Je suis de retour en famille pour le weekend

Récit érotique écrit le 17-01-2009
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Catégorie Partouzes-Orgies


Je suis de retour en famille pour le week-end. À cette occasion, nous avons, Franck, Nicolas, et moi, prévu de manger ensemble ce vendredi soir. Il y a bien deux mois que nous ne nous sommes pas vus. Ce sont deux très bons copains de lycée. À l'époque, nous étions tout le temps fourrés ensemble. Ils me faisaient gentiment la cours depuis toujours.

Nous sommes en plein été, et la chaleur de cette soirée me fait opter pour une robe légère et courte. Elle est munie de deux fines bretelles et d’un décolleté avantageux... Avec un sourire, je renonce aux sous-vêtements et n’ajoute à ma tenue sexy qu’une paire d’escarpins à talons aiguilles. Un maquillage un peu appuyé me rend, en toute modestie, plutôt séduisante. J’avoue que j’entretiens, avec un certain plaisir, le petit jeu de séduction qui persiste entre nous.

À dix-neuf heures, je sonne chez Franck. Nicolas, qui m’a devancé, m’ouvre la porte. Il me prend dans ses bras pour me faire la bise, dont une, comme d’habitude, effleure la commissure de mes lèvres. Franck, fait de même.

Ils me font asseoir, au milieu du canapé et viennent s’installer autour de moi. L’apéritif est l’occasion de nous raconter notre actualité… travail, amours… Je retrouve avec plaisir leurs regards pétillants lorsque leurs yeux rencontrent les miens… Lorsqu’ils s’attardent sur mes genoux, sur mes seins…

L’alcool faisant, nous recommençons à rire comme les lycéens que nous avons été, il y a quelques années. Franck m’invite à danser, ce que j’accepte sans hésitation. Nicolas le relaye pour un slow…Ses mains dans mon dos descendent très vite sur ma taille, puis mes hanches… Je l’invite, sans grande conviction, à les remonter un peu…Mais il vient de s’apercevoir de ma fantaisie du jour et me glisse à l’oreille «tu es nue sous ta robe, toi…». Mon rire est sa seule réponse. Bien sûr, il s’empresse de faire part de sa découverte à Franck, ce qui l’émoustille manifestement un peu plus…

Nous reprenons nos places sur le canapé. Assise aussi bas, mes talons aidant, ma robe m’arrive péniblement à mi-cuisse. Franck reparle en riant du désir qu’ils ont toujours eu de moi. Tout en continuant son propos, il pose sa main sur mon épaule. Puis, devant l’absence de réaction de ma part, se met à me caresser doucement.

Je lui réponds que c’est sans doute mieux comme ça. Qu’il n’est peut-être pas très raisonnable qu’il y ait quoi que ce soit de plus entre nous. Je pense alors que, pourtant, l’idée m’est déjà venue. C’est vrai, ils sont charmants, intelligents, drôles… Tout pour plaire… Mais je ne me vois pas sortir avec l’un plutôt que l’autre… Les deux ? J’avoue que ça me fait peur. Je ne m’imagine pas franchir ce pas…À ce moment, Nicolas pose le bout de ses doigts sur ma hanche. Là non plus, je ne réagis pas. Il me répète, en souriant, qu’ils ne souhaitent pas plus que de faire l’amour « en copain ». Tout en parlant, il fait glisser sa main sur mon ventre. Je me rends compte qu’en même temps, la main de Franck a quitté mon épaule et se trouve maintenant sur le coté de mon sein.

- « Vous voulez vraiment me sauter, hein ? »

Je crois qu’ils sont un peu décontenancés par ma question, et par l’amusement qu’elle me procure.

Ma bretelle est tombée sur mon épaule et mon sein droit, partiellement dénudé, reçoit les caresses légères de Franck.

- « Tu en a envie aussi… Tu ne vas pas résister longtemps, tu vas voir… » dit-il

La main de Nicolas posée sur mon pubis me fait tressaillir. Je me dégage de leur étreinte, me lève, et remets ma bretelle en place.

- « Et bien moi, je vais préparer le repas… Déshabillez-vous si vous y tenez ! »

Persuadée que je viens, par cette réplique amusée, de les « refroidir » instantanément, je prends la direction de la cuisine, m’apercevant à l’instant que je suis complètement trempée, et réellement surexcitée.

Je m’emploie à réchauffer ce que Franck a préparé. Devant la table, tournant le dos à la porte, je ne fais qu’entendre les garçons entrer dans la pièce. Je ris, mais n’ose me retourner. Ils sont peut-être capables de m’avoir écoutée. Je sens des mains se poser sur ma taille.

- « Tu y arrives ? »

C’est la voix de Nicolas.

Je ne peux y croire… Gardant ses mains en place, il s’approche de moi. Je sens, en bas de mon dos, au travers du fin tissu de ma robe, son pénis dur manifestement libéré de toutes contraintes vestimentaires. Je plonge ma tête entre mes mains, amusée et effrayée à la fois.

Restant de dos, je tends les bras derrière moi. Mes mains tombent sur ses hanches nues… Mes craintes étaient justifiées… Je me retourne alors.

