Pauline. Chapitre IV. Madame .

Récit érotique écrit par iovan le 13-08-2021
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Catégorie Lesbiennes

Chapitre IV

Madame.



Pauline s'éveille tard dans la matinée.Elle est seule dans le grand lit.

Rachel s'est réveillée tôt, et allongée, sans un mouvement, retenant son souffle, a tourné la tête et contemplé, émerveillée, dans la pénombre le visage angélique de sa merveilleuse amante, tout auréolé de son innocente beauté; émue aux larmes, elle s'est levée avec d'infinies précautions, et a gagné, sur la pointe des pieds, la salle de bains, laissant sa belle chérie aux bras de Morphée.


Pauline se prend à sourire de plaisir, repensant à leurs frasques de la veille. Elle est encore un peu fatiguée et endolorie par ses exploits érotiques, mais elle se sent si bien. La sève de la jeunesse court en elle, et le désir ardent qui la consume, depuis son arrivée chez sa tant adorée, lui donne une énergie qu'elle n'avait jamais ressentie. Elle se sent neuve, frémissante de désir, sa nouvelle vie la fait se découvrir une autre personne, débordante de vitalité, brûlante de désir, farouche... et affamée : elle se rend compte qu'elle est tiraillée par une faim délicieuse.

Elle prend une douche qui achève de la réveiller et la revigore, puis descend dans la grande salle où elle est accueillie par la délectable odeur du café et du pain grillé. Elle y trouve sa belle maîtresse qui lui adresse un sourire radieux. Elle est au téléphone et baisse un peu la voix quand elle l'aperçoit, mais continue à converser tout en lui envoyant baisers et sourires.


— Justement, la voilà... D'accord. Je lui en parle... entendu... Je te rappelle, chérie. Au revoir, Maggy.

Pauline, intriguée, note le ton déférent.

A peine Rachel a t- elle raccroché, qu'elle se rue sur Pauline et l'enlace, la couvrant de baisers. Pauline rit, l'embrassant, elle aussi.

—Mon amour, ma belle chérie...Comme je suis heureuse de te voir !As tu bien dormi ? Comment te sens tu ?

—Oh, ma Rachel chérie...Je t'aime ! Je t'aime...Comme tu m'as fait du bien hier soir !!! Sorcière … ! Tu es entrain de m'envoûter... ! Embrasse moi encore...

Elles s'embrassent, alors d'un long baiser passionné.

Elles s'assoient à table et Pauline s'adressant à sa belle amante, le nez baissé sur sa tasse, d'un ton faussement menaçant :

— A qui parlais tu de moi, amour ? Et qui est cette « chérie » ? De quoi, dois tu me parler ? ...Allons ! Avoue moi tout !

Elles se regardent et éclatent de rire. Rachel la regarde par dessus sa tasse fumante, enjouée.

—Justement, petite salope... ! Écoute moi bien !

Cinq minutes après, la question est réglée. Pauline, abasourdie, mais soumise, et émoustillée, se rend, aux conditions qu'exige d'elle, sa belle et impérieuse maîtresse.

Après quelques préparatifs...


—Allons, mon adorée, suis-moi, on y va. Il y a un petit bout de chemin, comme, de plus, il a un peu neigé cette nuit... On déjeunera en route, tu es mon invitée.


Pauline s'installe dans le coupé Mercedes, ajuste sa ceinture. Rachel met le contact, et les voilà parties.


En cours de route, elles parlent de choses et d'autres, mais le sujet de conversation qui revient en leitmotiv est ce qui attend la belle enfant au haras. Totalement excitée à l'idée de cette incroyable expérience, mais en même temps pétrie d'appréhension à l'évocation du monstrueux accouplement que sa maîtresse adorée lui impose. La jolie Pauline est terrorisée mais puisque Rachel l'exige, elle le sait, elle le fera.

Elles s'arrêtent peu après midi, dans une auberge de charme, où Rachel semble avoir ses habitudes. Le patronne la salue avec chaleur et l'embrasse, la traitant comme une intime. Pauline grignote du bout des lèvres, l'esprit occupé par ce qu'elle anticipe. Sa maîtresse vénérée lui sourit, lui murmurant, mots tendres et encouragements, sa main caressant la sienne. Voyant le regard embarrassé de son amante, Rachel lui sourit.

