Rencontres libertines,
Par une belle journée d’été, mon téléphone sonne. C’est Steve, le patron d’une boîte de travestis qui m’appelle.
- Allo Sandra, j’ai quatre nouvelles filles qui t’attendent au club.
- Merci d’avoir pensé à moi, j’arrive le plus vite possible, lui dis-je en raccrochant.
Je suis heureuse de son coup de fil, car il me fait faire toujours d’intéressantes rencontres.
Dans ces étreintes sans lendemain, je peux vivre mes fantasmes les plus intimes avec l’unique but de prendre et de donner du plaisir.
C’est avec une certaine excitation que je m’assois devant la coiffeuse pour me maquiller
Quel plaisir ce moment consacré au seul bonheur de se faire belle !
J’agrafe avec fébrilité ma guêpière en plaçant avec soin mes prothèses en silicone dans mes bonnets 105/C.
Je glisse sur mes hanches une adorable culotte ouverte qui me laisse prête à faire l’amour en toute circonstance.
Je contemple avec émotion cette dentelle qui me rend si féminine…
Puis, j’enfile mes bas en éprouvant un plaisir indéfinissable à caresser ces fibres synthétiques qui m’enflamment les sens.
Je fais quelques pas dans ma chambre en frottant mes cuisses l’une contre l’autre pour entendre crisser le nylon de mes bas.
Sortant d’un tiroir un préservatif féminin, je m’allonge sur le lit pour le placer dans mon fourreau.
Je le pose avec soin en déployant la corolle en latex autour de ma rosette.
Cette protection est magique, car je peux la laisser en place toute la journée.
Devant ma coiffeuse, je mets mes faux cils et me coiffe d’une perruque blonde coupée au carré.
Puis, je tire mon sexe vers l’arrière en le fixant avec un adhésif.
Dans la glace, je ne vois plus qu’un fin triangle de gazon soigneusement épilé avec juste en dessous un pli vertical qui évoque la naissance de ma chatte.
Satisfaite du résultat, j’agrafe à ma taille une jupe marron à volants très courte, que j’assortis à un corsage plus clair.
Puis, je m’entraîne à mémoriser devant le miroir les poses et attitudes qui affirment ma féminité.
Les fesses et la poitrine bien cambrées, je me transforme peu à peu mentalement et physiquement en fille crédible et attirante.
Présentant une journée éprouvante, j’avale un verre d’eau et un comprimé de viagra avant de partir.
Enfin prête, je quitte mon appartement.
Je descends l’escalier en sentant l’excitante tension de mes bas sur mes cuisses.
Dans la rue, je soutiens avec aplomb le regard des hommes qui me dévisagent.
Arrivée à leur hauteur, je n’hésite pas à en amplifier mon déhanchement engendré par le port de mes talons aiguilles.
Par cette belle journée ensoleillée, mon corsage ouvert attire l’attention sur mes seins volumineux et lourds.
Je prends un malin plaisir à faire virevolter ma jupe en découvrant mes cuisses à chacun de mes pas.
Un vent chaud s’engouffre dessous qui me fait ressentir des sensations très féminines.
Je martèle le trottoir avec mes talons aiguilles pour attirer l’attention.
L’idée me vient d’exciter les mâles qui m’entourent et je m’arrête devant une vitrine pour ajuster mes jarretelles.
Je vois à leurs regards qui se reflètent dans les vitres qu’ils me désirent vraiment et cela me donne de délicieux frissons dans le creux des reins.
Les femmes plus clairvoyantes, devinent ma double identité et me considèrent d’emblée comme une dangereuse rivale.
Je leur adresse alors mon plus beau sourire pour leur montrer que je ne suis pas indifférente à leur charme.
Déstabilisées, elles ne savent plus alors quelle attitude adoptée.
J’arrive au club et c’est Steve qui m’ouvre la porte.
- Tu es très excitante dans cette tenue, me dit-t-il en glissant sournoisement sa main sous ma jupe.
- Sois sage, je m’occuperai de toi plus tard, lui dis-je d’un regard prometteur.
