Avec Pierre, mon merveilleux mari, et moi, Coline, nous formons un jeune couple. Lui, vingt huit ans, et moi, vingt quatre. Côté situation, il en a une très bonne, et moi m’occupe de à la maison. Pour nous, le triolisme est devenu incontournable.
Mais Pierre trouve que ce n’est pas du triolisme, mais plutôt un amant autorisé. Nous faisons cela depuis déjà trois moi.
Je sais que mon mari ressent un véritable plaisir visuel, à me voir faire l’amour avec un autre homme, et ça lui plaît de souffrir un peu. J’ai la chance d’être assez belle, très féminine, et je crois qu’il pourrait jouir rien qu’en me regardant.
Mais je l’aime comme ça, et ça ne l’empêche pas de me faire très bien l’amour.
Ça me plaît bien que Pierre me regarde jouir avec mon amant, ça me donne des sensations partout, je suis au paradis. L’acte lui-même me fait beaucoup jouir, et mon mari me le fait encore plus aimer. Moi, je reconnais que je suis très accroc au sperme, ça me trouble, rien que de le voir, ou le sentir.
Mais avec ce qui se passe, on est obligé d’être raisonnable, sinon mon mari me verrait avec beaucoup de partenaires. J’adore sentir l’homme venir en moi, c’est chaud, c’est bon, l’éjaculation me rend folle. J’imagine les jets de sperme, je suis de plus en plus salope pour ça. J’en veux toujours plus. Je sais que j’ai un problème avec le sexe de l’homme, j’aime la queue, bien sûr, mais surtout j’adore les belles couilles, leur forme, leur chaleur, et ce qu’il y a dedans surtout, je suis folle de ça, je ne sais pas pourquoi. Et puis, Pierre me regarde, je sais qu’il voit que l’homme me remplit, j’imagine qu’il va voir ma petite chatte rose toute gluante. C’est le bonheur, comme une drogue qu’on m’injecterait, surtout avec une belle queue qui sert de seringue. Il faut faire attention avec ça! C’est pour ça que nous sommes excessivement prudents pour nos partenaires. Pour éviter les risques, nous avions décidé de nous cantonner le plus possible à des hommes 'sûrs'. Je ne me voyais pas baiser avec un préservatif. Je peux le faire, il y a des fois, où c’est obligatoire, mais ça me coupe mon plaisir. En plus, le véritable plaisir de Pierre, ce n'est pas seulement de me voir faire l'amour avec un autre, voir comment l'homme me fait ça, c'est aussi ce qu’il me met.
Évidemment, notre complicité pour le sexe, pour « mes partenaires », a été progressive. Mon mari a été mon premier, j’ai été très heureuse avec lui, dès la première fois, quand il a pris ma virginité, il y a sept ans, j'avais dix-sept ans, lui vingt et un. J’ai beaucoup joui, je criais, ça le faisait fantasmer, déjà bien avant notre mariage, il y a un peu plus de deux an. En me faisant l’amour, il m’expliquait tout ce qu’il laisserait faire à d’autres, et comment j’aimerais ça. J’étais chaude, bouillante, j’en suis devenue dingue, j’avais des orgasmes énormes. Il avait toujours des scénarios, après, j’en ai fait aussi. De toute façon, arrivait toujours le moment qui nous plaisait, un autre homme vidait ses couilles dans ma chatte. C’est devenu si fort, que je lui ai demandé de le faire vraiment.
Cela faisait presque cinq ans qu’on jouissait en l’imaginant. Moi, je voulais essayer, c’était à lui de décider, pour que notre couple n’en souffre pas.
Choisir un partenaire n’a pas été trop difficile, Pierre m’a demandé si je voyais quelqu’un avec qui je pourrais coucher. Lui, il imaginait bien son frère, je n’étais pas contre, mais la famille c’était un peu gênant. Et puis tant qu’à coucher pour jouir, je voulais un vrai mâle, si possible.
Je me suis souvenue de Daniel, mon prof de sport. Il me matait toujours au lycée. Ça faisait quelques années, mais, je savais qu’il vivait seul, et qu’il avait encore le béguin pour moi. Je le rencontrais parfois au marché, et ses yeux me disaient toujours la même chose. C’était parfait physiquement, assez beau, la cinquantaine, très viril, je me voyais très bien avec lui. Physiquement Pierre allait être surclassé, mais il me plaisait bien. En plus, avec lui, on était sûr de sa discrétion, ou que ça puisse durer. Avec Pierre, on avait tout envisagé, continuer longtemps, vivre à trois, nous avions même pensé aux enfants, puisqu’on voulait le sperme, il y avait le risque que je sois enceinte.
