À vingt ans, Céline était d’une beauté exceptionnelle, son corps était parfait, elle respirait une telle santé que sur cette plage de l’Atlantique en plein mois de juillet, elle attirait tous les regards des hommes, comme aussi ceux des femmes. Ses seins en particulier dont la forme arrondie se voyait parfaitement dans le décolleté très ouvert, semblait tenir le soutien-gorge haut perché plutôt que celui-ci ne les soutenait.
Elle était en lune de miel avec Simon, son mai depuis deux jours. Quand elle sortit de la chambre, on pouvait lire de la colère sur son visage, une certaine insatisfaction. Elle s’assit au bar de l’hôtel, son maillot deux pièces la moulait de façon si érotique que les deux garçons qui sortaient n’arrêtaient pas de la regarder.
- Allez, précipita Thomas, allons-y, nous allons aller plus au large aujourd’hui.
- OK, répondit Nathan, je prends la glacière et les glaçons au bar.
Curieuse, Céline s’approcha d’eux, leur demanda si elle pouvait embarquer avec eux. Tous deux se regardèrent, hésitèrent, puis acceptèrent sa demande.
Ils embarquèrent cette jeune et superbe femme dans leur dériveur, un “Zel” rond et confortable. Au large de la plage bondée, les deux garçons s’enhardirent, la présence de cette fille au corps sublime n’étant rien de moins qu’un appel violent à l’amour. Ils tentèrent de l’embrasser à tour de rôle, et elle se laissa faire, peu farouche, insatisfaite de sa première nuit de lune de miel.
Le vent était faible et l’embarcation bien stable supportait tous leurs caprices. Puis l’un des garçons caressa sa poitrine et tenta de dégrafer le haut du maillot. Elle rit et recula, puis à leur insistance, flattée de l’effet qu’elle leur faisait, elle passa les mains derrière son dos, dégrafa dans ce geste si charmant, dévoilant sa poitrine voluptueuse. Les seins nus sur les plages n’existaient pas à l’époque et la vue de ce corps dénudé laissait les garçons pantelants, les yeux écarquillés.
Un bateau qui passait manqua de les percuter, tant le barreur fut saisi par le spectacle de cette beauté sculpturale aux seins nus, hauts et fermes. Ensuite ils caressèrent sa poitrine à tour de rôle, puis les deux en même temps, et elle se laissa aller, ravie du bonheur des garçons à ce contact presque innocent. Ils lui réclamèrent ensuite son slip, qu’elle se décida encore à enlever après s’être fait un peu plus prier. L’apparition de sa fente épilée et de ses fesses blanches de la trace du maillot les excita follement. Elle tenait les jambes serrées, mais à leur insistance, elle accepta de les écarter, dévoilant son fine duvet dorée, et la tache rose de sa chatte. Elle finit par s’allonger en travers du bateau, offerte au soleil, au vent et au regard des garçons, qui la dévoraient des yeux, ce qui la touchait et faisait monter en elle une excitation trouble, faisant mouiller sa chatte.
Finalement l’un des garçons ne put se contrôler davantage et sortit sa bite qui tendait le maillot. Il commença à se masturber devant elle, excité par ses formes généreuses. L’autre suivit le mouvement, et bientôt elle les vit tous deux au dessus d’elle, empoignant leur engin, décalottant le gland pour le recouvrir aussitôt dans un mouvement de plus en plus rapide. Le premier céda et jouit en longues giclées qui allèrent jusqu’à son ventre et le filet de poils blond. Il se rassit, reprenant la barre, momentanément apaisé.
Céline se tourna vers Nathan et, repoussant sa main, se mit à lui caresser les couilles elle-même, présentant ses seins à la queue qu’elle agitait lentement. Le garçon se retint, tandis que Thomas, extasié, observait la fine main aller et venir sur le gland et les seins se balancer en cadence. Il se mit à les caresser et en rouler les bouts par derrière, tandis qu’elle continuait la masturbation de son camarade. Le bateau allait dans tous les sens mais peu leur importait. Nathan qu’elle branlait saisit sa main pour l’écarter doucement et approcha son sexe glissant et toujours tendu vers son visage, lui faisant comprendre clairement ce qu’il voulait. Elle approcha ses lèvres et embrassa le gland qui se présentait à elle. Elle passa sa langue sur la peau découverte et le happa ensuite délicatement au fond de sa bouche. Elle commença à le sucer par un lent mouvement de va-et-vient, prenant soin à ne pas le toucher de ses dents malgré le tangage et le roulis. Il sentit le plaisir monter et lui prit le visage dans les mains pour bien la voir au moment où il éjaculerait dans sa bouche. Le sperme jaillit et, docilement, elle s’en emplit le palais et les joues pour l’avaler au fur à mesure de ses soubresauts. Nathan se retira d’elle et embrassa ses lèvres humides avant de s’asseoir, satisfait à son tour.