Ignorant ma réponse, il m’entraîne dans son bureau sans que je puisse résister.
La porte à peine refermée, je le vois sortir sa queue de son pantalon.
- Mets toi sur le divan lui dis-je en sachant qu’il va me falloir répondre à son désir.
- Laisse moi m’occuper de toi Steve car je n’ai pas beaucoup de temps à te donner.
Je m’approche lentement de lui en marchant le ventre légèrement poussé en avant.
J’amplifie volontairement ce mouvement sensuel accentué par le port de mes talons aiguilles qui ne le laisse pas insensible.
Avant qu’il puisse réagir, je le renverse sur le dos en me mettant à califourchon sur lui.
Puis, je retrousse ma jupe en le laissant contempler ma guêpière et mes bas ornés de jarretières pendant que je le masturbe frénétiquement.
Le voyant trembler de désir, j’entrouvre ma culotte ouverte en m’empalant à fond sur son sexe.
Mes puissants coups de reins ne tardent pas à le faire gémir de plaisir.
Je le chevauche sans m’arrêter en déployant tout mon savoir faire pour l’achever rapidement.
Steve finit par jouir dans une succession de spasmes.
Un peu frustrée, je me relève en m’essuyant l’intérieur des cuisses et en remettant de l’ordre dans ma tenue.
C’est donc avec une certaine pointe d’excitation dans la voix que je demande à Steve de
M’envoyer sa première protégée dans la chambre « chevalier d’éon »
Puis, le laissant récupérer, je monte l’escalier quatre à quatre.
J’ai à peine le temps de m’allonger sur le lit que Betty apparaît dans l’embrasure de la porte.
C’est une charmante blonde visiblement débutante et timide qui reste figée sur place.
Elle porte une nuisette transparente.
Un collant moule son sexe en la rendant provocante malgré elle.
Je remarque son maquillage excessif et son rouge à lèvres peu discret qui témoignent de son manque d’expérience.
C’est donc avec amusement que je me décide à jouer le rôle d’initiatrice dans cette rencontre.
- Approche toi, lui dis-je en me déshabillant rapidement.
J’ouvre mon corsage en lui dévoilant mes seins comprimés dans ma guêpière pendant qu’elle s’avance d’un pas hésitant.
J’ai le temps d’enlever ma jupe avant qu’elle n’atteigne mon lit en ne gardant que ma guêpière, ma culotte ouverte et mes bas.
Lui ayant retiré son panty, je la mets en confiance en frottant lentement son gland contre le nylon de mes bas
Puis, je caresse sa queue et ses bourses en sentant la douceur de sa peau satinée sous mes doigts.
Je n’ai bientôt pas assez de mes deux mains pour contenir cette queue épilée qui se durcit et se dresse devant mes yeux.
Betty gémit de plaisir quand je commence à la masturber sur des rythmes différents.
Elle se met à trembler de désir et je vois sa hampe se gorger de sang.
Lorsque quelques gouttes de sève perlent à la surface de son gland, je sais qu’elle ne résistera plus longtemps.
Aussi, je lui chuchote à l’oreille :
- Viens ma chérie avant qu’il ne soit trop tard.
Ecartant les dentelles de ma culotte, je lui montre mon anneau qui palpite d’impatience.
Betty s’agite fébrilement en essayant de résister à ses pulsions.
- Prends moi maintenant, lui dis-je d’une voix chaude en l’encourageant du regard.
Aiguillonnée par mes paroles, elle se jette sur moi comme un chien fou et j’ai à peine le temps de saisir son sexe pour le guider dans ma grotte.
Elle me baise avec fougue sur un rythme effréné.
Très vite ses gémissements m’annoncent l’imminence de son orgasme.
Je cambre les reins pour m’empaler à fond sur son dard en emprisonnant sa taille dans l’étau de mes cuisses.
- Jouis maintenant ma chérie, lui dis-je en la maintenant fermement.
Elle se tétanise, le corps en arc de cercle quand je lui enfonce mon majeur dans l’anus.
