Je me prénomme Cloelia je suis une jeune femme de

Récit érotique écrit par baiser eternel le 08-08-2007
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Catégorie Lesbiennes


Je me prénomme Cloelia, je suis une jeune femme de 21 ans. Je me suis installée dans mon nouvel appartement près du lieu de l’emploi que je viens de trouver, en fait je viens de finir mes études d’esthéticienne et je fais une formation par alternance. Au bout de trois semaines, je ne me sentais toujours pas à mon aise dans cette ville. J’avais dû abandonner mes amies pour m’installer ici, j’étais seule.
Un week-end, ma meilleure amie, Alice, est venue me rendre visite à l’improviste. Très surprise, vue la distance qu’elle avait dû parcourir, je fus terriblement heureuse. Nous étions très proches, un peu comme des sœurs, alors pour fêter nos retrouvailles, nous avons décidé de sortir en boîte de nuit. Avant de partir, nous avons bu un peu, le prix des verres au « Bombai » est vraiment hors de nos moyens, on s’est enfilé un ou deux petits verres de Gin (j’adore ça ^^) histoire de papoter un peu.

Donc nous partîmes vers 23h, afin d’arriver pendant que c’était encore gratuit pour les filles. Les videurs nous ont souri à l’entrée, il faut dire qu’Alice est vraiment très très belle. Elle mesure 1m65, environ 65kg, elle est brune, une peau dorée et surtout une poitrine que l’on pourrait décrire comme parfaite, ses seins semblent si fermes et si tendres à la fois, enfin… Moi à côté j’avais mis ma robe bleue ciel, décolletée et coupée au dessus du genou, elle allait bien avec mes yeux verts et mes cheveux châtains. Nous leur avons rendu leurs sourires. Lorsque nous sommes entrées, il n’y avait qu’un groupe de trois filles sur la piste de danse et quelques autres assises au fond de la pièce. Nous nous sommes installées dans la même partie de la boîte. Nous avons parlé de choses et d’autres jusqu’au moment où nous avons vu qu’un autre groupe de filles était entré. Parmi elle, une jeune asiatique d’une beauté sans nom. Elle était éblouissante. C’est vrai que je suis jalouse de ces femmes, mais je n’y prête pas plus attention que ça. Mais cette fille… En voyant ça, Alice me fit la remarque :
- Sympa, l’entrée gratuite avant minuit mais les mecs se font attendre…
- Oui c’est vrai que ça manque ici.
Après ces quelques mots, le premier gars arriva, puis plusieurs autres ; nous commencions à bouger sur place entrainées par la musique.
- On y va ?? me dit-elle.
- Ouais c’est parti, j’attendais plus que ça. Elle me fit un clin d’œil et nous avons sauté sur la piste.
Nos déhanchers agissaient sur les gars tel un charmeur avec sa flûte sur un serpent ; ils commençaient à se serrer contre moi et surtout contre Alice, je dois avouer. A un moment, sans le faire exprès, je me suis un peu écartée. Il y avait tant de monde et de fumée que je n’ai pas pu la retrouver.

Une main me cogna les fesses, et vues les circonstances cela ne me choqua pas. Néanmoins j’entendis un pardon malgré tout le brouhaha. Je me retourne et qui vois-je ? La jeune asiatique. Ses traits sont si purs, je ne sais pas ce qu’il m’arrive, c’est la première fois que je ressens ça envers une fille. On se fixe, les yeux dans les yeux, puis elle se penche vers moi, nous sommes joue contre joue, je frémis, mon corps entier tremble sous sa chaleur, elle sent si bon… Elle vient me chuchoter à l’oreille :
- Excuse moi je suis un peu maladroite.
- Je…je… ce n’est pas grave… ne t’en fait pas. Mes mots sortaient difficilement.
- Je ne voulais pas te perturber, tu danses si bien, tu as un déhancher si… sexy. Un sourire s’afficha sur son joli visage d’ange. Ses yeux plissés me faisaient fondre, elle était d’une finesse.
- Est-ce que tu veux danser un peu avec moi ? Je n’en revenais pas de mes mots.

Elle acquiesça de la tête pour ne pas avoir à crier.
Dix minutes plus tard, elle me fait signe qu’elle arrête. Je la rattrape pour lui dire que j’arrive de suite, et pars à la recherche d’Alice que j’avais perdue de vue. Elle était assise avec un homme d’environ 25 ans, plutôt beau gosse, j’avoue. Je la rejoins et lui dis que je vais avec une nouvelle amie, elle me dit « ok » et je lui glisse un petit « amuse-toi bien, à tout à l’heure ».
Me voilà à la table de Yulin, il y a moins de bruit ici, ce sera plus facile pour parler. Elle n’a pas d’accent, elle est née en France. Sa poitrine danse devant moi lorsqu’elle rit, j’ose la regarder lorsqu’elle baisse les yeux pour boire. Le temps passe et je suis toujours aussi perturbée, sa jambe touche la mienne, elle me frotte doucement le bas de la mienne comme si de rien n'était. Je sens mon string s’humidifier. Mais que m’arrive-t-il ??

