Mar rencontre avec le rival de mon mari

Récit érotique écrit par mazaudier le 03-10-2022
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Catégorie Infidélité

Ce récit, même s’il est romancé, est tiré de faits réel.

Je me présente, je m’appelle Laure, et vais vous relater un épisode turbulent de ma vie.

Je me souviens de cette soirée dansante, organisée par le club de foot, dont le président était mon mari.

A l’époque, j’avais vingt trois ans. Mes amis ne tarissent pas d’éloges sur ma beauté. Cela me gène un peu.

C’est la première fois que je participe à une telle soirée. Eric, mon époux, ne m’emmène jamais dans les apéritifs d’après match, essentiellement réservés aux hommes, mais ce soir, pour fêter le titre, il a tenu à ce que je l’accompagne. Aussi, je connais très peu de monde.

Dès nôtre arrivée, il me présente aux invités, joueurs et dirigeants, accompagnés de leurs épouses, ou leurs copines.

Il y a Guy, la cinquantaine, collègue de travail de mon mari, que j’ai aperçu une paire de fois, quand on passé devant chez lui. Ce soir, je le vois de près, et je dois avouer que je le trouve assez séduisant, avec ses moustaches, ses cheveux noirs geai, ses yeux bleus acier. Il dégage une virilité impressionnante. Du reste, il a la réputation d’avoir eu pas mal de conquêtes, surtout des femmes mariées. Une façon peut être d’humilier les maris en rendant leurs épouses infidèles. Guy a une dent contre Eric, à qui il reproche de lui avoir volé la présidence du club. Et il a juré de se venger.

Du coup, mon époux se méfie de lui, et ne lui accorde aucune confiance.

-Bonjour Madame, dit-il en souriant, Eric nous avait caché qu’il avait une épouse aussi ravissante.

-Bonjour, dis-je en rougissant. Merci.

Carole, son épouse âgée de quarante cinq ans, tient un salon de coiffure. C’est une belle rouquine, souriante, aguichant les mâles de son regard coquin. Je pense qu’avec son mari, elle forme un couple assez libertin.

Je ne sais pas pourquoi, mais arrivé au bar, j’ai l’impression que Guy ne cesse de me regarder, et ça me gène. Je suis sure qu’au premier slow, il va m’inviter…et ce qui devait arriver, arriva.

Dès les premières notes, Guy est sur moi pour m’inviter à danser. Je jette un regard à mon époux, occupé avec ses copains. D’entré, Guy me serre contre lui. Je le repousse délicatement afin de garder mes distances.

A la fin du slow, certains joueurs me dévisagent quand on rejoint le bar… Et si Guy, en homme sur de lui, leur avait parié, qu’il allait m’emmener dans son lit. Je pense même, que c’est son but, m’épingler à son tableau de chasse. C’est en tout cas l’impression que j’ai. Dieu merci, je suis une femme fidèle.

Je me sens quand même mal à l’aise, me serre contre mon mari, lui demande de me faire danser, il refuse, déjà pas mal imbibé d’alcool.

« Tu trouveras bien un cavalier parmi tous ces invités, me répète-t-il sans arrêt »

Un dirigeant n’a pas le temps de m’inviter, que Guy s’interpose et m’entraîne sur la piste. Si la première danse s’est passée normalement, là mon partenaire devient plus entreprenant. Il me serre contre lui en me prenant par la taille, me caresse le dos sous mon caraco, je sens son souffle chaud dans mon cou. Surprise, je tourne la tête, et m’écarte de lui en faisant pression de mes mains sur ses épaules.

Au suivant slow, je m’éclipse aux toilettes, et là, j’entends des propos plutôt inquiétant.

« Sacré Guy, je pari que cette nuit, il va embarquer la femme du président ».

« Putain, t’as vu comme elle est belle, reprend une autre voix, Eric ne doit pas s’ennuyer au lit ».

Guy, en gentlemen tenace, m’invite pour la énième fois. Par principe, je refuse, pour lui faire comprendre qu’il n’est pas le seul de la soirée, et je ne veux pas qu’Eric croit que je cours après lui.

Mais voila, je me sens de plus en plus attirée physiquement par cet homme de trente ans mon aîné. Aussi, il n’a pas besoin de trop insister, et à force de persuasion, je cède. Cette fois, il me demande carrément de sortir prendre l’air, prétextant l’envie de griller une cigarette.

