Ma première fois à plus de deux

Récit érotique écrit par admin le 24-11-2009
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Catégorie Partouzes-Orgies

L’histoire qui suit est vraie, au détail prêt, mais réclame une introduction. Pas mal de mecs ont un jour fantasmé sur l’idée de faire l’amour avec deux filles, mais en réalité, peut être est-il préférable que dans bien des cas, cela reste un fantasme ! D’abord, il faut accepter le fait que dans bien des cas, elles ne soient pas toutes les deux des canons : la vraie vie n’est pas comme dans un film X. Ensuite, il faut savoir remballer son ego si nécessaire. Je veux dire par-là qu’au moment où vous vous retrouvez avec deux charmantes créatures au lit, votre ego se prend pour un géant. Or, viendra bien un moment où votre érection faiblira (le plus tard possible, mais …). A ce moment, il est fort possible que ces dames continuent entre elles :vous pourriez tout aussi bien aller fumer une cigarette sur la terrasse :elles ne le remarqueront peut-être même pas ! Si, comme moi, la présence d’un deuxième homme vous rebute, une jolie solution s’offre à vous : une troisième fille…mais il faut un sacré coup de bol pour avoir cette opportunité ! Bien avant le début de cette histoire, un ami m’avait offert un briquet Zippo , rescapé du Vietnam , il portait sur une face l’insigne d’une unité de paras, sur l’autre, une phrase en Anglais qui disait : « si tu as envie de faire l’amour, souris quand tu me rends le briquet » .J’avais ce zippo depuis si longtemps en poche, que j’avais oublié cette phrase ! J’ai fait la connaissance de Stéphanie deux ans avant le début de cette histoire, au cours de l’une de ces soirées d’étudiant dont notre université a le secret. Ivres, nous avions fini la nuit ensemble et ce n’était pas bien glorieux ! Mes souvenirs de cette fin de nuit se résument à un brouillard. Nous avions fait l’amour sur un matelas nu dans un décor minable. Dans le peu de souvenirs que j’en ai, je la vois me chevauchant… Le reste est perdu dans une brume alcoolisée ! En ce mois de janvier, j’était à l’armée (mes études étaient finies).Je rentrais chez moi chaque vendredi soir, passant chez ma grand-mère pour lui donner mon linge puis je me rendais dans un petit restaurant où se réunissait après match l’équipe de volley-ball de l’université dont j’avais fait partie au temps de mes études. Ce soir là, j’eus la surprise d’y rencontrer Stéphanie qui y mangeait, seule ! Un peu gênée (autant que moi en vérité), elle me convia à sa table. Nous devisâmes de chose et d’autre et la conversation évolua vers son mémoire de fin d’étude, avec lequel elle éprouvait quelques difficultés. Ayant terminé le mien quelques mois auparavant, je lui proposai mon aide, qu’elle accepta. Nous convînmes donc d’un rendez-vous pour le dimanche après-midi. Au jour dit, je sonnai chez elle, portant mon gros sac vert qui contenait mes treillis et un peu de documentation pour Stéphanie. Elle m’ouvrit, vêtue d’un jeans serrant et d’un petit haut qui laissait ses épaules nues et montrait qu’elle ne portait pas de soutien-gorge, malgré une forte poitrine, sur laquelle mon regard s’attarda un instant. Suivant mes yeux, elle fit un petit sourire coquin !Son appartement était assez grand, ce qui est inhabituel pour une étudiante mais elle m’expliqua qu’elle cohabitait avec deux autres filles, lesquelles venaient de province, où elles rentraient les week-end. Nous nous mîmes au travail durant une heure, fort proches l’un de l’autre : je sentais son parfum, sa cuisse contre la mienne et mon regard s’attardait sur ses seins régulièrement. Ce qui devait arriver arriva, nos bouches s’unirent. Je lui caressai les seins avec frénésie et ne comprit pas comment elle se retrouva nue. Il faut savoir que la vie militaire générait chez moi une forte frustration du fait de l’absence de femme, aussi j’étais sûr que le moindre attouchement sur ma queue déclencherait illico