La tête plongée dans sa poitrine, Mme Binder me laissait le champ libre. J'étais en plein fantasme, et je comptais bien en profiter autant que possible...
Je commençai donc à lui sucer ses tétons et malaxer ses seins. Elle poussait de doux gémissements et me demandait de continuer. Nous étions seuls, personne n'était resté dans le bâtiment, et du moment qu'il en était ainsi je ne me posais pas plus de questions.
Entre deux gémissements, ma prof posa sa main entre mes jambes pour la caresser. Je lui souris ; ma bite était devenue dure depuis un bon moment déjà. Mme Binder l'avait bien senti et passa sa main sous mon short. Ses mains douces firent de rapides va-et-viens. Ses seins subissaient les secousses de son geste devenant de plus en plus rapide. Ses seins qui me faisaient tant fantasmer durant le cours de chimie. Je me mis à lui les mordiller avidement. Elle fut d'abord surprise et poussa un gémissement un peu plus fort que les autres, puis, me lançant un regard pervers, elle me susurra :
- Ahh...tu veux jouer à ce petit jeu, hein..?
Elle me repoussa alors en arrière et s'agenouilla, seins à l'air, devant mon sexe. Un sourire se forma au coin de ses lèvres.
- Alors voyons combien de temps tu va pouvoir tenir face à ça !
Sa vengeance était lancée. Ses lèvres délicates se posèrent sur ma bite. Je sentis sa langue se promener, avec douceur d'abord, puis avec une certaine intensité ensuite, sur mon membre. Tout en me fixant, elle se mit ensuite à en sucer l'extrémité. Le plaisir était tel, que je ne pus réprimer une série de spasmes au niveau de mon bassin. Elle eut un sourire. C'était beaucoup trop bon, et elle le savait, la perverse. Je ne tenais plus, et par réflexe, je lui agrippai la tête et l'obligeai à engloutir mon sexe dans sa bouche. Surprise, elle eut un cri qui fut à demi étouffé par ce qu'elle avait dans la bouche. Je le lui fit gober entièrement, et la forçai à faire de va-et-viens, ce qui donna lieu à des bruits spongieux ; sa gorge était agréablement moelleuse et chaude. Vint alors le moment fatidique où mon plaisir s'extériorisa pour éjaculer dans sa bouche. Elle fut surprise de la quantité de sperme qui arriva dans sa bouche et eut du mal à avaler. Je me retirai alors de sa bouche et retrouvant mes esprits, je voulus m'excuser, mais elle ne m'en laissa pas le temps :
- Toi alors, tu n'y vas de main morte !
- Je...je vous demande pardon..?
- J'ai beaucoup aimé la façon dont tu as utilisé ma bouche...c'était...violent et...jouissif à la fois ! Je ne me suis donc pas trompé à ton sujet...
Elle se releva et colla sa poitrine contre moi.
- Et...tout ce sperme..., reprit-elle sur un ton mielleux, il y en avait tellement...et il est si...délicieux !
Elle se lécha les lèvres, récupérant les derniers restes de semence laissés autour de sa bouche. Mon pénis était toujours autant tendu...l'érection n'avait pas faibli. Au contraire, j'avais l'impression que mon sexe avait grossi et monté encore d'avantage. Mme Binder affectait directement mon corps, comme si je ne voulais qu'elle, et que jamais je ne m'en lasserai. le désir s'empara fermement de moi. Je la repoussai violemment contre son bureau et l'y plaquai.
- Ooh ouii ! C'est ça, vas-y Joakim !
Elle adorait ça. Elle aimait que je la traite comme il me plaisait. Elle a eut ses périodes : tantôt elle préférait la douceur et la gentillesse, tantôt la surprise et le mystère. Pour cette première fois, elle désirait de la violence et de la passion. Cela me convenait très bien.
Je lui arrachai sa minijupe. Elle eut un regard pervers :
- Je ne porte pas non plus de culotte...j'ai pensé que ça te plairait...
J'entendais battre mon coeur dans ma tête, l'excitation.
- Oui ça me plaît...vous êtes décidément une vraie...salope, Mme Binder...
- Oh, il daigne enfin me dire de vilaines choses...excitant... Et appelle-moi Nathalie, maintenant que nous avons fait connaissance plus...intimement...
- Avec plaisir...Nathalie !
Je lui mis une fessée. Elle gémit en fermant les yeux et en souriant. Décidément, ça partait de plus en plus vers du SM...
- Fais-moi plaisir... avec ta main Joakim..., me supplia-t-elle.
Son vagin était au bord du pupitre. Je m'approchai et posai ma main sur son ventre. Je la fis descendre, lentement, entre ses jambes.
- Mmh...arrête de me narguer, s'impatienta-t-elle.
- Ooh...je vois que tu as trèès envie que je te touche...
- Joakiim !
Elle le désir la forçait à se tortiller d'impatience. Ma main arriva à auteur de son sexe et décrivit des cercles tout autour. La faire languir d'impatience m'amusait. Je voulais la rendre folle. Folle de moi. Lorsque je posai enfin ma main, je sentis que sa chatte dégoulinait de mouille. Je lui mis une autre fessée.
- La coquine...elle a envie de moi on dirait...petite perverse !
Je lui remis une fessée et lui enfonçai un doigt. Elle se mordit la lèvre et ferma les yeux.
- Enfiin..., soupira-t-elle.
Je me mis à jouer, d'une main avec son clitoris, d'une autre en lui enfonçant toujours plus de doigts. Elle répondait par gémissements successifs, de plus en plus forts.
- Aaah...Joakim...c'est-c'est si boon...
Je me mis à faire des mouvements plus brutaux et plus rapides, ce qui la fit mouiller d'avantage. Ses cris se firent de plus en plus rapides pour finir en un seul et même hurlement de bonheur. La mouille se fit abondante. J'hésitai une fraction de seconde avant de l'embrasser. Elle écarquilla les les yeux, mais les referma la seconde d'après pour prolonger le baiser. Nathalie se cambra sur son pupitre, et, alors que nos langues s'entremêlaient, elle eut un long et intense orgasme.
Lorsqu'elle reprit ses esprits, elle se redressa légèrement en mettant fin à notre baiser. Je reculai. Elle écarta ses jambes et fit balader sa main entre son cul et sa chatte.
- Et maintenant, par où va-t-on continuer notre aventure...?
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