Cette histoire s’est passé lors du mariage d’ Anna, ma meilleure amie.
Dans un premier temps, j’avais rejeté l’invitation, mon mari Dany, hospitalisé suite à un accident de voiture ne pouvait y participer. Malgré tout, il avait insisté pour que j’y aille. Je lui fis remarquer en plaisantant, qu’il me faudrait trouver un cavalier sur place. Après avoir réfléchi et devant l’insistance de mon mari, j’acceptais.
Anna fut folle de joie en apprenant que j’irai, m’assurant qu’il restait une chambre de libre, et que je serais donc hébergée sur place. Ce vendredi, je pris le train qui m’emmènerait à destination. C’est au cours du trajet que j’appris que Lucas, le meilleur pote de mon mari, était l’invité de dernière heure. A part qu’il soit célibataire, je ne savais rien sur lui, je ne le connaissait pas.
Anna proposa alors de faire comme si nous étions en couple, pour éviter les questions des invités. J’en informais Dany qui éclata de rire, disant que ça le rassurait de me savoir accompagné. Il me dit de faire attention quand même, car c’est un fort dragueur, friand de femmes mariées, mais ne pensait pas qu’il ferait un sale coup à son meilleur pote.
Arrivée sur place, Anna tomba dans mes bras, puis me montra ma chambre, soulignant que c’était la seule qui lui resté, les autres invités étant hébergés à l’hôtel. Ce n’est que le lendemain, jour du mariage qu’arriva Lucas. Parmi les personnes présentent, une en particulier attirait mon attention. Je rejoignais Anna, et lui demandais qui était ce canon au bar. Elle pouffa de rire, me disant qu’elle ne le connaissait pas, que ce devait être un pote de son fiancé. Je vais me renseignais.
Anna revint dix minutes après, accompagnée de Lucas. De près, il était encore plus beau, avec un regard et un sourire à tomber.
- Je te présente Lucas, dit-elle, en fait Laura, c’est ton cavalier. Allez, je vous laisse.
Le regard de Lucas me mit mal à l’aise, et espérais que l’atmosphère se détendrait entre nous. Pendant la cérémonie, il fut un partenaire parfait. Au cours de l’apéritif et du repas, nous nous sommes rapprochés d’avantage. Des danses entrecoupaient le repas, et Lucas n’hésitait pas à jouer son rôle de cavalier.
« Fait attention, me souffla Anna, c’est un adepte de femme mariées. »
Ces paroles éveillèrent mes sens, mais faisais confiance au pote de mon mari, puis je suis une épouse fidèle, et je me vois mal faire une entorse à mon mariage. Petit à petit, l’alcool commença à prendre le dessus, et je devenais plus vulnérable.
Le DJ mis une série de danse latine, Lucas m’entraîne sur la piste, me tenant par la taille. Il commença à onduler, les bras écartés, faisant claquer ses doigts. J’étais dos à lui à me déhancher, la croupe cambrée à la hauteur de son sexe. Je sentais naître une bosse sur son pantalon. Puis il me prit par la taille, et poursuivons, serrés, nôtre danse endiablé. J’étais en transes, me retournais, me pendais à son cou, lui frôlais les lèvres. Je voyais Anna, qui devait se demandait si je n’étais pas saoule…ben non, je ne l’étais pas.
Lucas pensait tenir sa conquête mariée, devait croire qu’il m’avait conquise, séduite. Et il pouvait le penser, car je me sentais de plus en plus attirée physiquement par lui, et que j’allais faire peut-être, une énorme bêtise. Après une dernière danse, il me proposa de sortir. Je le suivis. Il alluma une cigarette, m’en proposa une, que j’acceptais, alors que ça faisait six mois que j’avais arrêté. La pleine lune brillait dans le ciel. Allait-elle être le témoin de mon premier adultère?
Toujours maintenue par la taille, il se plaça face à moi, déposa un tendre baiser sur mes lèvres humides. Je les entrouvre pour lui offrir ma langue.
