La danse innocente qui a tout brisé.

Récit érotique écrit par mazaudier le 14-12-2024
Récit érotique lu 37 fois
Catégorie Couple

Malgré les tensions qui traversent leur couple, Laure et Sylvain décident de fêter leur dix ans de mariage. Ils pensent qu’il es temps d’agir, pour raviver la flamme. Ils décident de sortir en ville, quelque chose qu’ils n’ont pas fait depuis longtemps. Ils espèrent qu’un dîner, suivi d’une soirée dansante raviverait leur complicité. Ils ont décidé de confier leur fille à leur parents, ce qui leur laisse la liberté de ne pas surveiller l’heure.

Pour rendre le soirée spéciale, il ont réservés une table dans un restaurant chic de la ville, spécialisé dans les repas dansant. Laure a toujours aimé cette endroit. L’espoir de Sylvain est de retrouver la magie de leur jeunes années.

Laure, devant boucler un dossier urgent, dit à Sylvain qu’elle le rejoindra directement au restaurant en taxi. Au lieu de cela, c’est Austin, un nouveau employé, qui se propose de la déposer. Ils sont près proche tous les deux. Pendant le trajet, il vante ses compétences, mais surtout sa beauté. Laure sent le rouge monter aux joues. Elle est surprise de voir Austin s’arrête dans une ruelle déserte, tout près du restaurant

- Laure, murmura-t-il en s’approchant lentement d’elle, vous êtes tellement attirante.

Laure savais qu'elle devait le repousser, mais son corps décidait autrement. Leurs lèvres se rencontrèrent dans un baiser intense et passionné. Les choses ont rapidement évolués. Bientôt, ils étaient sur la banquette arrière, leurs vêtements éparpillés sur les sièges. Pendant une douce fellation, Austin caressait la chatte de Laure, excitait le clitoris. Elle voulait le traiter de salaud, mais la masse qui obstruait sa bouche l'en empêchait, tout comme répondre à l'appel téléphonique de Sylvain. Ils ont fait l'amour de manière urgente et sauvage. Laure sentait son énorme membre s’enfoncer en elle, lui arrachant de légers gémissement de plaisir avant d’atteindre un puissant orgasme.

C'était incroyable, électrisant, contrairement à tout ce qu'elle n'avais jamais vécu. L'instant quelle venait de vivre était intense, Puis la réalité l'a frappé comme un sceau d'eau froide. Qu’avais-je fait, comment ai-je pu trahir Luc comme ça. Je me suis habillée et tant bien que mal me suis repoudré le nez dans la voiture à la hâte en marmonnant des excuses. Marc a essayé de me calmer, mais suis sorti de la voiture et j'ai couru vers le restaurant. Elle aperçut Sylvain au car, mais avant de le rejoindre, elle fila aux toilettes se repoudrer le nez, et ranger sa tenue. Sylvain la reçu au bar, la serrant dans ses bras.

Le maître d’hôtel les conduit à leur table. Sylvain remarque que Laure semble un peu tendue, sans qu’il ne puisse en connaître la raison. Pour détendre l’atmosphère, il commande une bouteille de vin, ce qui semble faire son effet. Peu à peu, Laure se détend, la conversation redevint légère et naturelle comme autrefois

A la fin du dîner, Laure est impatiente de danser, ce qui avait toujours été une de leur passions. Laure suggère d’aller dans leur lieu habituel, un endroit plus intime avec un éclairage tamisé, une musique adaptée a un public plus mûr. Ce n’était pas difficile de céder, ce lieu possédant une ambiance chaleureuse, qui donnait envie de danser. Il avait toujours été synonyme d’intimité. Une fois sur place, nous avons pris une table isolée, avons commandé quelques verres, et finalement rejoint la piste de danse.

A fil de la musique, ils se sont abandonnés au rythme, retrouvant cette énergie et cette alchimie qui les avait réunis. Pendant un instant, Sylvain cru qu’ils avaient remonté le temps.

Au bout d’une heure de danse, ils ont fait une pause, et sont retournés à leur table. Laure a bu une gorgé, puis s’est excusé pour aller au toilettes.

Sylvain la regardé traverser la piste avec sa grâce habituelle, ressentant un élan de fierté, et d’intimité. Mais ses pensées ont changés, quand il a remarqué qu’il n’était pas seul à l’observer. De l’autre côté de la salle, un homme, la cinquantaine, très séduisant était assis, seul à une table dans un coin du club, les yeux fixé sur Laure. Sylvain a ressenti une légère tension dans la poitrine, lorsqu’il a cru apercevoir un léger regard entre eux.

