Malgré notre jeune âge nous formions déjà un vieu

Récit érotique écrit le 17-02-2008
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Catégorie Partouzes-Orgies


Malgré notre jeune âge, nous formions déjà un vieux couple. Nous nous fréquentions depuis nos quinze ans et vivions ensemble depuis trois bonnes années. Il faut avouer que notre vie sexuelle était des plus paisible, voire ennuyeuse. Nous ne faisions plus l’amour que toutes lumières éteintes, sans aucune fantaisie…

Depuis la fin de nos études, tu t’absentais souvent pour le travail, me laissant seule avec mes fantasmes. J’en avais d’ailleurs une multitude qui se bousculait dans ma tête. Plus encore depuis que j’avais moi-même un emploi. Un ami de ton père m’avait embauché en qualité de secrétaire de direction. C’était un homme bien plus âgé que moi, il aurait facilement pu être mon père, mais il me faisait beaucoup d’effet. Pas franchement beau, il disposait pourtant d’un charisme incroyable. Pour lui, j’avais considérablement changé. Moi qui étais plutôt adepte de la tenue garçonne, je me voyais partir pour le bureau, maquillée, en petite robe ou en jupe dont la longueur tendait à diminuer de jour en jour. J’avais même appris à porter de hauts talons qui semblaient te plaire tout autant qu’à lui. Je te sentais souvent plus excité qu’à l’accoutumé, sans pour autant que nos ébats soient plus torrides. Comme si le fantasme te suffisait à lui seul. Mon patron ne cachait pas l’intérêt croissant qu’il me portait, et je ne fus pas surprise lorsqu’un jour, te sachant de nouveau en voyage d’affaire, il me proposa de dîner ensemble. Il me précisa qu’il s’agissait d’un repas entre amis, qui, sans ma présence, aurait été des plus ennuyeux.

Sans doute beaucoup trop enthousiaste, je m’empressais d’accepter son offre. Il sourit et me précisa que l’ensemble des convives étaient des hommes de son âge. Cela ne me gênait-il pas ? Devant ma réponse négative, il ajouta : « …des hommes de mon âge, un peu… coquins ! ils apprécieront très certainement votre présence… ». Devant mon air amusé, il m’avoua que son statut de « vieux » célibataire, amoureux des femmes, le poussait souvent à fréquenter les milieux libertins, auxquels appartenait la majorité de ces invités ce soir-là. Toute chamboulée par ce curieux contexte, je maintenais mon accord en m’efforçant de ne pas afficher une trop grande excitation. Il fut convenu qu’il viendrait me chercher le soir même à la maison.

J’eu bien des difficultés à terminer ma journée de travail tant mon cerveau bouillonnait. De retour chez nous, je me précipitais sous la douche, bien résolue à mettre à profit les deux heures qui me restaient afin d’être la plus sexy et la plus attirante possible. Je me donnais bonne conscience, me répétant à l’envi qu’il ne s ‘agissait que d’un jeu qui m’aurait permis de me sentir désirable et désirée toute une soirée par quelques hommes mûrs… Un petit plaisir sans conséquence… Ils n’allaient tout de même pas me violer, non ? Plongée dans ces réflexions sous le jet d’eau chaude qui ruisselait sur moi, je me sentais de plus en plus émoustillée. Le miroir qui me faisait face me renvoya mon image, et mes yeux s’attardèrent sur la petite touffe de poils noirs tout au bas de mon ventre. Sans réfléchir plus longtemps, j’empoignais un rasoir et il ne me fallut que quelques minutes pour en raser l’intégralité. C’était la première fois que je faisais ce genre de chose, et j’avoue que le contact avec mon minou lisse et doux m’excita terriblement. J’étais impatiente de savoir ce que tu en penserais. Sortie de la douche, j’optais, après quelques hésitations, pour une jolie petite robe noire à fines bretelles et au décolleté avantageux. Elle m’arrivait péniblement à mi-cuisses. Montée sur de hauts talons, maquillée avec un peu d’excès, les cheveux détachés, je me trouvais franchement séduisante. Emportée par je ne sais quel élan de coquinerie, je me dispensais du moindre sous vêtement.