un orgasme, aussi, par précaution et pour être certain de la satisfaire, je m’allongeai entre ses cuisse pour la lécher longuement. Une main faisait le tour de sa jambe et, posée sur son ventre, tirait sur la peau pour mieux ouvrir son sexe rasé (chose peu courante à cette époque).J’introduisis ma langue en elle, obtenant rapidement l’effet escompté. Elle se mit à gémir. J’étais impressionné par la taille de son clitoris, particulièrement long et dur, à tel point que je pus le saisir entre le pouce et l’index pour le branler comme une petite bite. Ses jambes se mirent à trembler fortement et elle jouis. Je m’allongeai ensuite sur elle pour la prendre dans un missionnaire classique et jouis en elle alors qu’elle avait un second orgasme. Repus, nous nous couchâmes côte à côte, l’une de ses jambes en travers de la mienne. Elle me caressait doucement et me dit : « Il y a un côté encore vierge, veux-tu être le premier ? ». Ayant peur de mal comprendre ou de passer pour un idiot, je répondis d’un grognement qu’elle prit pour un assentiment. Aussitôt, elle se mit à quatre pattes et me présenta son cul, qu’elle avait large et rond !J’y glissai ma langue, puis mes doigts, elle grognait de plaisir. Ma queue ayant retrouvé sa vigueur, je posai mon gland sur sa rondelle et poussait : elle hurla quand il passa. Craignant de lui faire mal, je marquai une pause mais elle hurla : « Continue bordel !» Une seconde poussée : j’étais dedans ! Ayant déjà joui quelques minutes auparavant, je me montrai cette foi plutôt endurant et passai sans difficultés d’un trou à l’autre, ce qui déclencha chez ma partenaire plusieurs orgasmes consécutifs : j’étais assez fier de moi ! Avant de la quitter, elle me demanda, un peu inquiète, si je contais la revoir, et me fis un grand sourire heureux quand je répondis par l’affirmative. Nous convînmes donc de nous retrouver chez elle le vendredi suivant (à cette époque, il n’y avait ni téléphone portable ni Internet, souvenez-vous). Encore un détail qui a son importance : Le règlement militaire m’obligeait à rentrer chez moi en uniforme. Le vendredi suivant, ayant posé mon sac chez ma grand-mère ,je ne pris pas le temps de me mettre en civil et me ruai chez Stéphanie. Je sonnai et elle m’ouvrit, vêtue d’une robe blanche une pièce(malgré la fraîcheur de ce mois de janvier), à travers laquelle je pouvais voir ses mamelons érigés. Elle se jeta dans mes bras, m’embrassant amoureusement. Je passai ma main sur ses fesses et constatai qu’elle ne portait pas de culotte la coquine. Reprenant son souffle, elle me dit que ses deux colocataires, étudiantes comme elle étaient présentes. Frustration, je n’allais pas pouvoir me la manger tout de suite ! L’appartement se trouvait au dernier étage. Lorsqu’elle passa, sur un palier, devant une fenêtre, le spectacle de son cul en transparence m’incendia. Je ne pu résister à l’envie de lui caresser les hanches. Regardant par-dessous son aisselle, elle me jeta un regard qui signifiait clairement : « Vas-y ». Sa main droite était sur la rampe, elle se pencha, appuya la gauche au sol, sur une marche et écarta ses pieds pour les caler de part et d’autre d’une marche. Je troussai sa robe, me penchai et entrepris de lui lécher la chatte, mon nez entre ses fesses. Cela dura deux minutes à peine, durant lesquelles j’en profitai pour ouvrir ma braguette et sortir mon membre qui n’en pouvait plus. Puis, je la pris d’un seul coup, allant et venant en elle frénétiquement. Elle se mordait la lèvre pour ne pas hurler. Nous jouîmes de concert et nous nous rajustâmes rapidement. Je vois encore dans mes souvenirs la tache de sperme au sol, dans cet escalier ! Ses copines nous attendaient à la table de la cuisine : il y avait Claudine, surnommée Claudy, une grande fille mince aux cheveux courts et bruns, et Florence « Flo », une grosse blonde aux yeux clairs. Nous passâmes la soirée ainsi que le font les étudiants du monde entier, à refaire