Le train couchette

Récit érotique écrit par mazaudier le 11-04-2025
Récit érotique lu 3 fois
Catégorie Infidélité


Ils avaient trouvé leur voiture et leurs couchettes avec peine, dans ce train de nuit bondé des départs en vacances. Enfin le convoi s’ébranla et ils se préparaient pour dormir dans la lumière bleue de la veilleuse et le sourd cliquetis du wagon fonçant dans les ténèbres. Louis était en haut, sa femme Lise à la couchette intermédiaire sous la sienne.

Il lui prit la main, une fois qu’ils furent allongés, en signe de bonne nuit. Les autres couchettes étaient toutes occupées et, tandis qu’ils tournaient, se retournaient sur l’étroite banquette, cherchant le sommeil, leur attention fut attirée, par leur voisin du bas, côté opposé.

Il s’agitait sous son drap, ne pouvant apparemment lui non plus s’endormir. Il faisait chaud dans la nuit d’août, et l’homme était torse nu dans son enveloppe SNCF. Il se découvrit d’un geste énervé et Lise vit distinctement le sexe en érection qui pointait hors du drap. Il se saisit de sa queue et commença un mouvement lent de va-et-vient.

Au bout d’un moment le gland luisant émit un liquide qui le fit briller dans la faible clarté. Lise vit alors l’homme badigeonner de ce liquide le haut de son sexe, puis, retroussant son prépuce de la paume de la main, se caresser à même la peau fragile, en commençant à haleter légèrement. Il ne se préoccupait pas de ses voisins, qui d’ailleurs dormaient, à l’exception de Louis et Lise qui observaient fasciné, sans bouger, de peur de se trahir et qu’il s’interrompe. Elle regardait le sexe tendu et commençait à se sentir excitée, elle en admirait la taille et la grosseur, supérieures à celui de son mari.

Lise avait la gorge sèche et le souffle plus rapide, expérimentant la sensation nouvelle et délicieuse de briser un interdit, sans trop savoir jusqu’où cela la mènerait. Son mari était plus excité, si faire se pouvait, et le fait d’observer un autre homme dans son intimité introduisait une note d’homosexualité qui lui noua le ventre et le fit respirer plus vite. Il se pencha vers sa femme et lui montra le voyageur en lui prenant la main et l’agitant dans le mouvement qu’on fait pour branler. Elle se méprit sur le sens de son geste et crut qu’il voulait qu’elle le caresse. Elle tendit alors le bras vers lui, cherchant sa bite qu’il avait effectivement exhibé au bord de la couchette. Elle enserra la virilité de son mari commençant à le caresser, mais ce n’était pas ce qu’il voulait et il la repoussa doucement, lui montrant l’homme deux rangs plus bas qui continuait sa masturbation solitaire, les yeux fermés.

