J’ai un fantasme très commun : baiser l’une de mes profs. Et cette semaine, je l’ai réalisé.
Depuis deux ans, j’ai la même prof de français : une femme qui doit avoir la quarantaine, assez stricte d’apparence, cool quand on la connaît. Elle donne du boulot, elle est exigeante, mais elle sait aussi aider ceux qui en ont besoin, et on voit qu’elle aime vraiment ce qu’elle fait : aussi bien aider les élèves que leur enseigner la littérature. Son truc, c’est que la littérature, si ça ne parle pas du réel, ce n’est pas intéressant. Du coup, quoi qu’on fasse, et même si c’est carrément vieux, elle sait nous montrer en quoi ça dit quand même des choses qui nous font réfléchir aujourd’hui, et donc en quoi ça parle d’aujourd’hui. Homère, son sujet, c’est la guerre en Ukraine ! Pareil quand elle fait Racine ou de la littérature contemporaine. L’année dernière, sur Phèdre, elle nous a carrément dit : « si vous ne comprenez pas que Phèdre, ça parle de la passion amoureuse, ça parle de désir, ça parle de la puissance irrépressible du désir, malgré les interdits, alors c’est que vous n’êtes pas des lycéens, vous devriez retourner jouer aux billes ! » Moi, j’ai compris : le désir, l’interdit, c’est exactement ce qui me pousse entre les jambes quand elle est comme ça, passionnée, les yeux intenses, si vifs, avec une sorte de rage, putain, une femme qu’il faut que j’aie ! Le problème, c’est que le français, la lecture, c’est pas vraiment mon truc. Et j’ai beau penser à elle, à la robe portefeuille qu’elle porte parfois et qui fait qu’on devine sa jambe et un bout de cuisse avant qu’elle ne la rabatte sans même y penser, à son décolleté sous lequel on devine une fine dentelle, à la fois où je l’ai croisée dans le parc, elle était sortie courir, et elle portait un débardeur sans rien dessous, trempé de sueur, sous lequel les pointes de ses seins étaient parfaitement dessinées, tout cela n’améliore ni mon niveau en français, ni mon niveau de concentration pendant son cours. Elle aide volontiers les élèves qui ne comprennent pas, mais s’ils ne font pas d’efforts, elle se consacre aux autres ; et moi, je suis dans la catégorie irrécupérable, et en plus un peu chiant… Autant dire qu’elle n’était pas entièrement ravie de me retrouver, et en plus l’année du bac français. A la fin du premier cours, elle m’a demandé de rester pour parler : « Ecoute, Luc, on va établir un contrat tous les deux. C’est l’année du bac, ton intérêt, c’est au moins de ne pas perdre de points ; et moi je suis persuadée qu’avec un peu d’efforts, tu pourrais même en gagner ; de mon côté, je n’ai aucune envie d’être toujours derrière toi, à réclamer ton silence, ton attention, les devoirs que tu ne rends jamais à l’heure, etc. Alors voilà ma proposition : je vais prendre quelques élèves à part pour bien leur expliquer comment travailler, et comment progresser dans une matière qui peut leur rapporter gros ; je veux bien que tu en sois, à condition de me promettre, pendant au moins le premier trimestre, de tenir tes engagements. Après, tu verras : si tu trouves cela payant, tu continueras de toi-même ; sinon, tant pis, on aura au moins essayé » Moi, l’idée de la voir plus, en petit groupe, évidemment que ça me dit… J’aurais préféré des cours très particuliers, mais bon, pour commencer…
Premier cours : on est cinq. Deux nanas qui étaient en classe avec moi l’an dernier, Nawal et Cléa ; à mon avis, rien à en tirer : leurs ongles sont le centre de leur vie, et je ne vois pas comment elles vont comprendre quoi que ce soit, ni à la littérature, ni à la vie. Un pote (Théo) qui flashe un max sur Nawal – faut reconnaître qu’elle n’a pas que des ongles, mais aussi une paire de nibards à damner un sein, non, un saint, enfin, vous voyez ce que je veux dire… Un mec que je ne connais pas, qui a l’air sympa. Et moi. On est dans une petite salle, il fait une chaleur à crever, et même si on ouvre les fenêtres, l’air extérieur est étouffant. Nawal porte un débardeur avec un soutif dessous qui craque sous la pression. Théo a les yeux hors des orbites, et la bite probablement hors de contrôle, pour la même raison : la pression… Cléa est dans ses ongles. Le nouveau super sérieux écoute et prend des notes. Et moi je bois les paroles de la prof, fasciné par chaque mouvement de ses lèvres, quoi qu’elle dise. Elle nous parle de lecture expressive je crois, du ton que l’on doit mettre – je mettrais bien quelque chose, mais je vous assure que ce n’est pas un thon. Sublime, premier cours sublime. Efficace pour le bac ? pas sûr. Pour l’avenir de la littérature ? pas certain. Pour la régulation hormonale des adolescents pubères ? pas gagné. Mais putain, c’est une bonne prof. Elle a attaché ses cheveux dans une sorte de chignon flou, avec des mèches qui flottent sur sa nuque. Elle porte une robe sans manche qui arrive au genou ; pas très révélateur, impossible de glisser un œil dans l’embrasure des manches, mais c’est super beau. Ses bras, ses mains, ses doigts… Son cou, sa nuque… On peut me reprocher plein de choses, mais pas d’être inattentif. Et on ressort de là avec du boulot, un truc à préparer pour la prochaine fois, je ne sais pas trop quoi. Théo se précipite sur Nawal, lui propose de bosser ensemble, se prend un rateau. Curieusement, Nawal a l’air de vouloir bosser, et elle a bien compris que les visées de Théo n’étaient pas si saintes… Donc elle bossera avec Cléa – sans blague ? Le nouveau est déjà parti. Moi je traîne, je cherche un moyen de parler à la prof… Mais elle a cours, elle est pressée. Pas grave, je la vois demain en cours de français normal.
