Brutalement, la musique devint beaucoup plus douce, et le rythme tombât de plusieurs niveaux, pour atteindre un slow, lent et langoureux, que sans attendre, vous commenciez à danser. Très vite, tes bras s’étaient enroulés autour de sa nuque, et il ne faisait aucun doute, que vos corps se frottaient mutuellement. Tu devais sûrement sentir contre ton ventre, la dureté de sa queue. Tu me lançais un regard brûlant au dessus de son épaule, te répondis par un sourire et un hochement de tête, qui te prouvait combien j’appréciais la scène.
Soudain, l’inconnu du bar vint se coller derrière toi, frottait son bassin contre tes fesses. Il mordit ton oreille, glissa ses mains sous ton pull, caressa tes seins par dessus le soutien gorge. Encore faut-il que tu en es mis un, car je savais combien tu aimais sentir le doux lainage, exciter tes bouts saillants. Tu penchas ta tête en arrière, à la recherche de la bouche de l’intrus qui te donnais du plaisir.
Comme il était venu, il se retira, à ta grande déception. C’est à ce moment, que la musique s’arrêta, te laissant sur ta faim. Ton cavalier te ramena à nôtre table, en te tenant par la taille.
Vers une heure du matin, Lucas nous invitait à prendre un verre chez lui. Il habitait à quelques pâtés de maison de l’endroit ou nous nous trouvions. Nous étions déjà bien gais, et étions chez lui, autour de nouveaux cocktails de sa préparations.
Il mit un slow en musique de fond, et j’insistais pour que vous dansiez à nouveau ensemble. Du fauteuil, je suivais l’évolution, vos lèvres se soudaient, vos langues se défiaient dans des baisers interminables. Les réflexes revinrent très vite, et vos corps s’accommodaient parfaitement. Il te serrait de plus en plus, t’embrassait dans le cou.
Je me suis levé pour venir me placer derrière toi. Tu étais prise maintenant, par deux mâles, qui te serraient de plus en plus. Deux queues rigides te pressaient les fesses et la chatte. Tout en me frottant contre tes reins, et en te faisant preuve de ma virilité, j’avais pris un seins dans chaque main, et te les caressais tendrement, en sentant tes bougeons durcir sous mes doigts.
Je n’avais pas encore remarqué, à cet instant, que tu embrassais Lucas à pleine bouche, et que vos langues se défiaient intimement.
Tu étais occupée à l'embrasser pendant qu'il avait une main sous ta robe et te caressait les seins. Moi de mon coté, je m'affairais à glisser une main entre tes cuisses brûlantes et à retirer ton string trempé de la liqueur qui provenait de ta chatte. Tu devais être complètement en feu et j'allais directement te refroidir la fente de ma langue experte.
Effectivement, ta chatte avait le goût sucré et chaud d'un liquide abondant qui débordait même sur le fin duvet de ton pubis. J'attaquais ta chatte à grands coups de langue, quand je m’aperçus du coin de l'œil que tu avais une main dans le pantalon de Lucas, entrain de fouiller après son membre. Ta main avait sorti sa queue, et elle se dressait magistralement hors de sa tanière. Elle était très bien proportionnée avec un gros gland luisant et gonflé de sang tout recouvert d'un liquide visqueux. Elle était épaisse et longue. Il était sûrement bien mieux monté que moi. Je vis ton corps s'affaisser et ta tête aller en direction de son entre jambe. Sans aucune hésitation tu engloutis le gland dans ta bouche pulpeuse et je voyais tes doigts déjà au travail le long de ce membre viril. Puis tu sortis la bite de ta bouche en la léchant de bas en haut et en t'attardant à sucer ses énormes couilles qui t'emplissait complètement ta bouche.
C'était la première fois que je te voyais en train de sucer la queue d'un autre. Certes tu n'étais pas une enfant de cœur et tu n'en étais pas à ta première bite. Mais le fait de te voir tailler une pipe là , près de moi m'excita profondément.. Je te savais une experte en fellation, tu me l'avais démontré à maintes reprises dans différents endroits, au cinéma, sur une aire de repos d'une autoroute ou encore une fois dans un restaurant où tu t'étais cachée sous la nappe affairée à me pomper la queue. Tu étais parfois une belle garce et j'adorais ça.
Tandis que ma langue allait et venait sur ton clitoris et les lèvres de ta chatte, j'avais enfoncé deux puis trois doigts dans ta chatte en feu qui en demandait toujours plus. Tu gémissais de plus en plus fort en avalant en cadence le membre viril de notre compagnon. J'avais enlevé mon pantalon et j'étais quasiment nu pendant que je continuais à te branler puissamment et à te mordiller le clitoris. Tu ne résistas pas longtemps à ce rythme et tu eus ton premier orgasme. Immédiatement, je te déshabillais complètement et je me plaçais derrière toi pour te pénétrer. Tu étais tellement ouverte et mouillée que je pouvais t'enfiler d'un seul coup de queue sans aucune préparation. Tu poussas un petit cri et tu te remis à sucer comme une folle la queue de notre ami qui commençait à avoir de plus en plus de mal à retenir son plaisir. Pendant que je te sautais par derrière en levrette, l'inévitable se produisit et tu reçus dans la bouche plusieurs giclées de sperme que tu avalas goulûment. Pas une goutte de la semence de ta victime ne t’avait échappé. Il eut un large sourire qui en disait long sur tes qualités de suceuse de queues. Cette scène m’avait bouleversé et je te labourais la chatte puissamment au point de jouir très intensément et de me vider de mon sperme dans ton ventre. C'est alors que tu poussas un profond gémissement qui prouvait la violence de ton orgasme.