Elle remonte son petit pied sous ma jupe, à présent je le sens nu et doux, j’en ferme les yeux.
- Ça n’a pas l’air de te déplaire !!!
- Non c’est vrai, tu m’excites beaucoup. Je me sens un peu gênée mais ta peau est si douce.
- La tienne aussi…
Son sourire… si érotique, tellement excitant, tout simplement divin.
- Veux-tu venir chez moi ? me propose-t-elle.
- Je ne peux pas, je suis avec une copine, mais elle partira plus tard. Tu peux venir chez moi, par contre, cette phrase résonna en moi.
- D’accord ! Je le dis à mes copines et j’arrive. Nous sourions ensemble, la gêne laissant place à l’excitation.
Je jette un coup d’œil vers Alice, elle semble libre, elle est prête à partir.
- Jolie ta copine asiatique.
- Elle s’appelle Yulin !! On va à la maison si tu es prête à partir.
- Et bien … oui pas de problème, je t’attendais.
- Cool alors…
Nous sommes dehors et attendons ma merveilleuse amie. Alice me dit :
- Elle est vraiment très belle Yulin.
- Oui c’est vrai, répondis-je les yeux dans le vide.
- Dis-moi, par contre je suis trop fatiguée pour partir cette nuit, cela ne te dérange pas si je reste dormir ?
A cet instant je me rends compte de ce que je pense et j’ai un peu peur de ce qui pourrait se passer entre Yulin et moi, alors je réponds non très vite. C’est incroyable ce qui peut se passer dans notre tête, je ne croyais vraiment pas avoir ces idées-là un jour.
Yulin arrive au même moment. Je fais les présentations et explique la situation à ma petite bridée. Elle me dit « pas de problème » et demande si ses deux amies pouvent venir également.
Yulin monte avec moi en voiture, c’est Alice qui conduit, donc nous passons à l’arrière.
- J’aurais aimé n’être qu’avec toi, me glisse-t-elle à l’oreille. Puis sa main glisse de mon genou jusqu’à l’intérieur de ma jambe. Sa main fraîche frôle mon sexe humide. Je rougis, effrayée qu'Alice nous voit, mais j'ai envie qu’elle monte plus haut. Pour le lui montrer, je lui fais la même chose sur son jean, mais en pressant sa cuisse dès qu’elle a remonté sa main. Alors elle reste en haut, caressant mes lèvres avec son petit doigt.

La soirée se passe et ses amies s’en vont sans elle, Alice et moi coucherons dans la seule chambre du logement tandis que Yulin dormira dans le salon. Alice va se coucher et moi je reste un peu avec cette belle inconnue.
- Enfin seules, dit-elle, puis elle se jette sur moi pour m’embrasser, me faisant tomber dans son mouvement. Je me retrouve sur le dos, mon étrangère sur le ventre, une main dans la mienne et l’autre sur mon sein gauche.
Nos langues se mélangent, ses mains tâtent ma poitrine avec douceur, ses mouvements lents m’excitent de plus en plus. Par terre, je la retourne pour la soumettre à mon envie, cette fois c’est moi qui la caresse, mes mains redessinent son corps en entier, toutes ses courbes, de son dos jusqu'à ses fesses, en passant par sa taille fine.
- Enlève ta robe, me dit-elle.
- Toi, enlève la.
Elle le fait en prenant ma jupe par le bas, afin de caresser mon postérieur chaud comme la braise, d’ailleurs elle m’en fait la remarque. Me voilà en sous-vêtements coquins de satin bleu ciel. Puis en un rien de temps, je me retrouve seins nus devant ma merveille d’Orient. Ses mains redescendues sur mes fesses, elle s’amuse avec ma ficelle. Ses jolis petits doigts glissent les un après les autres sur ma petite rondelle qui se dilate à chaque passage, comme pour les accueillir. Au même moment elle me mord les tétons, je suis aux anges. J’entreprend de la déshabiller à son tour. Je défais son petit haut par les boutons devant, il y en a une dizaine, c’est long mais tellement bon. Je vois apparaître sa poitrine au fur et à mesure, elle ne porte pas de soutien gorge, sa respiration s'accélère. Je l’embrasse dans le cou, puis je descends, je suce ses mamelons dorés, ma langue tourne autour pour sentir les aspérités de ses seins. Puis je continue à descendre pendant qu’elle me masse les épaules, je plante ma langue dans son nombril, ce qui lui procure un petit cri, je souris pendant que mes mains s’affairent sur l’ouverture de son pantalon. Une fois enlevé je m’allonge sur elle, nous voilà en combat de chattes. Elle me bascule tou t en m'enlevant ma ficelle, elle me lance un regard extrêmement chaud, sors sa langue afin que je la lèche, puis suce son doigt, écarte ma jambe gauche pour ouvrir mon sexe et l'enfile sur ma fente. Je sens son délicat touché qui ne pense qu’à me faire du bien, je commence à gémir, mes hanches se déchaînent de haut en bas tant elle joue avec mon clitoris. Soudain elle s’arrête.
- Non continue, j’aime, c’est tellement bon !
- Ne t’inquiète pas, je m’arrête juste pour passer à l’étape supérieure.
- Oh oui, vas-y, fait de moi ce que tu veux …

