Ma première sodomie

Récit érotique écrit par le camionneur le 13-01-2010
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Catégorie Gay

C'est en classe de CE2 que j'ai eu ma première expérience. Dans une pissotière publique, un camarade de classe, noua autour de mon zizi, une nervure de fuille de marronier. Il m'avait demandé de la garder jusqu'au lendemain pour lui prouver que je l'aimais. Même avec le recul, je pense qu'il s'est agi plus d'un jeu que de pulsion sexuelle. D'ailleurs, il n'y a pas eu de suite, si ce n'est n'est la formidable raclée administrée par ma mère, suite à mes aveux. Je faisais encore pipi au lit et ma mère me lavait le matin au réveil. Ma famille ayant déménagé dans le sud, je n'est jamais revu le gars. Plus rien ne se passa, jusqu'en CM2. Dans les années 60, on portait des culottes courtes pour aller à l'école. Les salles de classes étaieny composées de pupîtres à deux places. Quand j'ai entendu la chanson de Serge Lama: "Les amitiés particulières", je me suis tout de suite reconnu. Nous étions seize enfants dans la famille et mon père, je l'ai su plus tard, entretenait des relations extra-conjugales. A la maison, il n'y avait assez d'argent que pour le strict nécessaire. Les habits se passaient de l'un à l'autre. Ne parlons pas de jouets ou de cadeaux d'anniversaire. Qui plus est, les maîtresses de mon père devaient lui coûter cher. Mon camarade de pupître, d'origine espagnole, était obnubilé par la blancheur de ma peau et mes innombrables taches de rousseur. Il posait fréquemment sa main sur mes cuisses. Ca me mettait mal à l'aise. Il avait remarqué que mon regard était bizarrement brillant quand il sortait un jouet. Garçon intelligent, il a vite compris que ces jouets pouvaient devenir un moyen de corruption. Le premier de ces jouets, lui permirent de caresser mes cuisses ostensiblement. Ca ne lui suffit pas.

A chaque jouet supplémentaire, il voulait aller plus tard. Une fois même, pour faire rire ses copains, il sortit carrément mon zizi du pantalon. J'ai été disputé par la maîtresse. Un jour où on jouait au ballon prisonnier, mon camarade de pupître baissa son pantalon et son slip et me montra ses fesses. Après la partie, il m'entaîna au dernier étage d'une tour de la cité, lieu censé être à l'abri des regards. Il remontra ses fesses et demanda à voir les miennes. Les jouets lui permirent bientôt de les toucher. J'avais encore deux frères plus jeunes que moi. Ils étaient toujours fourrés dans mes pattes. Mon camarade de pupître flanqué de ses copains m'incitaient à me débarrasser d'eux. Ce jour là, nous étions quatre. Nous courrions pour échapper à mes frères, quand j'eu une idée. Le grand hall de l'immeuble, comportait, outre les deux grandes portes d'entrée et celles des ascenseurs, une immense batterie de boîtes à lettres derrière laquelle une ouverture sombre donnait sur les caves. Depuis longtemps, mes frères et moi avions peur d'y entrer. C'était tellement noir. Suivi de mes trois complices, nous nous engouffrâmes dans le couloir sombre. Nous nous arrêtâmes à sur un petit espace formé par le croisement de deux couloirs. Là, les trois compères me demandèrent à nouveau de montrer mes fesses. On a fini par tous jouer à touche pipi. Sauf que mon camarade de pupître, sortant de son cartable un magnifique camion de pompier, m'a demandé de tout enlever. C'est ainsi que j'ai subi ma première sodomie.


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13-01-2010 0 27938

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