Se connaissait-il ? Quand Laure a disparu dans les toilettes, il senti le regard de cet homme se posait sur lui, un sourire arrogant. Sylvain se dit que peu être sa partenaire était également aux toilettes, mais quelque chose dans sa façon de la regarder le mettait mal à l’aise.

Lorsque Laure revint, elle a demandé un autre verre de vin. Sylvain a hésité, ne se faisant pas à l’idée de la laisser seule, surtout avec cet homme qui rodait. Il fit signe à une serveuse pour accélérer le service. Mais les regards impatient de Laure montraient qu’elle était gênée. En lui tendant le verre, Sylvain n’arrivait pas à se débarrasser de cette sensation étrange. Jetant un œil par dessus son épaule, il vit ce même homme, toujours assis, seul. ,

- C’est qui ce type dans le coin, a demandé Sylvain d’un ton détaché.

Laure apparu momentanément surprise, et pendant une fraction de seconde, il a cru voir de la panique dans son regard, avant qu’elle ne masque rapidement un sourire calme.

- Quel type, a-t-elle répondu sur un ton léger, se retournant et reconnaissant Marc.

- Celui auquel tu a jeté un regard en allant aux toilettes, a-t-il insisté.

- Je ne vois pas de qui tu parles, dit Laure, niant et écartant la question.

Mais avant qu’il ne puisse poursuivre, l’homme en question s’est approché de leur table, passant devant lui comme s’il n’existais pas, un sourire confiant, a invité Laure à danser.

- Non merci, coupa fermement Sylvain avant qu'elle ne puisse répondre.

Son ton ne laissait pas de place à la discussion, mais au lieu de reculer, l'homme souri, fit remarquer qu’il s’adressait à la dame. Son arrogance mit le sang de Sylvain en ébullition.

- Ouais, ben il se trouve que la dame est ma femme, et que nous fêtons nôtre dixième anniversaire de mariage. Ce qui me donne le droit de décider avec qui elle danse.

Laure intervint, tentant de calmer la situation, et fit remarquer à son mari qu’il était impoli.

- Impoli, est-ce que tu connais ce type, a demandé Sylvain en se tournant vers elle. c'est de lui que je te parlais, et je n'apprécie pas qu'il aborde ma femme de cette façon. Le type a tenté d'intervenir, mais il l’a rabroué

- Je parle à ma femme, pas à toi, a lançais Sylvain sèchement, puis, se tournant à nouveau vers Laure. S'il avait eu la décence de me demander si ça me dérangeait pas, j'aurais peut-être envisagé de le laisser faire, mais là absolument pas.

Laure l'a regardé exaspéré, sa patience à bout. Elle dit à Sylvain qu’il était ridicule, allant jusqu’à lui dire qu’il ne la possédait pas, qu’elle n’était pas son esclave, qu’elle voulait juste s’amuser, et que si elle avait envie de danser avec lui, elle le ferait.

Ces mot ont frappé Sylvain comme un coup de couteau. Laure ne lui avait jamais parlé avec un tel manque de respect. Il était furieux, mais fit un effort surhumain pour garder son sang-froid.

- Laure, a-t-il dit d’une voix posée, c'est notre anniversaire de mariage, je veux que nous passions une bonne soirée tous les deux. Mais je ne vois pas comment en restant ici à te regarder danser avec un autre homme, je pourrais m'amuser, surtout après t'avoir dit ce que j'en pense. Si tu veux vraiment le faire, vas-y, mais tu peux aussi lui demander de te ramener, parce que je ne serai plus là à ton retour, c'est ici que je trace la limite.

Son visage était un mélange de défi et de frustration, mais on pouvait sentir une émotion sous-jacente qu'il ne montrait pas. Il ne comprenais pas comment elle ne pouvait voir la douleur sur son visage. Soit elle ne l'apercevait pas, soit elle s'en moquait. Elle a pris une profonde inspiration puis a dit d'un calme glaçant.

- C'est impoli de faire attendre ce monsieur, alors que nous nous disputons, je vais danser avec lui et nous réglerons ça plus tard.

Marc, l'homme à côté d'elle, toujours aussi arrogant, avait l’air satisfait. Alors qu'il tendait la main, Laure la prise, à la grande stupeur de Sylvain. Sans hésiter, ils se sont dirigés vers la piste de danse ensemble, se permettant de tenir Laure par la taille.

