Les 3 semaines passèrent après ce déjeuner inoubliable, le programme de BTS étant chargé, Sarah et moi avions de moins en moins de temps pour nous voir hors des cours, donc moins d’ocrassions de revoir Victoria, déesse de mes rêves et des mes plaisirs solitaires.
Les rares fois où j’ai eu l’occasion de la voir alimentait mes pensés du soir : ses tenues moulantes, son sourire et ses clins d’œil ainsi que la petite bise à chaque fois. Le pire, c’est que tu cela se passait devant Sarah, mais soit elle l’acceptait soit elle voyait que dalle, d’ailleurs je me suis surpris plusieurs fois à penser : Coucou, Sarah ! Ta mère hyper bandante et bien gaulé me drague ! Je crois qu’elle voudrait bien regarder dans mon boxer et moi je lui arracherais bien son string avec les dents !! Rien a faire, du coup, j’avais moins de scrupules à fantasmer sur sa mère, sans compter que mon programme de BTS prévoit un stage de 3semaines avant les vacances de Noel, et quand j’ai annoncé cela à Sarah et à Victoria, c’est cette dernière qui avait été la plus triste de me savoir loin tout ce temps, donc, si je voulais faire quelque chose avec Victoria, je devais faire vite.
Mon plan était de m’arranger pour me retrouver seul avec Victoria pour l’amener doucement à quelque chose de plus « intime » comme elle l’avait si bien mentionnée. Malheureusement, toute mes tentatives furent vaines et jamais je n’est eu une bonne raison d’être seul avec Victoria sans attirer l’attention.
Je ne l’est croiser qu’une fois à la superette, je sortais du magasin lorsque je l’aperçue à une caisse, je lui est bien sur tout de suite proposer de porter ses courses et visiblement, elle était bien contente de me voir. Une fois tous ses paquets dans sa voiture, elle me proposa de me ramener chez moi ce que j’acceptai, bien sur.
Sur la route, on recommença le petit jeu de l’effleurage, d’ailleurs à un moment où une fois encore, elle allait effleurer ma cuisse, je mis ma main dessus et lui effleura la sienne au passage ce qu’elle appréciât. Elle se redressa sur son siège soit disant pour rectifier sa position, mais c’était clairement la position de sa poitrine qu’elle réajustait au niveau de ma vue, je plongeais dans son décolté tandis qu’elle paraissait concentrée sur sa route, je fis alors un geste que je n’aurais jamais osé imaginer : je mis ma main sur sa cuisse droite. Surprise apparemment, elle laissa échapper un gloussement et sa poitrine fit un petit bond bien agréable à regarder, finalement, on arriva chez moi et je dus me résigner à lâcher cette magnifique créature. On descendit tous les deux, elle se mit face à moi et remis ses mains sur mes épaules tandis que je mettais ma main gauche sur son épaule gauche, elle me déposa une bise encore plus appuyée que la dernière fois tandis que je passais ma main droite dans ses cheveux, son parfum m’enivrait. Quand elle retira ses mains, la mienne fu entrainer dans le mouvement et j’effleurais alors son sein gauche ce qui lui fit lâcher un autre gloussement qu’elle accentua d’un clin d’œil et d’un sourire plutôt coquin. Elle se dirigeât ensuite vers sa voiture tandis que je me dirigeais vers la porte, je l’entendis alors me dire : « Minute », je stoppai net, et me retournais vers elle pour la voir…tenant mon sace de course !
L’espace d’une seconde , je me suis pris pour le plus grand con de la Terre, puis elle brisa ce moment en rigolant doucement de la situation et je me mis à rigoler aussi, après quoi, je récupérai mon sac et me dirigeait pour de bon chez moi tandis qu’elle repartais.
La période de mon stage approchait doucement et je due me rendre à l’évidence que je n’arriverais à rien d’autres avec Victoria pour le moment et qu’a défaut, je pourrais passer ma dernière soirée avant le stage avec Sarah.
On organisa alors notre soirée, chez elle, en amoureux, bien qu’elle est beaucoup de travail (en période de stage, je ne vais plus en cours, mais pas elle). Au programme, soirée DVD dans son canapé et petit câlin.
Le soir venue, je me rendais chez elle et arrivée devant sa porte, un papier à mon nom y était accrocher et me disait que la porte était ouverte et m’invitait à entrer m’installer dans le salon.
A l’intérieur, je déposais mon blouson sur le porte-manteau et m’avançais dans le salon : personne, j’appelais alors, pas de réponses, je pris alors mon portable pour m’assurer qu’elle était bien là , elle décrocha au bout du deuxième appel :
-Sarah, je suis chez toi là , j’ai trouvé ton mot sur la porte
-Oui, je sais, je l’est laissé au cas où, je ne serais pas lÃ
-Pourtant tu as finis plus tôt que moi aujourd’hui
-Et du coup, je suis allé travailler chez une copine mais on n’a pas encore fini
-Mais c’est notre dernière soirée avant 3 semaines !
-Je sais, écoute, attends moi je fais au plus vite, promis
-Ok, mais fais v...
-Qu’est ce que tu dis ? J’ai pas bien compris.