Le lendemain, je vais la voir à la fin du cours, et je lui demande des explications supplémentaires sur ce qu’il faut faire. Elle est un peu agacée : tu te moques de moi ? tu n’écoutes rien et ensuite tu veux des explications ? qu’est-ce que tu cherches exactement ? J’adore quand elle se met en colère comme ça, c’est une femme de passion. Mais c’est clair, je m’y prends de travers. Je fais profil bas, j’écoute le plus sérieusement possible ses consignes, et je me dis qu’il va peut-être falloir que je bosse un peu, que c’est comme ça que je vais la ferrer. Elle finit quand même par reprendre avec moi quelques éléments du cours : elle est assise à son bureau, commente le texte sous ses yeux, et moi, debout derrière elle, je mate comme un malade son décolleté, la naissance de ses seins, le galbe que je devine. J’essaie aussi de capter ce qu’elle raconte, mais pour être franc, c’est pas un grand succès. Le surlendemain, cours à cinq. Théo n’a absolument rien fait, il est pas encore viré, mais c’est chaud. Cléa n’est même pas là : normal, elle avait pas fini ses pieds ! Le nouveau et Nawal sont les bons élèves. Je soupçonne même le nouveau d’avoir des vues sur Nawal, et d’avoir compris le moyen d’y parvenir. Moi, bof. La prof est pas très contente de mon boulot, mais enfin j’ai essayé de faire quelque chose. Elle nous demande de lire, devant les autres, avec de l’émotion. Je choisis un poème d’amour, et je le lis en la regardant direct. Tellement direct qu’elle en rougit, bafouille un peu, me donne des conseils très techniques, et passe rapide à autre chose. Touchée. J’avance mes pions… Là , c’est Nawal qui vient me voir pour me demander de lire avec elle. Non, je peux pas faire ça à Théo. Je suis très direct : écoute Nawal, Théo, il flashe sur toi comme un malade… Non, comme un gros lourd… Ok, si tu veux, mais c’est parce que tu l’impressionnes… Non, c’est mes nibards qui l’impressionnent… Non, t’exagères, ok, t’as des nibards à rendre dingue, mais moi aussi, ils m’excitent, c’est normal, on est des mecs, mais Théo, il flashe vraiment. Donne lui une chance. Elle est flattée mais je ne sais pas ce qu’elle va faire. Et puis elle a rendez-vous avec Cléa… Elle file, le nouveau est déjà parti, Théo s’explique avec la prof. Je l’attends. Bon, tu as compris, Théo, dernière fois, après, c’est pas la peine de revenir ; et toi, Luc, je veux te parler. Elle veut me parler ? Top. Théo s’en va et nous restons seuls. C’est quoi ce jeu ? Tu as décidé de me faire rougir, c’est ça, ça t’amuse ? Vous m’avez demandé de mettre de l’émotion ; c’est pas facile, comme ça, sur un vieux texte – là , je perds des points, je le vois à son regard – alors je trouve l’émotion où je peux – là , je gagne des points, je le vois à son regard. Où tu peux, ça veut dire quoi ? Ben, madame, vous nous avez toujours dit que la littérature, ça n’a aucun intérêt si on voit pas que ça parle de la vraie vie ; alors moi, quand je lis des poèmes d’amour, je les vois dans la vraie vie, avec une femme qui