Mes aventures !!!

Depuis notre séparation je vis seule. J’ai de toutes façons mes envies de sexe toujours dans mon ventre. Je devrais me calmer, à 41  ans, c’est dur de ne plus avoir un sexe dur dans la chatte. Une copine, Martine m’a dépannée en me faisant l’amour. J’ai aimé puisque nous avons recommencé plusieurs fois. J’aime bien la sucer, quand elle me rend la caresse sur le bouton et qu’elle met deux doigts ou plus dans le cul. Je ne renonce pas du tout à nos étreintes lesbiennes : c’est si doux…….. J’ai besoin d’une vrai bite dans mon con. Nous en parlons souvent avec Martine qui est comme moi, elle a besoin elle aussi d’une bonne bite. Elle me propose de nous mettre en chasse pour trouver un sexe. Je me méfie du triolisme qui fait que nous baiserions avec Martine un même mec. Une ou deux fois ça irait mais plus je n’en veux pas : il me faut un amant sur mesure : grand, beau si possible, monté normalement
(je ne cherche pas une bête de concours) qu’il ait de l’endurance, qu’il résiste bien à mes demandes. Je veux qu’il baise bien et encule aussi bien.  Je convainc Martine qu’il nous faut à chacune un homme, un vrai. Ca ne devrait pas être dur de trouver, nous sommes bien faites, baisables malgré la quarantaine st l’expérience que nous avons.

La première qui trouvera chaussure à son pied le présentera à l’autre. Chiche, comme des gamines, chiche. J‘ai une chance de cocue (ce que j’étais avant) : je rencontre l’élu au bureau de poste, endroit bien connu pour les rencontres de couguars. Il est derrière moi dans la file d’attente, en se pressant vers moi je sens sa bite légèrement grossie : j’ai envie de la toucher pour voir s’il bande. Arrivés chez moi, nous nous embrassons sur la bouche. J’ai remis ma main sur sa bite que je sors maintenant. Joli morceau que je voudrais bien pour moi, sans mon sexe et ailleurs. En me suivant tout à l’heure sur mon invitation il savait déjà ce que nous allions faire. Je sais qu’il n’a pas débandé et au bureau de poste et en venant chez moi. Quelques personnes que je connais m’ont regardé d’un drôle d’air : et oui, j’allais me payer un jeune.
Maintenant que j’ai une bite à ma disposition je vais en profiter un max, comme disent les jeunes. D’abord je veux en connaitre le goût. J’adore les bites qui ont  bon goût. Je m’incline devant la sienne pour la mettre dans la bouche. Elle sent fort l’urine. J’aime bien cette forte odeur, elle m’excite toujours. Ma langue s’enroule autour du gland, et lentement je la met dans la bouche. Il me prend la tête comme pour me guider : je n’ai pas besoin de son aide, je sais bien sucer. Je me relève pour ne pas le faire jouir. 
Je me laisse faire quand nous nous embrassons sur le bouches, nos langues se caressent longuement. Il commence à me déshabiller lentement. Il pousse son action jusqu’à embrasser tout ce qu’il découvre. Il caresse mes seins, il les embrasse aussi. Sa bouche me tête come le ferai un bébé qui cherche son lait. Je sens mes seins doubler de volume, je sens surtout ma chatte devenir une fontaine. J’ai oublié Martine, je me consacre à un mâle. Je ne cherche pas du tout l’amour, je suis là pour qu’il me ma mette simplement. 
Quand je suis totalement nue c’est à mon tour de découvrir son corps. Et quel corps, musclé, aux tablettes de chocolat et surtout sa bite bien droite. Il voudrait me baiser debout, là contre le mur. J’aime mes aises : je l’emmène dans la chambre. Par pudeur idiote, je tourne le portrait de mon mariage. Je ne veux pas que mon image regarde ce que je vais faire. 