-Euh, rien. Arrive vite s’il te plait
-Promis .Bisous
Si j’ai agit ainsi, c’est parce que j’avais droit devant moi, une charmante surprise. Victoria venait d’apparaître dans le salon, vêtue d’un peignoir en satin blanc : une vrai déesse grecque (Aphrodite peut se rhabillée).
Elle rapprocha alors de moi, toujours debout, incapable de bouger. Arrivée à ma hauteur, elle mit sa main sur ma joue, toujours en me souriant et de façon si troublante que je ne sentis pas qu’elle plaçait son pied gauche derrière le mien, de bout de ses doigts, elle me fit alors basculer sur le canapé.
Elle se pencha alors contre moi, en me regardant droit dans les yeux :
-Bonsoir, me dit-elle d’une voix très sensuelle
Pour ma part, j’étais incapable de répondre, comme hypnotiser par son regard : belle comme une déesse, mais dangereuse comme Méduse
-Je ne sais pas pour toi, mais moi, j’ai beaucoup aimé notre petit jeu de l’autre jour dans ma voiture
-Ouai, euh…Moi aussi, j’y repense tout le temps.
-Dommage que ce fut si court, j’aurais bien continué. Toi aussi, pas vrai ?
-Je mentirais si je disais non.
Visiblement satisfaite de ma réponse, elle approcha ses lèvres des miennes, mêla sa langue à la mienne et m’embrassa alors avec fougue. Je posai ma main droite contre sa cuisse, mon autre main lui caressant le dos tandis qu’elle prit ma tête entre ses mains sans arrêter notre baiser de feu. Ses lèvres pulpeuses et merveilleuses qui avaient si souvent toucher ma joue était encore plus agréables.
Mais bientôt, elle se retira et mis sa main contre ma nuque tandis que je caressais ses cheveux :
-Ma fille t’a fait faux bond si j’ai bien compris ?
-Ouai, à se demander si elle s’intéresse encore à moi. Je vais être absent 3 semaines et elle bosse juste avant notre soirée.
-Dommage pour elle, surtout avec ce que tu as apporté avec toi
Sur le coup, je n’est pas compris de quoi elle parlait jusqu'à ce qu’elle dépose sa main sur mon entre-jambe : je bandais à mort. Elle caressa lentement ma bosse et ajouta :
-Moi je suis là , et j’adore les « surprises »de ce genre. Ce qui me fait penser que j’en est une pour toi aussi.
Elle se redressa alors légèrement, détacha la ceinture de son peignoir qu’elle fit glisser lentement sur sa peau, elle n’était pas nue comme je l’espérais mais portais un ensemble lingerie complet : soutien-gorge blanc en dentelles légèrement transparent qui laissait apercevoir ses tétons, string blanc assortie surmonté d’un porte-jarretelles et de bas blancs et un paire de chaussures à talons. Elle me fixa à nouveau, en mordillant légèrement sa lèvre inférieure.
Elle se rapprocha alors de mon visage et nos lèvres fusionnèrent de nouveau, puis elle se redressa davantage et amena sa merveilleuse poitrine à mon visage, je ’attrapais alors par les hanches et plongeais dans ce décolté dont j’avais tant rêvé. J’embrassais sa dentelle, remonta jusqu'à son cou en la parsemant de baisers la forçant à pencher la tête en arrière, ce qui mit davantage sa poitrine en valeur. Je fis remonter mes mains le long de son dos et entrepris de la dégrafer, mais elle me stoppa et, en me fixant de nouveau ajouta « pas si vite, il faut attendre le bon moment » après quoi, elle mêla de nouveau sa langue avec la mienne avant de plaquer avec fougue ma tête entre ses seins. Je me mis à lécher sa poitrine, son cou avant de la glisser dans son jolie sillon inter mammaire, tandis qu’elle agrippait mes mains pour les amener à ses fesses que ‘j’empoignais aussitôt. Le plaisir était intense, la soirée plus belle que ce que j’espérais, j’entendais mon amante de ce soir pousser des petits gémissements
Elle m’arracha ensuite à son étreinte et se mit à caresser la bosse de plus en plus grandissante qui déformait mon jeans. Elle se retourna, s’assit délicatement sur mon entre-jambe et commença des mouvements de bas en haut avec son bassin, ses fesses généreuses buttant contre mon sexe. Je l’a pris alors par les hanches puis je parcourais son corps : ses jambes, son ventre avant de remonter jusqu'à sa poitrine, toujours emprisonné dans cette jolie pièce de lingerie : le « bon moment était arrivée » pensait-je, pour la deuxième fois, je ramenais mes mains dans son dos sans qu’elle tente de me bloquer cette fois, je l’a dégrafait alors sans la brusquer, elle fit glisser les bretelles le long de ses bras et envoya valser son soutien-gorge à travers le salon.
Elle stoppa ses ondulations, attrapa mes mains et les amena sur ses seins que j’empoignais sans ménagement : je les pétrissais avec passion, les sous pesais, pinçais les tétons qui durcissaient sous mes doigts tandis qu’elle reprenait ses mouvements. Je parsemais son dos de baisers, remontant jusqu'à sa nuque, puis basculant jusqu'à son visage où j’atteignais ses lèvres à nouveau, mélangeant nos langues fougueusement, après quoi, elle rompu ce moment :
-Alors, elle te plait ta surprise ?