Dix-neuf heures. Il frappe à la porte. Mes efforts ne me déçoivent pas lorsque j’entrouvre la porte. Son sourire et son regard en disent long sur l’effet de ma nouvelle apparence. Nous montons dans sa voiture. En cours de route, il me tend avec un large sourire, un petit paquet cadeau. Sans savoir que lui dire, j’ouvre la petite boîte. Un bijou, très certainement. Une petite enveloppe l’accompagne. Il me fait promettre de ne pas lire le petit mot avant la fin de soirée. Je promets. La boîte, elle, contient bien un bijou. C’est un bracelet de cheville. Très joli. Une bouffée d’audace me fait me pencher vers lui. Je dépose un baiser sur sa joue. « Mettez-le » Je m’exécute, ravie. Il me précise que, pour certains, un bracelet à la cheville souligne l’asservissement. Puis, après un silence, ajoute qu’il me suffira, si je ne suis pas à l’aise ce soir, de le retirer pour que tout s’arrête. Il comprendrait. Nous sommes arrivés chez lui, et sur ces paroles un peu énigmatiques, nous descendons de la voiture.

Ses invités semblent être tous déjà présents, et notre arrivée fait sensation. De toute part, les compliments fusent. Je suis la seule femme au milieu de ces huit hommes. Après quelques instants de présentation, et après m’avoir débarrassé de mon manteau, nous nous installons au salon pour un apéritif. Tous les regards sont tournés vers moi. Tous ces yeux me détaillent de la tête aux pieds. Je regrette un instant ma présence, si courte vêtue. Un immense canapé en boomerang et quelques fauteuils autour d’une table basse nous accueillent. Assise si près du sol, avec mes talons hauts, j’ai l’impression d’exhiber mon entrejambe à tous. Curieusement, ça ne me déplaît pas. Chacun reste extrêmement correct et prévenant. Me voilà un peu plus à l’aise. Au cours de la discussion, j’aperçois mon patron, le regard plongé entre mes cuisses. Aucun doute possible au vu de nos positions respectives, c’est ma fente qu’il regarde avec un certain émerveillement. Je me sens frissonner à l’idée qu’il me sait sans la moindre culotte. Pour qui doit-il me prendre ? Je resserre un peu mes jambes.

Nous passons à table. Là encore, malgré les regards attentifs, aucun geste ou propos déplacés à mon endroit. Si ce n’est la main de mon chef qui frôle mon épaule alors que je l’aide à desservir. A la fin du repas, nous nous dirigeons de nouveau au salon. Je ressens une curieuse impression, celle d’être le dessert qui n’a plus longtemps à attendre avant d’être dévoré. Il est encore face à moi. Baissant les yeux en croisant son regard, je me rends compte que mes mamelons pointent joliment au travers ma robe. J’entrouvre un peu les cuisses sans oser lever les yeux vers lui. Les quelques verres bus ce soir m’aident un peu à vaincre ma réserve naturelle. Dans un mouvement discret, je remonte légèrement ma robe. Il ne peut pas ne pas avoir maintenant une vue imprenable sur mon intimité. Je ne me reconnais pas. Me voilà partagée entre l’envie de disparaître de ces lieux, et le désir d’être touchée par ces hommes. Caressée par toutes ces mains. Je reviens à la réalité. La discussion suit son cours. Ils parlent du travail, des femmes...

