L’été avait filé.
Pas de vacances comme souvent, pas de ronds…
Paul, mon mari avait été licencié, mon salaire à la mairie ne suffisait plus, on se serrait la ceinture…
Cette histoire a 20 ans… Anne, ma fille, était dans l’âge difficile, mes parents m’aidaient à la garder, à lui donner autant de bonheur qu’ils m’en avaient donné…
Je n’avais jamais trompé Paul.
Oh, j’avais eu des demandes ! Parfois directes, parfois cachées délicatement proposées…
Je suis plutôt athée, mais mes parents, catholiques, peu pratiquants, m’avaient baptisée, et j’avais fait ma communion solennelle…
Mamère me serinait que tromper, c’était donner un coup de ciseau dans le contrat, c’était… Mal !... Le mal qui vient te ronger jusqu’à ce que tu lui cèdes…
Quand je rencontrais Julien, lors d’une fête de famille, la première fois, j’avais retenu son regard bleu…
Le mariage, pas le sien, juste des cousins, se déroulait dans mon village…
Je connaissais tout le monde ici, mais pas LUI….
Je me renseignais, et en effet, il n’était pas de la famille, mais ami, du marié…
Il dansait avec une brune aux yeux noirs, aux longs cheveux…
Quand il m’invita, j’acceptais poliment, comme cela se pratique…
Il me parla de lui, je parlais de moi, deux minutes, et tout était dit…
J’ajoutais ma fille de 15 ans, mes difficultés ne le regardaient pas…
La brune était une amie.
J’enchainais sur mon travail, rencontrer des gens, des cas sociaux, des femmes battues…
Il me regardait, je lui plaisais…
Il était sympa et s’amusait, il me quitta pour une autre, je ne dansais pas le rock…
Paul me cherchait pour une valse, un peu plus tard, puis je revis Julien, attablée avec mes cousins, qui projetaient une sortie au ski…
Je n’avais jamais pu me payer des vacances de neige…
J’en rêvais quand mes collègues de travail me racontaient leurs soirées fondues, les sorties en boîte, les flirts, le retour dans le froid, seule ou…
Une de mes collègues, une amie avec laquelle on échangeait souvent, me raconta son dernier ‘coup d’un soir’, justement, à la neige…
Je ressentais son désir dans chacune de ses paroles, comme elle me le décrivait.
Elle m’expliquait ce creux au ventre, qui empirait au fil des regards, au fil des danses, la couleur de ses yeux qui envahissait les siens, les slows qui devenaient très serrés… Leurs pas qui les entraînaient vers le hall d’entrée, plus calme…
Pour se retrouver seuls, enfin, mais dans un froid relatif, et une sécurité moyenne…
La première caresse effleure ses seins, passe dans ses reins…
Elle tremble… Les bras qui entourent ses épaules la protègent des regards des autres, leurs lèvres qui se rapprochent, yeux dans les yeux…
Son sexe qui pointe contre son ventre…
Il a envie d’elle… Elle aussi…
Le baiser qui dit ‘oui’…
Leurs langues qui jouent une valse coquine…
Et le creux au ventre qui devient insupportable…
Puis tout s’enchaîne, se déchaîne, il est partout, elle se laisse étreindre, en un éclair, dans ce couloir peu fréquenté…
Une main enserre un sein, presque libéré…
Et ce sexe contre sa cuisse, qui pointe, qui devient dur, qui la fait fantasmer…
Elle le cherche d’une main indécise, elle le touche, le caresse…
Premiers attouchements, indécents, inquiétants, envahissants….
Elle porte un Jean… Pas pratique pour lui…
Manque de confort… Manque de place, manque…
- On continue ailleurs ?
- OUI !
Elle récupère son vestiaire, puis le suis, voiture, studio, boisson, et ils reprennent, là où ils en étaient restés…
Caresses, tendresse, baisers, pull, soutif, pantalon, culote…
La nuit s’envole aussi…
Fellation, cunnilingus, son ventre est une plaie ouverte…
Elle gémit, elle s’écartèle… Elle coule de toutes parts…
Puis elle jouit enfin du membre qui la pénètre, viril, puissant, elle en perd la notion du temps…
Elle se réjouit de son choix, il est doux et tendre, la respecte, lui fait l’amour en missionnaire, instants divins, renouvelés plus tard, en plus intenses, puis en plus coquins, enchaînant les positions plus torrides, avec une sodomie finale intense et sensuelle, comme elle les aime…
Ramenée à son hôtel en temps et en heure, un parfait gentleman, qui s’en retourne dans la nuit glaciale…
- Ah, tu n’aimes pas ?