-Sa pourrait pas être mieux !!
-Oh si sa peut l’être, t’as pas eu toute la surprise !!Mais là , c’est à mon tour de découvrir la mienne.
Elle se leva, se mit face à moi et détacha son porte-jarretelles qu’elle fit glisser à ses pieds, puis elle se rapprocha de moi, glissa ses mains sous mon T-shirt et caressa mon torse avant de le retirer et l’envoyer valser comme son soutien-gorge. Elle déposa quelques baisers sur mon torse tout en descendant vers mon entre-jambe. Là ; elle détacha ma ceinture, déboutonna mon jeans et glissa sa main dans mon boxer où elle saisit ma’ »surprise »
-Eh bien, eh bien, eh bien, dit-elle
Et sans rien ajouter, elle sortit mon sexe, je me levais doucement pour faire glisser mon jeans, par terre, elle se rapprocha encore, titilla mon gland du bout de la langue avant de me prendre en bouche. Sensation divine que celle de ses lèvres si expertes le long de ma hampe, elle alternait mouvement lents et profonds avec des mouvements plus rapides, entrecoupés de gémissements : j’étais au paradis. Au bout de quelques minutes, elle se retira et continua de sa main droite, puis m’invita à me mettre debout, elle me branla alors à deux mains, lécha mon sexe sur toute sa longueur et s’attarda su mes testicules, qu’elle aspira l’une après l’autre.
J’attrapais alors sa tête et dirigeais ensuite mon sexe jusqu’au fond de sa gorge, elle continua ainsi tout en me fixant des ses yeux électriques. Elle se retira de nouveau, cracha sur mon sexe et étala sa salive avant de le prendre entre ses seins, elle me branla doucement entre ses magnifiques obus : la sensation était géniale d’autant que sa langue rencontrait mon gland par moment.
Sans crier garde, elle me remit en bouche et fit des mouvements très rapides, une vraie furie, elle me rebascula sur la canapé avant de reprendre une branlette entre ses seins tout en se pinçant les tétons, puis elle continua de sa main droite, puisqu’elle avait descendu l’autre dans son string et jouait avec son clito tout en poussant des jappements. Elle me souriait avec un regard vorace, de plus qu’elle m’a promis d’autres surprises.
Ma surprise à moi, c'est qu'il faut attendre demain soir...ou lundi soir, je sais pas encore.
Et toi, el garcon, si ta des connaissances sur ce forum qui aiment ce genre d'histoire , hésite pas à les diriger vers la mienne, je veux des coms meme si c'est pour critiquer mes fautes d'orthographe
Je fixais cette tigresse, m’arrêtant sur ses jolies mamelles aux tétons tous durs et pointus qu’elle caressait sensuellement. Dire qu’il y a 3 mois, j’appréhendais le moment que je suis en train de vivre, là je voudrais que le temps se fige, et d’ailleurs , cela faisait quelques minutes qu’on s’observait sans rien dire :
-Alors, est-ce que toi, tu aimes ta surprise ?
-Généralement, je suis déçue par les surprises, mais tu es l’exception.
-Cela veut dire que je vais découvrir le reste de ta surprise ?
-Bien sur ! D’ailleurs je crois que nous allons pouvoir découvrir nos surprises en profondeur.
Elle se releva, glissa ses deux mains dans son string et recommença à se caresser, après quoi, elle attrapa les bords de son string avant de le faire glisser le long de ses magnifiques jambes et j’aperçue enfin sa jolie chatte rose surmontée d’une magnifique toison, rasée de près.
Elle se rapprocha et se mit à califourchon sur moi, je replongeais sur ses mamelles si attirantes : je les embrassais, les mordais, suçais ses tétons tandis qu’elle agrippait ma surprise et titilla l’entrée de sa grotte avec le bout de mon gland. Après, je compris la signification de en « profondeur » puisqu’elle s’empala brutalement sur ma verge et, avant que je puisse réagir, elle ramena ma tête entre ses seins et se mit à me chevaucher mieux qu’une amazone. Je ne pourrais jamais oublier la sensation à ce moment là : je sentais la chaleur de son minou le long de ma hampe, amplifié par l’absence de préservatif (et dire que c’est Victoria qui avait abordée le sujet), sa poitrine ballotait sous ses va et viens et frottait contre mon visage. Elle plaqua ensuite sa bouche au niveau de mon oreille si bien que j’ai pu profiter de tous ses gémissements de plaisirs, les miens étaient étouffés par sa poitrine. Elle accéléra ses mouvements, cria de plus en plus forts, et je sentais arriver ma jouissance mais je ne voulais surtout pas venir maintenant, c’est a ce moment qu’elle ralentie l’allure (l’expérience a parlé), me libera de l’étreinte de sa poitrine, je l’ai prise alors par les hanches pour guider ses mouvements et je pouvais profiter du claquement de ses fesses contre mes cuisses. Elle agrippa le haut du canapé, alternait à nouveau mouvements rapides et lents, puis elle stoppa mais ne se retira pas encore :
- Dis-moi que tu aime !