-Vous fumez, me demande-t-il.

-Cela m’arrive, je vous accompagne si vous voulez ?

-Mais bien sur, nous pourrons bavarder un peu.

Pris dans sa beuverie avec ses amis, mon mari, scotché au bar, ne remarque même pas mon départ.

Dehors, seule la faible lumière d’un lampadaire éclaire la ruelle. Guy m’offre une cigarette, puis me pose des questions sur ma vie de couple. Ce qui me gène un peu.

Comment Eric se comporte au lit…est-ce un bon coup…a-t-il de l’imagination…est-il créatif…est-il bien monté…est-il performant.

Des propos qui me troublent. Je lui dis que de ce côté, il n’y a pas de souci, mais il n’a pas l’air convaincu. Lentement, il s’approche de moi, me caresse la joue. Il me prend le menton et dépose un doux baiser sur ma bouche. Ne rencontrant aucune opposition, il force mes lèvres avec sa langue. Malgré moi, je réponds au baiser, puis le repousse gentiment.

-S’il vous plaît, je pourrai être vôtre fille. Et puis Eric va s’inquiéter. Il va se demander ou je suis passé.

-Désolé, excusez- moi, me dit-il. Rentrons.

Je retrouve mon mari au bar, dans un état lamentable. A tel point, qu’un copain propose de le ramener à la maison.

« Reste ma chérie, bafouille-il, quelqu’un te raccompagnera ».

Je me retourne et croise le regard illuminé de Guy, en pleine discussion avec un joueur.

« On a fait ce qu’il fallait pour le saouler, dit ce dernier, la voix est libre ».

C’était bien donc un coup monté. Dans la foulée, Guy m’invite à danser.

La danse est un slow sur lequel j’ai rencontré mon mari. Il s’annonce chaud entre Guy et moi. D’abord, il me tient par les hanches, tandis que j’ai passé mes bras autour de son cou. Je me sens plus à l’aise et de plus en plus attirée par lui. Il me susurre des mots coquins, me mord l’oreille. A la fin de la danse, il m’embrasse au bord des lèvres. Tout pour faire craquer une femme, même la plus fidèle.

Il me demande de l’accompagner à sa voiture. San hésité, j’accepte, en sachant très bien que je vais faire certainement une grosse bêtise.

Installés sur la banquette nous nous donnons un sulfureux baiser. Guy ne perd pas de temps. Il passe sa main sous mon caraco, prend mes seins dépourvu de soutien gorge. Il les caresses, les palpes. Puis il envoie une main entre mes cuisses, caresse ma chatte par dessus ma culotte déjà humide.

-Hum, fait-il, que t’arrive-t-il.

-Tais toi, baise moi, j’ai tellement envie.

Guy ôte son pantalon, pendant que j’enlève ma culotte. Je l’enfourche, prend sa bite en érection, m’y empale dessus, en poussant un cri de plaisir. Lentement, j’entame des va et vient sur ce pieu qui fouille les entrailles. Je ne me souviens pas m’être défoncée sur la bite de mon mari comme ça. Mes seins, durcit par le désir, frotte contre son torse velu. Ma respiration s’accélère au rythme de mes coups de rein, sa bite grossit dans ma chatte. Même si j’essaie de me contenir, je sens l’orgasme monter en moi.

-Salaud, tu n’es qu’un salaud…tu vas me faire jouir.

-Vas-y ma chérie, râle-t-il, prend ton plaisir, ne te retiens pas.

L’orgasme est là, puissant, je cri de plaisir, sans me soucier si on va m’entendre.

-Oui…oui…je jouis…oui…t’arrêtes pas…

Je prends sa bouche, enroule ma langue autour de la sienne.

Je bascule sur le côté, prend ma tête entre mes mains. Je réalise que je viens de faire l’irréparable.

-Oh mon dieu, qu’ai-je fais, j’ai trahi mon mari…c’est ça que tu voulais, l’humilier…

- Calme toi Laure, me console Guy en me prenant dans ses bras, ça ne t’a pas plus ?

-Si, justement, j’ai pris du plaisir, mais j’ai trahi Eric…je l’ai trompé.

-Je sais, poursuit Guy, il n’en saura rien, promis. Tu ne peux pas rentrer dans cet état.

