Après avoir tourné un long moment dans des rues désertes, nous nous étions renseignés dans le seul bistrot ouvert : un boui-boui particulièrement minable. Afin d’être polis, nous y avions pris deux consommations. La clientèle était à l’image des lieux : quelques ivrognes locaux, cultivant leurs cirrhoses respective à grand renforts de bière et de pastis..Pas très reluisant ! Au comptoir, entre un jeune aux cheveux long et gras , en marcel douteux, et un quinquagénaire en survêtements Adidas, je remarquais pourtant une belle jeune fille, qui me lança un bref regard…
Le renseignement obtenus, avec mon collègue, nous allâmes manger, fort convenablement d’ailleurs ! Puis, seul, je retournais boire un verre ou deux dans cet improbable bistrot, histoire, en fait , d’être seul un moment ; Je ne nourrissais aucun espoir en particulier : en règle générale, une jolie fille dans un boui-boui de cet acabit ne peut s’y trouver que pour certaines raisons :soit elle est(la pauvre) amoureuse d’un habitué, cas dans lequel elle ne cherche pas vraiment à s’alcooliser, soit elle cherche à se saouler ,peut être pour oublier une déception et le bar en question n’est que celui qui est le plus proche de chez elle !Dans le cas présent, elle buvait u coca…Pas de quoi nourrir un fol espoir !
Elle s’y trouvait toujours, toujours encadrée par ces deux blaireaux…et de surcroit, elle s’obstinait à ma tourner le dos !
Je commandais un verre de mon poison favoris, puis un autre : j’allais sans nul doute dormir seul, autans faire en sorte de m’endormir facilement, pas vrai ?
Mon signal d’alarme personnel ne réagis pas quand, comme je le sus plus tard, elle sortit à plusieurs reprises dans le but de fumer une cigarette (et, en réalité, de reluquer mes fesses, que j’ai assez regardable ainsi que me l’on dit un certain nombre de filles).
La conversation au comptoir roulait, comme une sotte, sur tout et n’importe quoi ; ainsi qu’il est de coutume dans ce genre d’endroit, jusqu’au moment ou cette superbe nana se tourna vers moi pour me gratifier d’un énorme sourire, m’attirant de la sorte un regard noir de l’affreux en marcel jadis blanc qui la collait niaisement. J’étais ferré !
Le bar se vida, nous n’étions plus que deux, le patron, à l’aspect jaunâtre de pousse-mégot cyanosé exprimant mollement le désir de fermer son estaminet crasseux, nous nous retrouvâmes dans la rue. J’émis, sans grand espoir je l’admets, l’idée de boire encore quelques verre, mais ma compagne m’informas que tout les débits de boisson était à cette heure là, fermé : pas de chance !
Tentant le tout pour le tout, j’évoquais (mais je n’en croyais mot) la possibilité d’un éventuel minibar dans ma chambre d’hôtel, ce qu’elle accepta illico .Quelques minutes plus tard, je devais, O hypocrisie, m’excuser : pas le moindre mini bar !
Elle s’assit sur le lit et je tentais ma chance, lui caressant le dos ; elle se laissait gentiment faire, la mutine, et elle se penchât pour m’embrasser.
Rapidement, elle me débarrassât de mon polo : au moins, elle savait ce qu’elle voulait, et ôtât prestement son chemisier, dévoilant dans des balconnets de dentelle noire, une jolis poitrine, pas vraiment volumineuse mais tes ferme .J’embrassais, gobais deux mamelons rose tendre, qui s’érigèrent immédiatement. Prenant ces seins en main, je l’embrassais dans le cou, ce qui la fit gémir.je m’attardais longuement sur ses seins, en triturant doucement les pointes, qui durcissaient à vue d’œil .Puis, je lui ôtais son pantalon : découvrant un string de dentelle assortit au soutien-gorge. Tombant à genoux (nous nous étions levés pour faire tomber le pantalon), j’embrassais sa chatte au travers du tissu. A ce moment, ses jambes se mirent à trembler ; ce qui était chez elle, comme elle me le précisât ensuite, le signe d’un orgasme !
Elle avait les hanches larges, un cul rond du genre généreux. Je retirais ce dernier obstacle de dentelle et la repoussait doucement sur le lit, en profitant pour finir de me dévêtir, et je m’allongeais entre ses jambe : elle avait une chatte dodue et rasée, juste fendue. Je fis descendre ma langue le long de l’aine et embrassais le haut de cette tendre blessure, provoquant une ondulation de tout son corps. Enfin, je plongeais ma langue en elle, allant le plus loin possible, puis je fis tourner ma langue sur son clitoris, mes mains faisant le tour de ses cuisses pour tirer sur la peau de son ventre afin de l’ouvrir mieux.
Après avoir obtenus un orgasme, je restais dans la même position mais la pénétrais d’un doigt, le faisant aller et venir, cherchant la petite zone grenue qui se trouve vers le ventre, à plus ou moins deux centimètres de l’entrée, zone sur laquelle je m’attardais longtemps en exécutant de petits cercles concentrique. J’aventurais un autre doigt entre ses fesses, découvrant avec surprise un petit trou particulièrement souple : elle avait bel et bien l’air d’apprécier la sodomie !
Je remontais enfin pour l’embrasser, prenant au passage ses genoux dans le creux de mes coude, posait mon gland sur son clitoris pour l’y frotter longuement, et la pénétrais d’une seule et longue poussée. Elle se mit à l’unisson de mes ondulations et jouis dans un grand cri, tous ses muscles tremblaient. Je restais immobile un moment, attendant qu’elle redescende, puis posait mon gland sur sa petite rondelle, restant dans la même position qui me permettait de guetter ses réactions .D’un léger signe de tète, elle acquiesçât .Une première poussée fit entrer mon gland, une pose, une seconde poussée et j’était au fond. J’entamais un lent va et viens, la sodomisant aussi délicatement que possible, mais elle imposât un rythme effréné, contractant ses muscle anaux afin de me traire littéralement la bite. Elle eu un orgasme frénétique et je jouis à longs jets.
Je m’écroulais sur le dos, avec ce sentiment typiquement masculin du devoir accomplis, et, pourquoi le cacher, l’espoir de me reposer un peu ; mais elle ne l’entendait pas de cette oreille : se mettant à quatre pattes à coté de moi, elle entreprit de ranimer ma vigueur en me suçant voluptueusement. J’aventurais une main entre ses cuisses et lui caressais la chatte tandis qu’elle s’activait. Relevant un court instant la tête, elle grognât : »je veux que tu jouisses entre mes seins » ; résultat qu’elle obtint au bout d’un moment assez long, tans il est connus que le deuxième orgasme est plus lent à venir chez un homme. L’important est qu’au moment au je crachais ma semence entre ses seins, elle jouit encore !
Je vous passe le reste de la nuit, nous fîmes encore l’amour huit fois, ce qui est vraiment très inhabituel pour moi, ayant passé la quarantaine et donc l’âge des exploits sportif ; le matin venus, elle me suçât une dernière fois avant de me quitter.
Lors du petit déjeuner, mon photographe et amis faisait la gueule :nos ébats l’avait maintenus éveillé toute la nuit, et il avait dus se rabattre sur une chaine de télévision payante…..
Depuis cet épisode, nous avons longuement correspondu par mail…et nos nous revoyons demain soir. Peut être vous raconterais je la suite ?
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