L’homme qui est à ma gauche souligne la chance qu’ils ont de m’avoir avec eux ce soir tout en passant un bras affectueux autour de moi. Sa grande main douce et chaude se pose sur mon épaule nue. Je me sens si frêle et si fragile sous son bras que, comme un réflexe d’aise, je pose ma tête doucement contre lui. Je comprends aussitôt que, montrant si peu de résistance, je viens de donner bien involontairement le signal. La main de l’homme qui est à ma droite posée sur mon genou me le confirme. Il ne va pas trop vite. Ses doigts se promènent légèrement sur le dessus de ma cuisse, sans qu’il se permette davantage. Les autres observent. Le silence est maintenant complet. L’homme qui m’enserre de son bras vient poser son autre main sous mon menton et guide doucement mon visage vers les siens. Je ferme les yeux, intimidés. Ses lèvres sont douces, son baiser tendre. Je laisse sa langue explorer ma bouche.

Ce ne sont plus quelques doigts, mais toute une main qui caresse maintenant mes jambes et s’aventure de plus en plus haut entre mes cuisses. L’un d’entre eux à certainement fait le tour du canapé puisque je sens, derrière moi, deux mains se poser sur mes épaules, les caressant délicatement. Relâchant son étreinte, ma bouche se sépare de l’homme qui m’embrassait. Je reprends mon souffle un bref instant. Puis l’homme dont la main parcours mes cuisses m’embrasse à son tour. Plus gourmand et plus brutal. J’aime. Sa main quitte mes jambes et vient se plaquer sans ménagement sur mon sein qu’il commence à pétrir avec vigueur. L’homme qui me caressait les épaules fait glisser les bretelles de ma robe sur mes épaules. Puis s’attardant sur ma gorge, il laisse glisser ses mains dénudant le haut de mes seins. J’entrouvre à peine les yeux. Tout le monde nous regarde, silencieusement, avec une grande attention. Mon premier assaillant vient déposer sa main sur mes jambes, parcours l’intérieur de mes cuisses assez largement offertes. Je referme les yeux. L’homme qui fouille ma bouche caresse maintenant à pleines mains un sein complètement nu. Rompant le silence, je m’entends prononcer, au milieu de quelques soupirs, des paroles inhabituelles dans ma bouche : « Parle-moi…. Parle moi comme à une pute… » .

La main posée sur mes cuisses arrive enfin sur ma chatte. Les doigts glissent le long de ma fente toute douce et largement humidifiée par tant d’excitation. Le contact avec mon clitoris électrise tout mon corps. Je laisse échapper un petit cri. « Tu aimes ça, hein ? Tu te promènes souvent sans culotte ? » Gémissante, je parviens à articuler un « non » à peut près audible. « Alors, reprend-il, tu voulais vraiment te faire baiser ce soir ? » Je m’apprête à répondre par la négative, mais alors que deux bouches sucent maintenant mes seins, ses doigts frôlent de nouveau mon clitoris provoquant une décharge encore plus intense. C’est un « oui » franc qui sort de ma gorge mêlé d’un cri plus fort encore. « Et bien tu vas être contente, petite salope… on va te baiser, tous…. » Ces paroles, quasi ordurières, m’emplirent comme une puissante potion aphrodisiaque. Le doigt qui entra en moi la seconde suivante suffit à me faire jouir aussitôt. Les hommes accrochés à mes mamelons se reculèrent un peu, et la petite assemblée me regarda avec délectation chavirer bruyamment, emportée par les spasmes du plaisir pendant que ces doigts savants s’agitaient encore en moi. Je revins lentement parmi eux, ouvrant enfin les yeux sur leurs visages ravis.

Un instant après, l’homme à ma droite me débarrassa complètement de ma robe, qui, il est vrai, ne cachait plus grand chose. Certains d’entre eux s’étaient débarrassés de leurs chemises. On m’aidât à me relever. J’obtempérais passivement. J’étais maintenant debout, juchée sur mes talons, entièrement nue au milieu d’eux. Plusieurs s’étaient également levés, et se tenaient près de moi. Des mains me parcouraient de toute part. Une main glissée entre mes jambes me fit les écarter instinctivement. C’était celle d’un des hommes qui ne m’avait pas encore touchée. Il me fouillait maintenant avec ses doigts. Prenant appui sur le torse nu d’un d’entre eux, je laissais cette main m’explorer par derrière, les jambes largement ouvertes. L’homme sur lequel je m’appuyais déboutonna son pantalon, et, baissant la tête, je le vis sortir sa queue longue et gonflée. « Prends- moi dans ta bouche… »

