Mais surtout, depuis quelques temps, je viens y retrouver une femme avec qui j’ai lié connaissance il y a peu : C’est l’employée qui entretient les espaces verts du parc. Si, au début, nos rapports sont restés strictement amicaux, il n’en est plus vraiment de même depuis une semaine. Mercredi dernier, notre relation a, en effet, pris un tout autre tour, nettement plus intime. C’est ce qui explique pourquoi je suis actuellement couchée tête-bêche sur elle, la langue dans sa chatte et sa bouche sur ma petite vulve.
Christine, c’est son prénom, est une authentique gouine. Une vraie lesbienne intégrale et exclusive. Une femme à femmes qui sait y faire. Elle n’a jamais connu d’homme et la simple évocation d’une possible aventure masculine suffit à la dégoûter. Bien sûr, je l’ai remarqué dès notre première rencontre. Avec elle, j’ai découvert ma bisexualité jusque là insoupçonnée. Elle n’a pas été très longue à m’inviter dans la remise qui lui sert à ranger son matériel de jardinage, sous un prétexte fallacieux. Là, j’ai rapidement compris que je ne ressortirai pas sans avoir subi de sa part une initiation aux plaisirs saphiques en bonne et due forme. Nullement apeurée mais un peu fébrile, je décidai de la laisser faire et de profiter de sa propre expérience pour forger la mienne.
Nous sommes maintenant allongées, superposées l’une sur l’autre. C’est la toute première fois qu’une vulve gonflée s’offre ainsi à mon regard curieux. Dans cette position, je suis plus habituée à cajoler bites et paires de couilles que clitoris et grandes lèvres. J’adore sucer une bonne queue pendant qu’on me laboure la chatte à grands coups de langues ou qu’on me titille le bouton du bout des lèvres. Le 69 est l’une de mes postures préférées en amour et je constate sans déplaisir que j’adore également bouffer la belle figue mûre de Christine.
La jardinière n’est pas en reste. Penchée au-dessus de mon bas-ventre, je sens sa lourde poitrine qui repose sur mes seins. Elle m’écarte fermement les cuisses de ses mains musclées d’ouvrière. Sa figure est perdue dans le creux de mon bassin, entre mes jambes et elle me tête tout le chat avec empressement et habileté. J’ai l’impression que mon sexe tout entier est pris dans sa bouche, tant elle s’applique à ne pas en laisser la moindre parcelle inexplorée. Le plus petit repli de mes chairs intimes est visité par sa langue et ses lèvres habituées à la géographie féminine. De la base des grandes lèvres au sommet du clitoris, depuis longtemps sorti de son petit capuchon protecteur, elle me bouffe la fente avec passion. Le plat de sa langue vicieuse vient se coller à mon petit bouton qui n’en finit pas de bander. Jamais aucun de mes partenaires masculins ne m’avait mangé l’abricot fendu d’aussi belle manière. Il faut reconnaître que rien ne vaut une bonne gouinasse pour se faire téter la moule. J’en fait l’heureuse expérience aujourd’hui et je ne le regrette pas.
De mon côté, je tente, tant bien que mal, de rendre la pareille à mon initiatrice. J’apprends vite ! Fourrant ma langue novice dans son joli con, je duplique avec l’application de l’élève qui copie son maître les mouvements de sa bouche sur ma propre vulve. Non sans une certaine réussite d’ailleurs, si j’en juge par les petits gémissements qui s’échappent ponctuellement de la bouche de la lesbienne. Je ne suis pas la seule à ressentir du plaisir à cette situation. Je suis heureuse de pouvoir, moi aussi, donner à ma partenaire un peu de la jouissance que je ressens au fond de mon ventre. Pour lui montrer ma bonne volonté, je m’enhardis à glisser ma langue un peu plus haut dans sa fente juteuse, juste à la naissance de ses fesses d’abord, puis carrément à la bordure de son petit anus violacé. Mes amants habituels apprécient que je leur prodigue ce genre de caresse anale, alors pourquoi pas elle ? Homme ou femme, un trou du cul reste un trou du cul après tout !
A sa réaction, je comprends que je ne me suis pas trompée. Le mouvement de ses fesses la trahit involontairement. Je perçois bien son envie de sentir plus intimement ma langue sur sa petite rosace étoilée. Pourquoi donc se priver de cette gourmandise ? Je vais lui montrer que, toute novice que je suis, je sais donner du plaisir moi aussi, même à une femme.
