Vie à trois 3

Récit érotique écrit par cerebrox le 14-07-2014
Récit érotique lu 5808 fois
Catégorie Sadomazo

Ce que nous apprécions, ma femme et moi, c'est notre déchéance commune rendue possible par la présence d'un tiers à qui tout est accordé d'avance et rien n'est refusé. René assouvit ses fantasmes et nous n'existons plus qu'à travers lui. Notre sommes les objets humains de ses pulsions les plus salaces et de ses gros besoins. Cathy, c'était inévitable, a fini par tomber enceinte. Et même si le Maître l'honore et la déshonore régulièrement, les sorties accompagnées de ma femme en sex-shop, en sous-bois, voire même dans les chiottes publics des centres commerciaux sont si fréquentes depuis ce premier prêt en foyer si concluant, qu'il est impossible de savoir qui l'a engrossée. Des nausées répétées ainsi qu'un test de grossesse confirment le diagnostic. René qui plaisante souvent sur la couleur de l'enfant à naître ne veut pas entendre parler d'avortement. Cathy gardera le gosse. De plus, rien, pour l'instant, ne laisse deviner une femelle en ovulation retardée et, aux yeux du Maître, outre le fait que mon épouse lui semble encore plus baisable, l'aspect le plus pratique reste un excès de libido féminine qui vire à la nymphomanie et qui arrange bien les affaires des voyeurs et des obsédés de tous poils ravis d'une telle aubaine aussi conciliante. Cathy réclame des séances d'exhibition, des attouchements multiples en extérieur et sa soif de jouissance est telle qu'il faut la traîner par les cheveux à coups de pied au cul pour lui faire regagner la bagnole, un plastique sous les fesses afin de parer aux coulées de foutre anales et vaginales qui risquent de salir les sièges. Le bas-ventre rendu plus sensible, du fait de son état, Cathy connait, lors de ses nombreux ébats furtifs ou au lit avec René, des orgasmes plus soudains et plus intenses. Il aime la prendre en levrette longuement pour bien la niquer profond et la faire gueuler avant de pieuter. La porte de ma chambre doit rester ouverte. Je ne dois rien manquer du plaisir que le Maître sait si bien lui procurer. Je quémande un droit de visite lorsqu'il m'est impossible d'écouter ça plus longtemps. Il m'est parfois accordé et je me glisse sous le corps de mon épouse pour lui tripoter les mamelles, lui sucer la chatte et lécher le coït. René s'enfonce jusqu'aux couilles dans la chatte brûlante et évasée de ma femme en transe que je sens vibrer et trembler comme une feuille sous les coups puissants et si virils de celui qui a su faire de moi sa lopette, son larbin. Alors, il s'arrête de limer, logé au plus profond du conduit féminin fertile et je peux alors lui gober, lui sucer les burnes qui pendouillent de façon obscène sous mon nez. Quel homme n'a jamais rêvé de tringler la femme d'un autre en ayant le bonheur de se faire manger les couilles par le cocu de mari, en même temps ?! René fait durer son bien-être avant de reprendre son pilonnage intensif. Cette fois, il a changé de trou et encule ma femme qui se contorsionne et halète, au-dessus de moi. Elle geint et semble perdre toute contenance avant de cracher sa mouille. Cathy jouit dans ma bouche, les membres tétanisés par une explosion inouïe. Le Maître accentue encore la cadence, histoire de la faire râler tout son soûl, puis il envoie la sauce et, à peine remis de son transport pervers, il urine dans son fondement accueillant sans déculer: "Je te fais le plein de pisse, ma grosse truie ! Ecarte-bien les cuisses pour que l'autre grosse merde en dessous puisse me boire..." ça dégouline sur mon visage et je m'efforce tant bien que mal d'en avaler le maximum à la source en tirant la langue. Mais, ce n'est vraiment pas commode. J'ai la gueule trempée quand il me faut encore prendre en bouche la queue semi-bandante du Maître qu'il me faut nettoyer après sodomie. Je dois ensuite laver les draps et essuyer la protection plastifiée qui recouvre le matelas du grand lit conjugal où je ne dors plus. Sur la table de chevet, un cadre et une photo: celle de notre mariage. Le Maître tient encore à baiser ma femme en sachant ce qui le fait jouir et bander ferme comme un coucou ne faisant jamais mieux son nid que dans celui des autres.

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14-07-2014 0 5808

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