Au matin du jour de l'an. Suite de ( La nuit de la Saint Sylvestre )

Récit érotique écrit par mazaudier le 20-03-2021
Récit érotique lu 3130 fois
Catégorie Lesbiennes

France pousse la porte, et découvre une chambre immense, digne des séries hollywoodiennes.

A droite, un portique où sont accrochés, sur deux cintres mis en évidence, sa jupe et son petit haut.

Dans un coin, un grand lit rond, aux draps récemment changés, et à côté, une table basse ou trône une bouteille de champagne dans un seau à glace, accompagnés de coupes vides.

Au centre de la pièce, un jacuzzi de deux mètres de diamètre.


A l'intérieur, le magnifique corps de Mélissa, accoudé sur les rebords, semble surfer, soutenu par les remous.

De temps à autre, on voit ses petits seins pointus dépasser de la ligne de flottaison. Dans sa main, une coupe de champagne.

France est fascinée, attirée par cette femme qu'elle hait pourtant plus que n'importe qui.


« Sers toi une coupe ma chérie, et vient te détendre, l'invite la belle libanaise.


France hésite, puis se laisse tenter, après tout, elle est venue pour ça. Et l'eau est bien tentante, après les outrages de la nuit. Ses chairs intimes sont meurtries par les multiples pénétrations subies. L'eau tiède sera sûrement apaisante pour panser ses blessures sexuelles.

Elle ôte l'épais manteau de fourrure, prend un verre, et se glisse dans les vagues du jacuzzi. Elle replie ses jambes, méfiantes, et pose son menton sur ses genoux.


« Alors ma chérie, sourit Mélissa, il parait que tu te l'es bien fait mettre cette nuit ? Mes frères m'ont raconté... Ils m'ont dit que tu étais un super coup au lit, que tu acceptais tout, sodomie, pipes, double pénétration... toute la panoplie. Ils t'ont trouvée tellement top, qu'ils envisagent même de remettre ça un de ces jours.

- Tais-toi, sale pute, répond France. Et toi, connasse, mon mari ne t’a pas satisfaite?

- Si, bien sur, mais reste polie, s'il te plaît, je ne suis pas ta copine moi. Mais revenons à toi, prendre des coups de queues par deux grosses bites toute la nuit, ça ne t'a pas déplu ? Il faut une sacrée santé, avoue.


Petit à petit, les fesses de France glissent sur le fond de la baignoire, elle veut se retenir, ce qui l'oblige à écarter les jambes. Mélissa attendait cette opportunité. D'un coup sec, elle détend sa jambe, qui se loge entre les cuisses de France. Celle-ci, surprise, ne peut que constater le piège dans lequel elle est tombée. Elle envoie une main sous l'eau, saisit le mollet pour essayer de le retirer, en vain. Le pied inquisiteur est posé à plat contre la chatte.

Elle n'a d'autre choix que s'écarter, et s'écarter encore.

Un sourire dominateur se lit sur le visage de la jeune libanaise. Les orteils s'agitent, surtout le gros qui caresse la fente de bas en haut, écartent les lèvres intimes, jusqu'au clitoris qu'il essaie de décalotter. France perd pied, et commence à apprécier de plus en plus la dextérité et l'habileté du pied de sa jeune rivale.

Elle lance sa tête en arrière, se cambre au maximum, pour mieux s'offrir. La main qui maintenait le mollet, guide maintenant le gros orteil, pour qu'il puisse la pénétrer au plus profond de sa chatte.


« Ah, soupire France.. Salope... arrête ça !.

- Mais mon trésor, je ne fais rein, c'est toi qui mène les opérations, lâche moi alors.


A regret, mais refusant de se laisser manipuler par la jeune femme, France libère le pied de Sara, mais celle-ci ne le retire pas. Bien au contraire, elle joue sur l'articulation du doigt

de pied pour poursuivre sa pénétration dévastatrice. Elle sent que sa proie va succomber à la caresse perverse. Et France, malgré sa tête qui dit non, sent son corps hurler « OUI.


Confusément, elle a honte. Honte d'avoir encore envie de jouir, alors qu'elle vient d'être baisée à fond par plusieurs étalons. Ils ont défoncé tous ses orifices, elle a joui à n'en plus finir, et là, sous la simple caresse du pied de sa pire ennemie, elle a encore envie de sexe, d'un orgasme encore plus fort que les autres…


« Allez, c'est bon, je me retire, dit Mélissa, connaissant d'avance la réponse.

- Oh non...s'il te plaît...pas maintenant...oh putain...qu'est-ce-que tu me fais ? Ouah, continue... Fais-moi jouir... oui...oui... Je t'en prie, vas-y, oh oui !



Le corps de France retombe violemment, éjectant de l'eau hors du jacuzzi. C'est un orgasme puissant qui résonne dans la pièce heureusement insonorisée.

La vicieuse libanaise jubile de voir la femme de son amant se tordre de plaisir. Elle se hisse hors de l'eau, et s'assied sur le bord du jacuzzi, jambes écartées, la chatte légèrement ouverte. D'un signe du doigt, elle ordonne à France de s'approcher.