Je profitais des doigts qui venaient de sortir de ma chatte pour m’accroupir devant lui. Je n’étais pas très adepte de la pipe, et je ne te faisais que rarement ce plaisir. Le visage à quelques centimètres de ce membre dressé, je l’empoignais assez maladroitement. Saisissant mes cheveux fermement, il mit fin prématurément à mes hésitations. Son pénis entra dans ma bouche sans ménagement. Je fus surprise par la douceur et la chaleur que je ressentis à son contact. Je commençais à le sucer doucement, mais due bientôt céder à la cadence qu’il imposait, par sa prise solide, à ma tête toute entière. Je l’entendis bientôt faire part à ses amis de mes qualités de suceuse. Des mains me caressaient encore et toujours. Ouvrant les yeux, j’apercevais des hommes entièrement nus eux aussi. Il sortit de ma bouche et une autre queue se présenta à moi. Je l’engouffrais tout en essayant de branler la première. Puis ils se glissèrent à deux dans ma bouche. Mes lèvres étaient démesurément ouvertes. Leurs mains pressaient sur ma tête pour que je les prennent plus profond encore. L’un d’eux en sortit et me dit « Tu n’avale pas d’habitude, hein ? » . C’était exact, mais comment l’avait-il deviné ? Je te suçais parfois, mais je finissais toujours par te branler pour que tu jouisses. Il poursuivit « Mon ami que tu suces va jouir dans ta bouche… et tu avaleras tout, jusqu'à la dernière goûte… ».

Emplie par cette queue qui entrait désormais en moi jusqu’au fond de la gorge, la tête maintenue par ses mains, je ne pus répondre et me contentais d’un regard plus ou moins désespéré… J’avais toujours redouté de devoir faire ça… L’homme que je pompais gémissait de plus en plus. Mes lèvres enserrant sa queue allaient et venaient sur sa tige. Ma langue s’attardait sur son gland puis ma bouche le reprenait tout entier. Je me rendis compte que mes mains le tenaient fermement par les hanches, alors que lui tenait sa bite d’une main assurée. Les autres avaient cessé de me caresser et nous regardaient. Ils attendaient en spectateurs avertis. Il me repoussa doucement de quelques centimètres, me laissant à genoux devant lui. Appuyant sur mon front, il me fit basculer lentement la tête en arrière.

Ma bouche s’entrouvrit. « Ouvre la bien grande… encore… ». Il se branlait doucement et installa sa bite à quelques centimètres de ma bouche. Un râle puissant retentit de sa gorge avant qu’une décharge de sperme jaillisse entre mes lèvres, puis une autre. Sa semence envahit ma bouche, chaude et onctueuse. « Avale. ». Dans une grimace, j’obéissais. La sensation fut agréable. Très agréable même. Alors que j’avais un peu refermer la bouche, un dernier petit filet de son sperme échoua sur mes lèvres rouges à l’excès. Je me sentais chienne comme jamais. Débarrassant mes lèvres de ce dernier cadeau d’un coup de langue, je sentis deux hommes me relever. « Alors, tu aimes qu’on se vide dans ta bouche, petite pute ? ».