Après quelques instants, non rassasiés du tout de notre envie de te rendre heureuse, nous étions toujours en parfaite érection et nous changeâmes les rôles. Je me mis à sa place et lui à la mienne. Il te fourra brusquement sa queue dans ta chatte sans aucun avertissement, comme elle était bien plus grosse que la mienne, tu crias sous ces sensations. Très vite le plaisir repris le dessus et tu criais maintenant en cadence de ses coups de reins puissants qui venaient te défoncer la chatte qui n'en finissait pas de jouir. De mon côté, c'était à mon tour de me faire aspirer par ta bouche vorace qui en était à sa deuxième pipe de la soirée et qui s'activait à me vider également de mon sperme. Tu me suçais comme une folle et sentant le désir monter en moi, je te demandais d'éjaculer sur ton visage et d'étaler le foutre avec ma bite. Très vite, plusieurs vagues de jus épais vinrent s'étaler sur tes joues et ta bouche. Tu commençais à frotter ton visage sur ma queue étalant ainsi le sperme chaud et gluant sur ton visage. J'étais au bout de l'orgasme et je vins au niveau de ton visage pour lécher les traces de sperme qui étaient encore visibles. J'adorais le goût de mon propre sperme et je me régalais.
De ton côté, tu secouais la tête de droite à gauche et tu gémissais aux coups de boutoir terribles que t'assénait ton partenaire. Tes cris étaient de plus en plus rauque et rapprochés et tu hurlas littéralement et t'effondra sur le canapé. Cet orgasme sans doute le plus violent de la soirée t'avait exténuée au point de te rendre le ventre douloureux.
Tous les trois épuisés, nous nous reposâmes une bonne heure en blaguant sur telle ou telle chose. Notre ami nous prépara un petit en cas et nous reprîmes des forces afin de nous remettre ce fol instant.
J'étais parti à la salle de bain pour me rafraîchir un peu et me laver également. A mon retour, je vous surpris enlacé, lui sa main entre tes cuisses, affairée à te caresser délicatement les recoins de ta chatte et toi tu avais en main son énorme sexe qui avait retrouvé toute sa virilité. Malgré la fatigue, j'eus immédiatement une spectaculaire érection due au spectacle que j'avais sous les yeux. Je revins près de vous et je te caressais les seins en me frayant également un passage entre tes cuisses où je retrouvais notre compagnon entrain de jouer non pas avec ta chatte ou ton clitoris mais avec ton petit trou.
Il avait délicatement introduit un doigt qu'il s'était enduit d'une crème très visqueuse, cela devait être de la vaseline. Tu avais l'air de beaucoup apprécier ce qu'il te faisait car tu étais parfaitement détendue et la chair autour de ton anus également. De mon côté je te caressais toujours les seins d'une main et de l'autre ta chatte tout en observant les caresses expertes de notre rencontre. Après de très délicates tentatives, il décida d'introduire un second doigt dans ton anus. Après quelques essais, tu commenças à apprécier cette pénétration alors inconnue. Je ne m'étais jamais aventuré à introduire plusieurs doigts à cet endroit par peur peut être de te choquer. Mais au contraire, tu étais parfaitement calme et sereine, pas du tout gênée par ce qui t'arrivait.
C'est alors qu'il me demanda de m'allonger sur le dos et toi de t'allonger sur moi en faisant pénétrer mon membre dans ton ventre bien chaud. Tu t'appliquas délicatement à t'empaler sur ma queue et à commencer à remuer en rythme. Lui vint derrière toi et je devinas immédiatement où il voulait en venir. Il se plaçât donc derrière toi et je sentis son sexe frôler le mien alors qu'il commençait à pointer sa queue en direction de ton petit trou. Il voulait te prendre en sandwich entre nous deux.
Après quelques instants, alors que tu ne bougeais pas du tout, je sentais progressivement pénétrer en toi son énorme queue à travers la fine membrane qui sépare ta chatte du petit orifice. Tu ne ressentais très peu de douleur tant il s'y prenait avec douceur et tant il avait enduit ton anus de vaseline. Tu ne disais toujours rien et je voyais ton visage se crisper et tes yeux se fermer. Il était arrivé au bout de ses peines et il t'avait enfilée de tout son long. Il commença alors un lent va et vient pour ne pas te brusquer ce qui avait pour effet de provoquer également un lent mouvement de ma queue dans ta chatte très contractée. Tu étais de plus en plus détendue et des soupirs de plaisirs commencèrent à sortir de ta bouche. Puis les mouvements s'étaient progressivement accélérés et tes râles de plaisirs devenaient de plus en plus forts et parfois stridents. Il accélérait le rythme et tes râles se transformèrent en cris de jouissance quand tu atteins ton premier orgasme dans cette position. Il fut très vite suivi de deux autres très rapprochés qui correspondaient à nos orgasmes respectifs, lui dans ton tunnel inexploré et moi dans ta chatte explorée depuis longtemps.
Cette fois ci, nous étions tous les trois exténués. Nous nous rhabillâmes. Lucas te prit dans se bras, et tu lui offrit ta bouche, pour un tendre baiser. Nous quittâmes à regret nôtre compagnon de jeux. Dehors, le jour commençait à poindre et tu avais l'air radieuse malgré la fatigue. Nous rentrâmes chez nous pour y dormir tendrement l'un contre l'autre après avoir libéré la baby-sitter. Cette nuit nous avait encore rapprochés.
,
,
Je me connecte ou je m'inscris