— Pour ça non plus, ne t'en fais pas...laisse toi aller ma belle chérie... je suis là !

Et elle pose un long baiser sur sa bouche, sous le regard complice et souriant de la patronne.

Le café pris, l'addition réglée, elles reprennent la route.

—Nous y serons très vite maintenant ! Ne t' inquiète pas mon amour, tout se passera bien... Margaret est une experte et je veux que tu découvres le bonheur que c'est que de se faire posséder par une tel...être ! Je veux que tu connaisses cette joie...

Pauline sent son cœur bondir dans sa poitrine

— J'ai peur Rachel...

—Mon amour...Tu n'as aucune raison de t'inquiéter... Je veille sur toi, ma chérie,... Je suis là !

Elle pose sa mains sur la cuisse de sa jolie maîtresse qui s'en empare, pour la porter à ses lèvres, et la baiser dévotement.

Une quinzaine de kilomètres plus loin, elles quittent la départementale pour s'engager sur un chemin empierré, soigneusement entretenu. Les branches des platanes centenaires qui bordent l'allée sont soulignées d'un liseré blanc de neige, ajoutant encore à la beauté du lieu. Elles franchissent un portail monumental, pour entrer dans une magnifique propriété. Tout ici respire l'ordre, le travail, la richesse. Des bâtiments de pierre meulière et de brique, entourent une ferme manoir, au large perron. Derrière la maison, on aperçoit des écuries.


Rachel gare la voiture devant le vaste perron, et elles descendent du coupé. Pauline contemple le manoir, quand la porte s'ouvre sur une femme qui vient à leur rencontre.

— Bonjour, mes chéries ! Heureuse de vous accueillir ...

Pauline note, à peine, une pointe d'accent anglais.

C'est une très belle femme dans sa soixantaine rayonnante, épanouie et harmonieuse. Son visage aux beaux traits réguliers et fermes est surmonté par un haut chignon de cheveux gris fer. Son regard clair impose l'autorité. Cette femme du temps de sa jeunesse a dû être d'une beauté stupéfiante...

Elle porte des pantalons beiges ajustés et des bottes de cheval, un ample chemisier blanc qui découvre légèrement sa poitrine généreuse qu'ornent trois rangs de perles.

Le froid humide qui règne en ce début d'après midi ne semble même pas l'incommoder.

Rachel, avec un sourire radieux prend Madame dans ses bras, qui l'enlace et elles s'embrassent longuement d'un baiser chaud, plein de tendresse , émues.

— Ma belle Rachel , mon amour... ! Que je suis heureuse de te revoir... Plus d'un mois ! Tu m'as manqué, tu sais !

— Toi aussi, ma chérie, tu m'as manqué... ! Il ne faudra plus rester si longtemps sans nous voir...

— Ce n'est pas simple, tu sais ! Mes affaires...Mais...nous manquons à tous nos devoirs ! Nous sommes impardonnables...Comment peut on négliger une aussi ravissante jeune fille... ?

Puis s'adressant à Pauline :

— Ma chère enfant, il faut nous excuser : Rachel et moi, nous aimons, et c'est un tel bonheur pour moi de la retrouver...

Laissez moi, un moment, vous regarder...

Elle reste un long moment, mains croisées devant sa bouche, contemplant Pauline.

— Vous êtes remarquablement belle, chère petite. Rachel n'a pas exagéré en me parlant de beauté stupéfiante... ! C'est exactement cela!

Puis, se tournant vers Rachel :

— Rachel, ma chérie, Veux-tu avoir la bonté d'aller vérifier si tout est prêt, pendant que je règle quelques détails avec cette délicieuse enfant ? Merci très chère... Le ton est prévenant, mais sans réplique.

—Bien sûr Maggy. Avec plaisir, chérie !

Rachel glisse un long regard appuyé avec un beau sourire à sa Pauline chérie, et après un hochement de tête d'encouragement, tourne les talons et s'en va vers les écuries.

— A nous deux, ma belle enfant... Venez, voulez-vous ?

