Un réel désir de le voir offerte

Récit érotique écrit par mazaudier le 01-12-2024
Récit érotique lu 68 fois
Catégorie Couple

Je veux l’offrir, pourtant je l’aime vraiment et veille sur elle. Je veux qu’elle s’offre, même si je suis extrêmement jaloux. Mais en rêve, elle m’a trompé plus d’une fois.

Cela me plaît, m’excite, et j’en tire un réel plaisir.

Je lui raconte dans le moindre détail, la vision terrible qui m’assaillit régulièrement.

Elle sort de la salle de bains, simplement vêtue d’une nuisette transparente. Elle est d’une beauté à couper le souffle, et nombre d’hommes aimeraient l’avoir dans leur lit.

Elle me rejoint sur le canapé, se blottit dans mes bras.

- Chéri, racontes-moi une histoire cochonne...très cochonne...

Je lui confiais la torture que m’infligeait mon esprit pervers, car l’histoire que j’avais choisi ce soir, était torride.

Je lui racontais comment nous nous trouvions, seul couple, dans une soirée qui se déroulait dans une vaste demeure au fond des bois. Je lui disais comment le regard des hommes présents n’exprimaient que du désir. Un désir sexuel de fauves devant un antilope. Quant à moi, j’étais invisible. J’étais là, mais personne ne me voyait.

Les hommes osaient des mots, des regards pervers, alors que j’étais là.

Je te dis que cette situation m’irritait, mais tu me suppliais de poursuivre mon histoire.

Tu ris à gorge déployée à propos d’un éphèbe blond, dont la chemise ouverte, sous une veste de smoking noire, laissait apparaître un torse lisse. Je vis passer furtivement une ombre qui ne me disait rien de bon. Du coup, je te répétais mon irritation.

Tu me tournais le dos, et une de tes mains se posa sur ses reins. Je t’entendis rire.

Les hommes t’entouraient, me repoussant loin de toi. Je voulus t’attraper par l’épaule, mes doigts effleurèrent à peine ta peau. Une main fit glisser la bretelle de ta robe.

Je voulus fondre vers toi, repoussais l’intrus, mais j’en fus incapable. Je me sentais flotter. J’avais la fièvre. Une bouche se posa dans ton cou. Tu aimes ça, je le sais.

Tu laisse ta tête tomber en arrière, offrant ta gorge.

La nuée des mâles me cachait de toi, de cette ombre furtive qui passait et repassait.

J’entendis ton rire sonore, accompagnés de « Oh...Ah » de consentement.

La grappe bougea. Là, sur le parquet ciré, ta robe. Je vis à ton regard, que cette image t’avais émue. Tu souris à l’idée de te trouver nue au milieu d’un groupe affamé de sexe. Tu étais entourée de cette meute. Entre le dos des costumes sombres, et cette ombre qui tournait autour de toi, je voyais ton corps nu, perché sur des hauts talons. Ta belle croupe ondulait, une main la flatta.

Je te dis combien cette vision me faisait bander, m’excitait. Que la présence de cette ombre m’interrogeait, m’inquiétait.

La musique s’éleva...une valse.

Le cercle s’écarta, et je te vis, collée à un brun ténébreux, te mette à danser, le cercle de mâles fermait la piste de danse. L’homme, une main posée au creux de tes reins, vers lui t’attirait, collant tes seins contre son torse nu. A chaque rotation, la main descendait sur tes fesses. Il te murmurait des mots à ton oreille. Tu riais.

Tu t’écarta de lui à la fin de la danse, quand l’ombre s’interposa. Tes seins étaient dur, pointés fièrement.

Un homme te tendit une coupe de champagne. Il ne portait plus rien. Tu le remerciais d’un regard appuyé et contempla son corps d’athlète, aux pectoraux sculptés.

Un pubis lisse. Une queue raide, proportionnée, un gland bien renflé.

Tu aimas ma description de l’organe, car tu ferma les yeux et me dit de continuer. Tu avait passé une main, sous ta nuisette, entre tes cuisses, je vis que tu massais doucement ta petite chatte.

L’homme te prit la coupe vide et la jeta loin. Il t’enlaça et au son d’une nouvelle valse, vous vous lanciez dans une ronde infernale. L’homme plaquait son bas-ventre et sa queue contre toi. Tu le regardais avec envie. Tu ne faisais rien pour échapper aux attouchements de cette virilité tendue. La valse s’acheva et vos corps se séparèrent. L’homme bandait encore plus.

Alors qu’un autre cavalier te retournait pour t’enlacer, le danseur nu, se plaqua contre contre ton dos. Il embrassa ton épaule. Je vis ses deux mains venir se poser sur tes seins généreux aux bourgeons toujours saisis de plaisir. Le sexe triomphant, il se plaqua contre les fesses. Tu laissas ta tête retomber contre l’épaule de ton cavalier. Le nouveau venu observa l’étreinte, avec un sourire de carnassier, une lueur vicieuse dans les yeux. Entre tes cuisses, les doigts écartèrent le triangle de dentelle.

