Conflit de voisinage

Récit érotique écrit par mazaudier le 10-11-2018
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Catégorie Lesbiennes

 

Bonjour, je m’appelle Marc, et vais vous raconter mon histoire.

Un jour, en rentrant du lycée, je suis accueilli par ma voisine, qui me met une gifle magistrale, parce que, soit disant j’avais marché sur son potager.

En rentrant, je décide d’en parler à ma mère.

Maman est une femme assez enveloppée d’environ quatre vingt kilos, pour un mètre soixante dix, avec un ventre bien arrondi, et des cuisses plutôt grosses.

 

-Quoi, bondit-elle en enfilant une robe, elle t’a fait ça. Je vais aller la voir, tu vas voir.

 

Lucia, nôtre voisine, d’origine italienne, est à peu près, du même gabarit. Elle est installée ici depuis environ trois mois. Elle a fait un petit coin jardin, ou elle cultive quelques légumes.      

 

-Dis, connasse, pourquoi tu as mis une gifle à mon fils. Tu veux que je t’en mette une moi.

-Ben t’as qu’à essayé, répond Lucia, les mains sur les hanches.

 

Ma mère fonce sur elle. S’engage alors un corps à corps féroce. Lucia parvient à glisser une main sous la robe de ma mère. Dans la seconde qui suit, la main tire la culotte vers le bas, et remonte aussitôt entre les cuisses de ma mère.

 

-Aiiiiiieeeee…aiiiieeeee…pas ça, tu vas arracher ma touffe…aieeeee

 

Lucia retire sa main. Ma mère remonte sa robe, regarde sa chatte. C’est tout rouge à l’endroit ou Lucia a arraché les poils. Lucia profite de la position de ma mère pour faire passer la robe par-dessus sa tête. Elle essaie de s’échapper, mais sa culotte coincée à ses chevilles, l’empêche de courir. Lucia la rattrape, la tient par un bras, tout en lui mettant des claques sur les fesses, qui ne tardent pas à rougir.

 

-Aie…aie…ahou…ahou…

 

Dans un ultime corps à corps, les deux femmes tombent, et roulent derrière un petit muret, me cachant la vue. Je ne vois que le tronc de Lucia dépassé. Puis je vois voler la culotte de maman, qui était restée coincée à ses chevilles. Maintenant, maman est entièrement nue, face à Lucia. Connaissant la réputation de Lucia, je m’attends au pire.

Soudain, un cri strident surgit de derrière le muret.

 

-Aie…aie…arrêtes avec ma touffe…ça fait mal…

-Regarde tous les poils que j’ai dans ma main, tu en avais un peu trop. Allez, encore un peu.

-Non…assez…tu vas voir quand je vais le dire à mon mari.

-C’est ça, qu’il vienne, je ferai suivre le même traitement à ses couilles. Allez, écarte tes jambes…tu vas les écarter oui, ou j’arrache ta barbichette.

-Non…non…d’accord, je les écarte.

 

Sans suit un long silence. Il est interrompu par des gémissements. Puis je vois le corps de ma mère se cambrer, par dessus le muret.

 

-Oh non…pas ça salope, tu vas me faire jouir…

-Pourquoi, les grosses n’aiment pas qu’on leur branle la chatte…ou qu’on gratte leur clito…

-Hum…hum… si j’aime qu’on me branle, mais je jouis après….ça y est…je jouis…ha…ha…

 

L’orgasme est si fort, que je le corps de maman se soulève de terre, puis retombe au sol.

Après un moment de répit, les gémissements reprennent. Mais qu’est-ce qu’il se passe. Lucia ne serait-elle pas en train de s’amuser avec la pette chatte de maman. Le doute est vite levé, quand je vois le ventre rond, surgir de derrière le muret.

Il me faut vite changer de fenêtre. Au passage, je récupère une paire de jumelle.

Le spectacle auquel j’assiste, est hallucinant.

Ma mère se trouve les jambes en l’air, totalement écartées, comme chez le gényco. Les doigts de Lucia pénètrent la chatte débordante de mouille. Du pouce, elle excite le clitoris, entièrement décalotté. Et quel clito. Je n’aurais jamais imaginé que ma mère ait un aussi gros bouton. Une agate.

Tout son corps vibre sous les odieuses caresses. Lucia la regarde droit dans les yeux.

 

-Alors, petite garce, tu te régales…t’as pas honte, te faire branler par une femme.

-C’est tellement bon….vas-y…hou…hou…oh mon dieu, je jouis encore…ah…ah…oui…

 

Ma mère hurle de plaisir quand elle atteint l’orgasme. Puis Lucia s’assoit sur le muret, oblige ma mère à se mettre à quatre pattes, sa croupe tournée vers elle. Je vois le gros cul de ma mère, légèrement cambré.

Lucia récupère deux concombres qu’elle venait de ramasser, les montre à ma mère.

 

-Quel tu veux, demande-t-elle, le gros ou le petit.

-A ma grande surprise, ma mère choisit le gros.

 

Lucia présente le légume contre la fente de maman. La chatte, pleine de mouille, avale facilement le gode de fortune. Lucia tient l’autre concombre, et même s’il est moins gros, il n’en reste pas moins calibré. Elle décide de le mettre dans le petit trou.

Maman ne peut retenir un cri de douleur. Elle est en train de subir une double pénétration. La douleur s’estompe, et laisse la place à des gémissements de plaisir. Quand Lucia arrête ses mouvements, c’est ma mère elle-même qui envoie de violents coups de reins sur les queues improvisées.

 

-Oh oui…encore…encore…c’est trop bon de se faire prendre par les deux trous.

-Je savais que tu te régalerai…salope. 

 

Après un énième orgasme,  Lucia lui donne la fessée…

Puis, en vainqueur, elle oblige maman à s’allonger sur le dos, jambes bien écartées. Cette fois, Lucia s’occupe essentiellement du clito de ma mère, le fait rouler entre trois doigts. Ma mère se tord comme un serpent sous l’odieuse caresse.

 

-Hum, que c’est bon ça, sourit Lucia…elle aime se faire doigter le clito la salope…

-Oh oui j’aime, gémit maman, vas-y, amuses toi avec lui…il aima bien quand on le gratte…oh oui, c’est bon…je sens que tu me la bien décalotté…branles le…ah…ah…

 

Je vois le clitoris de ma mère vibrer sous les doigts de Lucia, qui prend plaisir à jouer avec elle. Ma mère se trémousse, se caresse les seins, son corps s’agite dans tous les sens, jusqu’à atteindre un terrible orgasme, le quatrième.

Jugeant qu’elle avait assez humilié ma mère, Lucia se retire, en obligeant ma mère à passer la voir de temps en temps.

 

Ma mère se lève abasourdi, ramasse sa culote, et s’essuie entre les cuisses. Elle écarte ses lèvres intimes pour bien sécher l’intérieur de sa chatte.

 

-Cette salope, la rouste qu’elle m’a mise, comme elle a branlée la chatte. Elle m’a faite jouir quatre fois. Ma petite chatte est toute mouillée…toute enfle…et mon clito, il est tout rouge tellement qu’elle me l’a doigté, on dirait une bille. J’espère que personne n’a vu ce qu’elle m’a fait.

 

Depuis, ma mère, entièrement soumise, rend souvent visite à Lucia. Juste pour se faire baiser et enculer par les doigts vicieux de la belle italienne. Je l’entends hurler de plaisir.

Puis, épuisée par les orgasmes à répétition, les yeux cernés, elle rentre à la maison, s’enferme dans la salle de bains.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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