Elle lui tend la main, Pauline s'en saisit, et le cœur battant se laisse entraîner par la maîtresse des lieux qui, poussant une porte vitrée de petits carreaux, les fait entrer dans un vaste hall dallé, au fond duquel s'élève un imposant escalier de marbre à la riche rambarde ouvragée. Il règne dans la demeure une douce chaleur qui contraste avec le froid humide de l'extérieur. Sur la droite de l'escalier, s'ouvre une grande porte vitrée, à petits carreaux, que Madame leur fait emprunter et elles entrent dans un joli salon, richement meublé.

— Asseyez vous, je vous en prie, chère enfant... dit-elle en indiquant à Pauline, un crapaud de style, elle-même s'asseyant dans celui qui lui faisait face.

Alors, ma chérie, Rachel m'a mise au courant du projet qu'elle avait formé pour vous...Vous en avez parlé, n'est-ce-pas ?

Elle la regarde intensément avec un sourire bienveillant et chaleureux.

Pauline balbutie.

— Oui, Madame, bien sûr... mais...

— Oh ! Je sens une certaine réticence, ma chère petite Pauline … ? c'est bien Pauline n'est ce pas... ?

—Oui, Madame, je m'appelle Pauline... Ce n'est pas de la réticence , Madame … Je veux faire et ferai tout ce que ma chère tante Rachel exigera de moi. Je l'aime ! Je crois que que j'ai, tout simplement, très peur !

— Oh ! Comme c'est mignon... !

Elle s'est rapprochée, a saisi la main de Pauline et la caresse.

— Je te taquine ma chérie... C'est normal que tu appréhendes... ne t'inquiète pas , je veillerai à tout...Rachel a bien de la chance d'avoir une si belle nièce... si dévouée.... ! Elle m'avait parlé de toi , même bien avant qu'il ne soit question qu'elle t'héberge, et m'avait vanté ta très grande beauté, je dois dire que c'est l'exacte vérité...Je suis impressionnée et sous le charme !

— Oh ! Madame, vous me faîtes rougir... .

— Tu es adorable !

— Vous aussi vous êtes très belle, Madame !

— Allons, allons... ! Disons que je l'ai été... et qu'il m'en reste quelque chose...

Écoute, ma belle... Je suis d'accord pour vous aider dans votre projet. J'adore Rachel et je commence à beaucoup t'aimer, toi aussi... Mais, il y a trois conditions : Un, j'assiste ! Deux, je dirige ! Trois, je tourne une vidéo. Voilà ! Qu'en dis tu ?.

— Une vidéo... privée ?

— Plus ou moins... à commercialiser...peut-être, non ? Qu'en penses -tu ?... j'ai envie de faire de toi, une star !

Elle rit.

— Allons, écoute... Figure-toi qu'il y a un gros marché pour ce genre de truc. Il se trouve que des vidéos, j'en ai en tourné des quantités, mais avec d' aussi belles filles que toi, aucune. Donc pour toi, ce sera gratuit, mais, à mes conditions. Il faut pourtant, que j'aie quelques retombées...non ?

Elle a, à nouveau, son rire clair.

— Madame, je ne veux pas qu'on puisse me reconnaître sur les vidéos.

— Ne t'inquiète pas de ça, mon petit amour... tu te doutes que je suis équipée. Crois-tu que les grandes bourgeoises qui fréquentent mes écuries veulent être reconnues ? C'est une clientèle qui exige la discrétion. Et tout mon business repose là-dessus.

—Ah ! Un détail auquel je tiens : tu porteras des dessous érotiques: porte-jarretelles bas, culotte en dentelle. Tu aimes les dessous chics, n'est ce pas ? J'ai ce qu'il faut, ne t'inquiète pas.

— J'adore...

Et, intriguée, elle ajoute :

— Vous m'avez dit que pour moi ce serait gratuit... C'est donc que d'habitude, vous faites payer...?

— Oui, et cher, très cher. Certaines de ces dames sont prêtes à débourser des fortunes. J'ai des clientes qui viennent du monde entier.

Maintenant, je dois ajouter autre chose, mais cela ne fait pas partie des conditions. C'est un passage obligé! Ça n'est pas négociable: c'est moi qui choisis le cheval.