Puis, elle explose en m’inondant la chatte de toute la sève de ses vingt ans.
Je presse longuement son périnée et sa queue pour extraire ses dernières gouttes de semence avant de la mettre sur le dos pour la prendre à mon tour.
Ravie de mon initiative, elle contemple ma queue en pleine érection dressée contre ma guêpière.
Sans un mot, elle écarte les cuisses et ébauche un timide sourire pour m’encourager à passer à l’action.
Lorsque je force son passage, je me rends compte qu’elle est étroite.
Aussi, je m’enfonce lentement jusqu’à la racine de mon sexe.
Puis, je reste un instant immobile pour qu’elle s’habitue au diamètre de ma verge avant de commencer à coulisser en elle.
Au bout de quelques minutes de va et vient, j’entends à sa respiration haletante qu’elle prend visiblement son pied.
Ma queue étant fortement serrée dans son fourreau virginal, je ne tarde pas à exploser en elle.
Lorsque je me retire, elle éponge d’un air étonné le flot de sperme qui ruisselle de sa croupe en coulant sur ses cuisses.
- C’était ta première expérience Betty ?
- Oui, j’attendais ce moment avec impatience tout en le redoutant, me répond-t-elle
- J’aimerai te revoir si tu le souhaites, lui dis-je.
- Je t’apprendrai à te maquiller, à choisir ta lingerie en t’initiant à d’autres jeux.
C’est avec joie qu’elle accepte ma proposition en se lovant contre moi.
Je la câline un moment avant de lui demander de partir.
A peine rhabillée, je vois entrer Claudia, une superbe rousse transsexuelle.
Elle porte un corset rouge et noir et des cuissardes assorties qui m’indiquent clairement ses penchants de dominatrice.
Elle se dirige droit sur moi d’un pas assuré.
Je rentre dans son jeu en rabattant craintivement ma jupe sur mes cuisses comme pour me protéger.
- N’aie pas peur, je ne te veux que du bien ma belle, me dit-t-elle en sortant une queue massive de son string brésilien.
Elle me laisse contempler son gland épais qui est pour moi le gage d’un orgasme assuré.
Puis, elle glisse ses deux mains sous ma jupe en me troussant sans retenue.
Ne voulant pas lui céder trop vite, je fais tout pour ralentir sa progression.
Stimulée par ma résistance, Claudia devient plus entreprenante.
Quelques instants plus tard, ses caresses insistantes finissent par me déclencher une érection spectaculaire et je laisse ses doigts s’engouffrer dans la fente de mon slip.
Surprise par la taille de mon clito, elle me dit :
- On dirait que je te fais de l’effet ma chérie.
Se rendant compte de son emprise sur moi, elle rajoute d’une voix autoritaire :
- Allonge toi sur le ventre.
Ses doigts inquisiteurs glissent le long de mon sillon en s’immobilisant sur ma corolle en latex.
- Retire cela immédiatement, me dit-t-elle d’un ton sans réplique.
- C’est un préservatif spécial que j’ai mis pour te donner davantage de plaisir, lui dis-je en l’implorant du regard.
La voyant hésiter, je la masturbe pour la faire fléchir.
- Tu peux le garder, finit-t-elle par me répondre.
Puis, se plaçant entre mes cuisses, elle appuie son gland turgescent contre ma rosette.
- Pousse dés que je commence à t’enfiler ma chérie, me dit-t-elle avec une pointe d’excitation dans la voix.
Je lui obéis en ouvrant mon anneau à cette queue qui s’impatiente à l’entrée de mes reins.
Sous la violence de l’assaut mes sphincters finissent par céder et absorbent d’un coup son dard impressionnant.
Après une brève douleur, mon désir monte crescendo quand cette queue me fouille les entrailles sous tous les angles.
Son gland massif me dilate les chairs et pilonne ma glande d’amour avec une précision diabolique.
A chaque fois qu’elle se rue en moi, j’entends le claquement excitant de son bassin sur mes fesses tout en sentant ses bourses me fouetter les cuisses.