-J’adore !
- Dis-moi que c’est bon !
-C’est divin ! Tu es toute trempée on dirait
-Exact, je suis adepte du squirting, une « femme fontaine » si tu préfère
-Ok, voila pourquoi sa glisse si facilement !
-Eh oui….D’ailleurs, on va y gouter tous les deux
Elle se retira alors, me poussa à m’allonger sur le dos, tandis qu’elle s’allongeait dans l’autre sens et rapprocha son minou tout luisant vers ma bouche, tout en agrippant mon sexe encore bandé : j’allais tester la position du 69, gouter son intimité, j’agrippais alors ses fesses pour bien la positionner et m’approcha lentement de son fruit défendue tout en ressentant sa bouche et sa langue s’activer sur ma verge, je plaqua alors ma bouche sur son sexe tout mouillé, lui faisant lâcher un gémissement sans qu’elle arrête son exploration buccale.
J’embrassais son petit minou, je me mis à le lécher doucement puis de plus en plus vite et de plus en plus profond, goutant sa mouille, je lui enfonçais un doigt, puis deux à la fois, je fouillais son clito pour dégager plus de liquide et à un moment, j’aspirais goulument son sexe si brutalement, qu’elle se retira de ma verge pour pousser un cri de jouissance. Je recommença alors à la lécher, le sentant frémir et gémir avant qu’elle me reprenne dans sa bouche avec des mouvements énergétiques, la furie était revenue et à nouveau , je sentais remonter ma jouissance ; mais trop occupé avec son clito, je n’est pas réussie à l’arrêter : un, deux, trois spasmes me parcouraient alors le ventre et je sentis ma semence couler dans sa bouche tandis qu’elle s’employait à ne rien laisser échapper, j’entendis alors des claquements de langues, des pressions contre ma verge pour en sortir les dernières gouttes de nectar, puis elle se retourna, m’arrachant à son intimité et je l’observais se léchant les babines pour récupérer la moindre trace de ma semence. Une fois qu’elle eu tout nettoyé, je me sentis un peu honteux d’être venu comme ça, mais elle dissipa tout cela :
-C’était délicieux ! Le mélange de ma mouille et de ton sperme, incomparable
- Je ne voulais pas venir si vite !!!
-Pas d’inquiétude, rien n’est terminé
Elle attrapa alors ma verge, et je sentis que je bandais encore
-Tu vois ?...Tu as aimé se que tu as gouté ?
-Oh, oui. J’en redemanderais bien !!!
-Aucun problème !!!
Et là , telle une panthère noire(les plus dangereuses de l’espèce), elle s’assit sur mon visage en tenant ma tête fermement, j’attrapais alors ses cuisses et repris l’exploration de son mont de Vénus pendant qu’elle caressait et léchait sa poitrine. Par moment, elle ondulait un peu du bassin et j’aspirais encore son minou, elle agrippa alors mon sexe et se mit à me branler doucement et je durcissais encore ; j’abandonnais alors ses cuisses et continuas mon exploration avec mes doigts. Elle avança alors sa ma droite vers sa chatte alors que sa main gauche œuvrait encore sur ma hampe, et se mit à se caresser en surface, puis à se doigter, je l’accompagnais alors de mon index droite tandis que ma main gauche écartait davantage les lèvres de son vagin et j’ajoutais ma langue à ce travail en commun.
On continua ainsi pendant de longues minutes, puis soudainement (j’adore cette femme, elle est très spontanée), elle retira mes doigts, les siens et se remis à se masturber énergiquement, mon instinct me commanda de m’éloigner légèrement, elle se mit à pousser des cris de plaisirs, de plus en plus fort, se figea et je reçue en plein visage une explosion de mouille, une vrai inondation, elle ne mentait pas pour sa pratique du squirt. Son nectar me brouilla un peu la vue, mais de mon œil droit, je distinguais son visage, la voyais se mordre la lèvre, puis elle s’allongea contre moi, ses seins buttant contre mo torse et elle se mit à lécher mon visage ; elle se rapprocha ensuite de ma bouche et mêla nos langues de nouveau, puis nos bouche fusionnèrent alors en un baiser très »mouillé », elle me mordillait la lèvre de temps en temps, et moi j’agrippais ses seins et pinçais ses tétons tout durs.
Quelle tigresse !!!!
Au bout de quelques minutes, nos lèvres se séparèrent, j’abandonnais les seins de Victoria et me mis à caresser ses cheveux, elle se remit à califourchon sur mon ventre et je l’agrippais de nouveau par les hanches :
-Monsieur est satisfait ?
-C’était parfait !
Elle apposa ses mains sur mon torse, y planta légèrement ses ongles et fit glisser ses doigts jusqu’au dessus de mon bassin : une vrai féline. Elle continua à caresser mon torse et mon ventre puis se releva, m’attrapa par les mains et me poussa à me rasseoir.