— Oh ! Bien sûr,Madame, je préfère que ce soit vous qui choisissiez...

— J'ai trois chevaux dressés pour ce genre de choses: un Shetland. Un anglo-arabe. Et un percheron. Tu comprends ? Selon chaque cas, une taille, le Shetland pour les débutantes, l'anglo-arabe pour les confirmées et le percheron pour les expertes !

— Mais comment pouvez-vous savoir ?

Elle a un sourire ravi :

— Ma belle chérie, je les teste toutes... et... je vais me faire un doux plaisir de te tester toi aussi ! dit-elle, regardant avec ostentation sa main fine. Et, elle coule à sa belle proie un regard appuyé accompagné d'un sourire entendu.

Elle va la fister !

Elle se lève, se penche sur Pauline et l'embrasse, celle-ci lui rend son baiser, haletante, prise d'une fièvre soudaine.

Sa bouche a un goût de fruit.

Madame, d'autorité, a glissé sa main sous la petite jupe et soulevé le string effleurant le tendre petit con.

— Tu en as la chatte toute mouillée... Tu es excitée, n'est-ce pas ?

— Ooh, Madame... Depuis que nous sommes entrées!

— Mmh … ! Adorable coquine ! Tu vas voir, je suis une experte. Je fais ça très bien... En tout cas, elles en redemandent... et toi aussi, tu en redemanderas ! Ne te déshabille pas ma chérie, ne me prive pas de ce plaisir...j'y pense depuis que je t'ai vue... je reviens tout de suite... Elle s'éclipse....

Pauline subit indéniablement le charme de Madame, non seulement elle la trouve d'une grande beauté, mais il émane d'elle un charme d'une sensualité qui envoûte la mignonne. Pensant à ce que sa troublante hôtesse s'apprête à lui faire subir, elle sent son cœur s'accélérer sous le coup de l’appréhension, alors que l'excitation lui tord le ventre, elle sent qu'elle est trempée. Elle n'a été fistée qu'une fois par Rachel, mais se souvient avec exaltation de l'ouragan de plaisir qui l'a devastée.

Le claquement de ses bottes retentit dans le hall et Madame revient, gracieuse, et souriante, une serviette sur le bras. Dans sa main, un tube de lubrifiant.


— Ma belle chérie, je me fais un tel plaisir de te fister... Sais-tu que j'adore ça...Avec toi, ce seront de vrais délices... ! Elle s'agenouille devant elle, tout en lui caressant les seins. Baissant le joli petit string, elle écarte indécemment les jambes de la jolie môme. Le souffle court, Pauline, rencognée dans le fauteuil a cependant le temps d'apercevoir sur le fin bracelet qui orne son poignet, la gravure « Margaret »...Maggy. Celle ci, avec un sourire ravi, mordant sa lèvre inférieure déboutonne le chemisier blanc de sa belle proie découvrant les mignons petits seins aux pointes arrogantes, dressées par l'excitation, qui se soulèvent à un rythme que l'émotion précipite.


Elle recule un peu, restant à la contempler, avec un sourire ravi, secouant doucement la tête, admirative.

— Tu es vraiment d'une beauté stupéfiante, mon petit amour... !

Et pour elle-même :

— I've never seen such a wonderful pussy … !

— Oh, thank you, Madam !

Pauline lui répond dans un anglais impeccable.

— Tu parles anglais, chérie ?

—Oui, Madame, couramment, j'ai vécu deux ans en Angleterre.

—Tu es vraiment parfaite, chérie ! Je t'adore... Que tu es belle... ! Installe toi bien dans le fauteuil, jambes écartées, mon amour... Voilà, Voilà, c'est ça ! Tu es merveilleuse!

— Le fauteuil... Vous savez, je me connais, maintenant, chérie ... je vais jouir et...

— Mais j'y compte bien...l'interrompt-elle. Ne t'inquiète pas pour cela. Tu m'as appelée, chérie...Quel plaisir tu me fais!

Pauline baissant les paupières, le souffle court, se saisit de la main qui va la prendre, et la caresse, sentant un trouble et une excitation profonde s'emparer d'elle, elle l'embrasse avec dévotion. Cette femme lui fait un effet... !