me plaît – je crois que je pousse le bouchon un peu loin… Ok, tu te fous de moi, c’est clair. On va mettre les choses au point une fois et une seule : je suis ta prof, t’es un gringalet qui n’a aucun intérêt, et tu vas arrêter ce jeu immédiatement. Je joue pas, madame : vous pouvez pas envisager que je joue pas, que le « gringalet » qui a une bonne tête de plus que vous, il joue pas du tout, qu’au contraire, c’est vachement important, ce qu’il vous dit, que c’est pas facile, mais que c’est vachement important. Je la trouble, là , elle est désemparée : elle ne sait pas si elle doit se mettre en colère ou me prendre au sérieux, elle hésite. Je pousse mes pions. Je sais bien que je suis beaucoup trop jeune pour vous, je ne prétends pas que vous puissiez vous intéresser à un « gringalet », je vous le demande même pas, mais vous ne pouvez pas ignorer l’effet que vous me faites, vous ne pouvez pas faire semblant que ce que vous m’inspirez, c’est que dalle. Alors voilà , je suis raide dingue de vous (et quand je dis « raide », je sais à quoi je pense), je pense à vous toute la journée, toute la nuit (alors là , oui, vraiment raide toute la nuit…), et si pour vous c’est pas possible, eh ben tant pis, je ne viendrai plus, je me ferai discret en cours, mais comme vous le dites souvent dans les textes, une grande passion, c’est pas quelque chose qui s’efface comme ça. Voilà , je vous aime. Et là , sans la laisser répondre, je me tourne pour partir, genre de toute façon, il n’y a rien de plus à dire, c’est un amour maudit, je vais mourir seul et désespéré. Elle me retient par le bras – elle m’a touché… Je me retourne vers elle. Elle est confuse, troublée. Elle ne sait pas quoi faire. Je reviens vers elle, et je colle mes lèvres aux siennes. Elle ne répond pas à mon baiser, mais elle ne se retire pas non plus. Je sens ses lèvres chaudes, pulpeuses, le parfum de son rouge à lèvres, un léger goût de framboise, j’adore. Je n’insiste pas, mais je la regarde droit dans les yeux, elle m’évite, elle fuit mon regard mais ne me repousse pas. Je la pousse contre le mur, et carrément, je lui pelote les seins en enfouissant ma tête dans son cou. Elle se laisse encore faire ; je crois qu’elle est tétanisée. Ce n’est pas vraiment acceptation de sa part, mais pas un geste de refus. Je m’écarte un peu, je la laisse respirer. Je m’en vais, je ne vais pas abuser de vous, je vois bien que vous ne savez pas quoi faire. Ce soir, j’irai chez vous, vous m’ouvrez si vous voulez, et si vous ne voulez pas, tant pis, vous pourrez m’oublier même si moi je ne pourrai pas. Je fais un geste de départ et de nouveau, elle me prend par le bras ; et c’est elle qui vient coller ses lèvres aux miennes, mais ses lèvres maintenant ouvertes, avec la langue qui investit ma bouche. C’est un baiser fougueux, et j’y réponds avec ardeur, prenant un sein à pleine main, tentant avec l’autre de défaire un bouton de son corsage. Non, pas maintenant, pas ici. Viens ce soir. Elle est cramoisie, et s’enfuit en courant.