- Non, je… J’ai toujours refusé… C’est… sale…
- Rien n’est sale en amour… J’apprécie le fait d’être soumise, comme forcée, violée et de devenir une autre pendant quelques instants, de jouir différemment, d’un membre qui puisse éjaculer sans soucis de procréation, me fourrer, m’enculer comme ils disent…
C’est parfois violent, parfois un peu douloureux, trop vite pénétrée, alors il faut arrêter, puis recommencer ensuite, bien préparée, lubrifiée, pour en jouir sans arrière-pensée… Tu ne l’as jamais fait alors ?
- Non…
- Pas même avec un amant ?
- Non…
- Il faudrait que je te présente Maurice de la compta…
- Je connais, je crois, il a une solide réputation de coureur…
- Alors !
- J’ai toujours refusé ses avances…
- Quand j’ai un souci, une peine, je vais le voir… C’est radical…
- L’amour thérapeutique…
- Tu sais, je me lâche avec lui, car c’est un mec sécure et réglo qui aime baiser et nous on en a besoin ! Alors je me transforme en chienne, je le déglingue, je le vide, on s’éclate toute la nuit… Où est le problème ? Au matin, j’ai tout oublié… On se dit à la prochaine, simple, gratuit, efficace…
Elle a 35 ans cette femme, elle a été mariée, puis séparée… Pas de charge, pas d’enfant, elle papillonne, libre, libertine…
Ce souvenir, dans cette noce, m’a donné des ailes…
On rit, on danse, on mange, on boit…
Paul se distingue, éméché et bientôt éteint, comme je le connais…
Je recroise le regard de Julien…
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Il m’a rejoint, il me propose un tour dans le jardin…
- Tu es très belle… Cette robe te met en valeur…
- Merci Julien…
- Ta fille est avec tes parents, elle aimerait faire quoi dans la vie ?
- Oh… Pour l’instant ce sont les garçons… Elle se maquille et s’habille n’importe comment, passe son temps au téléphone avec ses amies…
- Je connais…
- Tu as une fille ?
- Non, je… Divorcé, sans charge…
- Ah, pardon… Oui, Anne c’est dur… Je suis épuisée, et Paul ne fait rien…
- Regarde les roses…
Un coin pour elles, pour les sublimer, de toutes les couleurs, un océan sur quelques mètres carrés…
On entend les flonflons de la fête…
Il me sourit, mon ventre se serre… Il parle de notre famille, comment il nous a connu.
Il me berce de mots, de sourires, de charme, de drague…
J’ai froid… J’entends un slow, lui aussi…
Il me prend dans ses bras… Me serre doucement contre lui… Ses bras autour de mes épaules…
- On danse avec les roses…
Je sens son parfum, ses mains glissent sur ma robe, frottent, me réchauffent…
Je sens alors le creux au ventre… Il me serre contre lui…
Je ressens des choses, des picotements, son sexe…
Il a envie de moi !...
Je lève la tête, nos lèvres s’effleurent…
C’est pas bien !...
Paul n’est pas très loin et peut me voir, comme d’autres de ma famille, les enfants jouent dans le parc, à 3 mètres de nous…
J’esquive…
Son baiser vient mourir dans mes cheveux…
Le creux de mon ventre me fait vaciller…
Je croise mon cousin en ville quelques jours plus tard, la sortie est fixée au week-end du 25, départ vendredi 18h00 à trois voitures.
J’en parle à Paul…
- On fera comment ?
Il a raison… Voiture en fin de vie, pas de chaines…
Nous n’avons pas de vêtements de ski. Paul n’a même plus d’anorak…
Le lendemain, mon cousin m’appelle… Si je veux, ils ont une place…
« Cela te changera, ma vieille… Un week-end détente… Seule… »
Paul n’est pas contre.
Anne va et vient entre chez nous et chez mes parents…
Il sera libre de regarder la télé avec ses copains du rugby…
Elle pourra sortir au ciné samedi soir…
J’appelle mon cousin, il est ravi, il passera me prendre, 3 heures de route.