Stimulé par le récit et par le plaisir que tu semblais y prendre, je défis ma braguette et extirpait difficilement ma hampe raidie.

Le danseur regarda tes seins que pétrissaient des mains. Il regarda ta bouche entrouverte, les yeux brillants. Il s’approcha. Sentant ce contact, tu lanças tes mains vers la fermeture du pantalon de smoking et, fiévreusement, la défit. Quand ta main disparut dans le pantalon, je voulus m’élancer. J’étais sans force, mais ce que je voyais, me captivait.

Le Vice et la morale se livraient une bataille féroce. Le vice semblait avoir pris l’avantage, car ma queue tendue était sensible au frottement de mes habits.

Je me sentais excité.

Tu ressortis ta main tenant une nouvelle hampe, et tu l’attiras contre ton ventre. Les deux hommes se pressaient contre toi. L’homme face à toi se débarrassa de ses derniers vêtements. Vôtre trio, ivre de désir, se déplaça sans se désunir vers le buffet. Ils te couvraient de baisers passionnés, te palpaient, tu te laissais faire, tu aimais ça. Tu me regarda et me souris pendant que les deux hommes te couchaient sur la nappe blanche. Ta tête pendait dans le vide.

Son autre main passa sous ton corsage et je la vis, sous le tissu, se saisir d’un sein. Les yeux toujours clos, tu avais un sourire qui me donnait envie de tout te révéler. Tu écartas largement les cuisses et me dit de poursuivre.

L’un des danseurs se mit debout, face toi. Sans ménagement, il écarta tes cuisses. L’autre, allongé à côté toi, le sexe tendu sur son ventre, te caressait les seins en te murmurant des mots à l’oreille. Tu ondulais sur la nappe et ne fit rien pour refermer le compas de tes jambes. Les convives, alléchés par le plat, formèrent un nouveau cercle coupé par la table.

Devant toi, je vis voler des habits, des queues se tendre pour rendre hommage à ton sublime corps. A quelques centimètres de ton visage, des hommes distingués exhibaient leur virilité triomphante, et conquérantes. Tu les regardais, souriante. L’homme aspira le bout d’un sein, tu te cambra. Le second se pencha pour poser sa langue eu haut de ta fente, qu’il lécha, dévastée par le désir.

Je vis parfaitement combien ton corps aimait la situation. Ta source remplissait ton sexe. De sa main libre, il appuya sur ta tête.

Tu glissas un doigt en toi, et te mordis les lèvres. Tu eus un spasme. Tu voyais tout...tu t’y voyais. Je massais doucement ma bite, dont le gland luisait. Tu me souris…

Un gland se posa sur ta joue. Je vis parfaitement le mouvement. Tu tournas la tête, bouche ouverte, pour saisir cette queue sans visage. Ce n’était qu’une queue parmi tant d’autre, qui se tendait vers te bouche. Tu l’avalas à moitié. A genoux devant ton ventre, les mains encrés à tes hanches, l’homme donnait des coup de langues entre tes lèvres intimes détendues, qui avait renoncé à se fermer. Tes bras se lancèrent dans la grappe de corps, et tu saisis les queues qui se présentaient à toi.

L’homme couché sur le table, te lécher les seins, les aspirait. Sa main tenait une cuisse pour t’ouvrir totalement. La bite allait et venait dans ta bouche.

Tes deux mains branlaient d’autres queues. Je t’entendais gémir, je te voyais offerte, agitée de spasmes de plaisir.

L’homme agenouillé se releva. Il approcha son gland de ton sexe. Il le posa entre tes lèvres et tout doucement, avança. Je ne sais comment, je vis en gros plan, le fruit rouge ouvrir ta chatte trempée et disparaître, se faire happer. La hampe disparut à la suite. Ton cri fut étouffé par une nouvelle queue qui prit possession de ta bouche. Tu suçais avec passion. L’homme qui te baisait était planté tout au fond de ton ventre. Alors, il commença à aller et venir en toi. Tu dus sucer avec talent, car soudain, je vis un jet de semence s’étaler sur tes seins.

À l’évocation de cette éjaculation, tu glissas un deuxième doigt en toi. Tu ouvris fiévreusement ta nuisette pour me dévoiler le sein dont tu pinçais le bout.

Je te dis que j’aimais la voir jouir, t’offrir comme une chienne. Tu eus un sursaut. Allais- tu jouir ? Allais-je jouir aussi ?