Madame l'embrasse tendrement, et Pauline remarque que Madame, elle aussi, est gagnée par l'excitation, sa respiration s'est accélérée et sa voix est plus voilée. Celle-ci se penche sur elle et caresse la dentelle du haut de ses bas, effleurant la peau soyeuse du haut de ses cuisses. Pauline se tasse un peu plus dans le crapaud, écartant un peu plus ses jolies jambes, offrant son tendre con trempé de mouille au regard gourmand de Madame.

— Voilà, oui, oui... comme ça ... montre-moi ton joli petit con, oui..Ooh ! oui... ma très belle... !... comme ça... Oui !

Elle a posé ses mains sur les cuisses de Pauline et doucement, les force à s'ouvrir encore, s'extasiant, à courtes exclamations, devant la beauté de l'érotique spectacle, qui semble la transporter.

— Que tu es belle ...Mon dieu !...C'est ...ravissant...Au plein sens du terme !

Madame se tient agenouillée devant elle, entre ses jambes écartées enduisant sa main droite, son poignet et son avant-bras de lubrifiant.Elle insinue un doigt, puis deux, puis trois, écartant doucement les pétales nacrés de la douce chatte, faisant soupirer la mignonne sous la tendre caresse; ses soupirs se muent alors, en une douce plainte qui quémande davantage, et d'un mouvement du bassin elle se tend vers sa main en signe d'invite.

— Encore, mon amour ?

Pauline hoche la tête, les yeux fermés et se tend encore vers elle, en guise de réponse. Madame retire alors, sa main pour la ramener aussitôt et cette fois enfonce délicatement quatre doigts qu'elle a rassemblés et pousse davantage pour y faire entrer la paume qui bloque au niveau de la jointure de son pouce. Pauline la sent tourner sa main doucement.


— Mmmh ! Yeah ! You're good ! So soft ! So juicy !... Que tu es douce, mon amour !


Elle a parlé en anglais et sa voix trahit une tension qui va s'accroissant. Elle fait, doucement, aller et venir ses doigts, les tourne, faisant éprouver, à sa tendre victime, un plaisir qui lui fait produire de doux roulements de gorge, et des feulements salaces. Elle intensifie son mouvement, en même temps qu'elle sent son souffle s'accélérer sur le ventre et la chatte de sa belle. De sa main libre, elle caresse doucement, du bout des doigts le petit bourgeon dur de plaisir, doucement, pendant qu'elle bouge sa main droite avec lenteur dans l'adorable petit con trempé de cyprine, avec des bruits mouillés.


— Oh ! Encore... Encore... mets-moi encore ! Pauline supplie sa bourrelle, à murmures implorants


Madame retire doucement ses doigts du sanctuaire qu'elle violente, avec une tendre dévotion, et, cette fois, ayant ramené ses cinq doigts en coupe, elle les pousse doucement en avant, distendant progressivement l'entrée du vagin, Pauline sent que les doigts ont pénétré jusqu'aux jointures, et sent que la main commence de lents et doux mouvements de rotation alors que son amante la force en avant, plongeant la jolie victime dans un abîme vertigineux de sensations chaotiques.

La douleur jusqu'alors supportable, commença alors à s'intensifier, irradiant dans son ventre et le haut de ses cuisses, la faisant grimacer, mais celle-ci n'est pas exempte du plaisir qu'elle a ressenti jusqu'à présent, et geignant doucement, elle pousse encore son ventre en avant, vers la main qui la torture si délicieusement.

Madame saisit de suite et augmente la force de sa poussée imprimant des mouvements plus rapides de rotation à sa main. Son souffle est devenu rauque et il semble à Pauline, sertie dans son halo de douleur et jouissance effrénées, l'entendre grincer des dents.

Douleur et plaisir mêlés, Pauline se sent monter, monter, emportée par un tourbillon bacchique comme elle en a rarement ressenti. Elle supplie sa

maîtresse :


— Oh ! Oui !...Chérie...Continue ... Encore ! Encore ! Oui, ta main ! Oui ! Mets-la... toute !