« Ici, petite pute, viens me bouffer la chatte


Soumise malgré elle, vaincue par ses envies de baise maximale, France avance dans l'eau à quatre pattes. Elle soulève la tête, et, tout en fixant sa dominatrice, passe sa langue dans le creux du nombril, descend sur la ventre plat, puis glisse entre les cuisses, où l'attend la source pleine de mouille, surmontée d'un clitoris proéminent, qu'elle aspire.

Certes, France n'est pas une experte de ce genre de relation, mais à entendre les gloussements de plaisir de Mélissa, elle juge qu'elle ne doit pas trop mal s'en sortir. Sa langue fouille copieusement la chatte de la libanaise. Celle-ci la maintient fermement par les cheveux. France est presque étouffée, la langue et le nez enfouis au plus profond du vagin dilaté et odorant. Soudain, le corps de Mélissa est pris de spasmes, bascule en arrière sur la moquette en hurlant de plaisir.


France pense profiter de l'occasion pour enfin dominer sa rivale de toujours, et décide de lui sauter dessus pour la surprendre. Les corps mouillés roulent sur le sol, les mains s'agrippent aux hanches, essaient d'attraper le bout des seins, les doigts pénètrent les chattes pleines de mouille. Un bref instant, elles restent immobiles, se fixant droit dans les yeux, leurs visages proches de quelques millimétrées. Enfin, les lèvres se frôlent, s'ouvrent pour aspirer la langue dans un baiser interminable.


Les deux femmes gémissent de plaisir.

Hélas, France n'est pas de taille à lutter dans une catégorie qu'elle ne maîtrise pas. C'est encore elle qui va servir d'objet sexuel, subir les sévices infligés par la maîtresse de son mari. Mélissa va jouer avec elle. Sans crier gare, elle lui mord l'oreille, le bout énorme d'un sein, pince le clitoris mis à nu, frotte les lèvres intimes une contre l'autre.

Aucun orifice n’est épargné. Elle mord, lèche, suce, aspire, fouille de ses doigts nerveux tout le corps de la femme de son amant. Elle enfonce sans précaution aucune, l'anus dilaté par les gros pieux de ses frères...

Presque malgré elle, France va jouir comme jamais, jusqu'à ce que, n'y tenant plus, supplie sa partenaire d'un matin d'arrêter. Mélissa obtempère, mais sort un gode-ceinture de sous le lit. Interloquée, France craint de devoir encore subir un nouveau viol d son anus...


« Mets-le dans ma chatte, ordonne-t-elle».


France obéit sans réfléchir un seul instant. Mélissa se positionne en levrette. France, harnaché d'un gode de vingt-cinq bons centimètres, se met derrière elle. Elle observe la chatte ouverte de son ennemie. Elle écarte l'orifice à deux mains, sans ménagement. Mélissa proteste.


« Eh fais attention, je ne suis pas un morceau de viande, comme toi !

-Ok, je vais être plus douce, dit-elle sans en penser un seul mot.


Et aussitôt, elle pose le bout du gland de plastique contre la fleur rouge d'excitation. Mélissa halète, pleine de désir. France voit le jus qui coule, tant sa rivale est excitée.


« Ah ma salope, tu mouilles, eh bien, tu vas pleurer !


Comme si elle allait défoncer un mur, elle prend son élan, et enfourne d'un seul coup de rein plein de rage, le gros mandrin au fond du trou béant. Mélissa crie de douleur, et tente de se dégager. Mais France, là, est la plus forte. Elle maintient le sexe enfoncé jusqu'à la garde.


« Tu me fais mal, sale chienne ! hurle-t-elle

- Je m'en fiche, tu payes pour tout ce que tu m'as fait subir. Tiens, prends-en encore !


A nouveau, elle se retire et s'enfonce encore plus violemment. mélissa l'insulte sans répit. Mais au bout de quelques va et viens brutaux, elle se calme, et ondule des hanches pour mieux accompagner la barre de plastique qui la laboure à fond. Elle souffle de plus en plus. France accentue la cadence, sent qu'elle bute au fond de son ennemie. Cette dernière finit pas pousser un cri animal, tant son orgasme est puissant. Elle retombe telle une poupée de chiffon.

Mélissa, épuisée, se couche sur le côté.

Lentement, France se défait de la ceinture, et s’allonge près d’elle, enfin apaisée.


Vers midi, Michel prend le risque de frapper à la chambre, pas de réponse. Il tourne la poignée, et pousse la porte.

Et là, surprise. Il trouve les deux femmes enlacées, assoupies dans le grand lit rond, juste couvertes d'un drap qui ne cache rien de leurs superbes formes. Il referme doucement et regagne le bar. Dans la clarté crue de ce jour d'hiver, il tombe sur Elias, le grand patron.


« Alors cher ami, superbe nuit, qu'en pensez vous ? Nous projetons, mes fils et moi, d'organiser une soirée dans ma propriété du sud de la France, vous viendrez j'espère.


- Heu...oui, pourquoi pas, bafouille Michel, mais il faudra que je demande à ma femme si elle est d'accord.

- Ne vous n’inquiétez pas pour ça, poursuit l'industriel, nous dînons ensemble ce soir, et mes fils la récupèrent pour la nuit.

Demain matin, après une bonne partie de cul, vous aurez son accord, promis. Allez, à très bientôt.


France et Michel ne se rendent pas compte qu'en une nuit, ils sont tombés dans le monde des orgies, les plus hard qui soit.







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20-03-2021 0 3130

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