Pour ceux que ça intéresse, toute cette période de recherche de partenaire est très excitante, pour le mari comme pour la femme. On n’arrête pas de se demander si on peut coucher avec untel, ou un autre, on les imagine, c’est fou.
Après il y a eu l’excitation de la décision. Avec Pierre, on a invité mon ancien prof à venir un soir à la maison. Quand il est arrivé, on a discuté, pris un verre, j’avais mis une tenue très sexy, une jupe fendue très courte, une petite culotte en soie noire très fine, elle mettait plutôt en valeur mes petites lèvres que les cacher. J’ai de très jolies jambes et tout ça avait l’air de bien échauffer.
Ensuite, j’ai laissé les hommes s’expliquer. Je suis jeune, grande, assez mince, on me dit très belle, désirable, j’ai de très beaux seins, enfin tout. Je suppose que si l’on dit à un homme qu’il peut me faire ce qu’il veut avec l’accord de mon mari, ça doit l’intéresser. Pierre a mis de la musique, des slows, j’ai dansé avec Daniel, on s’est embrassé, je l’ai invité à glisser ses mains sous mon chemisier. Il m’a pelotée longuement, moi je l’ai caressé, d’abord sous sa chemise, son dos musclé. Quand il a glissé sa main entre mes jambes, Pierre m’a retiré ma culotte, m’a caressé la chattes, j’aime ses caresses. J’ai entré ma main à l’intérieur de son pantalon, ce que j’ai trouvé m’a énormément intéressée. Je n’avais pourtant, jamais eu que celle de mon mari, comme queue à caresser, mais là, j’ai fait ça simplement, comme si c'était normal. J’étais un peu surprise que ça se passe aussi facilement avec mon ancien prof. J’avais senti qu’il bandait fort et on en avait tellement parlé avec Pierre, que cela m’a semblé naturel.
De nature un peu timide, autrefois, je me suis sentie fière d’avoir sa bite dans la main. On ne savait pas si la première fois serait une réussite, aussi ce soir là, je n’avais pas prévu qu’il y ait pénétration.
Ça a été un moment très sensuel, Daniel m’a beaucoup embrassé, vraiment partout, la bouche, le cou, le ventre, les seins, sucé mes bourgeons. Il rêvait de me toucher depuis si longtemps, c’était bien. Depuis que Pierre avait retiré ma culotte, tout était permis. Daniel jouait avec mes lèvres, mon clitoris, j’ai aimé ça. Quand il a embrassé ma chatte, j’étais bien, j’ai serré son visage dessus, je savais que je coucherais avec lui. Moi, je voulais tout voir. J’ai baissé son pantalon, son caleçon. C’était super, une bitte bien plus forte que celle de Pierre, belle, chaude. J’ai aimé ses testicules, très gros comme des citrons, et doux. On s’est caressé longtemps, mon mari regardait, il n’avait pas l’air jaloux, mais j’en étais pas sûre. Alors j’ai juste bien branlé Daniel, dans mes mains, puis entre mes seins. Mais, j’en avais tellement envie, le gland était si beau, j’ai pris son gros morceau dans ma bouche, une vraie fellation. Je n’en fais pas souvent à mon mari, mais là, j’en avais besoin. Pour la première fois, j’avais une autre paire de couilles dans mes mains, comme dans nos scénarios, je n’arrêtais pas de les embrasser. Et lui a recommencé à me lécher la chatte, on a fait un soixante-neuf. J’aurais tant voulu que sa jolie verge soit déjà dans ma chatte, à la place de sa langue, alors je l’ai bien caressée, masturbée, serrée dans ma bouche, massée avec la langue, jusqu’à recevoir son nectar. Il n’arrêtait pas, des gros jets de sperme giclaient dans ma bouche, au fond de ma gorge, sur ma langue. J’ai dégusté en fermant les yeux, j’ai tout avalé, presque jusqu’à en jouir, c’était bon. Quand il est parti, on a fait l’amour avec Pierre, il était très excité que ma bouche sente le sperme, il bandait tellement qu’on l’a refait trois fois dans la nuit.
J’ai regretté de ne pas avoir voulu la première fois. Daniel était un peu frustré, moi aussi, j’aurais aimé sentir son merveilleux sexe dans ma chatte, qu’il me donne tout. Avant mon mari, il se serait vidé en moi, m’aurait remplie.