Ils se sont débrouillé un gite, des copains…
Repas sandwiches, samedi soir fondue, on fera une cagnotte commune…
Je ressors mon anorak, ma combinaison, mes sous pulls, mes pulls, mes chaussettes, mes après-ski ? J’en n’ai pas… Des chaussures de marche ? Elles feront l’affaire, elles sont chaudes.
La femme de mon cousin Jéjé m’appelle…
Si je veux, elle réserve des raquettes… OK…
Quelle surprise, après arrivée dans la neige, une route difficile, voici Julien qui vient m’embrasser…
Pas de brune à l’horizon, on entre dans le gite…
Des chambres pour tous, mes 2 cousins avec femmes et enfants, Julien, vu au mariage le mois passé, et une autre amie, blonde…
Il restera un lit pour moi, avec les enfants, dans la grande chambre du fond, avec la blonde…
Super… Bon, la bonne nouvelle, c’est offert…
Ils sont gentils et connaissent notre situation, je soupçonne ma mère et sa sœur, ma tante Elodie…
Karine, la blonde est une amie de Margaret, l’épouse de mon cousin Jéjé, donc, ma cousine…
- Tu sais entre nous, avec Max et sa famille (mon autre cousin), parfois des copains comme Juju, on part souvent en week-end, on ne gêne pas. On se serrera, on vous a donné la grande chambre avec les 4 enfants, Max et sa femme ont pris la plus petite comme nous, 2 places, on dirait des placards… Julien sera au salon dans le clic-clac… Mais si tu préfères changer…
- C’est gentil, les enfants ça ira, Karine est sympa, on n’est pas ici pour dormir, juste ce qu’il faut… Karine n’est pas avec Juju ?
- Oh, non, elle est… en couple… avec une femme qui travaille les week-end…
Le souvenir de ce mariage, le jardin, et de Julien, m’embrase d’un seul coup…
Julien !...
Quel baiser ! Le seul hors mon époux…
J’ai bien failli craquer dans ce jardin, isolés par les buissons…
Ses lèvres dans mes cheveux, ses bras qui me collent contre lui, contre ce sexe que je sens contre mon ventre… Son désir… Ma réaction de femme mariée, de mère…
Mes rêves par la suite…
Je ne savais pas qu’il serait là…
A-t’il manigancé ce séjour ? Jéjé serait dans le coup…
Je range mes affaires près de mon lit, Karine fait de même, les enfants jouent dehors…
- Alors, cela te plait ?
- Oui, sympa, on respire le bois, le lit est petit mais semble bon… Le séjour s’annonce super. Tu connais qui ?
- Ton cousin Jéjé, Julien, je suis allée une fois avec eux en campagne, près de chez nous… Super week-end de printemps… Ma femme travaille le week-end, elle est dans un musée. Et toi ?
- Mariée, Paul n’est pas là, je me suis esquivée… Besoin d’air au réel et au figuré…
- Bon séjour, et si je ronfle, tu me réveilles…
On se remet du voyage dans le grand salon, feu de bois, sandwiches, café, thé, alcools de montagne…
J’ai le feu aux joues, Julien est proche de moi…
Mon creux revient rapidement…
Ils envoient les enfant se coucher, ils ont entre 9 et 13 ans…
Parité 2 filles, 2 garçons… Ils s’entendent bien les cousins…
On bavarde, on joue aux cartes, genre rami, avec variantes…
Jéjé et sa femme sont fatigués… Puis la femme de Max nous quitte, il reste Julien, Karine, Max et moi…
- Un poker ? Belote ? Coinche ?
- Strip ?
- Wouahou ! Ici ?
