Retour aux origines

Récit érotique écrit par cerebrox le 02-03-2015
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Catégorie Inceste

Après bien des péripéties plus ou moins difficiles à vivre et suite à la perte de mon dernier emploi, j'ai perdu également ma petite amie, mon appartement et mon indépendance de jeune adulte fraîchement sorti du nid. Aussi, ravalant ma fierté car échaudé par tant d'expériences négatives et d'échecs successifs cuisants, je me suis décidé à retourner vivre chez mes parents à défaut d'autres solutions immédiates. Mais, ce que je croyais être une solution de repli provisoire et honteux s'éternise et j'apprends avec un surprenant plaisir à découvrir mes parents, personnes que j'imaginais bien connaître, sous un nouveau jour. Je devrais plutôt parler, concernant nos relations peu ordinaires et si nouvelles pour nous trois, d'une découverte quotidienne de leurs côtés les plus obscures dont je suis devenu un adepte très dépendant. Je savais mes parents délurés et très portés sur les choses du sexe, mais j'étais loin de les savoir capables de franchir cet interdit que constitue la barrière de l'inceste. Mes fantasmes rejoignaient pourtant en tous points les leurs, tel père, tel fils, et, avec mon retour inespéré, je me surprenais à regarder, à la dérobée, les habitudes intimes et familières de ma mère autrement. Je la voyais comme la belle créature bourgeoise et objectivement très désirable qu'elle était lorsqu'elle apparaissait en tenue légère, voire en mini-jupe pour minauder au salon. Je sentais à quel point ses manières, ses regards insistants, ses allusions équivoques et ses poses provocantes étaient faites pour exciter mon désir de fils indigne. J'en éprouvais toujours un mélange de frustration et de forte culpabilité à l'égard de mon père, surtout en sa présence. Mais curieusement, papa fut souvent le premier à trouver les mots pour faire taire mon anxiété toute naturelle. Il me vantait alors, sans aucune gêne et de façon très judicieuse, la beauté des lignes corporelles de sa femme et me parlait d'elle comme on confie à son meilleur ami les pensées les plus cochonnes qu'inspire le spectacle d'une telle femme sexy, d'une si charmante personne dont les courbes des hanches et le galbe des jambes étaient un appel constant à l'amour. Les premiers temps, j'ai gardé mes distances. Mais, peu à peu et la confiance aidant, je me suis pris aux jeux, j'en oubliais presque qu'il s'agissait de ma propre mère que papa traitait de "bonne salope" en la tripotant de manière obscène tout en lui roulant des gamelles buccales très appuyées, sous mes yeux. Maman feignait une molle résistance pour la forme, mais se laissait faire avec un manque total de pudeur qui me faisait tourner les sens. Ces exhibitions parentales, de plus en plus osées et répétées, me faisaient bander comme jamais, les premiers étonnements passés. J'avais le rare privilège de partager l'intimité du couple qui m'avait donné la vie et je me refusais à ne rien vouloir savoir à ce sujet. J'étais pris dans ce tourbillon de jouissance sans limites auquel je consentais de mon plein gré. Aussi, les scènes impudiques allaient toujours plus loin dans le vice et l'audace folle, encouragées qu'elles étaient par ma complicité curieuse, perverse à souhait. J'aimais les regarder s'embrasser toute langue dehors, se caresser nerveusement, voir les grosses mains calleuses de mon paternel plonger soudain entre les cuisses tremblantes de maman, lui écarter les pans de son peignoir de bain afin que je puisse bien apercevoir la couleur des culottes sexy en dentelles ou celle des strings de celle-là. Maman se pâmait d'aise, lâchais de timides soupirs étouffés, la tête renversée en arrière pendant que papa la doigtait en lui suçotant le cou, ses seins magnifiques. Il me prenait alors, dans l'intensité violente de mon désir pour eux deux, des envies de retour aux origines. Je brûlais du besoin irrépressible de tâter la poitrine maternelle, de revoir la grosse pine de mon père autrement qu'au repos lorsqu'il prend ses douches. C'est une chose de surprendre ses propres parents à poil, c'en est une autre de les voir se chauffer sous mes yeux, avec leur permission. Histoire de me convaincre de la vraie bonne putain perverse et docile qu'était ma mère, papa l'encouragea à des séances de masturbations en notre présence. Ce qu'elle fit sans trop de difficultés, bien que les joues rouges de honteuse excitation et les yeux baissés. Mais son plaisir d'exhibitionniste dépravée prenait toujours très rapidement le dessus et je pouvais la voir écarter les cuisses dans ce qu'elle avait de plus beau et de plus secret à me montrer: sa bonne chatte épilée, béante et trempée. Elle roulait avec dextérité ses grandes lèvres vaginales entre ses doigts pour nous exposer son trou évasé et gravide et faire émerger son clitoris cramoisi d'envie humide et terriblement salace. De temps à autre, papa lui branlait la vulve tout en proférant à son encontre les commentaires les plus insultants. Il voulait me donner le droit de pouvoir la voir se faire jouir. J'attendais, fébrile, le moment où je pouvais enfin découvrir les expressions du visage, les grimaces et les sons si caractéristiques des transes orgasmiques de celle qui m'avait mis au monde. C'était, à chaque fois, par la grâce paternelle, une chose miraculeuse et proprement hallucinante à laquelle il m'était permis d'assister, en privé, et je ne m'en lassais pas...

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02-03-2015 0 11234

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