le monde à l’aide de boissons diverses et de cigarettes, les miennes étant , à la mode militaire, dans ma poche de poitrine (j’avais évidemment ôté ma vareuse et ma cravate).Vers minuit, j’étais le seul à en avoir encore et je mis mon paquet sur la table, surmonté de mon briquet .Claudy se servit, lut la fameuse petite phrase (dont j’avais oublié l’existence) et me rendit le briquet en faisant un petit sourire…que je ne captais pas ! Devant mon incompréhension, elle repris le briquet et me le claquas dans la main, affichant cette fois un énorme sourire : le message était clair ! Je ne sus comment réagir et jetai un coup d’œil rapide à Stéphanie, qui répondit par un imperceptible signe de tête d’acquiescement. Mais comment amener la chose ? J’avais bien compris que Claudy et Flo formaient un couple de lesbiennes : il fallait jouer subtil ! Claudy prit les choses en main : elle amena la conversation sur la chirurgie esthétique, parlant des seins de Flo qui se les était fait refaire récemment, complexée par leur trop forte taille. Elle était, selon son amie, capable de jouir rien qu’en se faisant caresser les mamelons. Pour prouver ses dires, elle se leva, passa derrière Flo et ouvrit d’un coup sa chemise en jeans, révélant une poitrine encore forte malgré l’opération. Elle souleva les seins de son amie pour montrer les cicatrices de l’intervention chirurgicale, puis commença à lui caresser tendrement les miches. De son coté, Stéphanie avait sorti ma bite sous la table et me masturbait doucement. Quelques instants plus tard, Flo produisit un long gémissement rauque. Nous ne perdîmes pas de temps, et en moins de cinq minutes, Claudy et Stéphanie se retrouvèrent allongées côte à côte tandis que Flo et moi étions sur le ventre, au coude à coude, en train de les lécher. Puis, je pris Stéphanie en missionnaire et Claudy juste après, dans la même position .Lorsqu’elles eurent joui toutes les deux, Flo me dit qu’elle aimerait essayer aussi mais qu’elle avait un peu peur, étant vierge ! Claudy s’assit, et je m’allongeai sur le dos, la tête sur son ventre, ses cuisses passant sur mes épaules et mes mains tenant ses chevilles. Stéphanie se plaça à genoux entre mes jambes et Flo me chevaucha, embrassant Claudy qui lui caresserait les seins. Ce fut Stéphanie qui glissa mon gland à l’entrée de la chatte de Flo et qui appuya fortement des deux mains sur les reins de Flo pour me faire entrer en elle. Un cri, un moment de stupeur et Flo trouva le rythme, tandis que Stéphanie se masturbait et me caressait les couilles. Claudy faisait de même : je sentais sa main sur son clitoris, à l’arrière de mon crâne. Il y eut un moment exceptionnel quand nous éclatâmes dans un orgasme commun. Nous sombrâmes dans le sommeil , à quatre sur ce matelas prévu pour deux, dans un entremêlement de bras, de seins et de fesses… Je me réveillai brièvement, torturé par la chaleur (il fait VRAIMENT chaud à quatre dans un lit), ayant le soucis de boire un peu d’eau sans réveiller aucune de mes compagnes, puis replongeai dans un sommeil agité. Je fus réveillé vers midi, par une douce sensation autour de mon membre redevenu gros. Flo apprenait sur moi l’art de la fellation sous la houlette de Stéphanie. Claudy faisait le petit déjeuner, vêtue en tout et pour tout de ma chemise d’uniforme. A table, elles me dirent qu’elles étaient très contentes d’avoir trouvé un mec qui ferait l’élément mâle de leur ménage. Notre quatuor dura six mois, jusqu’à la fin de leurs études, quand elles retournèrent chacune dans leur ville d’origine pour y retrouver leurs familles respectives. Durant tout ce temps, nous passâmes des week-rends torrides. Mes amies se faisaient jouir entre elles la semaine et étaient très attentives à moi les samedis et dimanches. Je perdis plusieurs kilos durant cette période.

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24-11-2009 1 12109

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