Ils sont là tous les deux, nus, face à moi. Leurs membres gonflés et tendus. Appuyée sur le rebord de la table, je secoue la tête pour leur signifier ma consternation. Comment cette soirée va elle finir?

Nicolas ne me laisse pas beaucoup de temps pour y réfléchir. Il prend mon visage entre ses mains et m’embrasse avec gourmandise. J’essaye de le repousser doucement. Mais sa bouche reste contre la mienne. Je ferme les yeux. Franck, en un instant, fait jaillir mon sein de ma robe et le pétrit sans grand ménagement. Je m’appuie des deux mains sur le plan de travail, résistant en vain à la pression de mes deux copains. Presque assise, mes pieds ne touchent plus le sol que de la pointe. Tout en m’embrassant, Nicolas remonte tranquillement ma robe. Il parvient à se glisser entre mes jambes et avance lentement. Franck pousse doucement sur mes épaules pour m’amener à m’étendre sur le dos.

Je tente une nouvelle fois de m’échapper. Ils me retiennent avec plus de force. Je suis maintenant étendue, jambes pendantes, sur la table. Nicolas, entre mes cuisses, caresse mon bas-ventre d’une main. De l’autre, il a empoigné son membre raide et le frotte contre mon minou humide. Franck me caresse les seins, le visage, les épaules, tout en maintenant doucement mes mains au dessus de ma tête. Le temps semble suspendu, les deux garçons me regardent en souriant, tendrement. Je ne sais plus si j’ai peur, si j’ai envie…

D’un seul coup, Nicolas s’enfonce en moi. Sans une hésitation, ni sans autres préliminaire. Il est gros. Je le sens m’envahir, pousser dans mon ventre. Je ne peux m’empêcher de crier. Je relève, par réflexe, mes jambes, les serrant autour de lui. Il se met à aller et venir lentement, profondément. Je referme les yeux.

Dans mes lèvres entrouvertes, Franck vient glisser son dard qu’il tient fermement. Je le laisse entrer et me referme sur lui. Il guide le mouvement en posant une main sur ma tête. Il est chaud et doux. Les lents mouvements de sa queue dans ma bouche le font entrer en moi de plus en plus profondément.

J’aime ce qu’ils me font. Nicolas accélère. Je gémis. Mon abdomen commence à manifester d’étranges sensations.

Je m’accroche fermement à la table, laissant mes deux amis m’utiliser à leur guise. Ce sentiment, inconnu jusqu’à présent, de femme passive, objet de leurs plaisirs et de leurs jeux, me ravie au plus haut point.

Frank sort de bouche et dit à Nicolas : « Tu me la prêtes ? »

Nicolas se retire de moi. Je tente de me relever un peu… À ma grande surprise, Frank m’aide à me mettre debout. Il me sourit. Je ne peux m’empêcher de lui chuchoter « prend moi aussi… »

Pour seule réponse, il me retourne fermement et me plaque sur la table. Dans cette position, il ne se prive pas de caresser mes fesses, passant sa main sous ma robe. D’un pied, glissé entre les miens, il écarte mes jambes.

Se collant derrière moi, il caresse ma chatte avec son gland. Il presse doucement, et s’enfonce en moi. À son tour, il me travaille pendant que son complice profite de ma bouche.

Cette position m’a toujours procurée beaucoup de bien. Je le sens taper très profond en moi. Des frissons parcourent mon corps. Mes jambes me portent difficilement. Il me tient par le bassin et cogne de plus en plus vite. Mon ventre irradie terriblement. J’ai chaud, très chaud. Mes cheveux volent devant mon visage, collant parfois à mes lèvres. Il m’est de plus en plus difficile de me consacrer au sexe qui va et vient dans ma bouche. Mes seins, écrasés sur la table, font résonner mon cœur qui bat de plus en plus vite. Soudainement, comme cela m’arrive parfois lorsque le plaisir et l’excitation sont au rendez-vous, un flot de liquide se répand dans mon vagin, puis coule le long de mes cuisses. Mes gémissements sont devenus de véritables cris. J’ai toujours été plutôt expressive.

Frank se met à gémir avec une puissance savoureuse. Je le laisse paisiblement se vider en moi, sentant sa chaleur m’envahir, tout en suçant Nicolas avec une attention redoublée. Les derniers coups de queue que m’administre Frank sont accompagnés de râles qui me semblent être presque douloureux. Je l’observe un instant, derrière moi, sans cesser de masturber le pénis que j’ai entre les mains.

Frank me sourit. Nicolas me caresse les cheveux, gémissant doucement. Avant d’avoir le temps de le reprendre dans ma bouche, il jouit entre mes mains, giclant son sperme sur ma joue, dans mes cheveux. Malgré ma surprise, je continue à le masturber. Le sperme jaillit, une foi encore. Effleurant mon nez, son foutre se répand sur mon front et entre mes yeux. J’achève de le vider avec ma bouche, patiemment.

Quelques instants ont passées. Ils se retirent de moi. Je tente de me relever, titubant un peu en redescendant ma robe. Nous faisons, ensembles, quelques pas pour rejoindre le canapé. Nous nous y installons, les uns contre les autres, entre ravissement et épuisement.

Dans les bras de mes hommes, gentiment caressée, je laisse Franck essuyer, avec douceur, mon masque de sperme.

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17-01-2009 1 13305

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