Je fais donc aller et venir ma langue fureteuse tout au long de sa raie. Je lape sa fente odorante comme un jeune chiot avide. Je vais chercher un peu de sa mouille plus bas pour en tartiner abondamment la rosette palpitante. Additionnée à ma propre salive, elle constituera à n’en pas douter un excellent lubrifiant naturel. Je pointe ma langue sur le trou du cul de Christine. Je pousse un peu pour tester sa faible résistance. Déjà, je sens que le bout de mon muscle lingual entrouvre la rondelle. L’appétit de la lesbienne semble grand car elle vient de poser vicieusement ses mains sur ses deux fesses, juste au-dessus de mon visage et commence à tirer doucement sur les miches pour mieux les écarter. Ma langue en profite et entre toujours plus dans l’orifice anal. Comme ce n’est pas encore assez, la gouine, décidément de plus en plus gourmande, pousse, un peu comme si elle voulait chier. Cette fois-ci, ma langue est littéralement aspirée, happée, par l’anus. Je la rends la plus dure possible et commence à ramoner le fondement de la jardinière qui se trémousse, la vulve plantée sur mon menton, cherchant le contact maximum.
De son côté, elle ne reste pas inactive, loin s’en faut. Si sa bouche est toujours collée à ma chatte, lui prodiguant mille caresses expertes, ses mains, qui ont quitté ses fesses, semblent maintenant fort intéressées par mon cul. Elle sait que je ne rechigne pas à ce genre de plaisir et que les caresses anales ne me rebutent pas. Je la sens qui prend un peu de mouille à ma fontaine comme je l’ai fait tout à l’heure à sa propre source. Ensuite, elle se saisit des deux globes charnus et tente de les écarter à leur tour. Je sais ce qu’elle veut.
D’ordinaire, je réserve cette partie de mon anatomie à mes séances de masturbation. Je me branle par-devant depuis mon adolescence mais je n’ai découvert le plaisir de recevoir un gros gode ou un beau légume dans le cul que tout récemment. Aussi, les doigts pervers de Christine ont un peu de mal à me pénétrer le fondement au début. Je dois, comme elle me l’a montré elle-même tout à l’heure, pousser un peu pour faciliter la pénétration. Je m’exécute. Une fois l’extrémité de l’index sodomite passée par la petite porte, le reste des phalanges suit le mouvement sans plus de difficultés.
Nous nous retrouvons donc toutes les deux avec le cul comblé. Le sien l’est par ma langue qui lui titille le pistil avec de plus en plus d’assurance tandis que le mien accueille avec satisfaction les mouvements rapides et réguliers de son doigt. Je me surprends à onduler du bassin pour aller toujours plus à la rencontre de sa main et de sa bouche. Je suis collée à elle. Je glisse lentement mes bras vers sa poitrine, qui pend sous elle et en saisis les longs tétons bruns. Je les triture, je les étire. Ils bandent presque. La croupe de Christine se fait de plus en plus lourde sur ma face, ma langue entre toujours plus loin dans les entrailles de la lesbienne. De mes lèvres gonflées, je baise carrément son anneau culier comme j’embrasserai une bouche. Cette idée, en me traversant l’esprit, me procure des sensations extrêmement fortes. Je baise un cul !
A cette simple évocation, tous mes sens s’emballent. Des spasmes violents me traversent le ventre. Le trou de mon cul se serre sporadiquement sur le doigt qui le pénètre et les muscles de ma vulve se contractent brusquement. Je jouis comme une folle sous les assauts de la gouine. Elle me suit de près. Je sens un liquide chaud qui s’écoule sur ma poitrine au moment même où un cri presque inhumain emplit la petite cabane. Cette salope jute comme un homme sur mes seins. Son trou béant expulse violemment un liquide gras et visqueux qui vient s’écraser sur la peau laiteuse de mes jeunes mamelles. Cette curiosité imprévue décuple mon plaisir et je jouis à nouveau avec force avant de m’effondrer, vaincue par mon premier orgasme lesbien. Christine se laisse couler à mes côtés et nous nous endormons comme ça, blotties l’une contre l’autre au milieu des outils de jardin.
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