Il voudrais que je recommence à le sucer. Rien que pour son plaisir et le mien, il faut l’avouer, je le prend en bouche, je me retourne pou lui donner ma chatte à lécher. Je ne sais où il a appris à faire les 69 : en tout cas il me fait vite jouir. J’ai réussi à le garder en forme, maintenant il ne peux jouir que dans mon ventre.
Je suis sur le dos, quand je l’invite à venir me baiser. C’est d’abord sa bouche qui revient sur la mienne. J’y retrouve le gout de cyprine de ma chatte; j’aime bien mon gout, comme celui de Martine. C’est bizarre, je pense beaucoup à mon amante. Je l’oublie totalement quand il entre sa bite dans mon sexe :
elle est grosse comme j’aime, longue pareille, en un mot elle est normale. Il me la met profond, jusqu’au col de la matrice. Il la ressort entièrement pour la remettre au fond. Il me fait gémir, le salaud. Il y a longtemps que je n’ai pas gémi avec une bite dans mon ventre. Tellement longtemps que je fais avec lui les allers et venue. Il la sort toujours presque en entier et j’aime ça. J’aime tellement que je ne peux m’empêcher de jouir comme jamais. Je sens bien sa bite toujours dans mon sexe. Comme il sait que je jouit, il me met en levrette. Je sais déjà qu’il veut changer de trou. J’aimais bien la sodomie, maintenant après cette longue période de jeûne je ne sais pas comment mon cul va l’accepter.
Il met son gland contre mon anus. J’ai à la fois envie et peur. Je me laisse faire. Il écarte les chairs de mon cul, lentement tellement lentement que je ne le sens que quand il a passé le gland, le plus dur normalement.  Rien que cette sensation me fait encore jouir. Il entre enfin à fond, je sens son pubis contre mes fesses. Inconsciemment je commence les allers et venues. J’adore cette sensation d’avoir le cul empli et bien rempli de cette bite. Je ne peux me retenir de me masturber le clitoris : j’aime allier ces deux sensations différentes. 
Il  faut croire qu’il trouve son bonheur dans mon cul : il y jouit longuement. Comme c’est de coutumes de nos jours, il voudrait que je lui nettoie la bite: pas question en sortant de mon cul. 
La suite de notre après midi se poursuit sous la douche pour le nettoyer. C’est moi qui tiens le jet d’eau chaude, j’arrose sa bite longuement d’abord pour qu’il bande et ensuite pour la lui laver. Quand je le sens se regonfler, je passe maintenant le jet sur ma fente pour m’exciter encore plus si c’est possible. Il regarde mes mouvement, sa bite devient très grosse: il a encore envie. Tant mieux, nous sortons de la douche, nous essuyons rapidement pour retourner au seul endroit où je tiens à baiser. Nous nous embrassons à perdre haleine Nos mains passent partout sur le corps de l’autre. J’ai encore sa bite à la main, je le branle légèrement. Il passe sa main entre mes cuisses pour chercher mon anus. Il ma branle lentement comme je le branle aussi. Il est étonné de me faire jouir ainsi. Il ne connais pas ma vie, c’est pour ça. 
Enfin il se décide, il revient sur moi, il me baise brutalement, j’aime comme il fait, on dirait presque un viol. I me fait jouir deux ou trois fois. J’aime sa bite
dans ma chatte quand je jouis: il me semble que je suis emplie de sa bite. J’ai de la chance je suis tombée sur un bon baiseur. 
Le dernier orgasme pour moi est magnifique: il est en train de jouir dans mon intestin, je me branle encore. 
Nous nous rhabillons, quand il me donne son 06, comme il dit, s téléphone. Quand j’en aurai bien envie je l'appelerai pour me faire fourrer.
J’invite Brigite chez moi pour le soir. Je lui raconte toute ma journée : elle mouille tant qu’elle se masturbe devant moi, sans complexe entre deux amantes. Je lui propose de la partager, elle ne veut pas, elle veut le sien, bien à elle. Elle le trouve le lendemain.