Elle comprit que son mari voulait qu’elle aille elle-même caresser cet inconnu et profiter de son érection, de ce sexe offert à qui voulait le flatter. Elle fit non de la tête regardant son mari comme s’il était devenu fou et se rencogna dans sa couchette, voulant oublier toute cette histoire. Mais elle ne pouvait s’empêcher de penser à l’homme, à sa queue, et elle ne put résister au plaisir de le regarder à nouveau. Elle voyait le membre se gonfler à chaque fois qu’il sortait de la main, proche d’une éjaculation libératrice. L’image seule de cette forme, de ce gland surexcité restait dans sa tête quand bien même elle fermait les yeux, et elle se sentit agir bientôt comme une automate privée de volonté. Elle ne pouvait résister à l’envie de le toucher, de satisfaire les désirs de ces hommes, celui de l’inconnu, désir tout simple de jouir, et celui de son mari plus pervers de la voir le tromper sous ses yeux en caressant un autre mâle. Elle descendit doucement dans sa fine chemise de nuit et s’agenouilla contre la couchette du bas où l’individu s’activait. Elle posa alors sa main sur la sienne et accompagna un temps le mouvement de va-et-vient. L’homme ouvrit les yeux et vit la femme penchée sur lui. Il retira sa main pour la laisser faire et elle continua la masturbation, enserrant le membre chaud et mouillant son propre sexe sous sa combinaison, excitée du contact de la verge raidie. Elle fit comme elle l’avait vu faire, essayant la même dextérité, recouvrant le gland avec le prépuce, puis s’arrêtant un instant pour le décalotter et frotter entre son pouce et son index pour répartir le liquide jusqu’à l’échancrure, tourbillonnant de ses doigts sur le gland exorbité. Elle le branla ensuite comme il avait fait, sa paume directement sur la peau fragile. L’homme se mit à gémir faiblement. Elle dégagea ses seins du décolleté de sa combinaison, pour qu’il puisse profiter de leur vue, et approcha leur pointe du gland érigé qu’elle frotta ainsi doucement, en même temps qu’elle le tenait toujours de sa main. Au bout d’un moment, placée ainsi à genoux avec le visage à quelques centimètres de la bite, elle eut envie de le prendre dans sa bouche. Elle arrêta la caresse et saisit le membre dressé qu’elle présenta devant ses lèvres. L’homme la regardait d’un air approbateur et elle se retourna vers son mari qui l’observait, fou d’excitation, et lui fit un signe d’acquiescement. Alors elle commença par embrasser ce sexe offert, à le lécher, à passer sa langue sur le gland et son pourtour comme on lécherait une glace à la fraise. L’homme n’y tenait plus et attendait qu’elle le prenne tout entier, qu’elle l’engloutisse au fond de sa bouche. Elle fit durer longtemps son attente, continuant à l’agacer de ses lèvres, de ses dents et de sa langue, avant de l’absorber enfin au plus profond de sa bouche, montant et descendant sur la hampe et le gland exacerbé. Elle se hissa un peu plus haut et plus verticalement et entreprit de le masturber avec sa gorge, faisant pénétrer le gland seul dans le début de son œsophage, comme elle savait le faire . L’homme râlait, elle sentit le sexe se gonfler, et venir tous les signes prémonitoires de l’orgasme. Elle accéléra son mouvement de va-et-vient et bientôt il éjacula dans sa bouche, répandant un flot de sperme trop longtemps contenu. Elle l’avait ramené à la hauteur de son palais pour pouvoir respirer et s’appliquait à avaler toute la semence au fur et à mesure que le gland hoquetant de plus en plus faiblement rejetait le liquide chaud. Enfin, se rengorgeant, elle se dessaisit de ce sexe, continuant cependant de l’entourer de ses lèvres avec une gourmandise qui semblait inextinguible.

Calmement, l’inconnu glissa une main sous la nuisette de Lise, rencontra la chatte nue, parfaitement épilée. Sous la douce caresse, Lise se dressa sur ses genoux, offrant son intimité. L’homme la pénétra de ses doigts, la branlant lentement. Lise se cambrait sous les doigts qui la fouillaient, gémissant de plaisir. Soudain, le corps de Lise fut pris de violent spasme. Elle atteignit un orgasme terrible qu’elle étouffa dans son coude.

Louis ne les avait pas quittés des yeux tout au long de leur duo érotique. Il s’était branlé, synchronisant sa jouissance avec celle de l’homme, qu’il devina aux mouvements de gorge de sa femme ingurgitant le sperme. Elle avait conscience d’avoir réalisé la plus belle fellation de sa vie, d’avoir donné à l’inconnu un plaisir inouï, indescriptible, dont son conjoint n’avait jamais connu l’équivalent. L’homme de la couchette lui avait aussi donné énormément de plaisir. Elle avait joui intérieurement de la jalousie que celui-ci devait ressentir. Elle l’embrassa sur la bouche de ses lèvres encore souillées des traces que l’intrus avait laissées.

Ce dernier s’était retourné sans plus s’occuper d’elle, et, considérant le service rendu comme tout naturel, il commençait à s’endormir. La femme se coucha à son tour satisfaite du plaisir donné simultanément et si différemment aux deux hommes et s’endormit elle aussi dans un rêve érotique.

Le lendemain, ils descendirent sur le quai, et virent l’inconnu se diriger vers l’hôtel de la gare. Lise posa un regard interrogateur sur son mari, qui acquiesça. Louis s’installa au bar de l’hôtel, commanda un Bourbon.

Deux heures plus tard, Lise apparut, l’air épuisé, des cernes sous les yeux, mais un sourire de femme satisfaite éclair son visage. Elle rejoint son mari au bar, se blottit contre lui, et lui donna un sulfureux baiser. Louis la pris par la taille, et ils quittèrent l’hôtel en couple heureux.





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11-04-2025 0 3

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