Dans le silence de la chambre, je perçois aussi les bruits de succion provoqués par le port de mon préservatif féminin.
Pendant qu’elle s’active en moi, une pensée surréaliste me vient à l’esprit.
J’imagine qu’en mettant bout à bout les milliers de va et vient qui m’ont labouré le ventre, j’ai du prendre des kilomètres de queues dans les fesses…
Les gémissements de Claudia balayent ma pensée.
Elle jouit la première en m’inondant de puissantes giclées de foutre.
L’ayant en mon pouvoir, je contracte fortement mes muscles intimes pour finir de la vider.
Les yeux mi clos, elle me laisse lui pomper ses dernières forces.
Puis, elle se rhabille sans dire un mot et sort de ma chambre en me laissant dans un état d’excitation intense.
Heureusement, deux ensorcelantes brunettes lui succèdent dans l’encadrement de la porte.
Natacha et Sabrina portent la même adorable guêpière gris perle ornée de dentelle rose.
Je les regarde s’approcher de moi, toujours tenaillée par le désir.
Elles sont très féminines avec leurs jambes interminables et leurs cuisses fuselées.
Les yeux rivés sur mon sexe en érection, elles me demandent de réaliser un de leur fantasme.
Les sens mis en ébullition par Claudia, j’accepte leur proposition et commence à les masturber jusqu’à ce que leurs clitos atteignent une taille respectable.
- Couche toi sur le lit, dis-je à Natacha qui est la première à me montrer son désir.
Lui tournant le dos, je m’accroupis sur elle en m’empalant sur son sexe.
Puis, j’interpelle Sabrina en lui lançant un regard provocant :
- Viens me prendre à ton tour ma chérie,
Fascinée par le sexe de Natacha qui va et vient en moi, elle reste un moment immobile avant de prendre place entre mes cuisses.
Faisant preuve d’initiative, elle a l’idée géniale de m’embrocher en me suçant la queue.
Avec une synchronisation parfaite, elle plonge son sexe dans mon ventre quand Natacha en sort.
Doublement sodomisée et pompée, je sens la sève monter irrésistiblement dans mes reins et j’explose rapidement dans sa bouche en gémissant de plaisir.
Enfin calmée, je décide de m’occuper de Natacha.
- Tu vas jouir la première, lui dis-je en lui lançant un regard torride.
J’entreprends alors un irrésistible massage fessier dont j’ai le secret.
Attentive, je suis sur son visage la montée de son orgasme en me trémoussant de plus belle sur son pivot de chair.
Le moment venu, je l’achève par de lentes et puissantes bascules du bassin qui la font craquer.
Tremblante de la tête au pied, je l’entends crier de plaisir lorsqu’elle décharge dans mes reins dans une succession de spasmes.
Le souffle court devant ce spectacle, Sabrina continue à s’activer en moi en regardant le sperme de son amie s’échapper de mes fesses et couler le long de sa queue.
Très excitée de vivre son fantasme, elle relève mes jambes sur ses épaules pour s’enfoncer plus à fond dans ma chatte.
Puis, elle m’empale jusqu’à la racine de son sexe.
Elle sourit lorsqu’elle voit mes jambes gainées de nylon brasser l’air et témoigner du plaisir qu’elle me donne.
Reprenant mes esprits, je la fais basculer sur moi en éperonnant sa croupe avec mes talons aiguilles pour la stimuler davantage.
Telle une mante religieuse, je resserre mon étreinte pour mieux lui dévorer la queue.
Saisissant sournoisement un gode de dessous l’oreiller, je le plante d’un coup dans ses fesses.
Surprise, elle se redresse pour tenter d’échapper à ce dard, mais je la fouille avec insistance jusqu’à ce qu’elle explose en moi dans des gémissements de plaisir.
En se retirant, elle laisse échapper un dernier flot de sperme qui dessine d’étranges arabesques blanchâtres sur mes bas.
Avant de me lever, je place un rosebud dans ma grotte pour garder toute la sève que j’ai en moi.
