Ce que Dieu veut

Récit érotique écrit par cerebrox le 15-03-2015
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Catégorie Lesbiennes

Mon homme me délaisse depuis de longs mois bien que je sois encore joliment conservée et très avenante pour mon âge. La maturité me va bien, mais tous les maris finissent par se comporter comme les égoïstes goujats qu'ils ont, au fond, toujours été! Les premiers temps, je souffrais de cette solitude sexuelle imposée, subie et répétée. J'en étais même secrètement très vexée. Prétextant des heures de travail supplémentaires au bureau et des voyages d'affaires, mon mari est , au fil du temps, devenu l'absent de notre grande maison bourgeoise. Son désir pour moi a également peu à peu disparu. Quelle terrible frustration pour une femme au tempérament latin comme moi que de devoir apprendre à se satisfaire toute seule ! Je n'étais pas une grande adepte de la masturbation ni des godes pendant nos premières années de mariage et en dehors des sorties nocturnes ou des nuits blanches dans notre chambre d'amoureux, je me montrais une attentive et parfaite mère au foyer. Notre petite Noémie a grandi au milieu de notre bonheur de couple. C'est, aujourd'hui, une magnifique et grande jeune femme aux longs cheveux lisse et noirs de 17 ans qui occupe toute ma vie. Plus jeune, elle me tenait volontiers compagnie. Nous étions déjà très proches toutes les deux. Elle me ressemble. Deux gouttes d'eaux ! Je connais par cœur toutes ses peines de cœur et je lui confie fréquemment mes plus lourds secrets. On s'entend bien et j'ai toujours été très heureuse de l'avoir à mes côtés. Avec le vide laissé par son père, nous nous sommes encore tout naturellement davantage rapprochées. Noémie a un corps superbe. Dépucelée à 15 ans par un camarade de lycée, elle n'a pas non plus froid aux yeux. Elle est moi lorsque j'avais son âge, mais on ne revient pas en arrière malgré la nostalgie. Nous nous amusions souvent à essayer des robes et des sous-vêtements devant le grand miroir de la salle de bains. On aimait se regarder, se voir, se toucher. Ces occupations entre "copines" ne prêtaient pas vraiment à conséquence et nous nous flattions l'une l'autre sans penser à mal. Mais, je suppose que l'abstinence sexuelle dont je pâtissais m'a fait reconsidérer complétement les choses et Noémie s'est mise étrangement à me percevoir autrement dès ce moment. Je lui avouais mes peines et, un soir, alors que nous jouions à notre passe-temps préféré, elle prit l'initiative de me caresser les hanches. J'ai frémis un moment, surprise et tétanisée. Mais, je n'ai pas pu prononcer un mot. C'est en soutien-gorge et en petite culotte de coton que ma fille s'est collée à moi. J'étais rouge de honte et médusée. Sa bouche si suave cherchait la mienne. De doux et sensuels baisers sur mes lèvres auxquels je n'ai pas résisté. J'ai entrouvert la bouche et j'ai aussitôt senti la langue humide et chaude de ma propre fille m'emplir de désir. Une de ces passions soudaines, brûlante et tenace, à laquelle je n'osais m'attendre. J'ai laissé ses mains habiles et nerveuses me parcourir le corps. Nous aspirions toutes les deux à nous découvrir autrement. Ces choses là se sentent et ces premières caresses me troublèrent infiniment. Le moment tant redouté et si intimement souhaité était enfin arrivé. J'aimais son audace et, malgré mes réticences, je cédai enfin à toutes ces ardentes manifestations d'envies. Le plaisir, presque hallucinant, était mutuel, pourquoi s'en priver? C'était trop bête de reculer maintenant. Nous avions d'ailleurs passé, toutes les deux, le point de non retour. Soit je cédais, soit une gêne et un malaise durable s'installeraient entre nous. Je ne voulais pour rien au monde perdre aussi ma fille chérie. Je rendis alors à Noémie son formidable baiser. Désormais, rien ne pouvait plus nous séparer. Pour la première fois de ma vie, j'ai dormi avec ma grande fille. Ce fut inoubliable. Le grand lit, d'ordinaire si froid, devenait soudain et comme par une incroyable alchimie le lieu de tous les délices. Je crois bien n'avoir jamais joui aussi violemment dans la pénombre de nos élans féminins. Noémie, qui voulait visiblement vaincre toutes mes ultimes résistances de mère coupable, tint à ce qu'une lumière de chevet reste allumée, au fond du reste de notre nuit. Elle me regardait soupirer et me tordre dans tous les sens, toute fière de me donner tant d'amour. Je lui confiais, au creux de l'oreiller, combien c'était bien mieux qu'avec son père qu'elle savait pourtant cocu. Je découvris, cette nuit-là entre les bras de ma gamine délurée, combien les femmes entre elles savent se combler au-delà de tout ce qu'un homme peut imaginer...

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15-03-2015 2 6576

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