchargea, vidant ses énormes couilles au fond de son ventre.

Les deux hommes s’affalèrent sur la couchette et elle les prit tous deux dans ses bras, dans un abandon total. Pas une parole ne fut échangée. Les mâles étaient excités de cette situation nouvelle et elle aussi de les sentir nus à sa disposition. La vue de leurs sexes respectifs à demi bandés, l’aspect pervers et interdit de les voir nus, fit monter leur désir à tous deux.

Elle ressentit ce côté trouble et enivrant et se mit à les caresser, comparant les deux queues, leur épaisseur, leur longueur, passant sa main de l’une à l’autre, décalottant les glands, et les caressant sur la peau fragile et dénudée avec leur liquide, mélangeant les deux émissions des hommes qui gémissaient et s’abandonnaient à ses mains expertes. Elle mit sa tête entre eux et les prit tour à tour dans sa bouche. Pendant qu’elle suçait son mari, elle branlait Romain, puis se dégageant du sexe, elle arrondit la bouche sur le second, beaucoup plus gros que celui de Sylvain. Celui-ci, surexcité par la vue du charmant visage de Barbara enserrant cette bite étrangère, la prit par la croupe et pénétra la chatte encore glissante du sperme de l’autre.

Ils ne connaissaient plus de retenue et tombèrent dans un nouveau paroxysme. Finalement, Romain se retira de la chatte et chercha l’entrée du petit trou. Il l’a sodomisa d’un coup, l’abondance des liquides facilitant l’intromission. Elle n’était plus qu’une masse de plaisir, jouissant du glissement des queues tendues contre ses parois intérieures et ses muqueuses. Elle accueillit la double éjaculation dans sa bouche et au fond de son œillet comme une joie profonde qui déclencha en elle un nouvel orgasme. Puis, d’autorité, les deux amis la retournèrent, voulant la pénétrer ensemble. Elle accepta, mais émit la condition que se soit Sylvain qui la prenne au petit, la queue de Romain étant plus grosse. La double pénétration fut torride, Barbara hurlait de plaisir

Puis elle murmura à l’oreille de son mari. « Ça ne dérange pas si passe la nuit avec Romain.»

Lentement, Barbara tire Romain vers la cabine, laissant son mari seul dans le carré. Ils s’enlacent, parcourent leur corps de douces caresses. Puis, ça devient torride, leurs corps naviguent de fellation en pénétration, jusqu’à la sodomie que Barbara craignait. Elle hurlait de plaisir, plaisir qu’elle n’a jamais connu avec Sylvain. Lui, dans le carré, entendit tout, les comparaison sur la taille de sa queue, les performances de Romain au lit. Puis l’appel de Barbara.

- Chéri, rejoins-nous, ne fais pas la tête. Viens voir ton copain comme il ma baise. Sois pas gêné, c’est pas grave s’il est beaucoup mieux monté que toi.





J'aime 0
10-04-2025 0 4

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par mazaudier

Settings