- On peut fermer, la porte du salon a une clé… On sera tranquilles…
- Je ne sais pas jouer…
- Facile, je t’aiderai…
On s’isole, on se met autour de la petite table, sur des coussins…
Max remet deux bûches…
Nous commençons doucement, je savais quelques trucs de base…
Karine s’en sort bien, juste un haut de survêt et 2 chaussettes…
Moi, un haut de survêt, une chaussette, l’autre, mon bas de survêt… Je garde tee-shirt, soutif, et l’essentiel…
Max est torse nu, short, une seule chaussette, Julien aussi, nu pieds…
On boit un coup de génépi et on continue…
Julien perd, il reste en short, slip…
Karine n’a rien perdu … J’ai enlevé le soutif pour une relance, mais gardé le tee-shirt, on me voit en culote…
Les deux hommes sont à 2 vêtements de l’humiliation, short et slip…
Je sens le regard de Julien… Je perds…
Karine 3 vêtements, Juju 2 vêtements, Max 2 vêtements, et moi je retire mon tee-shirt, dévoilant mes seins, ma culote tremble…
La mène suivante je l’emporte…
Karine slip et soutif, Juju slip, Max slip…
Julien, qui me fait face, a les yeux rivés sur mes seins qui ondulent selon mes mouvements…
Max scrute les yeux de Karine…
Mais c’est Karine, qui gagne.
Je vais être à poil… Attendant la sentence… Julien aussi, Max itou…
Karine savoure sa victoire…
- Et si on proposait un gage pour ceux qui sont à poil ?
S’ils le réalisent, ils sont sauvés et ne se déshabillent pas complètement…
- Bof, entre culote et rien…
- Oui, mais tu es couchée, on ne voit rien… Eux c’est pareil… On vous croirait en maillot de bain…
- Bon d’accord, quitte ou double alors ?
- OK pour tous…
- Julien, tu te lèves et tu vas vers Marika…
Max, pareil, viens devant moi…
Marika reste comme cela… Descend le slip de Juju… Doucement !
Oui, laisse la bite sortir, ne l’arrache pas, voilà, elle est belle n’est-ce pas ?
On dirait qu’elle bande !... Le coquin… C’est vrai que Marika est bien foutue, ses charmes vous attirent…
Elle fait la même chose à Max…
- Voilà… Nos deux partenaires de jeu… Bon, que faire ? Je crois que j’ai décidé de me faire du bien…
Elle approche ses lèvres du membre…
Sa langue trempée de salive glisse le long de la hampe, puis elle ouvre ses lèvres, et les referme autour du gland… Il ferme les yeux ; sa langue vibre, glisse, excite,
le titille, le prépare, puis la bite disparait entre ses lèvres… Elle gémit… Il grogne…
Le creux dans mon ventre explose…
Je saisis le sexe de Julien dans ma main…
Je coule de désir en le prenant dans ma bouche, longuement, regardant parfois ma copine savourer le sien…
Je m’applique, caressant les bourses, je pousse le membre au fond de ma gorge, en de lancinants aller-retours, jusqu’à le sentir vibrer de désir, à la limite de l’éjaculation…
Je le stoppe, et me tourne vers Karine…
Elle est nue, allongée sur le dos, écartelée, offerte et gémissante, la langue sublime son intimité luisante, elle jouit… Il se retient, savoure, léchant tout le sillon, excitant le clitoris, la faisant s’envoler, puis glissant vers son puits d’amour, qui libère un flot de sève, un nectar qu’il se met à laper…
Elle lui ouvre son sexe avec ses doigts, écarte bien la vulve…
-Viens !
Le dard plonge dans son vagin détrempé…
Je n’en peux plus et m’empale d’un seul coup…
Il plonge alors en moi, je râle de cette délivrance en ondulant sur lui…
Mon creux s’envole, je me sens femme… Je le baise, puis je me fais chatte entre ses bras et il me fait l’amour…
On râle toutes les deux ensemble, nos orgasmes se succèdent…
Je sens un liquide chaud… Il a joui… Il vient de me faire un enfant…
Heureusement je prends la pilule…
C’est bon de le sentir en moi, tapi dans mes entrailles…
Mon vagin libère des milliers de bébés…
Je reste rivée à lui, empalée, savourant ce coït…
Karine aussi vient de jouir… Ils s’embrassent… Max est pourtant marié !...