Arrive la question qui tue, qui peut avoir de lourde conséquence.
– Veux-tu qu’on rentre, ou veux-t qu’on aille dans ma voiture.
C’est à ce moment que je me souvins qu’étant l’invité de dernière minute, il ne pouvais être hébergé sur place, aussi avait-il prévu de coucher dans son « Van. »
Je ne réponds pas, pense à mon mari qui n’a rien à se reprocher, que je vais peut-être tromper si j’accepte la proposition de Lucas.
Devant mon hésitation, et s’attendant à une réponse négative, Lucas se tourne, et se dirige vers l’entrée de la discothèque. Dans un dernier élan, je lui saisit la manche.
- Ou es-tu garé ?
- Dans un endroit discret, viens…
La voiture est un énorme van, garée dans un coin isolé et obscur du parking, Tout était prévu pour y entraîner une femme mariée, et la baiser, en toute discrétion. L’arrière du véhicule était immense, agencé en espace coquin. Le sol était recouvert d’un épais tapis blanc. On pouvait s’y allonger sans aucune difficulté. Ce qu’on fit.
Je remarquais au passage, l’incroyable grandeur du rétroviseur, et me dit qu’il devait servir à autres chose qu’a renvoyer l’image de la route. Tout en nous enlaçant, Lucas commençait à m’effeuillait, jusqu’à me mettre entièrement nue. Je réalisais soudain, que j’allais tromper mon mari, et me sentait coupable. Il ne méritait pas ça.
Lucas comprit mon désarroi, me dit qu’il était encore temps de tout arrêter. Je lui dis que non, que c’est ce que je voulais, je voulais qu’il me baise. On basculait sur l’épais tapis, je sentais sa queue fouetter contre mon ventre. Il ôta ses vêtements, et nous retrouvons entièrement nus, nos corps offerts à tous les plaisir de nos mains, avide de découvertes.
Lucas m’attire à lui, me prend les lèvres. Je succombe au baiser qui emprisonne ma langue. Prise dans la tourmente de ce sulfureux baiser, je m’enroule autour de lui, réponds au baiser, tandis qu’il me fait pivoter. Je fus surprise quand sa langue se mit à lécher ma chatte, ses lèvres aspirer mon clitoris. Je tirais sur l’élastique de son boxer, pour lui signifier de le quitter. Apparu alors l’objet de tous mes désirs, que je trouvais énorme dans l’obscurité de la voiture. Je fixe ce pieu, ne peut m’empêcher d’éprouver une incontestable attirance vers lui.
Mes sens, bouleversés, eurent vite raisons de mes états d’âme. Dans un faible gémissement, je décidais de m’abandonner. J’éprouvais même un certain plaisir à m’offrir ainsi. Tout à ses désirs, Lucas me força à écarter mes jambes, à m’écarteler, impudique.
Jamais, en quinze ans de mariage, mon mari ne m’avait demandé de m’exposer ainsi.
Il contemplait mon entrecuisse, ou apparaissait une fente parfaitement épilée. Les deux lèvres intimes délimitées l’entré de ma chatte, lieu des plus suaves plaisirs. Se laissant enfin tomber à genoux à même le plancher, il enfouit son visage entre mes cuisses, impudiquement offertes à ses désirs.
De ses pouces, il écarta mes grandes lèvres, découvrant les chairs luisantes de ma chatte, largement dilatées. Soudain, assoiffé de luxure, Lucas plaqua sa bouche contre ma fente, qu’il entreprit de lécher. Avec délectation, il enfonça sa langue dans la cavité, léchant avec une gourmandise avide, les parois gorgées de suc.
Tout en lapant le sublime nectar qui suintait de ma chatte, il s’ingénia à frotter son nez sur mon clitoris, qui avait jaillit de son nid douillet. Sous ces caresses incroyablement excitantes, que je n’avait connu depuis fort longtemps, je me cambrais, agrippée aux tapis. Prise d’une frénésie sexuelle, j’agitais fortement mon bassin, lançant passionnément ma chatte en fusion, à l’encontre de cette langue agile, qui me fouillait intimement. Incapable de contenir plus longtemps mon plaisir, je laissais échapper un long et puissant orgasme.