Madame,répondit :

— Là... Oui.. ! Ooh ! Amour, attends ! Attends... tu as besoin d' un peu plus de... Attends ! Sa voix rauque et hachée et son souffle précipité disent son émotion.


Elle lui entoure la taille de son bras, la pressant contre son opulente poitrine que Pauline caresse, se penche sur la petite chatte tuméfiée et y crache sa salive à plusieurs reprises puis, elle pousse à nouveau sa main entre les lèvres noyées de sécrétions et ahanant sous l'effort, poussant, poussant encore, enserrant sa proie par la taille avec une force incroyable, tournant sa main en lents mouvements, Madame la fait pénétrer toute entière dans le fourreau vaginal, arrachant à sa proie, un cri de douleur et de volupté, qu'elle accompagne d'une exclamation de triomphe... Pauline défaillit sous le flash de sa jouissance.


— Oh, chérie, ma chérie...! que tu es douce... !Que tu es bonne !


Elle imprime à son poignet de petits coups brefs. Et la longue plainte que Pauline pousse quand sa main l'a pénétrée, se transforme en vagissement plaintif. Terrassée par la jouissance, elle se met, à éjaculer en continu, de longs jets de cyprine qui semblent ne pas pouvoir s'arrêter.


Elle sent alors un long et puissant mouvement de piston s'enfoncer dans son ventre. Avec un feulement rauque, Madame pousse maintenant son bras, soumettant sa tendre victime avec brutalité, ; Pauline hoquette sous la douleur. Elle la supplie :

—Ooh ! Chérie ! Ooh... !Tu me...! Arrête , je... !

—Oui, chérie, ma douce, mon amour ...Oui belle ! Pardonne moi, mon amour... !

En experte, elle se retire alors doucement. D'abord son avant-bras, puis son poignet puis sa main. Pauline avec une sorte de sanglot se détend. Mais c'est pour sentir le poing fermé de sa dure maîtresse cogner sur ses lèvres, les écraser, les distendre d'un seul coup, dilater l'entrée de son vagin et s'enfoncer, d'un long mouvement dans son ventre. En même temps que la douleur explose, elle est balayée par un ouragan de jouissance qui la fait hurler. Elle n'a pas le temps de retomber que déjà, le poing se retire, pour réitérer, lui arrachant à nouveau un cri. Madame répète plusieurs fois son mouvement et cela de plus en plus vite , de plus en plus fort, noyant sa douce victime dans des orgasmes à répétition.

Pauline éjacule plusieurs longs jets de cyprine et s'évanouit.


Madame est penchée sur elle et l'embrasse. Pauline est entrain d'émerger de sa torpeur... Les cheveux collés au front et aux tempes par une sueur de débauche.

Elle est épuisée.

Sa maîtresse caresse son visage, ses seins, son ventre, embrasse dévotement sa petite chatte béante et trempée de sécrétions, lui murmurant des mots tendres de gratitude.

Pauline, dodeline de la tête, renversée sur le fauteuil de luxure, mains crispées sur la chevelure de sa maîtresse, dans un geste incontrôlable, encore sous le coup des répliques de ses orgasmes.

Que s'est -il passé... ? S'est -elle évanouie ? S'est elle endormie ? Elle a l'impression de s'éveiller d'un rêve. Mais ses mains posées sur la chevelure de son amante, les bras de celle-ci, entourant sa taille, le baiser humide de ses lèvres sur sa chatte endolorie la rappellent à ce qu'elle vient de vivre. Margaret se redresse, s'assied à ses côtés dans le fauteuil, et se love contre elle.

L'enlaçant, elle l'embrasse avec passion, Pauline, subjuguée, subit la douce loi de sa terrible amante, s'offrant avec une joie candide, à cette femme qu'elle vient à peine de connaître.

— Oh ! Ma belle chérie... Je t'aime... Je suis entrain de tomber amoureuse ! Il faut que je prenne garde...tu es si...

Margaret est sincère : cette enfant l'affole de beauté et de sensualité naturelle, bouscule tous ses schémas, met en danger la construction de sa personnalité dominante, la faisant douter de la suprématie qu'elle a toujours exercée sur toute chose et tout être.