Puis, je les raccompagne à la porte en écoutant Natacha pleine d’imagination me proposer d’autres jeux en prévision de notre prochaine rencontre.
Restée seule, je remets de l’ordre dans mes dessous.
Je refais à la hâte le contour de mes lèvres en rajustant ma perruque et mes seins.
Je sors un slip ouvert propre de mon sac à main car mes ébats ont laissé des traces et j’enfile rapidement ma jupe en essayant de rattraper mon retard.
En redescendant dans le hall d’entrée, je croise une jolie fille assise dans un fauteuil qui semble attendre quelqu’un.
Mon attention est attirée par le renflement insolite qui déforme sa jupe à la naissance de ses cuisses.
Je m’arrête devant elle en l’interpellant gentiment :
- J’aimerai bien savoir ce que tu caches entre tes jambes ?
Nullement gênée par ma question, elle soulève sa jupe et me dévoile enfoui dans un écrin de lingerie un gode solidement attaché à sa taille.
Elle l’agite ostensiblement sous mes yeux en me provoquant du regard.
Il est relativement court mais son diamètre impressionnant atteint neuf centimètres dans sa section la plus large.
Voyant ma surprise devant un tel calibre, elle me dit :
- Comme les autres travestis et transsexuelles, tu me fais une concurrence déloyale et je me dois d’offrir des plaisirs différents à mes clients.
- Sachant que la plupart des hommes aiment se faire sodomiser par une femme, j’en ai fait ma spécialité.
- Voilà pourquoi j’attire leur attention avec ce sexe qui se devine aisément sous ma jupe.
- Ils deviennent très vite dépendants de moi quand je les prends avec ce gode.
- Lorsqu’ils ont l’oeillet bien dilaté, je peux les fister longuement en les masturbant jusqu’à ce qu’ils jouissent.
- J’avoue prendre du plaisir à les dominer et à les entendre gémir quand je les viole.
Je me penche sur elle pour toucher ce phallus qui m’enflamme les sens.
- Je te rendrai visite d’ici peu, lui dis-je d’une voix altérée par l’émotion.
- Tu ne le regretteras pas car tu me plais, me dit-t-elle en m’adressant un sourire prometteur.
- Viens me voir dans mon donjon où j’ai tout ce qu’il faut pour te combler, rajoute- t-elle.
A son regard brûlant, je sais que je ne serai pas déçue et je la quitte en voyant un séduisant quadragénaire s’approcher d’elle.
Chemin faisant, je me félicite de porter un slip ouvert qui me laisse jouer librement avec mon rosebud.
C’est un Niki XXL de chez Julian Snelling, une référence dans ce domaine.
Il est en inox et mesure cinq centimètres de diamètre.
Son poids important de 600gr me donne une sensation de pesanteur agréable qui m’irradie le ventre.
Je dois contracter mes sphincters en marchant pour l’empêcher de tomber sur le sol.
J’aime qu’il soit bien lubrifié car il glisse plus facilement en m’obligeant à mobiliser mes muscles internes pour le garder en moi.
En marchant, je ressens très vite une tension à la racine de mon sexe.
Désirant plus de sensations, je m’arrête devant une vitrine et j’écarte légèrement les jambes pour le faire sortir davantage.
Lorsque entraîné par son poids, il est sur le point de m’échapper, je contracte fortement mon ventre pour le faire remonter.
Je frisonne de plaisir lorsqu’il se plaque contre mon point G.
Répétant l’opération, je m’offre ainsi un agréable massage interne sous l’œil indifférent des passants.
Dans ces moments, la crainte de le voir tomber sur le trottoir rajoute à mon excitation.
Cet entraînement présente également l’avantage de me préparer aux sodomies particulières que me réserve sans nul doute Mirella qui doit m’attendre avec impatience.
De plus, il tonifie mes sphincters ce qui me permet de serrer plus fortement le sexe de mon amant.
A cette idée, je repense à ma dernière soirée en sa compagnie.
Venant de lui faire l’amour, je mets mon rosebud pour garder en moi sa sève encore chaude.