Mais j’avais été heureuse de le sucer, caresser ses couilles, et goûter son sperme. J’ai dit à Pierre que l'homme était super, que les organes de Daniel me plaisaient, que la bitte était belle, avec une belle forme, avec un beau gland tout rose quand il est bien décalotté. C’était le fantasme de mon mari, il n’arrêtait pas de me faire parler du sexe de l’autre homme, comment j’avais aimé son sperme. J’avais trouvé sa bite douce et chaude. Pierre était très excité que je lui dise avoir adoré les couilles de Daniel, et le sentir éjaculer dans ma bouche, surtout en telle quantité. Je lui ai demandé s’il n’avait été trop jaloux, parce que la prochaine fois, il serait vraiment cocu, et qu'il allait voir Daniel me baiser, me remplir, que je jouirais avec lui, qu’il y aurait beaucoup de jus qui coulerait de ma chatte. Il était encore temps d’arrêter, même si je savais bien que mon prof était l’homme idéal pour ça, dans notre couple.
Daniel m’a téléphoné deux fois le lendemain, il m’a demandé si ça m’avait plu, si j’avais aimé sa queue, tout, j’ai dit oui, bien sûr, alors il a ajouté qu’il mourrait d’envie de me baiser, me baiser à fond, je lui ai dit que j'étais plutôt pour, mais que c'était mon mari qui devait prendre la décision.
Quand Pierre est rentré, je lui ai raconté, c’était à lui de choisir, et il l’a invité pour le lendemain, samedi. Pierre m’avait déjà vu sucer sa bite, la caresser, avaler son sperme, il ne pouvait pas y avoir de problème à faire plus.
Quand j’ai ouvert la porte à Daniel, on s’est regardé, ses yeux m’ont dit ce qu’il m’avait dit au téléphone, les miens lui ont dit oui, il s’est jeté sur moi, m’a retiré ma robe. J'étais très belle avec ma guêpière, mes porte-jarretelles, mes bas. Il m’a admirée, j’avais mis ma culotte par-dessus, il a pu l’enlever rapidement, et il m’a emportée dans le salon. Mes deux hommes m’ont embrassée, caressée très longtemps, j’étais liquide, j’avais envie de Daniel, à un point! C’est incroyable qu’on puisse aimer comme j’aime mon mari, et avoir autant envie d’un autre homme.
Daniel a commencé par embrasser ma petite chatte, moi j’avais sa bite dans les mains, elle était tendue comme du bois. Je me suis allongée sur la moquette pour qu’il puisse mieux m’embrasser la chatte, et pour que Pierre voie bien, mais Daniel me désirait tellement ! Il m’a écarté les jambes pour me pénétrer, mon mari l’a compris et il m’a embrassée lorsque Daniel est entré en moi. Daniel n’avait rien demandé, il m’avait prise avec autorité, en vrai mâle qu’il est, j’ai adoré ça ! Je l’ai senti loin, c’était bon, je le voulais au fond ! Je me suis offerte, j’ai gémi, j’ai crié. Gentil, Pierre a pensé à moi, il a apporté des coussins pour mettre sous mes reins et là, Daniel a pu me pénétrer encore plus profondément. C’était le bonheur absolu, j’étais heureuse, avec cette montagne de muscles magnifique. Cette bite qui me faisait jouir comme une folle. Daniel était déchaîné, il me défonçait et Pierre nous matait, il avait les yeux fixés sur le sexe de Daniel qui me baisait fort. Je sentais le gland qui voyageait, qui m’écartait, c’était le bonheur absolu, j’ai joui je ne sais combien de fois. Je n’avais pas l’habitude d’un engin pareil ! Sa bite me déformait, il sortait son gland et se renfonçait en martyrisant ma petite chatte, j’adorais ça. J’ai crié de plaisir, je sentais bien ses grosses couilles sur moi, je les caressais Je les ai prises dans mes mains, je ne les aurai plus lâchées. Je savais ce qu’elles allaient me faire, et j’attendais ça, impatiemment. Ce serait vraiment le moment où mon mari serait cocu, je redoutais ça, et l’espérais en même temps ! Je voulais jouir longtemps avec lui et pourtant qu’il me remplisse vite. J’étais folle comme une gamine amoureuse.