Sylvain les a regardé s'éloigner, jusqu'à ce qu'ils disparaissent dans la foule. Il s’est levé et sans un mot, est sorti de la boîte de nuit. Il doutais qu’ils remarqueraient son absence.

Quand Laure revint à la table, Sylvain n’y état plus.La serveuse a mentionné que Sylvain avait déjà réglé l'addition et avait quitté l’établissement..

Lorsque le téléphone de Sylvain téléphone a sonné, il était déjà à plusieurs pâté de maison, errant en voiture, sans but. La voix de Laure était aigre et irritée quand il a décroché.

- Sylvain, où diable es-tu.

- Je rentre à la maison, a-t-il répondu sèchement. Je fais ma valise.

- Qu'est-ce que tu veux dire faire ta valise, où vas-tu a-t-elle demandé pleine de confusion.

- Je n'en sais rien, a-t-il répondu, j'ai juste besoin d'espace, j'en ai assez.

- Tu n'es pas sérieux Sylvain, s'est-elle exclamé, la voie montant d'un cran, c'était juste une danse bon sang, tu vas vraiment jeter dix ans de mariage par la fenêtre pour ça ?

- Ce n'est pas juste une danse Laure, s’est-il emporté, pourquoi voudrais-tu rester marié à quelqu'un que tu ne respectes pas. Je ne t'ai pas prise en flagrant délit, mais je commence à croire que tu me trompes, peut-être même avec ce type avec qui tu viens de danser. J'ai vu la façon dont tu l'as regardé ce soir, et la façon dont il m'a regardé comme, si je n'étais rien, comme si j'étais le mari soumis d'une femme avec qui il est déjà impliqué.

La voix de Laure s'est adoucie et elle a parlé rapidement presque désespérément.

- Sylvain, je t'aime, je te respecte, je te jure qu'il n'y a rien avec cet homme, je ne connais même pas son nom. Pourquoi penses-tu que je te tromperais.

- Parce que j'ai l'impression que tu l'as déjà fait, dit-il, nous n'avons pas été intimes depuis des semaines, et quand nous l'avons été, c'était comme si tu n'étais absente. Depuis des mois tu es distante, méprisante. Si tu ne me trompes pas, tu en donnes l’impression.

Il y a eu un non silence puis elle a parlé d'une voix douce presque brisée.

- Je suis désolé Sylvain, a-t-elle dit, je ne réalisais pas à quel point je t'ai blessé, je suis

désolé pour ce soir, pour tout le reste. Je te jure, je n'ai pas de liaison, oui cet homme était séduisant, n'importe qui pourrait le voir, mais je n'ai jamais pensé à lui de cette façon. S'il te plaît, reviens me chercher.

- Non, dit-il la voix froide et résolue, je t'ai dit que si tu dansais avec lui, tu devrais trouver un autre moyen de rentrer. Dis à ton ami de te ramener, à moins que tu finisse la nuit dans son lit. Je suis déjà dans l'allée, quand tu rentreras je serais parti. Si tu as une vrai liaison avec lui, arrête de faire semblant avec moi.

- S'il te plaît Sylvain, sa voix se brisant, crois-moi je n'ai pas de liaison, j'appellerai un taxi, mais attends au moins mon retour, nous devons en parler, ne me laisse pas comme ça.

La ligne est devenue silencieuse.

Sylvain est resté un moment dans l'allée, le regard perdu dans le noir, puis prit un sac, jeta quelques vêtements à l'intérieur et quitta la maison. Il ne s’est pas attardé, tout juste dix minute, et il était parti. En descendant la rue, la curiosité l'a emporté. Il a coupé les phares, s’est garé un peu plus loin, attendant de voir si Laure tenterait de le rejoindre. Trois quart-heure plus tard, un taxi jaune s'est arrêté dans leur allée.

Elle en est sortie seule est rentrée à l'intérieur et a disparu.

C'était tout ce qu’il avait besoin de voir. Il a remis le contact et conduit jusqu'à un motel pour la nuit. Son téléphone a commencé à vibre dès qu’il a eu ma clé. Il l’a éteint, il n'avais aucune preuve concrète que Laure l'avait trompé, mais le doute ne me quittait pas. L'idée le rongeait que maintenant qu’il était parti ,elle puisse courir chercher du réconfort auprès de lui. Le lendemain, il a décidé qu’il ne pouvais plus rester avec ces incertitudes.