Toujours tenaillée par le désir, je me couche sur le côté en collant perfidement mes fesses contre son ventre.
Je garde aussi ma lingerie pour le faire craquer et entretenir ses pulsions fétichistes.
Durant la nuit, je sens qu’il se masturbe sur le nylon de mes bas.
Quelques instants plus tard, pris d’une pulsion irrésistible, il retire mon bouton de rose pour s’ouvrir un passage dans mes reins.
Je me force à rester totalement immobile pour réaliser son fantasme et lui laisser croire que je suis en plein sommeil.
Il allume alors la lumière et m’écarte les cuisses en me mettant dans des positions très suggestives qui stimulent sa libido.
Me croyant toujours endormie, il explore ma rosette avec sa langue et ses doigts en osant des caresses inhabituelles.
Puis, il place un oreiller sous mon ventre pour surélever ma croupe et la mettre en valeur
Cette vision, amplifiée par ma totale passivité l’excite au plus haut point.
Il écarte mes fesses avec ses pouces et s’enfonce dans ma grotte humide de désir.
Allongé entre mes jambes, je sens son souffle chaud sur ma nuque.
Dans le silence de la chambre, j’entends les claquements excitants de sa queue dans mes reins.
Je me mords les lèvres pour retenir mes gémissements lorsqu’il décharge dans mes fesses…
Epuisé de fatigue, il s’effondre de tout son poids sur moi.
A l’évocation de cette nuit, j’arrive chez Mirella très en forme pour faire face aux jeux qui m’attendent.
C’est une transsexuelle de la Jamaïque qui habite Paris depuis deux ans.
Elle m’ouvre la porte dans un superbe déshabillé ivoire qui fait ressortir la couleur de sa peau.
- Tu es en retard, me dit-t-elle avec un certain agacement.
Je l’embrasse longuement en lui pressant les seins pour me faire pardonner.
Devenue plus souriante, elle me fait asseoir près d’elle en me servant une tasse de thé.
Au cours de la conversation, je décroise mes jambes pour lui laisser entrevoir mes quatre paires de jarretelles tendues sur mes cuisses.
Mon sexe en érection gonfle le tissu de mon slip et attire sa main comme un aimant.
Elle remonte lentement le long de mon bas, s’engouffre sous ma jupe et se glisse dans l’ouverture de mon écrin de soie pour saisir mon sexe qui lui montre ses attentes.
Défiant Mirella du regard, j’immobilise son bras entre mes cuisses.
Surprise par ma résistance, elle me prodigue d’irrésistibles caresses de sa main restée libre.
Très vite submergée par le plaisir, je capitule en lui laissant l’initiative.
Apercevant alors le bijou anal qui garde l’entrée de ma grotte, elle contemple longuement le rubis en verre taillé incrusté dans son socle.
Il brille de tous ses feux, animé par les contractions de mon oeillet.
- Il est splendide me dit-t-elle admirative.
- Il te fait de l’effet rajoute-t-elle en remarquant ma queue dressée et mon gland tout humide.
Soudain, son attention est attirée par une tâche blanchâtre qui macule mon bas.
- D’où viens-tu, me dit-t-elle d’un air pincé en la pointant du doigt.
- Laisse moi t’examiner, rajoute-t-elle d’une voix autoritaire en m’enlevant ma jupe et mon corsage
Je reste sans bouger pendant que ses doigts effleurent avec sensualité ma guêpière, mes jarretelles et mes bas.
Puis, elle m’enlève mon string en le remplaçant par une culotte ouverte en satin qu’elle remonte sur mes hanches.
- C’est plus féminin et ce sera mieux adapté à ce qui t’attend, me dit-t-elle avec un rire de gorge qui me laisse présager quelques surprises.
- Tu es craquante avec ces dessous ma chérie, rajoute-t-elle avec une lueur trouble dans le regard.
Elle m’allonge sur sa table d’examen.
Après m’avoir fixé les pieds dans les étriers, elle se place entre mes cuisses et s’amuse à tirailler avec ses dents le bouton de rose planté dans ma rosette.