Des larmes lui viennent aux yeux, quand elle s'attarde sur le corps gracile, la délinéation des hanches, la grâce des petits seins dans leur tendre arrogance... et ce visage, aux traits d'une spiritualité qui la cloue d'admiration, cette adorable petite fée est un miracle ! Un don de mère nature !

Elle se doit de se reprendre : Margaret O'Conner ne peut se permettre de se laisser subjuguer par une petite salope, si admirablement belle soit elle !

Pourtant, quand Pauline , la regarda de ses grands yeux embués de larmes de gratitude, lui murmurant

—Merci, mon amour... !

Elle a un sanglot sec, et la serrant dans ses bras lui murmure :

—Oh ! Baby...My sweet baby... !

Elles restent ainsi un long, très long moment aux bras l'une de l'autre, ne pouvant se lasser des baisers, des caresses, et mots tendres qu'elles échangent.

Bien sûr Pauline sait pourquoi l'attirance de cette belle femme est si forte pour elle ...Tout comme avec Rachel, elle sait qu'elle est à la recherche d'un modèle qui, toute sa vie, jusque là, lui a manqué... Aussi, a t-elle décidé que tout était très bien comme ça et qu'elle gagnait bien au change.

Elle étend les bras et s'étire, jeune chatte pleine de vie, et se tournant au plus près sur Madame qui la contemple, séduite et amusée , elle entoure son cou de ses bras et l'embrasse d'un long baiser tendre. Celle-ci surprise par la spontanéité de la tendre initiative, répond bientôt à ce doux appel et c'est un long baiser passionné que les deux amantes échangent.

Pauline embrasse Margaret dans le cou lui murmurant des mots doux pendant qu'elle se laisse caresser les seins , les hanches ,le ventre, un doigt s'égarant parfois dans sa chatte encore toute humide...

— Chérie...amour...Fiste moi encore...J'ai envie que tu me le fasses…Encore, mon amour !

— Mais...Tu es insatiable, petite gourmande !

Margaret rit mais elle pense que cela risque d'irriter sa petite chatte, elle le lui fait remarquer.

— Non! Pas par là, chérie... J'adore être prise par derrière ! D'ailleurs je voulais te dire ; je me ferai prendre comme ça par ton cheval...j'adore !Prépare moi, s'il te plaît...

Et elle rit de son joli rire clair.

Margaret, ravie, lui donne un long baiser.

— Ma jolie chérie, c'est le genre de faveur que j'aurais bien du mal à te refuser ! D'ailleurs, il se trouve que c'est une bonne chose aussi pour mon business, la seule vidéo que j'aie avec une sodomie, c'est celle d'une grosse allemande qui s'est, figure-toi, très bien vendue... alors avec un beauté comme toi... ! De plus j'adore le fist anal...Viens ma chérie, je vais te préparer à recevoir ton bel étalon...mais je vais surtout me faire très plaisir !







Elle prend Pauline dans ses bras, la fait se lever et l'embrasse passionnément, la serrant sur son opulente poitrine ce qui fit soupirer d'aise la belle, lui caresse longuement les épaules, le dos et les fesses..

Puis, la tournant, lui fait faire face au fauteuil.

— Agenouille toi mon ange, jambes écartées, écarte bien ; là ,oui... ! Cambre tes jolies fesses ma chérie, montre-moi ta jolie rosette Ooh... ! Mon dieu... ! Quelle beauté ! Ooh ! Magnifique !

Elle se penche sur la mignonne bague nacrée, qu'elle embrasse avec ferveur puis se met à la lécher, avec des bruits de gorge de satisfaction, faisant soupirer d'aise, la belle Pauline, qui la prie de continuer sa douce caresse. Écartant les jolies petites fesses, Margaret y colle sa bouche et darde sa langue dans l'armille de soie, qu'elle pénètre du plus loin qu'elle peut, faisant se tordre et gémir de volupté, sa belle soumise.