Puis, sans me laisser le temps de répondre, ils me firent asseoir sur la grande table basse du salon. Leurs mains pressant sur mes épaules, j’y fus bientôt allongée. Mon patron se posta près de mes pieds qui reposaient encore au sol. Posant ses mains sur mes genoux, il me dit « Tu vas avoir le droit à ma queue en premier… » Puis m’écarta les jambes d’un seul coup. Saisissant mes chevilles, il remonta mes jambes sur moi et m’ordonna de les maintenir ainsi. Je restais donc sur le dos, cuisses écartées et la chatte offertes à celui qui se tenait debout face à moi, le dard dressé. Sa bite était grosse et longue. Plus que ce que je n’avais jamais vu. Il attendait, me regardait…. Il savourait cet instant. « Prenez- moi… » dis-je, terriblement excitée. « Tu veux que je te baise, petite salope… » Il s’installa entre mes cuisses « T’es une vraie petite pute… » Il prit sa bite en main et la frotta contre ma chatte. « Tu te vois, là, ma chérie… Maquillée comme une pétasse… la bouche pleine de sperme… » Je réalisais que le goût de son ami emplissait encore largement ma bouche… Lui continuait à m’exciter en me caressant avec son gland tout en me traitant de tous les noms « Toi, la jolie jeune femme que tu es, allongée là, à n’attendre qu’une chose, qu’on te remplisse la chatte… » Et il entra un peu en moi. « Caresse toi les seins… » J’obéissais… Il vint un peu plus profond… Je gémissais…. « Ouvre les yeux » ordonna t’il. « Que tu me vois te baiser… »

Il s’enfonça presque entièrement. Ma bouche s’ouvrit largement, mais le pénis qui s’y enfonça étouffa les cris qui en sortaient. Il vint complètement. Sa bite envahissait tout mon ventre. Cette autre bite occupait ma bouche. Deux hommes tenaient mes chevilles bien au-dessus de moi afin que je demeure bien offerte. Je voyais mes pieds chaussés de ces hauts talons comparables à ceux des actrices porno. Il commença à aller et venir en moi, doucement d’abord, puis plus vite, plus fort. Mes seins ballottaient au rythme de ces coups de boutoir. Je me sentais au bord de la jouissance. Deux queues occupaient maintenant ma bouche alternativement. Je ne pus m’empêcher de commencer à me caresser le clitoris pendant qu’il me prenait. Mes caresses furent très vite efficaces et je me laissais emporter par un orgasme démesuré. J’hurlais littéralement. Un flot de liquide jaillit de ma chatte. Abondant et chaud. Les hommes que je suçais, sans doute excités par ma jouissance, ne purent se retenir un instant de plus. Ils éjaculèrent à quelques secondes d’intervalle dans ma bouche et sur mon visage. Mon patron continuait à me travailler puissamment. Une seconde après, un autre homme pris place entre mes jambes. Il me pénétra d’un seul coup. Je me laissais baiser docilement, le visage et les cheveux pleins de leur semence.

Il s’interrompit. Et mon boss me dit « Lève-toi mon petit ange… » La douceur de ses paroles contrastait curieusement avec le reste de ses propos. Je me retrouvais debout, essuyais un peu mon visage, avant de découvrir un de ces hommes allongé sur le dos, chibre dressé, au milieu de la table. « Viens t’empaler sur ma queue » m’ordonna-t’il. Je montais debout sur la table et m’accroupissais lentement. « Tu es obéissante » me dit l’un d’eux. Sa bite entra en moi, et sans me laisser de répit, il se mit à me faire subir ses va-et-vient vigoureux. À califourchon sur son membre, je sentis des mains me pétrir de toute part. Alors qu’une autre queue s’était glissée entre mes lèvres, d’autres doigts virent me caresser les fesses. Puis la main se leva et retomba brutalement sur mon cul. Je laissais échapper un petit cri. Elle me caressa, puis frappa de nouveau. J’adorais ça ! Enfin, ces doigts finirent par s’attarder sur mon anus. Doucement, ils massaient mon petit trou. Puis un doigt s’y enfonça, avec une facilité qui me surprit moi-même. Je savais cependant trop bien ce qu’ils projetaient de faire. Effrayée, je me redressais d’un coup pour couper court à cette entreprise. Une main se plaqua en haut de mon dos, pour m’empêcher de bouger. L’homme que je chevauchais me prit par les cheveux pour me ramener vers lui. « Bouge pas, petite salope…ce ne serait pas complet si on t’enculait pas aussi… »

