Salut, je m’appelle Sylvain et vais vous conter un épisode de ma vie, qui est termine aujourd’hui.
Comme tous les week-end, nous travaillons, Sylvie, ma ravissante épouse, et mon pote Eric, sur un projet concernant les futures illuminations de noël. Nous avons tous trois, la trentaine.
Nous sommes très soudés, au point qu’il n’est pas rare qu’Eric couche avec ma femme, avec mon consentement bien sur.
Tout à commencé il y a environ cinq ans, lors d’une séance au cinéma. Je savais qu’Eric avait une attirance envers mon épouse, et cette attirance était réciproque.
Ce soir là, nous étions confortablement installés, légèrement à l’écart des autre clients.
Du coin de l’œil, je vis la main d’Eric se poser sur la cuisses de Sylvie. Lentement, elle s’engouffra à l’intérieur des cuisses. Ma femme m’interrogea du regard. Je hochais la tête, en souriant. Du coup, Sylvie pris ses aises, en passant sa jambe en travers de ma cuisse. Dans cette position, elle était totalement écartées.
Je vis Eric, enrouler délicatement la jupe de mon épouse à la taille. Je m’aperçus, dans la pénombre, que Sylvie ne portait pas de culotte. De ce fait, les doigts d’Eric avait toute le passage nécessaire, pour caresser la petite chatte de ma femme.
Le mot fin apparut sur l’écran, juste au moment ou, dans un léger soupir, Sylvie atteignit l’orgasme.
Ce fut le début, d’une longue et torride relation.
Relation, qui a renforcé nôtre amitié, et sur laquelle je vous propose de revenir.
D’abord, je tiens à faire une petite mise au point.
Depuis que nous faisons ménage à trois, il n’y jamais eu aucune allusion, aucune comparaison humiliante.Sauf peut être une fois, ou Eric s’est montré maladroit.
Pour nôtre projet de travail, j’ai emménagé un atelier, dans une pièce de mon appartement. Des tables à dessins, un ordi.
Pour permettre de nous reposer, un canapé, pour Eric, et un matelas pour moi et mon épouse. Même s’il m’arrive souvent de prendre le canapé, quand Eric baise Sylvie.
Quand nous travaillons, nous nous mettons à l’aise. Nuisette pour mon épouse, et tee short pour nous. De ce fait, nôtre sexe est facilement accessible, au cas ou l’un de nous aurait une envie.
Pendant une pause déjeuner, Eric et moi sommes assis sur le canapé, quand, féline, Sylvie s’approche de nous, à quatre pattes. Elle passe sa langue sur ses lèvres, et à tour de rôle, prend nôtre queue en bouche.
Elle suce divinement. Mais je remarque que ça fait deux fois qu’elle avale le sperme d’Eric, ce qu’elle n’a fait que très rarement avec moi. Mais bon…
Il m’arrive de reprendre le travail, les laissant continuer leurs ébats. De temps en temps, je les regarde, et voit mon épouse se faire prendre en levrette. Je prend un réel plaisir à l’entendre crier, quand elle jouit. Le lendemain, c’est mon tour.
Mais j’avoue quand même, que Sylvie a un penchant pour la queue d’Eric, peut être un peu plus grosse que la mienne, ça doit se jouer à un centimètre.
Par contre, la ou il est doué, c’est pour les préliminaires, et la créativité. D’après Sylvie, il a une façon de caresser sa petite chatte...de vrais doigts de fée. Du reste, il la fait souvent crier de plaisir, qu’avec es doigts.
Après une dure journée de travail, Sylvie et Eric, vont prendre une douche. L’oreille collée à la porte, j’entends mon épouse gémir. Je suis sur qu’il la prend droite contre la paroi de la douche.
-Oh putain, comme tu me baises toi…
-T’aimes quand je te nique...hein?
-Tu le sais salaud...ta queue est tellement bonne.
-Meilleure que celle de ton mari?
-Aussi bien. Allons rejoindre Sylvain. Je veux qu’il participe lui aussi. Après tout, c’est mon mari.
Même si Eric ne s’attendait pas à une telle réponse, nous avons passé une bonne nuit de baise.
Le lendemain matin, je suis réveillé par le clafoutis de l’eau dans la piscine. Sylvie, pendue au cou d’Eric, l’embrasser à pleine bouche. Je les rejoins.
Nous étions tous les trois, entièrement nus, à nous amuser, quand soudain, je sens une main remonter sur mes cuisses, et me prendre les couilles. Je sursaute en m’apercevant, que c’est la main d’Eric. Je croise le regard de Sylvie, qui m’adresse un large sourire. Je suis paralysé dans l’eau. Je le suis d’avantage, quand la main saisit ma queue, et la décalotte.
Puis Sylvie et Eric éclatent de rire.
C’est à ce moment que mon épouse, propose une petite collation. Un rosé bien frais sera le bien venu, avant de passer à table.