Je les entends parler à voix basse…
Julien me prend dans ses bras,…
- J’avais tant envie de toi depuis le mariage… Je rêvais de te retrouver, de reprendre ce baiser…
- Pardon… J’ai senti ton sexe contre moi et j’ai eu peur… Puis par la suite, j’ai rêvé de te revoir, j’ai regretté… Quand je t’ai vu ici, j’ai compris, le sort me donnait une seconde chance… Et voilà, le coup de ciseau est donné…
- C’est juste un jeu entre amis qui a dégénéré… Max est marié, sa femme dort… Karine est lesbienne… Toi tu es mariée… Le ski est inspirant, c’est la liberté, la nature qui reprend ses droits, et on se lâche, oubliant les principes et la morale… Plus le génépi et la poire…
- J’avais tellement envie de toi…
On retourne dans nos pénates…
Karine s’assied sur mon lit…
Elle dit qu’elle ne regrette pas… Un coup du soir… Cela fait longtemps qu’elle n’a pas eu un homme… Max est volage, sa femme le sait, il avait la permission ce soir…
- J’ai fait l’amour avec elle hier, il dormait dans le canapé… Il nous a vues…Tu aimes les femmes ?
- Oui, j’aime leur sensibilité, leur tendresse…
- Fais-moi une place, les petits dorment…
- On reste silencieuses…
- Oui…
Ses lèvres contre les miennes, sa chaleur sur mon ventre, sa main, ses baisers, elle suce mes tétons, je fonds… On se caresse, on se masturbe, on se lèche, tête-bêche un beau 69 à plat, sous les couvertures… Je me croirais au camping, sous la tente…
Sa langue m’électrise, elle goûte au sperme de Juju… Et moi je suce celui de Max…
Je me laisse branler, je jouis plusieurs orgasmes dans cette intimité féminine…
Sa chatte coule dans ma bouche, et je salive… Elle jouit…
Je doigte son anus… Elle râle, ne peut se retenir…
- Oh, oui, viens, baise-moi… Oh, tu es douce, tu es femme…
Elle me le fait et c’est divin, toutes les deux orgasmant ensemble, doigtée par devant et par derrière… Deux folles !... Je me laisse aller, et je jouis d’un dernier orgasme qui m’emporte…
Elle vient de vibrer sous mes doigts, emportée, on lèche nos sucs mêlés…
- Tu es divine, un peu libertine, un peu sauvagine, experte en tous cas… Je suis bluffée. Ma femme apprécierait…
- Vous l’avez fait à trois filles ?
- Oui, une seule fois, mais c’était pas bien… On aimerait le refaire avec une femme comme toi… Ma femme est très sensuelle, elle aime toucher, palper, ressentir, elle est artiste, esthéticienne, très inventive…
Je dors comme un bébé… Elle est repartie dans sa couchette, je la sens encore en moi, le sexe de Julien aussi…
Raquettes, froid, marche, neige…
J’apprends les rudiments de la montagne… La balade est sympa, à travers les champs, des sentiers, puis le retour et un thé brûlant… On a déjeuné au soleil, bon souvenir, avec plein de regards échangés entre tous les 4…
Karine me confie que Max a dormi seul, sa femme est rentrée vers 06h00…
Le soir, on décide de sortir dans le village, avec les enfants.
La fondue était délicieuse, et le temps de se couvrir, nous voici marchant dans le froid vers le centre…
Un peu de monde, des bars et restaurants ouverts…
On découvre un club, à l’air sympa, style bar de nuit…
Comme ça ouvre vers 23h00, on fait un tour dans le centre, puis Jéjé et Margaret prennent la direction du gite en trainant les enfants, pas ravis de rentrer…
Nous regardons les affiches, la femme de Max vient me voir…
- C’est là que je suis allée hier au soir…
- Tu lui en veux ?
- Non, Max est libre, nous sommes modernes, et un moment de liberté n’est pas dangereux quand on partage et qu’on se connait. 15 ans avec lui…
- Tu l’aimes ?
- Oui, mais j’aime aussi un peu de liberté aussi… J’hésitais avant, à cause des enfants, et puis je sens l’âge me pousser à réaliser mes envies, mes fantasmes. Nous sommes parfois libertins, je me suis prêtée à ses jeux… Me voir avec un copain à lui, me partager, partager ma jouissance… Ça va un moment, mais c’est pas enrichissant. Karine est droite et est aussi portée sur l’aventure malgré sa femme qui veille. Je sais qu’elles sont coquines entre elles, et aiment la mixité… Tout ça pour te dire que tu me plais… Karine s’est confiée sur ma demande, je voulais savoir qui était avec Julien…
- Le poker a été très chaud, on n’a pas choisi… C’est le sort…
- Vous avec apprécié mon mari…
- Pas moi…
- Oui… Mais… Elle a joui ?