Elle reprit sa place allongée et les deux garçons entreprirent alors de la faire jouir. Tandis que l’un l’embrassait et caressait ses seins, l’autre se plaçait entre ses jambes et lui lécha la chatte, aspirant le clitoris durcit par le désir. Elle sentit le plaisir monter et se tordit en longs spasmes dans son orgasme. Il reprit la caresse et trois fois de suite elle jouit ainsi longtemps, dents serrées et lèvres closes, haletant et suffoquant sous la montée du plaisir. Les orgasmes successifs la laissaient non pas calmée et aspirant au repos, mais plus excitée encore, contrairement à ses partenaires.
Elle se tourna vers eux cherchant leurs sexes pour assouvir son désir. Elle demanda à Thomas de s’allonger, le chevaucha et s’empala sur sa queue. Nathan compris ce qu’elle attendait d’eux. Il s’accroupit derrière elle, taquinant le petit trou ainsi offert. Ils étaient de nouveau eux-mêmes excités et lui offrirent la double pénétration dont Céline désirait. La encore, les cris de plaisir filaient sur les vagues. Quand ils se séparèrent, elle prit chaque quuee dans une main et entreprit de les caresser en même temps. Elle regardait avec gourmandise cette double virilité qui emplissait ses paumes et lui donnait l’hommage du désir masculin et de sa propre beauté qui le provoquait.
Elle aimait à voir les glands gonflés et sa main recouvrir la peau luisante et tendre, toute glissante de leurs émissions. Finalement, n’y tenant plus elle se mit à quatre pattes au dessus du banc central et du puits de dérive, tendant sa croupe et son sexe ouvert à celui qui en voudrait. Nathan s’agenouilla derrière elle et s’introduisit sans peine dans la chatte offerte. Elle eut un soupir d’extase quand elle sentit le membre la pénétrer et commencer son mouvement de va-et-vient jusqu’au fond de son corps. Le garçon fit durer le plaisir et entreprit une longue et lente pénétration, savourant la possession de la femme. Thomas se plaça à genoux devant elle et présenta son calibre à la hauteur de sa tête qu’elle redressa pour le saisir avec délectation entre ses lèvres. Il s’enfonça en elle jusqu’au bout de sa gorge et la laissa agir ensuite au mieux de sa propre jouissance égoïste. Elle pompa jusqu’à provoquer une seconde éjaculation et recevoir les jets du liquide chaud au fond de son palais. En même temps celui qui la possédait lui saisit les hanches et dans un long gémissement, vida ses couilles dans sa chatte. Envahie de sperme des deux côtés à la fois, elle se laissa aller à un terrible orgasme diffus qui la portait à la crête d’un plaisir léger et insaisissable comme du champagne.
Épuisés, satisfaits, ils reprirent le contrôle du bateau tout en remettant leurs maillots, pour regagner la plage qu’ils abordèrent, eux d’un air triomphant, et elle avec celui d’une femme comblée, sûre d’elle et de son pouvoir sur les hommes.
Arrivée au port, Simon attendait son épouse au bar de l’hôtel, le visage décomposé.
- Que t’arrive-t-il mon chéri, se demandant s’il avait remarqué quelque chose.
- J’ai une mauvaise nouvelle, je dois m’absenter deux jours pour un dossier important.
- C’est pas grave mon amour, on a toute la vie devant nous, je peux attendre deux jours.
Ces deux jours furent sulfureux. Entre escapade en mer en dériveur, et nuit passée dans sa propre chambre d’hôtel, Céline s’offrit sans retenu. Fellation gustative, levrette, sodomie, double pénétration, toue la panoplie revisitée, y passa.
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