Cette première fois avec Daniel est restée gravée dans ma mémoire. Maintenant je sais qu’avec lui, c’est toujours aussi bien, à chaque fois. C’était le premier homme avec qui je couchais, en dehors de mon mari. C’était mon vrai dépucelage, je le voulais tellement, je n’avais pas assez de mains, pour parcourir ses muscles, sa peau, appuyer sur ses reins pour qu’il me défonce encore plus. Puis quand j’ai tenu ses couilles, si chaudes, si douces, je ne les ai plus quittées, je caressais même la bitte entre mes jambes. Je lui ai dit des tas de choses, tellement j’étais excitée, je me suis ouverte vraiment à me faire féconder avec la plus grande joie. Évidemment ça a excité mon partenaire, qui m’a expédiée au ciel.
Sa grosse branche magique m’a pénétrée par saccades, plus profondément, et je l’ai bien senti jouir. Il m’a dit de merveilleux mots crus, des choses incroyables, qui me faisaient plaisir, ma chatte devait être collée à sa bitte, je sentais bien les contractions, j’imaginais les jets puissants dans le fond de ma chatte, comme j’avais eu dans ma bouche. J’étais heureuse et comblée. Je crois que je suis devenue folle, le bonheur était partout. Il m’a donné son nectar longtemps. Moi, je le serrais dans mes bras, entre mes cuisses, c’était mon homme, mon mâle. Quand il me remplit, il donne longtemps des petits coups de reins très forts, ça me fait jouir encore plus, j’aime ça. Mon mari nous regardait, mais à son oreille, tout bas, je lui ai dit tout ce que je ressentais, des tas de folies, qu’il était merveilleux, que j’écarterais toujours les cuisses pour lui, que j’étais à lui, qu’il était mon mâle, et je le pensais en le disant. J’ai été aussi heureuse qu’on l’imaginait avec mon mari dans nos fantasmes.
Nous sommes restés un long moment comme ça, accouplés, sans bouger. Daniel m’a embrassée, et j’avais la main qui pétrissait ses couilles. On s’est regardé dans les yeux, ils me disaient.
« Je t’aime, je te veux...les miens disaient..vas-y, je suis grande ouverte pour toi ». C’était tellement fort!
Ensuite, il s’est relevé et m’a présenté sa merveilleuse bite, j’ai léché le sperme avec gourmandise, je l’ai prise en bouche, j’ai fermé les yeux, j’étais bien. Je lui ai longuement embrassé les bourses, je les aimais.
Mais j’avais oublié Pierre, il avait un désir phénoménal, il est venu sur moi, et là j’ai oublié complètement Daniel. On s’est embrassé et quand sa bite fraîche s’est enfoncée dans ma chatte gluante, c’était mon rêve, je suis partie haut dans les tours. Nous réalisions nôtre fantasme. Nous étions fous de désir, et j’ai joui encore plus, des orgasmes géants, à répétition, qui me secouaient, ça ne m’était jamais arrivé ! Il y avait un bruit de clapotis, mon mari glissait dans le jus de Daniel, j’ai perdu l’esprit, il m’a pistonnée comme jamais, et quand il a mélangé son sperme avec l’autre, j’ai ressenti un amour immense pour lui, j’étais détachée du sol. Je l’ai serré dans mes bras, je voyais sa bite dans le jus de l’autre, je voulais qu’il la laisse dedans, je lui ai dit, lui aussi ça le troublait. On est resté au moins cinq minutes comme ça, emboîtés, sans bouger, que s’embrasser.
C’était un moment magique d'amour total.
On ne pouvait pas se quitter comme ça, nous trois, c’était trop bien, je voulais que Daniel reste toute la nuit avec nous, il ne demandait pas mieux, Pierre a été d’accord. Ce qui devait être une soirée s’est transformé en nuit complète. C’est un amant puissant et dans la chambre, il m’a fait l’amour de nombreuses fois, toute la nuit, Pierre préférant que je le suce, c’était bien, Daniel me baisait en levrette, et je suçais mon mari, et je l’ai fait pendant une sodomie aussi.
Ensuite Pierre s’est endormi et nous a laissés. Daniel en voulait encore, il m’a fait grimper aux rideaux, septième, huitième ciel, j’avais le corps enveloppé de bien-être, au comble du bonheur, c’était comme une deuxième nuit de noces. Je me suis endormie, épuisée, la tête dans les étoiles.