-Non, ramène moi s’il te plaît…je veux être près d’Eric quand il va se réveiller.

Toute la nuit, j’ai pensé à Guy. J’ai réfléchi aussi. Je connais la réputation de Guy. Est-ce une bonne idée de mettre mon couple en péril, pour une relation sans lendemain.

Je me réveille vers dix heures du matin, me colle contre mon mari. Aucune réaction, et pour cause, il est encore dans un état semi-comateux. Je n’insiste pas, et vais prendre une douche, ne pouvant m’empêcher, de penser à la soirée d’hier, et surtout à Guy.

Au petit déjeuner, je fais remarquer à mon époux, qu’il ne risquait pas de m’écraser les pieds en me faisant danser, et que heureusement, ses copains s’en sont chargés, surtout Guy.

« Ce connard, jure-t-il. »

Vu comme il juge son collègue de travail, ma décision est prise, je vais laisser tomber l’idée de revoir Guy.

Le vendredi suivant est une journée décisive. C’est l’assemblé générale du club, avec la réélection du président. Eric serait très déçu s’il n’était pas réélu.

Soudain, la porte claque. Mon mari rentre comme fou, jette sa mallette et ses dossiers sur le canapé.

-L’enfoiré, gueule-t-il, Guy a monté un complot contre moi pour prendre la présidence…c’est un enculé.

Je m’approche de lui, le prend dans mes bras pour le consoler. C’est vrai que Guy lui a fait un sale coup.

Malgré l’attirance que j’ai pour lui, je ne peux pas laisser passer ça. Je dois tirer ça au clair.

Dans le week-end, on parvient à faire un petit câlin, histoire de faire oublier à Eric sa défaite. Mais ce n’est pas la bite que j’aurai aimé avoir dans la chatte, c’est une autre, qui m’a donné beaucoup plus de plaisir, celle de Guy. C’est tout juste si je ne crie pas son nom quand j’atteins l’orgasme.

Le lundi, c’est la journée ménage, la lessive, bref, la routine. Il me faut aussi préparer la valise de mon mari, qui part un mois au Brésil pour affaires.

Le visage de Guy apparaît souvent dans mes pensées, à tel point, qu’après réflexion, je reviens sur ma décision. J’irai le voir mardi après midi, je sais qu’il est seul.

Le mardi, j’appelle Guy, pour être sure qu’il est chez lui, impossible de l’avoir. Je laisse un message, puis décide de m’occuper du jardin. Je rendre vers dix huit heures, et là, je m’aperçois qu’il y a un message sur mon répondeur.

« Laure, il a fallu que je mène Carole à la gare. Elle part une semaine au salon de la coiffure à Paris. Je serai chez moi vers vingt heures, après ma réunion de travail. On peut manger ensemble si tu veux ».

Est- ce-que je peux accepter une proposition pareille, aussi tardive. Tans pis, quitte à passer pour une femme infidèle, je décide d’y aller. Puis, j’ai tellement envie qu’il me fasse l’amour.

Je me précipite à la salle de bains pour prendre une douche. Je me regarde dans la glace, et me trouve très belle. Je caresse mes magnifiques seins, mon ventre plat, puis arrive à ma chatte. Je pense fortement à la relation que j’ai eue avec Guy, parle toute seule à haute voix.

« Oh ma petite chatte, qu’est- ce- qu’il t’a fait Guy samedi, il t’a baisée hein, tu t’es bien régalé. C’est pour ça que tu étais toute mouillée. Il t’a faite jouir avec sa grosse bite. Tu aimerais qu’il te nique encore ? On va aller le voir. D’abord, je vais te raser, que tu ais une fente comme celle d’une petite fille. Ça va l’exciter ».

Une fois ma toilette terminée, je choisi une tenue assez sexy. Une jupe noire qui m’arrive à mi-cuisses, et un pull moulant. Pas de soutien gorge, mes seins, bien fermes n’en n’ont pas besoin…et, une première pour moi, je ne mets pas de culotte. C’est dire si je mets tous les atouts de mon côté.

J’arrive chez Guy vers vingt heures, tremblante de peur. Il me reçoit simplement vêtu d’un peignoir. Il m’embrasse tendrement à la commissure des lèvres.

– Je sors juste de la douche...ça va ?