Elle se repositionna alors sur moi et recommença à frotter son bassin contre mon entre-jambe, sauf que la sensation était plus intense parce qu’on était nus, et je savais qu’elle allait me chevaucher de nouveau. C’est alors que j’ai réalisé que, depuis le début de la soirée, c’est elle qui menait la danse : toujours au dessus de moi, à décider de la suite des évènements, de plus qu’elle s’est montrer spontanée à plus d’une reprise, alors pourquoi pas moi ? Après tout, c’est ma soirée !!!
Je glissais alors délicatement ma main droite sous son genou et ma main gauche sur son épaule, faisait mine de l’aider à se repositionner. Elle releva alors légèrement pour remettre mon sexe dans le sien, et c’est à ce moment là que je resserrai l’étreinte de mes deux mains et je la fit basculer sur le dos, après quoi j’agrippais ses jambes et écartais amplement ses cuisses.
J’aperçue alors son visage, l’expression du plaisir à laisser place à la surprise, je rompue alors le silence :
-Eh oui, j’avais aussi d’autres surprises…Madame
A ces mots, elle retrouva son air vorace et son regard de braise
-Je vois cela, mais tu prends des risques avec le Madame. Je pourrais décider de tout arrêter là .
-Oh, mais je ne crois pas t’avoir laissé le choix
Et avant qu’elle n’ajoute quoi que se soit, je l’a pénétra sans ménagement, lui faisant lâcher un gémissement et je commençais alors mes vas et viens. J’alternais des mouvements lents et profonds et d’autres plus rapides et répétés : j’avais pris les commandes de la soirée et je m’appliquais à donner le plus de plaisir à ma charmante amante ; je pouvais d’ailleurs l’observer se caresser sensuellement la poitrine, se pincer les tétons, elle se mordillait la lèvre, la tête penchée en arrière, les yeux clos, elle ramena sa main droite à son visage et se mit à sucer ses doigts tout en gardant son autre main sur sa poitrine.
Au bout d’un moment, je me retirai de ma compagne, elle releva la tête, visiblement déçue, je lui souris, puis je la pénétrais de nouveau jusqu’au fond de son minou, lui faisant lâcher un cri de jouissance, je me retirai encore avant de me réintroduire, à chaque fois, elle poussa un autre cri de plus en plus fort : je me délectais de sa jouissance, appréciais le claque ment des mes cuisses contre ses fesses. Je relevai davantage ses jambes, ramenant ses genou au niveau de son visage si bien que ses fesses et son sexe étaient légèrement relevés, je me positionnais au dessus, mon sexe presque à la verticale : certainement pas ma position préférée ni la plus confortable, mais j’étais bien trop excité pour m’en soucier.
Je repris mes vas et viens dans son minou détrempé tandis qu’elle agrippait ses chevilles pour me faciliter la tache, je fermais alors les yeux sans arrêter mes mouvements, et je pensais dans ma tête : je suis en train de faire l’amour à la mère de ma copine, si elle l’apprend, on est foutu tous les deux...et je m’en fous complètement. Même si elle découvrait tout, je n’aurais aucun regret, car j’avais assouvie le fantasme de presque tous mes copains de BTS : coucher avec une femme d’expérience, une MILF. J’ouvris les yeux, attrapais les jambes de Victoria pour les remettre dans leur position initiales, je pris appui sur ses hanches et accélérais mes mouvements dans son minou tandis qu’elle resserra ses jambes autour de moi : elle m’avait emprisonné, mais je dominais toujours la situation.
Je commençais a haleté, mais je me sentais quand même la force de continuer et je décidais de changer de position. Je me retirai alors pour de bon et me mis debout observant Victoria, toute aussi haletante que moi, en train de jouer avec son clito :
-T’aimerais bien reprendre le contrôle pas vrai ?
Elle ne dit rien, abandonna son clito pour se relever face à moi :
-En fait, je dois t’avouer que j’aime dominer les autres, mais que j’apprécie davantage d’être soumise.
-T’aurais pas du me dire ça tu sais ?
-Et qu’est-ce que tu vas faire ? Me manger ?
-Idée très alléchante, mais je pensais à autre chose. Tourne-toi
Elle s’exécuta, j’appuyai alors fermement sur sa tête pour qu’elle se cambre, elle agrippa à nouveau le haut du canapé pour se stabiliser et moi, je m’agenouillai devant ses fesses, écarta les lèvres de son sexe et l’explora des mes doigts. Je collais ensuite ma bouche sur son minou, le léchai et aspirais son jus. Je me relevai, titillai l’entrée de son clito avant de me fondre de nouveau en elle en l’agrippant par les hanches : je la pris alors en levrette, reprenant le même rythme que sur le canapé, je donnais de violent coup de reins pour aller au plus profond, elle criai de plus en plus fort et moi, j’augmentais la cadence. Au bout de quelques minutes, je sentis une sorte de liquide couler le long de ma verge et compris qu’elle avait jouie de nouveau, la sensation était si bonne que j’accélérais encore le rythme dans son minou, éclaboussant ses fesses à chaque fois, entendant le clapotis à chaque fois, je me couchais alors sur son dos, parsemant sa nuque de baisers et la sentie frissonner jusque dans sa grotte. J’avais perdu toute notion du temps, tellement j’étais excité par la situation, et je sentis alors comme une chaleur dans mon entre-jambe, je compris ce que cela annonçait, mais je ne me retirai pas pour autant, Victoria avait du le comprendre également car elle se mit à onduler du bassin et à resserrer les lèvres de son vagin. J’étais en sueur, je me collais encore sur son dos, continuant à lui faire l’amour, quand je sentis un spasme dans mon ventre, je me redressais alors et stoppa tous mouvements, je poussais alors un cri de jouissance et me laissai venir en elle : 1, 2, 3, 4, 5 spasmes, je venais de lâcher 5 jets de foutre à l’intérieur de cette merveilleuse blonde, je sentais mon fluide se mêler au sien tandis qu’elle se délectait de cette sensation.
