C'était la dernière fois que je la voyais, la dernière fois qu'on se parlait. C'est en tout cas ce qui m'a poussé à le lui dire. Dire à ma prof que je l'aimais.
- Qu'est-ce que tu viens de me dire ?
Je le lui avais dit tout en lançant des regards furtifs vers sa poitrine, malgré moi. L'avait-elle remarqué ? Allait-elle me réprimander ? Ou même me punir ?
- Je vous aime..., répétai-je.
Non, elle ne paraissait pas choquée. Un sourire se dessina lentement sur ses lèvres. Visiblement, cette révélation lui faisait étrangement plaisir, ce qui me troubla.
- Et tu as attendu la fin de l'année pour me le dire ?
- P-pardon...?
- Tu aurais du me le dire bien plus tôt...
Elle déboutonna sa chemise tendue au niveau des seins, à cause de leur grosseur. Quant elle eut fini, ses seins rebondirent légèrement.
- Je t'ai attendu pendant tellement de temps...Ces soirées passées seule, à t'imaginer me faire des choses...interdites...Si tu savais comme...j'ai envie de toi !
Ses seins, ces deux trésors qui me faisaient tant fantasmer lors de ses cours... Ils étaient là, devant moi, nus, et à portée de bras.
- Vous...vous ne portez p-pas de sous...sous-vêtements..?
C'était la seule phrase qui me sortit de la bouche à ce moment- là, ne me demandez pas pourquoi. L'excitation liée au stress et au désemparement, probablement.
Elle me lança un regard mauvais, un regard pervers, un regard qui était vraiment excitant.
- Tu crois que je n'ai pas remarqué ton petit manège tout au long de l'année ? Tu les reluquais n'est-ce pas ? Alors je les ai préparés, j'en ai pris soin, pour qu'à chaque cours ils puissent t'obséder... Maintenant ils sont à toi !
- Ma-madame vous êtes sûre que-...
Je n'eus pas le temps de finir, que déjà elle plongeait ma tête entre ses seins.
- Tais-toi Joakim, et répète-le moi ; dis moi que tu m'aimes... Dis-moi des choses cochonnes !
- Je-...
Elle me repoussa contre le mur de la salle et retira sa chemise complètement.
- Joakim, j'ai envie de toi. Je veux que tu me fasses crier, de bonheur et même de douleur ! Fais-moi jouir ! Baise-moi Joakim, baise-moi !
Elle me replongea la tête dans ses seins nus. Je sentis monter en moi l'envie et mon entre-jambe, bien que déjà fort actif, se mit à bouger sous mon caleçon... Mes fantasmes étaient à ma portée de main, et je n'allais pas me faire prier pour les saisir !
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