En feuilletant les pages jaunes, il a trouvé un détective privé et pris rendez-vous à son bureau. Il lui a raconté tout ce qu’il avait remarqué, puis lui a versé une avance pour commencer l'enquête. Il ne pouvait plus qu'attendre. De retour au travail, sa secrétaire Mégane lui a dit que Laure avait appelé une vingtaine de fois. Il lui a demandé de ne pas transférer les appels, et expliquer la situation. Il a précisé que si elle se présentait, on ne devait pas la laisser entrer. Il avait besoin de temps et d'espace pour découvrir la vérité.

La semaine suivante fut éprouvante. Sylvain reçu un appel du détective qui lui demandait de passer à son bureau. Le détective lui tendit une enveloppe., lui demandant d’aller directement au conclusion e, page cinq. Avec une boule au ventre, Sylvain s’y rendit. Au bas de la page, il lu les mots qui lui ont sauté aux yeux.

« Après une enquête approfondie, notre bureau n'a trouvé aucune preuve confirmant les soupçons du client quant à une infidélité de la part de son épouse ».

Sylvain eu l'impression que le sol se dérobait sous ses pieds, un mélange de soulagement et d'incrédulité m'a envahi. J'ai levé les yeux vers le détective.

- Vous êtes sûr, ai-je demandé la voix teintée de doute.

- Monsieur Scott, a-t-il répondu calmement, mon équipe a suivi votre femme de très près ces dernières semaines, nous avons suivi ses déplacements, ses relevés téléphoniques et bancaires. Il n'y a absolument aucun signe d'une liaison. Vos soupçons sont infondés.

Le poids de ces mots m'a submergé. J'avais envie de pleurer, de laisser sortir toute la tension accumulée mais je me suis contenu. le détective a souri gentiment.

- Rentrez chez vous, monsieur Scott, auprès de votre femme et de votre fille. Dans mon métier, les fins heureuses sont rares.

Je l'ai remercié la voix tremblante et suis sorti de son bureau. Au lieu de rentrer directement chez moi, je suis retourné au motel pour réfléchir. J’avais besoin d'un peu de temps pour assimiler tout cela avant de faire face à Laure. Le lundi matin je me suis senti prêt à téléphoner. Quand Laure a décroché, sa voix était prudente.

- Allô, c'est moi, ai-je dis doucement.

Il y a eu une courte pause avant qu'elle ne réponde la voix tremblante.

- Sylvain..Sylvain, je suis tellement désolé, je ne sais pas quoi faire si tu ne reviens pas. J’ai essayé de rester forte pour nôtre fille, mais je n'arrive pas à arrêter de pleurer je réalise à quel point je t'ai tenu pour acquis. Tu avais raison, j'aurais dû faire comprendre à cet homme que j'étais avec mon mari et que je n'étais pas intéressé. Je t'ai manqué de respect et ne sais pas pourquoi j'ai agi ainsi. Sylvain, je t'aime et je promets ne jamais refaire cette erreur. S'il te plaît donne-moi une autre chance.

Sylvain décida enfin de rentrer chez lui, ou l’attendait sa fille Clara, et son épouse Laure. Laure avait préparé un reps de retrouvaille, avec tous les mets que Sylvain aimait. Laure prit des photos pour immortaliser cette soirée.

- Oh là, dit-elle posant son téléphone...j’ai oublié d’arrêter le gaz.

Pendant qu’elle essayait de reprendre le plat, son téléphone vibra sur la table.

- Prends le message chéri, dit-elle sûre d’elle.

Un message d’Austin. Sylvain fut prit de stupeur en ouvrant le message. Une horreur. Les photos étaient prises de haut en bas, montrant une femme à genoux, tailler une pipe à un mec. La seconde représentait la même femme, la bouche ouverte, montrant le sperme stocké sur sa langue. Enfin, la troisième était un selfie. Il représentai Laure, son épouse, les lèvres souillés de semence fraîche, avec l’inconnu arrogant du club.

A ce moment là, le détective n’avait pas encore été contacter, il n’avait donc pu la suivre.

Sylvain revit la soirée, et se rappela que le taxi de Laure avait mis trois quart d’heure pour la ramener à la maison, ce qui lui laissait largement le temps de satisfaire cet homme.