Je me retirai alors d’elle et je m’assis sur le canapé, les jambes toutes tremblantes, et j’observais Victoria se redresser et fouiller son vagin avec ses doigts, elle les ressortait tout couverts de mon sperme et de sa mouille, elle se suça les doigts et avala le tout après quoi elle s’agenouilla et entrepris de nettoyer mon sexe. Elle me prit en bouche ; et contre toute attente …je bandais encore !!Je sentis alors sa langue et ses lèvres s’affairés sur ma hampe et je l’entendis avaler bruyamment le mélange qu’elle semble tant apprécier. Elle entreprit ensuite de me branler à deux mains, très délicatement tout en me fixant, mais cette fois, d’un regard tendre et affectueux :
-T’es pas facile à épuiser toi !
J’avoue moi-même que je ne pensais pas pouvoir tenir aussi longtemps
-Tu m’inspires ! Je ne veux pas écourter cette soirée si parfaite !
-Dans ce cas, et si tu es d’accord pour que je reprenne les choses en main, j’ai une idée à te proposer !
A ce moment, j’entendis le bruit de l’horloge, il était plus de 22h : on faisait l’amour depuis plus d’une heure ! Et toujours pas de Sarah. C’était évident qu’elle ne viendrait plus, mais je voulais m’en assurer :
-Alors ? Tu veux connaître mon idée ?
-Euh. Laisse-moi deux minutes, tu veux bien ?
On se leva en même temps, je m’approchais de son visage et lui déposa une baiser rapide qu’elle apprécia et je ramassais ensuite mon jeans tandis qu’elle s’assit sur le canapé. Je sortis mon portable et composa le numéro de Sarah…à trois reprises ! Aucune réponse, sauf son répondeur les trois fois.
Je remis alors mon portable à sa place, laissait retomber mon jeans par terre, et me tournais vers Victoria, qui entortillait ses cheveux autour de son index en me souriant :
-C’est quoi ton idée ?
Elle se leva alors, se mit face à moi, me fixant de ces yeux électriques, elle embrassa le bout de son index et le déposa sur mes lèvres :
-Domme moi deux minutes toi aussi, je reviens.
Et je l’a vis se diriger vers l’escalier, je l’ai suivie du regard jusqu'à se qu’elle disparaisse à l’étage : a quoi a-t-elle pu bien penser ?
Assis dans le canapé, j’attendais le retour de Victoria en imaginant ce que pourrait être la suite de la soirée : Un gadget ? Peut être un vibro, un gode ou bien des menottes pour l’attacher, une tenue spéciale ? Elle s’est déjà déshabillée devant moi, ça ne risque pas de me faire beaucoup d’effet.
Finalement, je l’entendis redescendre et cela me sortie de mes réflexions, elle était toujours nue et ne tenais en main qu’une petite trousse de toilette qu’elle déposa à cote de moi, elle se pencha sur moi et s’approcha de mon oreille :
-Tu te poses des questions, pas vrai ?
-Ouai. Alors, c’est quoi cette idée ?
-C’est tout simple, et c’est surtout quelque chose que j’ai jamais eu l’occasion d’essayer, mais puisque tu me sembles bien en forme : je veux que tu me prennes par derrière !
-Par derrière ? Tu veux dire…
- Sodomise-moi ! J’en est trop envie !
Et là , elle redescendit au niveau de mon entre-jambe, saisit mon sexe, l’engloutie complètement et le ressortie progressivement en l’inondant bien de sa salive :
-Allez, fais ça pour moi ! Tu fais comme pour dans ma chatte, sauf que tu culbute mon cul.
-Mais, j’ai un peu peur de te faire mal
-C’est la but ! Et puis, je vais bien te préparer et sa glissera tout seul
Elle attrapa sa trousse et en sortit un petit tube qui ressemblait à un tube de colle, mais c’était de la vaseline. Elle recracha sur mon sexe, étala sa salive, puis appliqua de la vaseline et se mit à masser ma hampe qui devenait toute luisante, et une fois qu’elle lui paraissait bien lubrifiée, elle se mit à 4 pattes sur le canapé, son cul bien en évidence :
-Viens, viens, qu’est ce que tu attends ? Ma permission ?