Pour ne pas faire voir que je suis venue spécialement pour lui, je lui demande s’il est fier de lui, après le sale coup qu’il a Eric.

– On a voté ma chéri, me répond-il narquois, et il a été battu, c’est tout.

– Tu as comploté contre lui, t’es un salaud.

– Calme- toi, me dit-il en me tirant à lui. Je t’offre un verre ?

Il me colle contre lui, et malgré le peignoir, je sens la grosseur de son sexe sur mon ventre. Je ne le repousse pas. Il me prend tendrement par la taille, me fait faire un demi-tour, et me donne un baiser dans le cou. Je sens une agréable sensation le long de mon échine. Sans m’en rendre compte, je suis en train de succomber à l’homme qui a évincé mon mari du club.

Avec des gestes précis, il quitte mon pull, me prend les seins, fait glisser la fermeture éclair de ma jupe, qui tombe au sol, puis glisse une main entre mes cuisses.

– Oh la vilaine, elle n’a pas mis de culotte, et sa petite chatte est toute épilée.

Lentement, il me couche sur la table basse du salon. Je ne résiste même pas, tellement mon attirance pour lui grandit. Je me retrouve entièrement nue, jambes écartées, pendant de chaque côté de la table.

– Détends-toi ma chérie, tu as besoin d’un gros câlin.

– Tu es fou, tu penses à mon mari…

Il n’a que faire de mes soucis. Sa main glisse entre mes cuisses, lisse mes lèvres intimes, excite le clitoris qu’il a pris soin de décalotté. Deux doigts pénètrent ma chatte humide, commencent à la branler. Un doigt s’égare sur mon petit trou, le dilate légèrement, ce qui provoque en moi, une sensation nouvelle, mais très agréable.

Ce vicieux joue avec moi, prend plaisir à me voir onduler sous ses perverses caresses. Il sait que je lui appartiens, que je vais m’abandonner. Son visage est éclairé par un large sourire.

– Ah…salaud, qu’est- ce- que tu fais à ma petite chatte…hum…hum…c’est bon.

– Ben régale toi ma chérie, sourit-il, t’aimes ça hein…Eric ne te caresse pas comme ça.

– Non…il ne sait pas faire comme toi…toi tu sais ce qu’aime les femmes…salaud…je vais jouir…oui…

N’y tenant plus, j’engage une main sous le peignoir, saisit l’énorme bite, que je décalotte. Je la tire à moi et la prend en bouche. Je commence à la sucer tout en lui grattant les couilles. Soudain, Guy entame de lents va et vient dans ma bouche, je sens le gland gonflé sous mes succions. Je ne me reconnais plus, je suis en train de tailler une pipe au rival de mon mari.

D’un coup, de violentes giclées de sperme tapissent mon palais. Ce salaud n’a même pas pris la peine de se retirer. Pire, j’avale sa semence jusqu’à la dernière goutte, lui nettoie le gland avec ma langue et mes lèvres…ce que j’ai toujours refusé à mon mari.

Guy a plongé sa tête entre mes cuisses ouvertes, planté sa langue dans ma chatte pleine de mouille. Mon clitoris est devenu dur, a doublé de volume. Je sens ses lèvres aspirer mon petit bouton.

J’atteins l’orgasme dans un cri de plaisir.

– Hou…hou…oui…oui…je jouis…enfoiré, tu me fais jouir…oui…continue….bouffes moi la chatte…

-Hum, souffle Guy, mais tu es une petite salope toi…il s’agissait de te réveiller…viens, mets-toi à genoux sur le canapé. Je vais te prendre en levrette, tu veux ?

– Oh oui, c’est ma position préféré, vas-y, baise moi…fais-moi oublier mon mari…

Je m’installe à genoux sur le canapé, prend appuie sur le dossier, écarte bien mes jambes pour accueillir sa bite. Je la sens exciter mon petit bouton, pénétrer ma chatte. Je ne me souvenais plus que Guy ait un tel calibre. Ce salaud me ceinture, fait rouler le bout de mes seins entre ses doigts. Lentement, il se retire, taquine mon petit trou. Mon dieu, je ne me suis jamais fait prendre par là, j’ai toujours refusé à mon mari.

– Pas ça, s’il te plaît, je ne me suis jamais faite sodomiser.

– Chut ma chérie, répond-il, tu ne veux pas que je sois le premier ? J’irai doucement.