Stimulé par mes plaintes que je laissais échapper, Lucas remonta lentement, depuis la commissure de ma fente, jusqu’au haut des lèvres intimes, ou se nichait le luxueux petit bouton. Plusieurs fois, lors de son érotique léchage, sa langue vint fouetter mon clitoris érigé fièrement hors de son capuchon, m’arrachant un petit cri de plaisir. Lucas s’appliqua à me procurer un maximum de jouissance. Profitant de l’écartèlement qu’il imposait à son impudique proie, il saisit mes fesses à deux mains, les écartait l’une de l’autre. Les séparant largement, il s’ouvrit le chemin de ma chatte, y engouffra son énorme queue. Je le fis mettre sur le dos, je le chevauchais, m’empalais sur sa queue raide et dure.
Puis je me positionnait pour me faire prendre en levrette, ma position préféré, mais que je voulais tester avec une autre queue que celle de mon mari. Je guidais moi même la bite vers mes lèvres intimes. Délicatement, il avançait à coup feutrés dans ma chatte, jusqu’à s’y installer, comme un oiseau étranger qui envahirait le nid qui n’était pas le sien.
La sensation de mes seins dressés qui s’agitent sous les coups de bites incessant de Lucas, m’excite. Je sens ses mains habiles, parcourir mon corps en chaleur, épouser les plis de ma peau. Il se relève, présente sa bite au bord de mes lèvres. J’ai compris le message. J’ouvre la bouche, engloutit la queue, qui déjà éjecte sa semence au fond de ma gorge. Je le garde en bouche. Je voudrais que cette éjaculation ne s’arrête jamais, que j’en boive tout le contenu, jusqu’à ce que la source soit tarie.
Puis le bel inconnu me positionne en levrette. Je sens son gland courir sur ma fente, ouvrir ma chatte, je m’aperçois vite que ce n’est pas son objectif, quand le gland taquine mon petit trou. Je le sens se dilater sous la pression. Malgré une légère douleur, je laisse faire, n’oses lui dire que je ne me suis jamais faite sodomiser, que mon mari n’était pas demandeur de ce genre d’activité sexuelle. Lucas le compris, voulu se retirer, si je ne l’avais encouragé à poursuivre.
L’imposant calibre me pénétra lentement, m’apportant un plaisir jusqu’ici inconnu. Les yeux rivés sur le tapis, je me laisse aller à cette virile pénétration, dont les torrides assauts m’arrachent les premiers gémissement de plaisirs.
Face à moi, l’immense rétro me renvoie l’image d’une femme mariée en train de trahir son mari, mais heureuse de connaître autre chose avec un autre homme. Je sens Lucas jubiler quand j’atteins un puissant orgasme. Et il est annonciateur d’une longue série.
Lucas est un amant formidable, exceptionnel, débordant de créativité, loin des relations à la va vite de mon mari. Lucas est un créateur. Je n’ai jamais été baisé comme ça, je n’ai jamais joui comme ça. J’en suis à mon troisième orgasme, que déjà un quatrième se profile. La queue de Lucas fait son chemin, s’installe dans la chatte qui ne lui appartient pas. Ce Lucas là est un phénomène. Il fut un amant exceptionnel, au delà de toutes mes espérances. Je venais, en à peine trois heures, sortir de la routine infligée par mon mari, au point de vouloir poursuivre, et retarder l’échéance, jusqu’au petit matin.
Hélas… Je ne voulais pas être surprise sortant du « Van », les cheveux ébouriffés, les yeux cernés et la robe froissée.
Je regagnais la villa, il était six heures du matin. Je me dirigeais vers la salle de bains, ou j’y rencontrais Anna. Elle me sourit. Elle venais de passer sa nuit de noces.
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