J’étais pas sur d’être chaud pour cela, mais avec son cul livré à moi, ma verge tout luisante et ses paroles crues, je ne pouvais pas reculer, j’approchai alors mon gland se son trou et me mit à le titiller, j’allais commencer à m’introduire quand elle me stoppa.
Attends ! Toi tu es prêt, maintenant tu dois ME préparer
Là c’était trop, fini les appréhensions, j’allais la prendre par derrière sans ménagements puisqu’elle le désire et sans hésiter, je plongeais sur son trou pour le lécher comme j’avais lécher son minou, j’allais au plus profond d’elle puis j’humidifiai mon index et l’introduis pour préparer le terrain : elle lâcha un cri, mais pas de jouissance, c’était plutôt de la douleur !
-C’est plutôt pas mal comme ça ! Viens vite en moi !
Je sortis vite mon doigt, l’enduis de vaseline et l’étala vivement dans son trou, après quoi, je commençai à la pénétrer, évidemment ça ne glissait pas comme dans sa chatte, mais ça ne m’arrêta pas, par à -coups, je m’introduisais une première fois jusqu’au bout avant de ressortir, je refis le même chemin une seconde fois et à la troisième, ça allais beaucoup mieux : j’accélérais alors la cadence.
A chaque fois, Victoria lâchait un cri de douleur et je distinguais ses seins qui ballotaient, je continuais mes aller-retour sans sortir de son cul.
-Tu aimes ça, hein ?
-T’arrête pas surtout ! Défonce-moi !!!
Je l’a sentis alors resserrer son cul sur mon sexe, si bien que j’avais du mal à continuer ma pénétration, pas de doute, elle voulait avoir mal et d’ailleurs, ça commençait à bien frotter contre mon pénis, j’étais chauffer à vif !
Soudain, je sentis quelque chose de visqueux contre ma verge, et ce n’était pas de la vaseline et cela ne pouvait être de la mouille : pour le troisième fis ce soir, je venais d’éjaculer dans le corps de mon amante, je stoppai alors mes mouvements et je me retirais, trop fatiguer pour continuer, Victoria tourna alors légèrement la tète vers moi :
-Finalement, j’ai réussie à trouver ta limite
-Tu m’as tué ! Mais si je meurs, je n’aurais pas de regrets
Elle se retourna vers moi, toujours à 4 pattes :
-Bien, je crois qu’il me reste encore à gouter à mon cul
Et à nouveau, elle entreprit un nettoyage buccale, puis releva va la tète vers moi en se léchant les babines, puis ajouta :
-Je crois que je préfère mon minou à mon cul.
Elle s’assit alors sur mes genoux, ma main gauche sur sa hanche, la droite caressant son ventre et remonta t jusqu'à son sein gauche, on se mit joue contre joue, sans rien dire, pendant quelques minutes, je sentais mon cœur battre à pleine vitesse.
Elle regarda alors vers l’horloge et rompue à nouveau le silence
_ Si je devais choisir un amant, pas d’hésitations, se serait toi
-Moi je te prendrais bien comme amante dès ce soir. J’ai envie de te comblé !
-Ca tu viens de le faire. Mais je crois qu’il est temps de rentrer chez toi, je penses que se serait dangereux que tu reste dormir ici
-Je m’en doute
Je l’embrassais de nouveau, entremêlant nos langues, puis on se releva tout les deux et on ramassait nos affaires :
-Euh, tu vois une objection à ce que je prenne une douche ici ?
-Au contraire, j’allais te proposer que l’ONT prennent une douche, après quoi, je te ramène chez toi.
On se dirigea alors vers la salle de bain, je déposais mes affaires sur le panier à linge, Victoria entra la première dans la douche, fit couler l’eau, je pris un instant pour l’observer toute mouillée, puis je la rejoignis.
Collée l’un contre l’autre dans cette atmosphère chaude, on commença a se frotter l’un l’autre, puis elle pris du gel douche et entrepris un minutieux nettoyage de mon sexe, après quoi, elle me demanda de faire pareil avec ses deux orifices. J’attrapais alors le pommeau de la douche tandis qu’elle se tournait en se penchait pour me faciliter l’accès, je passais alors le jet le long de sa croupe et glissait mes doigts dans sa chatte et son cul pour bien le nettoyer, cette petite séance lui arrachât encore quelques cris.
On se savonna ensuite mutuellement, je pris bien mon temps pour nettoyer ses seins et ses fesses, puis je frottais son dos, si je n’étais pas aussi crever, çà m’aurait bien mis en condition.
Elle sortie la première, se sécha rapidement et remis son peignoir qui devint transparent sur les zones encore humides, notamment ses tétons et ses fesses ? Je sortis à mon tour, elle me tendis une serviette et ajouta :
- Habille-toi, je vais me préparer en vitesse
Seul dans la salle de bain, je me séchais en vitesse puis me rhabillais avant de sortir sur le palier et je repérais la seule porte entrouverte, celle de la chambre de Victoria, j’y entrais et malheureusement pour moi, elle était déjà rhabillée, mais toujours aussi sexy. Elle m’aperçue et m’invita à entrer, Un lit à baldaquin occupait la plus grande place de la chambre et les draps étaient en soie blanche, idéal pour un petit câlin crapuleux, mais pas ce soir.