- Ils ont été très bons ! 2 supers coups, mais ce soir est un autre soir… Allez, viens…
- Je…
- Et toi tu as fait quoi hier ?
- J’ai beaucoup dansé… Jusqu’au matin… Je suis encore endolorie…
- De partout ?
- Je n’ai pas… Juste un jeune… Il me flirtait sur la piste, ça devenait chaud… On a continué dans le couloir, il pelotait mes seins sous mon tee-shirt, et il essayait de rentrer sa main dans mon Jeans… On est entrés dans les toilettes, on s’est réfugiés dans un WC. Il a enlevé mon haut, et il a sucé mes seins à m’en faire jouir… Il a sorti sa bite… Je l’ai masturbé… Puis, assise sur la cuvette, en faisant pipi, je l’ai pompé, si fort, si longtemps qu’il a joui dans ma bouche…
- C’est tout ?
- Je me suis rajustée et je suis retournée sur la piste de danse, j’avais le ventre en feu… J’ai embrassé un black… Il m’a proposé de faire un tour… On est allés dans sa voiture… Il s’est arrêté dans la forêt… Il m’a caressée… J’ai fait glisser mon pantalon et ma culote, et il m’a sucée sur la banquette arrière…
J’ai découvert une bite énorme, que j’avais du mal à prendre entièrement dans ma bouche…
J’étais assoiffée, en transes, il me tripotait de partout… Je vrillai mon clito…
Je me suis écartelée sur lui et me suis empalée avec son dard, en feulant…
J’ondulais mon bassin et je sentais le membre dilater mon vagin…
Je râlais tout mon saoul, c’était divin ! Un régal !!!
Il m’a retournée en levrette, et là, il m’a pilonnée, martelée, déglinguée, désagrégée, laminée… J’orgasmais sans arrêt, perdue dans mon délire…
Il m’a saisie par les hanches et m’a donné de violents coups de reins, Je devais me tenir pour ne pas tomber, je criais de plaisir, comme une truie !
Puis j’ai senti sa semence sur moi… ça partait en jets sur mes fesses écartelées, alors je l’ai fourrée dans ma chatte et on a continué…
C’était sublime, il bandait comme un âne, j’explosais mes orgasmes !
Il a joui de nouveau en moi… On est resté longtemps sans bouger, embrochée, imprégnée…
Il mettait le moteur de temps en temps…
J’avais chaud, je me suis endormie dans ses bras…
Il m’a conduite au gite dès mon réveil… Il m’attend ce soir ici…
- Bien dis donc !... Sacrée aventure ! Tu le fais souvent ?
- Non, je ne trompe pas souvent Max, ou alors c’est de connivence, mais là, il l’a cherché, c’est lui qui a invité Karine… On partage parfois en soirée, une femme ou un couple… 2 ou 3 fois dans l’année, on se lâche… On fait un deal entre nous 2…
Hier, j’ai vraiment baisé comme une salope… Je me suis sentie partir ailleurs…
Il me possédait, me soumettait, j’étais à lui, j’étais sa chose, un sentiment de plaisir extrême, désirée comme jamais, mon corps s’ouvrait pour lui, son sexe en érection me fouillait au plus profond de mon intimité, et quand il explosa en moi, la seconde fois, je me suis sentie femme, inséminée après une parade nuptiale démente et irréelle à la fois… J’ai continué à rêver de lui, je le voulais encore….
Je sais qu’il va vouloir aller plus loin… Il va vouloir me sodomiser…
Je me donne parfois à Max, il est doux et me fait jouir… Je me sens à lui, pleinement soumise…
Mais là, ça me fait peur… Je n’ai jamais été sodomisée par une bite aussi grosse…
Alors si tu veux m’accompagner… Je serais rassurée… Il te prendra sans doute aussi… J’aime ça, partager, entendre une autre savourer la même chose… Je me sens plus proche… Inséminée
- Je veux bien… Pour moi, ce n’est que de la baise, un trio érotique et sensuel, tromper Paul ne me gêne pas… On se lâche souvent en vacances en camping-car avec d’autres couples.
Quand le club ouvre, nous cherchons son ami…
Il nous paie un verre, un super mojito…
C’est tout ce dont je me souviens de cette nuit…
FIN
Marika842010
mars 2021
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