J’invente pour mes parents un truc de boulot, et à vingt heures, je sonne chez elle. Pas de lumière, pas de réponse. Je sonne encore. Elle vient m’ouvrir, dans le noir. Entre. Elle referme la porte vivement et me plaque contre le mur en m’embrassant. Je n’y vois pas grand-chose, elle porte un truc léger, je ne sais pas trop quoi. Mes mains devinent vite une sorte de déshabillé en soie, et j’en fais glisser les bretelles rapidement, afin de saisir sa poitrine nue dans mes mains, puis de prendre un sein à pleine bouche. Elle halète, elle soupire, ses jambes cherchent à m’enserrer. Je crois qu’elle n’avait pas de slip, je vérifie… Bon sang, oui, elle est nue contre moi, dans le noir, et elle ne peut pas ne pas sentir que je bande comme un dingue. Je la soulève, une vraie brindille, mes mains sous ses fesses, ses cuisses serrées autour de moi. Prends-moi, là , vite. Je la repose pour défaire mon jean, pendant qu’elle m’arrache pratiquement ma chemise, elle me griffe. J’arrive à retirer mon boxer, à dégager mon sexe, et je la soulève encore pour l’enfiler direct. Putain, je sens sa chatte chaude contre ma bite, elle mouille comme une dingue, et ça rentre tout seul. Elle est là sur moi, elle gémit et se démène, je suis en train de la limer contre le mur de chez elle, dans le noir, je suis en train de baiser ma prof. Il faut que je me calme, sinon je vais gicler d’un coup. Je n’aurais pas cru qu’elle pouvait être chaude comme ça. Elle se détache de moi et me prend par la main, me guidant vers je ne sais où. Et elle me pousse dans un fauteuil, pour venir me chevaucher, enfonçant ma bite au plus profond de sa chatte, je viens buter en elle, elle monte et descend, j’ai ses seins qui ballotent devant mes yeux, dans la pénombre, je la tiens par les hanches, et elle a entamé un rodéo de folie. Elle aime ça, c’est sûr, elle aime la baise. Et manifestement, elle aime ma bite, elle aime sentir mon sexe jeune et dur, elle aime me sentir vibrer en elle, elle aime serrer ses muscles sur moi. Et moi j’adore ça. J’adore son corps, sa maturité, sa sensualité, j’adore son expérience, j’adore sa fougue, sa folie, sa fureur. Je la tiens haut sur moi, et je décale ma bite vers son cul, vers son petit trou que je devine serré, chaud. Non, pas par là , s’il te plaît, je ne l’ai jamais fait… Justement, je vais y aller tout doucement. Non, tu es trop gros, ça n’entrera jamais. Ne t’inquiète pas, avec ta mouille, ça va entrer. Elle est tendue et un peu inquiète, mais elle écarte ses fesses autant qu’elle peut, elle a envie et elle a peur, je la laisse venir doucement, et c’est elle qui s’empale doucement, doucement d’abord, puis un mouvement plus rapide, puis doucement de nouveau. Son cul est si serré, mais c’est si bon ! Je l’encule tendrement, je l’encule avec toute la délicatesse possible, et pendant que je l’encule, je lui branle le clito rudement, et plus je la branle, plus elle s’enfonce sur moi, plus elle gémit, je crois qu’elle pleure, elle est en train de jouir, et je la branle encore, et ma bite s’enfonce au plus profond d’elle, elle tremble de partout, elle mouille tellement que sa cyprine me coule sur le ventre, et son cul est maintenant complètement ouvert, elle monte et descend sur moi comme si jamais elle n’avait été serrée, elle monte et descend comme une folle, et ma bite est comprimée à mort dans un déluge de sensations incroyables. Elle ne l’avait jamais fait ? Elle va le refaire, c’est sûr, elle adore ça, moi aussi. Puis elle redescend doucement, elle a eu deux orgasmes successifs, et elle redescend. Elle se dégage de moi, essaie de se mettre debout mais n’y parvient pas tant ses jambes sont molles encore ; alors elle s’agenouille, et vient prendre ma bite toujours dressée, toujours dure, ma bite tendue à mort, et elle la lèche doucement, elle la nettoie de toute cette mouille, puis l’embouche entièrement – je ne sais pas comment elle fait ça – et me pompe, me pompe, en me caressant les couilles, en me doigtant l’anus, et elle me fait venir doucement, mais irrésistiblement. J’essaie de me retenir, mais c’est juste impossible, sa bouche est une ventouse, je vais tout gicler. Et elle ne me lâche pas, je crois qu’elle va tout prendre. Putain, je viens, je viens. Et elle ne me lâche pas et avale tout, et me lèche encore, me nettoie en poussant sa langue jusqu’à mon anus, pour que ma jouissance soit totale. Jamais je n’avais connu ça, jamais. Je relâche tout, et elle vient s’asseoir sur mes genoux, et se reposer sur moi à son tour. Elle est dans mes bras, je caresse un de ses seins avec tendresse, nous ne voyons pas grand-chose dans le noir. Elle sait que je ne vais pas pouvoir rester. Elle murmure doucement : merci, je n’avais pas joui ainsi depuis longtemps ; je sais que tu ne vas pas rester ; on se voit demain, et tu comprends qu’il faudra être très discrets, c’est ma carrière qui est en jeu. Oui, je me rends bien compte des risques qu’elle prend pour moi, et… ça me fait bander illico. Dis donc, quelle forme, déjà ? C’est vrai, tu es tout jeune. Tu veux me prendre encore ? Oui, je veux la prendre encore, et encore. J’ai quitté sa maison vers deux heures du mat, épuisé ; j’avais joui quatre fois, elle je ne sais pas.
La suite, je ne vous la raconte pas. Mais je sais que j’aurai une note de dingue au bac : j’ai une prof particulière.
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