Nôtre tenue vestimentaire n’a pas changé. Et on se gêne pas de caresser, ou mettre un doigt dans la chatte de Sylvie, quand elle nous sert. Parfois, elle s’assied sur les genoux d’Eric, pour qu’il la branle.
-Arrêtes, dit-elle, ma chatte va être toute mouillée. Je vais être obligé d’aller la laver.
-C’est vrai Eric, soit patient, on a toute la nuit pour la baiser.
Elle nous traite de salaud, de vieux vicieux. Plus tard dans la soirée, on lui prouve qu’on n’est pas si vieux que ça. Mais elle aussi a du répondant.
Mais petit à petit, nôtre relation prend une autre orientation. Je ne sais pas si c’est un complot entre Eric et mon épouse, mais toujours est-il, que souvent dans la piscine, Eric me gratte les boules, ou décalotte mon zob. Le pire, c’est que j’apprécie de plus en plus ces caresses et il m’arrive même d’avoir une forte érection. Le soir, à table, Eric me chambre.
« Salaud, t’avais la trique dans la piscine après midi»
Je le regarde en souriant.
C’est ce soir là, que nôtre relation allait prendre une autre tournure. Nous étions au lit en train de faire l’amour, quand mon épouse, allongée sur le dos, me demanda de lui bouffer la chatte. J’enfouis mon visage entre ses cuisses, et commence à la lécher, quand je sentis un objet dur, frotter contre mon petit trou. Je tourne la tête, aperçoit le sourire coquin d’Eric. Sylvie me prend par les épaules, m’attire à elle. Je me retrouve le visage entre ses seins, la croupe offerte à Eric. Je pourrai arrêter ce jeu, quitter la chambre. Mais je dois avouer, que la curiosité d’une expérience nouvelle me tente. Je vais recevoir, ma première sodomie. Je m’accroche aux bras de Sylvie, qui me console en posant un baiser sur ma nuque.
«Ca va aller, mon chéri, murmure mon épouse à mon oreille...je suis là»
Petit à petit, je sens mon petit trou se dilater, sous la pression du gland décalotté d’Eric. Doucement, la bite fait son chemin, me pénètre. Même si la douleur est modérée, je sens un petite picotement. Je m’agrippe malgré tout, aux bras de ma femme. Puis le calibre d’Eric entame de lent va et vient dans mon ventre.
Je serre les dents, la tête appuyée sur l’épaule de Sylvie.
-Dis à ta petite femme, ce qu’il te fait, demande-t-elle.
-Tu le sais, ce salaud...il m’encule.
Après quelques minutes, je sens un liquide chaud sur mon dos. Eric a eu le respect de ne pas me remplir le ventre. Il prend soin de me nettoyer le dos, et se retire. Sylvie me prend dans ses bras.
Le lendemain, nous profitons d’une belle journée, pour
jouer dans la piscine. Nous sommes collés un à l’autre, à se caresser. Aucun bruit, mis à part les gémissements de mon épouse, quand on lui caresse la chatte. Quant à moi, les attouchement vicieux d’Eric, ne me surprennent plus.
Le soir, après un copieux repas, nous prenons le dijo. Je suis sur le matelas avec Sylvie. Eric allongé sur le canapé.
Sylvie tourne ma tête de force, pour me montrer la bite d’Eric dressée au plafond, en pleine érection.
Elle me souffle à l’oreille…
-Quoi, a non, pas ça, dis-je.
-Allez mon amour, fais moi plaisir.
Lentement, je rampe vers le canapé, prend la queue d’Eric, la décalotte, suce le gland. Eric, à moitié assoupi, se réveille. Je le regarde, et enfonce sa bite dans ma bouche. Je commence à lui pomper le dard,
quand je sens une tête se glisser entre mes cuisses. C’est Sylvie qui me rejoint. Elle s’allonge sur le dos, glisse son visage entre mes jambes. Ma queue frôle sa bouche. Elle l’aspire, l’avale tout entière.
Soudain, je sens la queue d’Eric vibrer dans ma bouche, ce salaud arrive à l’orgasme. Son sperme gicle dans ma gorge, tandis que je vide mes couilles dans la bouche de mon épouse, suite à une pipe d’enfer. Eric, en pervers qu’il est, me force à lui nettoyer la queue.
Je finis par m’écrouler sur le matelas. Sylvie rampe sur mon corps. Nous nous embrassons, mélangeons nôtre sperme avec nos langue. Puis, dans un sourire.
-C’est avec toi que je veux finir la nuit...rien que nous deux.
De ce fait, nous regagnons nôtre chambre, la vraie.
Ca fait pas mal de temps, que nous navons une nuit que pour nous. Celle-ci fut inoubliable. J’ai vraiment été à la hauteur. Ma femme n’a pas arrêté de jouir. Pensait-elle à Eric?
Quand je lui ai demandé, pourquoi cette décision.
Elle me dit qu’elle veut que je lui fasse un enfant, et qu’elle ne veut prendre aucun risque.
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