Lorsque j'avais treize ans, mes parents me mirent en pension dans un collège privé. La discipline y était très stricte, tout manquement était sévèrement puni. Il était notamment formellement interdit de fumer. Mais la nuit, avec certains de mes camarades, nous nous retrouvions dans les douches pour fumer un joint. Un soir, en faisant sa ronde, le surveillant nous surprit. Mes camarades réussirent à s'échapper sans se faire reconnaître, mais le surveillant m'attrapa par le bras alors que je tentais aussi de fuir. " Toi, mon garçon, me dit-il, tu es bon pour le conseil de discipline ". Je savais que le fait de passer devant le conseil de discipline signifiait à coup sûr un renvoi immédiat. Je pensais à la réaction de mes parents s'ils apprenaient cela, et je me mis à pleurer. J'implorai le surveillant : " non, monsieur, s'il vous plaît, ne me dénoncez pas, je vous jure que je ne recommencerai plus " et je redoublai de larmes. Voyant ma détresse non feinte, le surveillant comprit qu'il pourrait tirer parti de la situation. Il passa un bras soi-disant rassurant sur mes épaules, et de sa main libre, me caressa les cheveux. " On va peut-être pouvoir s'arranger pour cette fois, mon garçon, mais il va falloir que tu te montres très obéissant, et que tu viennes avec moi dans ma chambre. Je le suivis sans un mot, tout content d'échapper à une terrible sanction. Une fois dans sa chambre, il s'assit sur le rebord de son lit, et me fit signe d'approcher. J'obéis sans réticence, et je me retrouvai debout devant lui, tout près, si près que je pouvais sentir son after shave. Il commença à me caresser les cheveux, les épaules, mais lorsque ses mains descendirent plus bas, je reculai. "Attention, me dit-il d'un ton menaçant, si tu ne fais pas tout ce que je te dis, tu sais ce qui t"attend ! Dis-moi que tu vas être un gentil garçon et que tu feras tout ce que je dis " " Oui, monsieur, je vous le promets " S'étant ainsi assuré de mon obéissance, il prit fermement ma main et la posa sur son sexe. A travers l'étoffe, je pouvais sentir ce sexe qui, déjà érigé, me parut énorme. " Passe ta main dans ma braguette et caresse-moi " Un peu maladroitement, je m'exécutai. " Là ... c'est très bien, tu vas te mettre à genoux, maintenant ! Tu vas faire ce que je te dis, et si je suis content de toi, nous oublierons le conseil de discipline " Ce disant, il sortit son sexe, et en m'appuyant fermement sur la nuque, il m'obligea à à me pencher vers lui ... " Allez, ouvre la bouche, mon petit, tu vas voir comme c'est bon ... " Sur ces mots, il m'attira encore plus fermement contre lui, de telle façon que je n'eus d'autre choix que d'engloutir son sexe dans ma bouche. Puis, me prenant le visage entre ses mains, il me contraignit à aller et venir, son sexe allant parfois cogner jusqu'au fond de ma gorge ... Je suffoquais, je pouvais à peine respirer, j'en avais les larmes aux yeux, mais il n'en avait cure. Il continua à me malmener ainsi, jusqu'au moment où je sentis son sexe se gonfler encore plus, et soudain, ma bouche fut inondée, remplie des giclées de son sperme, chaud, épais, au point que je faillis vomir. " Non, non, tu ne dois pas recracher, avale, avale tout ! " Je hoquetai, mais ne pouvant me soustraire à l'emprise de ses mains, qui me maintenaient toujours fermement, je fus obligé d'obéir et de tout avaler. " Voilà, pour une première fois, c'est très bien; tu vois, c'est facile, et je suis certain que cela t'a plu. D'ailleurs, il faudra que tu reviennes me voir chaque fois que j'en aurai envie " Et effectivement, jusqu'aux grandes vacances, il me fit venir assez souvent dans sa chambre, pour me faire subir, à chaque fois, le même traitement ... Ce qu'il ignorait, c'est qu'à force, j'y avais pris goût, et bien que je fisse semblant de résister un peu, j'attendais le moment délicieux où je le sentirais jouir dans ma bouche ...
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