Puis, elle le retire en enlevant également mon préservatif féminin.
- Combien de queues as-tu prises dans les fesses aujourd’hui ? Siffle-t-elle en agitant le latex devant mes yeux.
- Il contient au moins 20cl de sperme rajoute-t-elle scandalisée.
Je sourie intérieurement en pensant que certaines fois je rentre chez moi avec ma protection totalement pleine.
- Puisque tu es si bien disposée, je vais m’amuser avec toi, rajoute-t-elle d’un air équivoque.
Elle lubrifie abondamment mon anneau avant de plonger trois doigts dans mes fesses.
Elle les fait coulisser sur des rythmes lents et rapides tout en me masturbant efficacement.
Puis, quand elle me voit bien excitée, elle m’oblige à me lever et m’entraîne dans la pièce voisine.
Je découvre alors un étrange objet ayant l’apparence d’un cheval d’arçons recouvert d’une selle en cuir.
- Assois-toi dessus, me dit-t-elle d’un ton ferme.
Elle règle minutieusement sa hauteur pour que mes jambes restent bien tendues et bloque ensuite mes pieds au sol dans des attaches spéciales.
Lorsque je suis totalement immobilisée, elle appuie sur la touche d’une télé commande qui déclenche l’ouverture d’une trappe.
- Tu as maintenant un plug en métal de vingt cinq centimètres pointé sous tes fesses, me susurre-t-elle à l’oreille.
- Il va t’empaler lentement ma chérie et t’élargir progressivement l’anneau.
Elle écarte la fente de mon slip et place le plug contre mon œillet avant d’appuyer sur un autre bouton.
Je sens l’engin s’enfoncer imperceptiblement mais inexorablement dans ma grotte.
Ma rosette se contracte au contact froid de ce cylindre d’acier.
- Détends toi ma belle, me dit Mirella en me masturbant d’une main experte.
Ses caresses lèvent mes dernières craintes.
Au début, le pal me donne des sensations plutôt agréables.
Le fait d’être complètement soumise à cette machine sans pouvoir l’arrêter redouble mon excitation.
Les pieds attachés au sol, je ne peux échapper à la poussée du pieu qui devient de plus en plus forte et découvre un plaisir étrange mêlé de douleur.
Puis, vient le moment où j’ai la respiration coupée en ayant la nette impression d’être ouverte en deux.
Cette masse métallique m’écarte les chairs en me donnant des sensations de plus en plus fortes à la limite du supportable.
Quelques minutes plus tard, je suis empalée jusqu’à la garde en voyant ma queue dressée prête à exploser.
- J’ai incliné le plug vers l’avant pour stimuler ton point G, m’explique Mirella.
- C’est pour cela que tu bandes magnifiquement, rajoute-t-elle en souriant.
- Tu as maintenant l’anneau ouvert au diamètre d’une bouteille, me dit-t-elle d’un air amusé.
Son propos me choque et j’ai du mal à la croire.
Sans plus attendre, elle me lèche la queue pendant que le gode plongé dans mes reins se met à vibrer intensément.
Je craque lorsqu’elle fait glisser lentement son ongle sur toute la longueur de mon frein.
- Contracte maintenant tes fesses sur le pal pour jouir me chuchote-t-elle à l’oreille en voyant les premières gouttes de sperme perler à la surface de mon gland.
Je gémis doucement lorsqu’une coulée de sève épaisse et continue sort lentement de ma verge en se déversant dans sa gorge.
Complètement sonnée par cette longue éjaculation, je contemple le mince filet de sève qui s’échappe encore de mon sexe et que Mirella recueille sur sa langue.
Un moment plus tard, elle me détache et me fait enfiler une combinaison craquante en satin rouge par-dessus ma guêpière.
- Va m’attendre dans la chambre pendant que je me prépare.
Elle ne tarde pas à me rejoindre.
En plus de son déshabillé, elle a fixé à sa taille un étonnant gode ceinture.
Je m’aperçois avec surprise que son sexe est à l’intérieur.