La queue jouisseuse fut vite remplacer par une autre. L’homme donnait des coups de reins de plus en plus violent, regardant son calibre perforer ton ventre offert. Soudain, il se cambra, toujours planté en toi, j’assistais à ton orgasme. Il était en train de te remplir, de te saillir, de se répandre dans ton ventre. Il souillait de son plaisir, le corps de ma femme, et j’aimais ça. Malgré moi, je voulais voir.,

J’en voulais encore. Encore un, vite ! Mes vœux vicieux furent exaucés car un nouvel amant vint prendre possession de ta chatte. L’homme, au départ allongé sur la table, était maintenant à genoux. Aux premières loges, il assistait à l’orgie.

Il se caressait. C’était ma place, j’aurais dû être là. Ivre d’un désir sauvage, je franchis le cordon d’invités et me retrouvais à sa place.

En suçant une nouvelle queue, tu plongeas ton regard dans le mien. Tu me vit caresser ma queue, trahissant ainsi mon excitation.

Je regardai longuement la bite glisser en toi, puis reportais mon attention sur ta langue qui lapait un gland turgescent et coulant.

Un jet de semence jaillit et tapissa ta bouche. Gardant tes yeux fixés sur moi, tu passas ta langue sur tes lèvres et avalas le plaisir d’un inconnu. J’entendis un grognement. L’homme qui te baisait était sorti du ventre et faisait coulisser sa hampe entre tes lèvres gluantes. Il jouit abondamment sur ton ventre.

Tu commençais à onduler dans le canapé. Je savais que l’évocation de ces amants multiples, sans visage te rendait folle de désir. Mes doigts s’étaient enroulés autour de ma queue, la massait sur toute la longueur. J’étais en feu.

- Je veux te voir baiser, dis-je plus fort.

- Oui, je le veux aussi...encore, murmuras-tu.

L’ombre était toujours présente dans ce tableau irréel, rôdait comme un fantôme.

Je décide de porter l’estocade.

Soudain, l’ombre devient humaine, et apparaît sous les traits un étalon d’une rare beauté. En fait, c’est l’être que je déteste plus que tout. Tu te soulèves sur des coudes, ouvre grand les yeux.

L’homme écarte d’un revers de main, tout les fanfarons qui gravitent autour de toi. Il s’avance, guide son sexe vers ta bouche. Il te caresse la joue, cligne des yeux.

Tu as compris le message, tu ouvre ta bouche et engloutie son calibre jusqu’aux couilles. Je ne t’ai jamais vu faire une fellation aussi intense.

Il se cambre sur ses pieds, et dans râle de plaisir, se vide au fond de ta gorge. Sans un mot, tu déglutis, et avale son sperme.

Il passe devant la table, pose ses mains sur tes genoux, qu’il écarte. Il prend sa queue en main, l’approche de ta chatte. Il te regarde droit dans les yeux.

A cet instant, tu sais qu’il va te pénétrer. Tu le fixe, les yeux mi-clos, te demandant d’où sort cet extra-terrestre. Tu n’as jamais connu un étalon pareil. Il entame de légers va et vient, qui t’arrache déjà des cris de plaisir, puis te cambre en arrière, hurle un orgasme qui résonne dans la salle. Tu veux lui prendre les lèvres, au moment ou il te saisit par les hanche, et te fait pivoter sur le ventre, en levrette.

Là encore, ses bras font levier, écarte tes fesses. Après t’avoir léché la raie, il dépose son gland sur ton œillet, qui petit à petit, se dilate sous la pénétration. Tu es sur la retenue, c’est la première fois qu’un tel calibre pénètre ton petit trou. Je lis un rictus de douleur sur ton visage. Il s’estompe vite, laissant la place, à un plaisir intense. Tu poses tes mains sur tes reins pour accompagnés cette pénétration qui te rend folle. Tu perds un moment connaissance.

Quand tu ouvre les yeux, tu en face de toi, une bite monstrueuse, qui t’a déjà arraché deux puissants orgasmes. Après avoir copieusement vidé sa semence dans ta bouche, l’intrus se retire. Redevenu ombre, il disparaît dans l’obscurité.

Je sens ta respiration s’accélérer, murmure des phrases à peine audibles.

« Comme il ma baisée, sodomisée ce salaud, comme je l’ai sucé ».

Ton poignet cassé entre tes cuisses témoignait de la profondeur de ta caresse. L’autre main avait abandonné ton sein et le majeur tournait sur ton clitoris.

On allait jouir tout les deux, toi de mes mots, moi de ton aveu.

Je me répandis en flots abondants de semence qui glissait sur tes doigts crispés sur mon gland.

Tu gémis et resta immobile, blottie dans mes bras, évacuant un énorme orgasme.

- Encore, me soufflas-tu...dis lui de revenir…j’ai envie qu’il me baise encore…



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