– J’ai peur tu sais…tu me promets que si j’ai mal, tu arrêteras.

– Promis, poursuit-il. Je vais bien te lubrifier avec ta mouille

Je sens le gland contre mon petit trou, qui sous la pression, se dilate. Petit à petit, la queue coulisse dans mes entrailles, jusqu’à ce que ses grosses couilles cognent contre mes fesses. Il y est arrivé ce salaud…il est parvenu à obtenir ce qu’il voulait. Mais il me donne tellement de plaisir.

– Ça va ma chérie, me demande Guy, je peux continuer.

– Vas-y, au point ou j’en suis…ça va le faire…

Et ça le fait, finalement, je prends énormément de plaisir, même si je ressens un peu douloureux.

- Ah Guy…tu m’encules salaud. Vas-y mon chéri, c’est bon…oui

-T’aimes ça, petite salope…avoue que t’aimes ça…Eric ne te baise comme moi.

- Oh non, il n’est pas capable de me faire jouir comme toi.

- Tu vois bien, même au lit c’est un incapable…Il est bien monté au moins.

Pour ne pas humilier mon mari, je lui dis que les mensurations sont identiques, même si je dois admettre, que sa bite est plus longue d’environ deux centimètres, et plus grosse. Et je ne parle pas de la paire de couilles qui l’accompagne.

Guy décide de passer à deuxième phases, et m’emmène à la chambre, me couche sur lit. Il m’écarte les jambes et s’encastre entre mes cuisses. Sa bite n’a pas baissé d’un pouce, toujours en érection. Il me pénètre la chatte sans effort, et commence à me défoncer, il n’y a pas d’autre mot.

Je suis en train de me le faire mettre grave. Je n’en peux plus de jouir, de crier à chaque orgasme. Guy est un phénomène au lit. Il m’apporte ce que mon mari ne m’a jamais apporté, l’amour physique.

J’ai du jouir cinq ou six fois pendant la nuit. Guy, en dominateur, s’amuse avec mon corps.

Vers quatre heures du matin, nous décidons de prendre une douche. Là encore, il me demande de lui tailler une pipe. Il m’oblige à me branler, jusqu’à ce que je jouisse une dernière fois. Enfin épuisé, nous nous assoupissons dans le bras l’un de l’autre.

Cette semaine là, j’ai passé toutes les nuits chez lui, jusqu’à ce que sa femme rentre de Paris. Mais nôtre relation à continué jusqu’à ce qu’Eric rentre du Brésil.

De plus en plus, je m’investissais dans cette relation, jusqu’à être soumise à tous ses caprices les plus pervers. J’étais devenu son jouet sexuel, son vide couille, sa pute. Chaque fois que je le suçais, il exigeait que j’avale son sperme. Il attendait que je le supplie de me baiser dans toutes les positions. Il voulait être le maître pour mieux nous humilier, Eric et moi. Il avait même programmé une partie à trois avec sa femme.

« Je suis sur que ma femme aimerai bien te gouiner toute une nuit, disait-il. Tu es tellement vicieuse».

Je lui avouais qu si tel était son souhait, je m’offrirais une nuit entière à sa femme

En plus, il ironisait sur mon mari, sur le sale coup qu’il lui avait fait, sur la catin qu’il avait réveillé en moi.

- Oh putain, souriait-il, je lui ai chopé la présidence du club, et en plus, je lui ai chopé sa femme…quel beau cocu il va faire…ça n’a pas l’air de te toucher…tu aimes tellement que je te nique, hein, salope….

- T’es méchant de dire ça…tu sais que je me régale quand tu me baises…mais s’il te plaît, te moques pas.

Après un mois de relations intenses, nous avons mis un terme à nos rencontres. Eric est revenu du Brésil, et Guy a été muté dans une autre région. J’étais triste de son départ, car on a passé des nuits torrides ensemble, mais c’est peut être mieux comme ça.

Voila, aujourd’hui, j’ai une petite fille, Elsa, issue de ma relation avec Guy. Il ne le sait pas, Eric non plus. J’ai voulu me faire avorter, mais mon mari a refusé, persuadé que l’enfant était de lui. Il était si heureux.

Mieux, il m’a même demandé de faire un petit frère à Elsa. Je ne peux évidemment pas le lui refuser.





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03-10-2022 0 5374

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