Carole, belle blonde de vingt trois ans et Hervé, vingt cinq ans, sont en voyage de noces dans le sud de la France. Ils sympathisent avec un couple, lui aussi en lune de miel. Marion, superbe brune de vingt quatre ans, et Didier, âgé de vingt huit ans. Un soir, les deux couples assistent à une fête donnée en leur honneur. Les époux se cantonnent au bar, laissant libre leurs jeunes épouses, qui se dandinent sur la piste de danse, au rythme de la musique disco. La foule est considérable, à tel point, que c’est à peine si Carole réagit quand des mains se faufilent sous sa mini jupe, et lui ôte sa culotte. Par contre, elle sursaute quand un doigt lui ouvre la fente.
-Ben, dit-elle…quel est le salaud qui a quitté ma culotte…oh…en plus, il me met un doigt dans la chatte.
-Oh mon dieu…moi aussi…mais qui est ce cochon qui gratte ma fente…qui décalotte mon petit bouton…
Les deux femmes se regardent d’un air complice, éclatent de rire, et décident de sortir griller une cigarette.
Elles s’assoient sur un banc, et se font accoster par deux jeunes maghrébins, d’environ dix huit ans, qui leur demandent du feu. Carole tend son briquet. C’est ce moment que choisit Samir pour lui saisir le poignet, pendant qu’à l’autre bout du banc, Karim bloque Marion, et l’empêche de se lever. Les deux femmes se débattent, mais ne peuvent rien contre la force des deux beurs. D’une main, Karim tient Marion par le cou, de l’autre, il déboutonne la robe. Les seins, magnifiques, jaillissent du léger tissu.
-Assez, dit-elle, laissez-moi ou je crie.
Pour toute réponse, Karim poursuit son effeuillage, ouvre les pans de la robe. Il glisse ensuite un genou entre les jambes de la jeune femme pour les écarter. Marion se retrouve nue, totalement ouverte.
-Mais regarde ces deux salopes, disent-ils en cœur, elles n’ont rien sous sa robe, même pas un string. Elles sont à la recherchent de grosses bites pour se faire baiser.
Presque simultanément, les deux maghrébins passent un doigt sur la fente des jeunes épouses, puis en insèrent deux dans la chatte. A leurs grandes surprises, elles se laissent faire, apprécient la caresse.
-Le salaud, dit Marion, il m’a enfoncé deux doigts dans la chatte, il me la branle…il va me la faire mouiller…
Samir force Carole à se mettre à quatre pattes sur le banc, et lui fait subir le même sort. Il sort ses doigts plein de mouille, et tartine le petit trou. Lentement, Samir baisse son jogging, arbore une énorme bite en érection. Il s’avance et ouvre l’œillet.
-Ha…l’enfoiré…il me prend au petit…il m’encule…quel coup de bite il a…vas-y…lime moi le cul…déchire le…
Karim imite son copain. La bite est de la même taille. Il soulève les jambes de Marion, fléchit sur ses jambes, et pénètre la chatte pleine de mouille. Ses couilles frappent contre les fesses.
-Ouah…lui aussi il est monté…et quelle paire de couilles…vas-y…bourre moi la chatte…bien profond…c’est bon de se le faire mettre…quel coup de queue…
Les deux femmes gémissent de plaisir. Carole se penche sur Marion, lui prend les lèvres. Elle glisse une main sous le ventre de Carole, jusqu'à la chatte. Elle décalotte le clitoris, l’excite, un doigt ouvre les lèvres.
-Oh oui, soupire Carole, oui ma chérie…gratte mon petit bouton…branle moi le minou…c’est bon tu sais…
Ensemble, les deux épouses atteignent l’orgasme dans un cri étouffé, de peur d’attiré l’attention. Les jeunes maghrébins aussi. Ils se retirent, présentent leurs bites devant leur bouche en se branlant. Les jeunes mariées ouvrent leurs lèvres et sucent le gland. Soudain, les jets de sperme giclent au fond de leur gorge. Marion et Carole avale tout. Samir et Karim les obligent à leur nettoyer le bout de la queue, puis leurs proposent d’aller poursuivre les ébats dans leur van, afin que les femmes continuent à leur vider les couilles. Les deux jeunes mariées acceptent. Il est clair qu’elles aussi ont encore envie de se faire prendre.
Vers minuit, Hervé et Didier sortent pour prendre l’air, et griller une cigarette. Ils ne se soucient guère à quoi leurs épouses occupent leurs temps. Tout en discutant, ils passent devant le van aux vitres teintées.
-Ben dis dont, entend comme ça gueule là dedans, fait remarqué Hervé, elle doit aimer la bite la pute...
-T’as raison, poursuit Didier…ces femmes, toutes des salopes…elle doit prendre un sacré coup de queue pour hurler de plaisir comme ça…j’ai jamais fait gueuler la mienne comme ça…
Les pauvres ne se doutent pas que se sont leurs épouses qui sont en train de se le faire mettre dans toutes les positions par deux jeunes maghrébins avides de sexe. Ces femmes devenues infidèles se font niquer, enculer, taillent des pipes, avalent le sperme, nettoient les glands avec gourmandise.
Il est deux heures du matin quand les couples regagnent l’hôtel. Assises à l’arrière de la voiture, les deux épouses essuient discrètement leurs chattes pleine de mouille, de cyprine et de sperme. Une fois dans la chambre, Hervé et Didier, éméchés s’écroulent sur le lit.
-Prenons l’autre chambre, propose Carole, on fera une bataille de clitoris. Tu vas voir comme je vais m’amuser avec ta petite chatte, tu vas me supplier d’arrêter…
-D’accord, répond Marion, mais ne vends pas la peau de l’ours, tu sais bien que brunes sont plus fortes que les blondes.
La bataille est féroce, les jambes s’entrelacent, les clitoris se frottent l’un contre l’autre. Mais cette bataille érotique tourne vite à l’avantage de Marion. Carole, le clito en feu donne des signes de faiblesses, tout son corps est pris de spasmes, sa respiration devient plus haletante. Elle est foudroyée par l’orgasme
-Tu as voulu me provoquer, sourit Marion, je t’avais prévenu, tu vois comme les brunes s’amusent avec les blondes. Tu sens comme ta petite chatte est mouillée ? Et ton petit bouton, il est tout décalotté…ils ont encore envie qu’on joue avec eux…
-Oh oui…vas-y, joue avec eux…trempe tes doigts, bien profond…doigte moi le clito…fait ce que tu veux, je suis à toi cette nuit…je ferai ce que tu veux…
La guerre des boutons n’est pas finie, seules les positions changent. Dès qu’elle le peut, Marion glisse deux doigts dans la chatte de Carole et la branle, lui pince le clitoris pour bien lui faire comprendre qui est la patronne. Elle joue avec elle comme avec une poupée, lui fait dire n’importe quoi. Quand Carole essaie de se levé pour fuir, elle est aussitôt clouée sur le lit. Elle n’en fini pas de jouir, totalement soumise.
-Oh putain…que c’est bon de se faire chatter par une femme…c’est meilleur qu’un homme…vas-y ma chérie, défonce moi le cul aussi…ne me fais pas regretter d’être blonde…je suis gouine maintenant…ta gouine…ta pute…promet moi qu’on se reverra.
Il est cinq heures du matin quand Carole, épuisée, s’assoupit dans les bras de Marion. Lors du départ, les deux jeunes mariées s’échangent leurs numéros de téléphone, mais aussi un sulfureux baiser devant leurs époux ahuris. Marion lui jure de la revoir.
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