C’est l’odeur du café qui m’a réveillée. L’homme nu, magnifique qui dormait à côté de moi n’était pas mon mari. Il faisait presque jour dans la chambre et j’ai pu l’admirer. J’étais fière d’avoir satisfait cet homme-là, ce colosse. Je suis allée retrouver mon mari, il avait préparé le petit déjeuner, on a beaucoup discuté. J’étais vraiment heureuse de la nuit, heureuse de mon mari, de Daniel.
Il dormait toujours. Pierre et moi, on s’est beaucoup embrassé, comme de jeunes amoureux, de jeunes mariés, mais c’était Daniel qui avait accompli la nuit de noces, je lui ai montré les traces de mes activités coupables. Pierre s’est moqué de moi parce que j’avais mal à mon petit trou, comme il l’appelle, suite à une puissante sodomie. Mais ma chatte était encore gluante de sperme, j’en avais entre les jambes, il m’a caressée et fait sucer ses doigts. Quand Daniel s’est levé, magnifique, sans rien sur lui, très super mec, il voulait certainement impressionner Pierre par son énorme bite, et il a réussi, car j’ai senti mon mari gêné. C’était clair pour moi, il y avait le mari ordinaire, et le vrai mâle. J’ai ouvert ma nuisette, je me suis collée à lui, on s’est embrassé, il bandait déjà.
Ensuite il m’a portée jusqu’au divan du salon et il m’a pénétrée. J’avais mon regard dans celui de mon mari quand la bite est entrée, et ça, ça m’a fouetté le sang. Je me suis déchaînée, je faisais le spectacle pour Pierre qui filmait. Mais, le plaisir est venu, j’ai embrassé Daniel, on a vraiment fait l’amour, je voulais qu’il jouisse autant que moi et je l’ai bien pompé avec les reins, quand il a joui. Je voulais qu’il soit très heureux. Daniel était sur moi, et moi je regardais mon mari en bougeant bien mon ventre et mes reins avec application jusqu’à la fin de l’éjaculation. C’était presque une communion avec Daniel et avec mon mari, qui voyait bien mes mouvements pour mieux recevoir le jus de mon amant.
Sur le film on voit que je jouis, et Pierre a merveilleusement filmé le jus blanc qui sortait de ma chatte. On a fait plein de tâches sur le tissu. Malheureusement après le petit-déjeuner, Daniel a dû partir. Je n’ai pas pu prendre de douche, mon mari voulait admirer la gélatine épaisse qui coulait sans cesse de ma chatte. Toute la matinée, il m’a caressée avec le sperme de Daniel, je sentais l’homme, c’était excitant. On a fait l’amour toute l’après-midi en y pensant. Pierre me rendait folle en parlant de ce que j’avais fait avec Daniel. Il n’avait pas besoin, on était dans les draps qui sentaient son odeur, son merveilleux produit.
Mais tout de suite avec Daniel, il y a eu deux semaines enflammées. En quelques jours, nous avons été pris d’une boulimie, une passion sexuelle torride, Daniel et moi, presque tous les soirs, toutes les nuits. Je baisais avec lui sans arrêter, parfois avec mon mari aussi. Daniel courrait chez nous à chaque occasions, même quand Pierre n’était pas là, il me gorgeait, certains jours je ne m’habillais même plus. Il me prenait partout dans l’appartement, dans l’entrée, sur la table, sur la moquette, et surtout toutes les nuits, des jours et des nuits de passion sexuelle endiablée avec un homme infatigable.
C’était trop, au début, je voulais faire l’amour avec lui, puis avec mon mari, c’était ça le fantasme, mais là, ce n’était plus qu’avec lui. Pierre ne disait rien, acceptait, mais j’ai décidé de calmer un peu le jeu. Évidemment, c’était un peu dur pour mon amant, mais j’aime mon mari, qui reste l’homme de ma vie, et ça devenait impossible. Pour beaucoup de raisons, je ne voulais pas arrêter complètement, on ne pouvait pas tomber d’un excès dans l’autre. Je ne voulais pas prendre le risque de le perdre, qu’il me quitte.
Nous avons eu une explication à trois, et nous nous sommes entendus sur une solution intermédiaire qui nous convient bien à tous. Daniel ne vient plus que les week-end, du vendredi soir, jusqu’au dimanche.
Les autres jours, je l’ai consacre à mon mari. Je l’aime, on est heureux ensemble.
Daniel est vraiment le compagnon idéal pour nous. Nous sommes très jeunes, lui, plus âgé, plus puissant. Il est devenu le mâle dominant, et Pierre, le mari soumis.
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