- J’espère qu’il te comblera ma chérie, me dit-t-elle en le tenant à deux mains.
En fait, Mirella a choisi de porter une prothèse de taille comparable au plug précédent pour ne pas me décevoir.
Elle s’allonge prés de moi et m’embrasse à pleine bouche en plaquant ses seins splendides contre ma poitrine.
Puis, me mettant sur le dos, elle se place entre mes cuisses.
- Maintenant remonte ta nuisette ma chérie.
Je la retrousse fébrilement sur mes hanches en dévoilant mes bas et mes jarretelles tendus à craquer.
Elle contemple ma rosette restée largement ouverte par les dilatations précédentes.
Très expérimentée, Mirella enfonce son majeur dans ma grotte en le recourbant vers le haut pour stimuler mon point G.
Elle sourit en sentant mes sphincters se contracter sur son doigt
Contrôlant mal mon émotion, ma queue jaillit d’un coup par la fente de ma culotte ouverte.
- Tu aimes cela n’est ce pas ma belle ?
Entourant mon sexe avec l’un de ses bas, elle me branle d’une main experte.
- Je vais t’enfiler maintenant ma chérie, me dit-t-elle en m’écartant les cuisses.
Pointant le gode à l’entrée de ma grotte, elle l’engage par petites pressions successives en me pénétrant lentement sans me quitter du regard.
Puis, pressant fortement ses mains sur mes hanches, elle le fait rentrer brutalement de plusieurs centimètres d’un coup.
Agrippée à mes épaules, elle me donne de puissants coups de reins pour finir de l’enfoncer dans mes fesses.
- Te voilà complètement prise ma chérie, me dit-t-elle.
Soudée à moi, elle se tortille avec une habilité diabolique en décrivant avec son bassin de larges mouvements circulaires.
Mirella me pilonne de plus belle en voyant ma queue tressauter et perdre quelques gouttes de sève.
Je deviens un pantin entre ses mains dont elle use et abuse.
- Défonce moi. Oh oui j’aime ça, lui dis-je d’une voix rauque.
Quelques instants plus tard, ne pouvant plus retenir la coulée de lave qui monte en moi, j’explose en inondant ma guêpière d’un flot de sperme.
Mirella détache son gode ceinture et réajuste ses jarretelles en me jetant un regard torride.
- A ton tour de t’occuper de moi, me dit-t-elle en me rejoignant dans le lit.
Décidée à la surprendre, je l’allonge sur le dos.
J’enfile un mini bas en latex sur mon pied en le lubrifiant abondamment.
Puis, sans la quitter des yeux, je plonge mon orteil dans son anneau brûlant de désir.
M’aidant de lentes rotations, j’engage peu à peu une partie de mon pied dans sa grotte.
Le prenant à deux mains, Mirella le fait coulisser un long moment en elle en gémissant de plaisir.
Puis, je décalotte son gland en effleurant son frein avec mon ongle.
Lorsque je la vois trembler de désir, je la renverse sur le dos en m’empalant à califourchon sur sa verge.
- Ecarte les cuisses, lui dis-je en poussant une à une des boules anales dans sa grotte ;
Sa respiration s’accélère quand je bascule mon bassin d’avant en arrière en tournant lentement mes fesses sur sa queue.
Puis, je contracte mes sphincters qui deviennent une véritable pompe à sperme
M’empalant de tout mon poids sur sa queue, je me trémousse longuement jusqu’à ce qu’elle succombe à mes ardeurs.
Lorsqu’elle explose en moi, je tire sur le fil qui sort de ses fesses en extrayant d’un coup les boules anales de sa grotte.
Elle pousse un grand cri et a un dernier soubresaut avant de s’immobiliser.
Lorsque je me lève, j’essuie le trop plein de sève qui ruisselle de mes fesses en pensant avec envie à toutes ces femmes qui sans complexe pompent en moyenne plus d’une centaine de litres de sperme à leurs amants au cours d’une vie.
Epuisées et comblées nous ne tardons pas à nous coucher et à nous endormir dans les bras l’une de l’autre.
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