Elle m’embrasse avec amour, caressant ma nuque avec la main du délit, je sens mon odeur. Elle m’embrasse le cou, je sens sa langue me caresser, elle passe par mon lobe d’oreille, je gémis, je lui caresse sa raie d'une main, touche son anus avec insistance tandis qu’elle me souffle dans l’oreille, ses fesses reculent comme pour faire rentrer mon doigt en elle. Yulin continue sa descente pour lécher ma gorge gonflée de plaisir, passe sa main gauche sous mes fesses pour les masser tout en me léchant. Je prends sa main droite pour lécher les doigts dont elle m'a caressée, c’est si bon.
- Mmm… Oh oui... continue…
- Laisse toi allez ma belle, laisse ton corps parler.
Sur ses paroles, je passe une jambe sur son dos, et de l’autre je caresse sa jolie petite chatte douce comme un lever de soleil. Elle enfile sa langue de haut en bas jusqu'à mon petit trou. J’évite de crier pour ne pas réveiller Alice, mais j’en ai tant envie. Sa main sort de ma bouche pour me caresser, cette chaude étreinte arrive à mon anus, elle le caresse puis d’un seul coup y insère son majeur.
- C’est trop… je vais…
- Oui vas-y…
- Je vais jouir ma belle…. OOOooo OUIIIIIIiiii
C’est l’orgasme le plus puissant que j’ai jamais eu, c’est tellement bon, je l’embrasse, mon jus brille sur son visage. Il ne m’en faut pas plus :
- J’en veux encore, recommence...
- Hey, petite coquine moi aussi j’en veux …

Nos regards se croisent. Nous savons tout de suite quoi faire. Elle s’allonge sur moi et nous entamons une longue partie de 69. Tout d’un coup une voix me fait sursauter et me raidir.
- Cloelia… tu me déçois…
- A…Ali…Alice, je… je croyais que tu dormais ?!
Cette situation n’avait pas refroidi mon ange de l’est, ses reins appuyés sur mon menton comme pour dire : ne t’arrête pas continue, ce n’est pas grave… on s’en fout. Alice continue :
- Vraiment tu me déçois …
- …
- C’est vrai, tu aurais pu me demander si je voulais participer.
- Quoi ?? Toi ?? Tu…
Elle soulève son long T-shirt et, sans culotte, elle s’assoit au dessus de moi, jambes écartées. J’avais désormais deux jolies petites founes en face de moi.
Je m’aperçois en plus qu’elle tient dans sa main droite un objet brillant, c’est un gode, il est géant et surtout bien humide. En voyant ça, je me jette sur son sexe en pleurant de plaisir. Imaginer qu’elle nous espionnait tout en s’enfonçant ce géant dans sa précieuse entrée m’a excitée. La saveur de son nectar me fait entrer en transe, je ne me contrôle plus. J’enfonce maintenant deux, puis trois doigts, dans le ventre de Yu. Elles gémissent ensemble, c’est si bon. Yu a un orgasme et pour cause, Alice lui a enfoncé le monstre de plaisir dans son anus, je le sens au travers de sa paroi.
- Je ne peux plus tenir, Hann … les filles ... Je… Ohh ouiiiiiiiiiiii… Hannnnnn.

Mon esprit s'est comme envolé. En revenant du septième ciel, j’enfonce deux doigts dans la petite rondelle d’Alice, ils rentrent sans la moindre résistance.
- Oohh..., Cloelia ma chérie, plus loin, enfonce les bien au fond, oui comme ça…
Nos cris se mélangent.
Nous avons continué pendant une heure au moins, en changeant de position, du genre minou contre minou, reliées par le gode, etc…
Depuis, je vois Yulin très souvent, nous nous sommes attachées l’une à l’autre, et Alice nous rejoint assez souvent le week-end, ce qui nous inonde de joie à chaque fois.

FIN
J’espère que cette confession vous a plu, en tout cas cela m’a beaucoup plu de vous la raconter, laissez vos commentaires et peut-être j’en posterai d’autres..

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