Une fois prête, on sortie de sa chambre et de retour sur le palier, je la plaquai contre le mur et l’embrassais passionnément, et c’est à ce moment que mon portable vibra : c’étai Sarah :
-C’est moi, tu es toujours chez moi ?
-Ben, ouai, je...j’ai du m’assoupir en t’attendant, mais si tu m’appelles si tard c’est que..
-Désolée, vraiment, mais c’est très important pour moi cette année.
-C’est bon, on remettra ça à l’occasion.
-Sinon, ma mère n’est pas encore rentrée ? Elle devait sortir pour nous laisser la maison
-Non, sinon elle m’aurait réveillé je pense
-Bon, tu peux lui laisser un mot de ma part, je dors chez Claire ce soir
-Ok, pas de problème…Bisous
-Oui, je te fais plein de bisous. Appelle-moi avant ton départ.
Je sentis alors Victoria, se plaquer contre mon dos, sa poitrine s’écrasant sur moi, elle me fit une de ses fameuses bise sur la joue. Elle me relâcha, me pris par la main et on descendit l’escalier, je l’aidais à enfiler son manteau, je mis le mien et 2 minutes plus tard, on était dans sa voiture. Ce trajet allait être mon dernier moment avec Victoria avant 3 semaines, et encore je n’étais pas sur de pouvoir la voir pendant les congés de Noel.
Sans hésiter, je mis ma main gauche sur son entre-jambe et la caressas, puis je cherchais désespérément quelque chose à dire :
-Ce soir, tu à été…enfin, je veux dire...Tu es...
-« Bonne », c’est le mot que tu cherches ?
Elle se mit à rire, puis profitant d’un feu rouge, elle suça son index puis l’introduis dans ma bouche, je le suçai à mon tour, et finalement, on arriva devant chez moi : le moment des adieux était venu.
On sorte de la voiture tous les deux, on était fin novembre et l’air était un peu frais, mais je m’en moquais, elle s’approcha de moi, je la saisie par les hanches et la collais contre moi, sans se lâcher des yeux, elle caressa ma joue et on fusionna une fois encore nos lèvres et nos langues dans un baiser tendre et chaleureux.
On se sépara lentement, toujours en se fixant : son regard était vraiment intense :
-J’oublierais jamais cette soirée
-Moi non plus, tu fus un amant mémorable
-Je veux te revoir !!!
Ma bouche avait fonctionnée plus vite que mon cerveau, je m’attendais à ce quelle le prenne mal :
-C’est très tentant, je mentirais en disant ne pas en avoir envie, mais une soirée comme celle-ci ne se représentera surement pas. Et puis, il y a Sarah.
-Je pourrais peut-être rompre
-Non !!Surtout pas, sinon là , c’est sur que plus jamais, on aura de raisons de se revoir !
Elle se mit à fouiller dans ma poche, en sortie mon portable et se mit à manipuler le clavier.
-J’ai mis mon numéro en mémoire, pour le nom j’ai juste mis un « v » majuscule
Elle sortie ensuite un papier et un crayon
-Met ton numéro dessus, Sarah utilise parfois mon portable, elle pourrait reconnaître ton numéro si je le mets en mémoire.
Je m’exécutai, repris mon portable, puis j’ouvrais son blouson, et je glissais le papier dans son décolté, sans qu’elle puisse réagir. Elle se colla à nouveau contre moi et se mis à murmurer à mon oreille
-Ne romps pas avec ma fille ! Moi aussi, je veux te revoir, qu’on puisse refaire l’amour comme ce soir, je t’appellerais pour te dire quand se sera possible.
Elle colla ensuite son front contre le mien, je voulu l’embrasser de nouveau, mais elle mit sa mains sur ma bouche et m’embrassa sur le front. Elle me lâcha et commença à retourner à sa voiture à reculons, je levais alors mon portable et pris une photo d’elle, elle me sourit, se mit au volant, je lui fis un signe de main qu’elle me rendit, après quoi, elle démarra et je l’a regardai s’éloigner.
Quand elle fut hors de ma vue, je retour nais chez moi sans bruit, verrouilla la porte d’entrée, fonçai vers ma chambre, pas de risques de croiser ma mère qui a le sommeil lourd. Je me déshabillais en vitesse, et me glissai dans mon lit. Il était 23h30, je devais prendre le train demain vers 13h, direction Bordeaux ou se déroulait mon stage et ou des amis de ma mère pouvaient m’héberger. Je passa un bon moment à observer la photo de Victoria, repensant à cette soirée dans les moindres détails, puis imaginant nos éventuels ébats futurs : j’en avais envie et elle aussi, Sarah ne voyait rien, on pourrait le faire devant elle, se serait pareil.
Finalement vers 1h du matin, je m’endormis et mon sommeil fut habité par les pensés de la plus belle créature de ma vie : Victoria.
Et voila, un premier récit de terminer 'en moins d'une semaine)
J'espère vous avoir satisfait, je n'envisages pas de suite, mais plutot de faire d'autres histoires,
Surtout , laisser moi des coms
Je me connecte ou je m'inscris