Une lope pour l'amant de ma femme

Récit érotique écrit par cerebrox le 19-02-2015
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Catégorie Sadomazo

Cathy est une très belle créature élancée, aux longs cheveux sauvages, de 35 ans qui n'a jamais voulu entendre parler d'enfant. Très prise par ses responsabilités professionnelles, elle est aussi belle qu'arrogante et salope cruelle. Sportive par souci de ses lignes corporelles, mais toujours vêtu d'un tailleur très chic et parée de bijoux précieux, elle porte bien, dans ses démarches félines élégantes, ses talons qui la grandissent encore à mes yeux. Ma femme est une dame de caractère dont je suis très épris. Gynarchique et très indépendante, elle a su, dès les premiers jours de notre vie commune, imposer ses exigences et me mettre les points sur les i. A la ville comme à demeure, c'est elle qui commande et j'obéis. Je n'ai pas mon mot à dire et dois céder sur tout ou je suis impitoyablement chassé de chez elle. N'ayant jamais osé prendre un tel risque, j'ai donc dû, très rapidement, accepter de perdre mon emploi pour tenir et entretenir sa grande baraque bourgeoise, lustrer, laver, repasser, faire la cuisine et les courses comme le parfait petit employé modèle, l'autre "femelle au foyer" qu'elle a voulu que je sois pour elle. Je connais ses besoins, ses habitudes et ses préférences par cœur. Je m'empresse toujours de les satisfaire, servilement. Massage de ma reine dans son bain moussant, elle sirote son whisky favori on the rocks, appréciant plus que tout ce moment de détente absolu, une fois rentrée, après de longues heures passées au bureau. Face-sitting au-dessus du bidet de la salle de bains qui va jusqu'à l'orgasme, ensuite. Cathy se laisse souvent aller à m'uriner en bouche lorsque ses sensations sont très intenses, quand elle s'oublie totalement sur moi. J'adore déguster son champagne doré! J'aime ce rituel et me savoir son objet humain à disposition. Mes relations sexuelles avec elle sont devenues très rares, je porte, jour et nuit, une cage et dois souvent la supplier de me permettre de l'ôter afin de soulager de masculins besoins trop longtemps réprimés. Mais, c'est elle qui contrôle ma sexualité et qui se plait à me branler comme le vilain garçon aux sales pensées que je suis. Je dois tout lui dire des fantasmes les moins avouables qui me passent alors par la tête. Cathy connaît mes penchants bisexuels et mon jouissif bonheur à me savoir presque toujours cocu. Cette superbe marâtre ne se gêne plus pour faire venir à domicile et me présenter ses nombreux et très virils amants, pour un soir ou pour plusieurs mois qui, la plupart du temps, sont au courant du masochiste du cocu de mari consentant. J'aime écouter aux portes. L'entendre prendre son pied, la regarder rouler des pelles baveuses à l'homme qui l'enlace sans paraître se rendre compte de ma présence en lui murmurant des mots doux afin d'éveiller ma jalousie. Certains d'entre eux trouvent amusant de m'humilier, de m'insulter. On m'oblige à venir sucer des queues encore imprégnées des senteurs intimes de mon épouse, de leur lécher le cul, de faire des langues aux coïts extra-conjugaux, de leur tenir la chandelle ou de servir le petit-déjeuner au lit, les weekends en tenue de soubrette aux ordres et plug au cul. Je sais combien la cérébralité perverse de ma femme s'en trouve décuplée et tout ceci m'excite grandement aussi. Elle adore faire l'amour, longuement, dans notre chambre à coucher en regardant la photo de notre mariage, cadre toujours posé bien en évidence sur la table de chevet. Quant à moi, je dors souvent sur le canapé du salon. Le sommeil étant toujours très long à venir du fait des bruits incongrus et des paroles échangées, des râles, des rires qui me parviennent distinctement de la chambre ou des wc. Je souffre d'être aussi à l'étroit dans ma cage de chasteté dont elle seule à la clé. Cela, cette vicieuse le sait également ! Et, cela s'entend lorsqu'elle batifole à la maison avec des hommes charmants et d'une condition sociale et intellectuelle supérieure à la mienne. Le plus avilissant pour moi, c'est de devoir accepter sans discuter de me faire sauvagement enculer, à grand renfort d'insultes et de vigoureuses claques sur le fessier, par quelques uns des habitués qui ont toute licence pour m'humilier en sa présence. Certains vont jusqu'à m'utiliser aux chiottes comme wc humain. J'accepte, le ventre rempli de pisse, le martyr qu'elle jouit de me faire endurer et que son vice pousse toujours plus loin par amour infini pour Cathy. J'espère, plus encore qu'avant, être vraiment l'homme de sa vie. Ma fidélité et mon esprit de sacrifice peuvent, chaque jour que Dieu fait, en témoigner.

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19-02-2015 0 34047

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