J’en avais toujours eut peur et jamais nous ne l’avions fait ensemble. Un instant, j’envisageais de tout arrêter. Puis un deuxième doigt se glissa entre mes fesses. Sans être encore agréable, ce n’était pas douloureux. Un homme se placa derrière moi sans que je puisse le voir. Je sentis un gel froid couler entre mes fesses. Tout en me maintenant couchée sur l’homme qui me prenait la chatte, et qui avait cessé de bouger, des doigts étalèrent le lubrifiant, et s’enfoncèrent en moi. Je sentais sa bite tendue contre mes fesses. Puis son gland vint presser contre mon anus. Doucement, puis plus fort. Il entra un peu. Se retira et entra de nouveau. Il procéda si doucement que je fus presque surprise de comprendre qu’il était au fond de moi. Ils se mirent à bouger ensemble. Ce fut comme un coup de tonnerre. Je me sentais comblée, envahit toute entière. Mon clitoris frottait impeccablement bien le pubis de l’homme sur lequel j’étais. Si bien que je sentais une tension incroyable irradier dans tout mon corps depuis le bas de mon ventre. L’homme qui me sodomisait se retira pour laisser la place à un autre. Ils avaient bien fait les choses en m’offrant au début celui au sexe le plus modeste. C’est mon patron qui se plaça derrière moi. Je connaissais sa queue et commençais à frémir. J’eu l’impression de sentir chaque millimètre de sa bite entrer en moi. Ils se mirent à aller et venir ensemble. Entre bonheur et larmes, les mains appuyées sur le torse de mon partenaire, mes yeux tombèrent sur la bague que tu m’avais offerte, il y a quelques années. « Tu aimes te faire enculer, ma salope ? » Pleine de culpabilité, je remuais la tête pour lui dire non… il insista « Dis moi que tu aimes, dis nous de te baiser plus fort… » et proche de l’orgasme je m’entendis lui dire « encule-moi comme une pute… » Ces seules paroles achevèrent de me faire jouir encore une fois. Mes tympans répercutant les battements rapides de mon cœur, j’entendis à peine les cris de mes amants. Je sentis, presque en même temps, le jet puissant de leur sperme s’écouler en moi.

Ils se retirèrent après quelques instants, me laissant à quatre pattes sur la table, presque tétanisée. « Tu vas me vider aussi » dit un de ces messieurs qui m’empoigna par la taille et, me tenant fermement, m’administra de magistraux coups de queue, m’obligeant à me coucher à demi sur le meuble bas, tout en conservant la croupe offerte à ses assauts. Il ne mit que quelques minutes à jouir dans ma chatte.

Après quelques baisers et compliments, ils me laissèrent me rhabiller. Avant d’être raccompagnée par mon chef, les deux seuls hommes que je n’avais pas fait jouir se firent un plaisir de le faire. Ils s’approchèrent de moi alors que, assise sur un fauteuil, je me remettais doucement de mes émotions, entourés par ces courtisans d’un soir dont j’avais été le plus parfait objet. Ils me firent les sucer doucement et terminèrent de se branler de manière à souiller ma robe de la façon la plus visible qui soit. Sans que je sache pourquoi, ils m’interdirent de me nettoyer.

Devant la maison, après les remerciement d’usage, je descendis de la voiture. Baissant sa vitre, mon patron me rappela d’ouvrir l’enveloppe qu’il m’avait remis. Je fis quelques pas pour rejoindre la lumière de notre entrée. Je sentais leurs liquides chauds couler entre mes jambes, dans mon coup… La vitre renvoyait mon image. Celle d’une jeune femme à la robe toute tachée, légèrement échevelée, ruisselante de sperme.

Sur la carte était écrit « J’espère que le bracelet t’a fait plaisir… et le reste aussi… Je ne suis pas en voyage, je t’attends derrière cette porte… Merci pour ce beau cadeau… Je t’aime »

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17-02-2008 0 12620

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