L’histoire se passe lors d’une soirée entre potes. Juste avant que les invités n’arrivent, mon mari m’avait rejoins dans la salle de bains, pour que je le suce.
Pour l’occasion, mon mari m’avait demandé de mettre une courte jupe, sans rien dessous, pas de culotte, au cas ou il aurait envie de caresser ma chatte sous la table.
« Si c’est ton voisin qui te caresse, c’est pas grave...laisses toi faire ».
« C’est ça...ouais...et tu veux pas que je m’empale sur sa queue, et qu’il me baise, qu’il me fasse jouir devant tout le mondes, tans que t’y est ».
Il me sourit, puis il descendit à la cave chercher du vin. J’en profitais pour aller à la buanderie située dans le garage, afin de rincer quelques verres.
J’étais penchée sur l’évier, quand je sentis une main monter entre mes cuisses.
« Le salaud, il s’est planqué dans le meuble sous évier...quel vicieux...».
Je trouvais la situation très excitante, et ne fis rien pour la rejeter.
La main monta, atteignit ma petite chatte. Un doigt puis deux, la pénétrèrent. Le pouce, esseulé, s’occupait de mon clitoris, le décalottait, je le sentais tourner autour. Je trouvais cette caresse inhabituelle, peut-être dû à la mauvaise position sous l’évier.
Mais l’orgasme que ces doigts déclenchèrent, fut terrible, puissant. Grace à l’isolation des murs, je pus l’exprimer totalement.
Je retournais à table toute troublée, et attendis le retour de mon mari.
Il arriva cinq minutes plus tard, tenant Amandine, ma jeune nièce âgé de quatorze ans, par la main.
« Je l’ai chopé dans la buanderie la coquine, elle lavait ses mains dans l’évier »
Je fis de suite le rapprochement.
« Non...c’est pas possible, je ne me suis pas faite branler la chatte par une gamine de quatorze ans, qui pourrait être ma fille ».
J’allais à la cuisine commencer à ranger, quand un voix me fit sursauter.
« T’as l’air d’avoir pris du plaisir tout à l’heure à la buanderie...j’étais dans ma voiture à régler mon GPS. On voyait très bien la petite main de te nièce jouer avec ta chatte. Tu te rend compte qu’une gamine de quatorze ans, arrive à te faire jouir ».
la tuile. Mais aussi, pourquoi l’avoir autorisé à ce garer dans la garage, parce que soit disant, sa voiture était neuve.
« S’il te plaît Georges, ne dis rien à mon mari...je croyais que c’était lui…»
« Je sais garder un secret, mais sous certaines condition...le garage est obscur, rejoins moi dans la voiture ».
J’étais plantée devant lui, tête baissée, cherchant une échappatoire, mais n’en trouva pas, et fus obligée à me plier à ses exigences. Je le rejoins donc au garage.
Il m’attendait sur la banquette arrière de sa voiture. J’ouvris la portière, et m’y installais. Je remarquais à la lumière du plafonnier, sa queue déjà en érection. Elle étai énorme. Rien à voir avec le fifrelet de mon mari.
Il posa une main sur la tête, et me força à me pencher. Je sentais mes lèvres frôler sa bite. Je n’eus d’autre choix que de la prendre en bouche. C’est lui qui réglait le rythme de la fellation, tendis qu’une main, passée derrière mon dos, jouait avec mon petit bouton, pénétrait ma chatte. Je ne sais pourquoi, je fus la première à jouir, puis, très peu de temps après, je sentis sa sève gicler en abondance dans ma bouche. De sentir son sperme déferler dans ma bouche, déclencha en moi un deuxième orgasme, aussi puissant que le premier. Je gardais son zob en bouche, pris tout mon temps pour avaler sa semence, et nettoyer sa bite avec ma langue.
Je rajustais ma tenue, et lui fis promettre de ne rien dire, que je lui obéirais.
En décalage de quelques minutes, on regagnait, la salle à manger.
Encore sous le choc, je ne raccompagnais pas les invités quand ils partirent, il était vingt trois heurs environ.
Le soir, après avoir débarrassé, je regagnais ma chambre, ou m’attendais mon mari, en espérant qu’il n’est pas l’intention de me baiser, j’avais eu mon compte d’orgasmes pour ce soir. Je me blottis contre lui, pensant ne rien dire de ce qu’il s’était passé dans la buanderie, ni avec Amandine, ni avec Georges.
Le lendemain, mon mari se levait tôt pour un week-end pêche, avec ses potes. Il était six heures du matin, quand la voiture quittait la villa. A peine cinq minutes s’était écoulé, que j’entendis la porte s’ouvrir. Je vis par la faible lumière des rideaux, passer une ombre, qui se glissait sous les draps.
« Tatie...j’ai peur, je peux coucher avec toi ? »
Pensant à ce qu’il s’était passé hier j’hésitais un instant, puis…
- Bien sûr ma chérie...viens…
J’étais entièrement nue sous la drap, et pensais aux douces caresses qu’Amandine m’avait prodigué à la buanderie.
Aussi, je ne repoussa pas la main qui se faufilait sous le drap, jusqu’à rejoindre ma chatte. J’écartais les jambes, prenais ses doigts, et les enfonçais moi même dans ma chatte. Je gloussais langoureusement, étirant mes bras derrière la tête, lui faisant comprendre que j’étais à elle, qu’elle pouvais faire ce qu’elle voulait de moi. Je commençais à onduler des hanches quand ses doigts se mirent en action, j’avais l’impression que mon clitoris était sorti de sa cachette, en attente qu’un doigt veuille bien s’occuper de lui. Soudain, je me cambrais, prises en proie à de violent spasmes, qui déclenchait un terrible orgasme.
« T’aime ça, hein tatie ? »
« Oh oui j’aime ça ma chérie...».
« T’as encore envie...Tu veux que je recommence ?»
« Hum...oui j’ai envie mon trésor, c’est tellement bon...fais moi jouir encore.»
Je ne sais pas ou Amandine a appris tout ça, mais ses caresses sont un vrai délice. Elle est parvenu à ma faire jouir quatre ou cinq fois ce samedi là...et autant le dimanche. Depuis, dès qu’elle m’appelle, j’obéis à ses ordres.
Vous vous rendez compte, une fille de quatorze ans, qui s’amuse avec la chatte d’une femme de trente huit ans.
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