Sylvain s’imaginait les images, Laure faire une fellation à son bel inconnu, puis se faire prendre en levrette ou plus dans une alcôve privée. Sylvain sentit une boule au ventre, se demandant comment elle avait pu le trahir comme çà.

Quand Laure vit Sylvain se lever table, elle comprit de suite de qui venait le message.

- Non Sylvain, laisse moi t’expliquer...ce n’est pas ce que tu crois.

Laure s’affala sur le canapé, prit son visage entre ses main. Elle compris qu’il n’y avait plus rien à faire, qu’il n’y aurait as de retour en arrière.

Deux ans sont passé. Après sa séparation, Laure n’a eu que des rencontres occasionnelles, disant qu’il était hors de question de penser sa vie sans Sylvain.

Un jour, se sentant seule, elle contacta son amie Sylvie, lui disant qu’elle avait besoin de parler. Elles se retrouvèrent dans petit café en périphérie de la ville. Laure lui expliqua ses sombres soirées, pleurant l’absence de Sylvain qu’elle avait perdu à jamais, disant qu’elle ne voulait rentrer chez elle.

- Viens t’installer à la maison, lui proposa Sylvie, mais je te préviens, j’organise une soirée entre amis.T’as le choix de te joindre à nous, ou te retirer dans ta chambre.

Après avoir remercier Sylvie Laure rentra chez elle, prépara quelques affaires.

Laure aida Sylvie à tout préparer, puis, une fois que les invités commencèrent à arrivés, Laure se retira dans sa chambre. Au bout d’un moment, Paul, le mari de Sylvie, dit qu’elle n’allait pas laisser son amie toute la soirée enfermée, et lui proposa d’aller la chercher. Quand Laure arriva, elle salua tout les invités, puis se figea sur un qu’elle ne pensait pas voir. Leur regard se croisèrent, crispés. L’homme s’approcha. Laure tenta un sourire.

- Comment vas-tu Austin, demanda timidement Laure.

- Eu...ça va, et...et toi, répondit-il la voix tremblante.

La conversation, timide au début, s’ouvrit d’avantage, au point que Austin invita Laure à danser. Aucun mot sur le passé, une discussion banale sur leur vie actuelle. Tandis que Laure débarrasse les bouteilles vides et autres assiettes en cartons, elle aperçoit Sylvie et Austin discuter, presque murmurer. Elle lui apprend que depuis leur séparation, Laure n’a eu aucune relation sérieuse avec un autre homme. C’est aussi là que Sylvie l’informe que la porte de la chambre de Laure est celle qui a la porte bleue.

Austin invite Laure à danser, la tiens par la taille, tandis qu’elle enroule ses bras autour de son cou. Que de souvenirs, penses-t-ils. A la fin du slow, Austin lui fredonne à l’oreille une chanson des années soixante. « Garde bien la dernière danse pour moi ». Laure frissonne, Austin le remarque. Il sent le passer ressurgir, celui d’une certaine danse ou Laure s’était offerte. Leur regard se défie, puis Laure lui tendit la main, comme lors de cette soirée..

Laure ne ses souvient avoir connu une nuit aussi intense et passionnée, même pour sa nuit de noce. Laure ne se doutait pas que la passion d’Austin puisse assouvir tous ses désirs. Leurs corps se retrouvèrent, brûlant les interdits jamais réalisés à ce jour. Laure jouit à plusieurs reprises, criant ses orgasmes sans retenus. Ils se réveillèrent dans un lit qui n’était pas le leur, mais qui avait été le témoin de leur passion.

Le lendemain, Sylvie et Laure se rencontre à la cuisine.

- Ne me dis pas que tu as dormis, sourit Sylvie...je ne te croirais pas. Moi non plus, mais pas pour les même raisons, j'avais les boules à mes oreilles...combien de foi ?

- Quand on aime, on compte pas, répond Laure, mais...bien cinq ou six fois, hors douche.

Après une bonne douche, Austin prend congé, saluant les deux femmes. Quand Laure monte ranger la chambre, elle découvre une rose posée sur l’oreiller, avec une carte.










J'aime 1
14-12-2024 0 37

Commentaires

Vous devez être connecté pour pouvoir insérer un commentaire !
Je me connecte ou je m'inscris

Récits / Histoires érotiques de la même categorie

Réunion entre femmes

...

17-10-2024 6 0 432

Récits / Histoires érotiques du même auteur

Voir la suite des récits erotiques écris par mazaudier

Settings