Elle se redresse et saisit le tube de lubrifiant sur le guéridon marqueté qui jouxte le fauteuil. Alors que Pauline se tend, impatiente, vers l'âpre caresse qu'elle anticipe. Sa maîtresse dépose sur le bout de ses doigts une noix du liquide clair et visqueux, qu'elle étale sur la mignonne rosette, de deux doigts elle en fait pénétrer le plus plus possible dans l'étroit fourreau. Quand Pauline sent la douce caresse, d'un lascif mouvement des fesses,elle vient s'y empaler, poussant un râle de plaisir.

— Ooh... ! Que c'est bon... ! N'en mets pas trop , amour... Je veux bien te sentir... quand tu me …

D'une voix que le plaisir hache déjà, elle lui demande :

—Prends moi fort chérie ...Je veux ...que ce soit...hard.. !

Décidément, pense Madame, cette délicieuse enfant est étonnante...allant même au devant de ses désirs.

—Oui, mon amour, je comprends ma belle chérie ... je vais te donner ce que tu veux...!

Elle achève de se lubrifier la main et l'avant bras, ce qu'elle fait avec parcimonie, au vu de la demande de sa belle victime.

Alors, elle amène ses cinq doigts rassemblés en coupe, en face de la tendre rosette et entreprend de doucement les y pousser, écartant délicatement le sphincter, qui se dilate sous la pression, déjà, Pauline gémit :

— Ooh... ! Ouii ! Encore... Fort, chérie...Fort !

Margaret saisit sa proie par la taille serrant les jolies fesses sur ses seins et la maintenant avec force pousse avec vigueur sa main qui s'enfonce dans le fourreau anal de sa belle jusqu'aux jointures, la faisant rugir de volupté.

— Ooohh ! Ouii !Comme ça !! Comme ça !...Continue, chérie.. Encore... ! Encore... !

Margaret voyant que Pauline jouit, elle peut voir la cyprine goutter de sa petite chatte, s'applique à maintenir un état d'excitation qui va lui permettre d'emporter sa belle dans des orgasmes tels qu'elle n'en a jamais connu, et multipliant les légers à-coups, vrillant sa main, changeant de rythme, variant les pressions qu'elle exerce sur le petit anneau qu'elle distend, dilate et rudoie, parvient à maintenir sa belle amante dans les transes d'un orgasme qui n'en finit pas. Lorsque celui-ci baisse quelque peu d'intensité, l'experte Margaret se remet à pousser ses doigts plus fort encore et le sphincter de la belle cède, cependant, sa tortionnaire ne pousse pas sa main entièrement, dès qu'elle sent le muscle céder, elle la retire lentement, pour la repousser encore, et encore, et encore. Pauline hurle , gémit, se tord et supplie pour que sa maîtresse ne cesse pas la délicieuse torture qui la jette dans des affres de jouissances telles qu'elle n'en a jamais connues ; alors Margaret décidant de l'emporter encore plus haut, plonge enfin sa main au fond du ventre de son aimée lui arrachant un hurlement, elle réitère son mouvement, retirant cette fois, entièrement sa main du magnifique petit cul pour l'y replonger, jusqu'à l'avant-bras, grinçant des dents de jouissance, alors que Pauline se déchaîne dans une transe extatique de volupté, qui la fait hurler sans discontinuer. Pour finir, Margaret ressort, à nouveau, sa main et c'est le poing fermé, qu'elle enfonce dans l'orifice béant de sa belle, et ce à plusieurs reprises, précipitant Pauline dans un abîme cataclysmique de sensations folles, qui, lorsque Margaret retire doucement sa main du sanctuaire qu'elle vient de violer, laissent la mignonne pantelante et anéantie...


Bien plus tard, quand les deux amantes retrouvent un peu de calme et de raison après cette tempête bacchique...

— Ooh, ma chérie, j'ai adoré te fister...Tu viens de me faire passer un moment inoubliable...

— Merci , Madame, pour ce que vous m'avez fait découvrir. C'est un bonheur ! Oh ! Je vous aime ! Je me soumettrai à tous vos désirs quand vous le voudrez.

— Moi aussi, je t'aime, ma chérie. Tu es une merveilleuse petite salope !

Elle embrasse tendrement sa jolie victime, et ajoute d'un air malicieux :

— Mais pour l'instant, viens avec moi. J'ai envie de jouer à la poupée !


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13-08-2021 1 6759

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22-11-2022 14 0 936
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